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Les commentaires de Jesse Darvas



  • Jesse Darvas Jesse Darvas 13 octobre 2012 11:37

    Roungalashinga et rahsann... C’est le rendez-vous des anciens du forum de Nabe !


    Pour avoir discuté avec quelques complotistes , j’ai vite conclu que c’était une perte de temps. Les réactions à l’article le montrent d’ailleurs.

    Tout ceci n’a aucun intérêt et pour une simple raison : les complotistes ne dépasseront jamais le stade du « doute » et du « questionnement » pour aboutir à des conclusions claires et des plans d’actions. Reopen911 en est toujours à parler des « incohérences de la V.O » sans proposer de théorie alternative et surtout sans proposer de moyen opératoire réaliste de tester une telle théorie. Ces gens ne sont dangereux pour personne et jouent entre eux a un jeu stérile qui leur permet de croire qu’ils ont« compris » et vu derrière le voile... sans que cela change quoi que ce soit a leur impuissance à agir pour changer ce monde. Si cela les aide à vivre - tant mieux pour eux. 


  • Jesse Darvas Jesse Darvas 13 avril 2012 13:50

    M. Baty, vous devriez étudier l’histoire d’un peu plus près avant de prononcer des insanités pareilles. Les fondateurs du sionisme (Herzl en tête) n’ont pas décidé que « ce serait cool » de réunir tous les juifs. Ils ont simplement fait le constat que même dans les pays où ils étaient théoriquement émancipés, intégrés et assimilés, l’antisémitisme perdurait. L’un des facteurs à l’origine du sionisme est l’affaire Dreyfus : il était difficile de faire plus « assimilé » que le capitaine Dreyfus, pourtant cela n’empêcha pas les antisémites de se déchaîner contre lui. Plus généralement, ce que reprochaient les antisémites aux juifs, ce n’est pas le refus de l’assimilation mais plutôt l’assimilation elle-même - ils craignaient que les juifs ne « contaminent » la « pureté aryenne ».

    On peut penser ce qu’on veut du sionisme mais imaginer que c’est sur un coup de tête que les juifs sont allés s’installer sur cette terre est grotesque.



  • Jesse Darvas Jesse Darvas 12 avril 2012 01:10

    M. Al West,

    Vous exagérez . Il m’est arrivé d’écrire sur d’autres sujets que les négationnismes divers et variés. Par exemple sur Nabe et Houellebecq :

    http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-carte-et-le-territoire-le-81045#forum2684095

    Mais en l’occurrence vous n’avez pas totalement tort ; si je ne suis (hélas pour moi) pas « rémunéré » pour la « propagande » que je diffuse sur Agoravox, j’ai bien été « alerté » sans l’avoir recherché par le site de Nabe, dont je consulte de temps à autres les nouveautés.

    Je connais bien le site reopen911 dont vous postez le lien et ses 11 « points clés » qui n’ont d’ailleurs pas varié pour l’essentiel depuis des années et qui contiennent encore un élément aussi absurde que la prétendue absence d’avis de recherche du FBI contre Ben Laden-si vous ne voyez pas l’absurdité qu’il y a à prétendre à la fois que les Américains ont fabriqué Ben Laden pour faire croire au terrorisme... mais qu’ils ne croient pas réellement à sa culpabilité (malgré la guerre qu’ils ont déclenché en Afghanistan et la traque pendant 10 ans) et que par un étrange scrupule ils s’abstiennent de l’accuser, je ne vois pas ce que je peux faire pour vous.

    Le problème clé, dont ce type d’absurdité n’est que le symptôme, est celui que j’ai pointé plus haut : reopen911 ne développe aucune théorie cohérente alternative. Ils attaquent la « VO » en utilisant d’ailleurs des arguments contradictoires entre eux (Ben Laden n’a pas fait d’attentat / il a fait les attentats mais pour le compte de la CIA/ il n’a jamais revendiqué les attentats / il les a revendiqués mais dans des videos trafiquées / il n’a jamais été recherché par le FBI/ il a été tué depuis longtemps/ il n’a jamais été tué/ il n’a jamais existé...) Ils renversent en permanence la charge de la preuve : ce sont pourtant eux qui sous-entendent (sans jamais l’articuler clairement) que le 9/11 était un inside job : pourquoi ne construisent-ils pas une théorie solide ? Parce qu’ils en sont incapables.

    Si vous connaissez un site où est développée une réelle théorie alternative, désignant clairement (même de manière hypothétique) les responsables possibles, l’enchaînement des faits, les complices et les modalités, cela m’intéresserait beaucoup. Ce n’est pas ce que je vois sur reopen911. A la limite, s’ils veulent s’en tenir à la posture du « j’ai des doutes », soit. Mais ce qui est proprement insupportable, c’est de voir les imbéciles de tout poil affirmer d’un air entendu « inside job » alors même que les sites auxquels ils se réfèrent n’articulent aucune théorie spécifique et ne démontrent en rien l’inside job, se contentant de « douter ». Assez de « doutes »... il est temps pour les complotistes cohérents d’abattre leur jeu, de raconter leur version des faits et d’indiquer par quelles voies ils se proposent de démontrer sa véracité. On pourra dans ce cas les prendre au sérieux. Je doute cependant qu’ils y parviennent de si tôt.



  • Jesse Darvas Jesse Darvas 12 avril 2012 00:04

    M. Yang : si votre article vous vaut une amicale citation sur le site de Nabe, il n’en manque pas moins sa cible. Comme le montrent les commentaires qui suivent votre analyse, vous n’avez convaincu aucun complotiste, et pour cause : le complotiste ne peut être convaincu par des arguments de cette sorte. Il lui est trop facile de les retourner. On lui demande pourquoi un complot destiné à provoquer la guerre contre l’Irak reposait sur des terroristes saoudiens, il aura toujours une réponse toute prête. Quant aux analyses de fond, le complotiste ne s’arrête pas aux détails : il répètera ad nauseam que « 1000 ingénieurs » ont validé la théorie de l’inside job sans s’interroger sur l’absence totale d’impact de ces « 1000 ingénieurs » dans leur propre pays et sur la différence qu’il y a entre un titre d’ingénieur réel et un titre factice. Lui fait-on remarquer qu’aucun ingénieur d’envergure, qu’aucun spécialiste de mécanique publiant dans une grande revue ne s’est prononcée pour les truthers, il répliquera que cela prouve l’étendue du complot, qui intimide tous ceux qui ont quelque chose à perdre... de sorte que seuls des losers patentés peuvent se permettre de se joindre au combat. Etc...

    La seule réponse viable à leur faire est celle que leur fait Nabe à la fin de son interview sur oumma.com : plutôt que de « douter », « s’interroger », « réclamer un débat », « réclamer une enquête », les partisans sérieux de la thèse de l’inside job devraient enfin se mettre au travail et produire leur propre version des événements. Il ne suffit pas de douter de tel ou tel détail : il faut produire un récit alternatif à la « version officielle » comme ils disent, qui soit plus convaincant que celle-ci. Un récit qui envisage des hypothèses précises sur les vrais responsables de l’attentat, puisqu’il ne s’agit pas d’Al Qaeda, et qui indique les voies disponibles pour prouver la responsabilité des gens en question. A partir de là, il est possible de mener une enquête et surtout de lancer des procédures judiciaires contre les responsables en question. On en est aujourd’hui très loin. Où sont les plaintes déposées aux Etats-Unis (épicentre de la théorie complotiste, avec Loose Change &Co) contre Bush, Cheney ou d’autres éventuels coupables ? C’est que, pour accuser directement des gens, il faut un peu plus que des « doutes » ou des analyses videos. C’est là que la thèse complotiste s’auto-détruit, ou plutôt montre son inconsistance. Une fois mis devant la nécessité de développer sa propre théorie plutôt que d’exprimer des « doutes sur la version officielle », le complotiste devient muet, ou bien furieux, ce qui revient au même. C’est d’ailleurs ce qui le rapproche du négationniste de l’extermination des juifs : prêt à épiloguer sur le moindre détail des plans des chambres à gaz d’Auschwitz, mais totalement incapable d’expliquer ce que sont devenus les 430 000 juifs hongrois déportés en 1944 à Auschwitz, jamais enregistrés dans le camp, et qui ne pouvaient être « réinstallés à l’Est » alors que l’Armée Rouge resserrait son étau...

    Aujourd’hui, les choses sont assez claires pour qui veut s’informer : on peut toujours avoir des doutes sur tout et n’importe quoi, mais il y a suffisamment de sites explicatifs de part et d’autre pour qu’une personne douée de raison se fasse sa propre idée. C’est le cas pour le négationnisme : n’en déplaise aux geignards Blanrue, Faurisson et Reynouard, les fabrications des négateurs sont facilement consultables sur le net et leurs réfutations détaillées aussi. Idem pour le 11/9. Quelqu’un qui a vu Loose Change, lu le commentaire qui en est fait sur les sites de debunking, et conclut que les complotistes ont démontré l’existence de l’inside job, a un mode de raisonnement différent du vôtre et du mien et rien ne pourra le faire raisonner autrement. Quelqu’un qui ne s’est informé qu’en regardant une ou deux videos de truthers sans lire leurs contradicteurs n’a aucun titre à s’exprimer sur le sujet. Dans tous les cas la discussion me paraît inutile. Et d’ailleurs sans aucun intérêt : pour les truthers, leur croyance qui leur semble les distinguer du « troupeau » et des « naïfs » est bien trop précieuse pour qu’ils y renoncent... d’autant qu’il s’agit souvent de leur seul titre de gloire.

     



  • Jesse Darvas Jesse Darvas 11 avril 2012 16:30

    @ l’auteur : vous prenez l’affaire trop au sérieux. Si vous avez attentivement écouté Alain Soral dans ses différentes vidéos, vous auriez dû constater qu’il a depuis longtemps franchi la barrière qui sépare l’antisionisme de l’antisémitisme (cette distinction existe pourtant : pour prendre un exemple précis, As’Ad Abu Khalil alias « Angry Arab » est l’un des antisionistes les plus rigoureux qui soient sur la Toile mais il refuse tout compromis avec l’antisémitisme et appelle d’ailleurs à l’exclusion des antisémites du mouvement pro-palestinien). Soral s’en prend désormais beaucoup plus fréquemment au Talmud qu’au gouvernement israelien, le modèle de « résistance » pour lui est moins Georges Habache que Robert Faurisson... et son appréciation de la « question juive » doit plus à Drumont et Céline qu’à Sartre. Quant à Comprendre l’Empire, c’est une remise au goût du jour du vieux mythe de la finance juive internationale (mâtinée d’un peu de protestantisme pour éviter la monomanie trop évidente). Si cela vous a échappé, vous êtes bien mal parti pour faire du « journalisme ».

    Il faut reconnaître que dans certaines de ses videos et sur certains sujets Soral touche parfois juste, avec un humour corrosif et une verve certaine, quoiqu’un peu facile. D’où les soutiens qu’il recueille auprès de gens qui sont à la recherche d’une parole « alternative » à celle du consensus médiatique. Mais lorsqu’on a la naïveté de s’adresser à lui « en tant que juif », il ne faut pas s’attendre à être accueilli à bras ouverts.



  • Jesse Darvas Jesse Darvas 27 octobre 2011 23:34

    Hello Cosmic,

    Blanrue ne se cache plus du tout : il vient de sortir un film hommage sur Faurisson,une sorte de test grandeur nature de l’efficacité de la loi Gayssot. Le film (disponible sur internet) donne la parole au vieux négationniste pour déployer ses délires. Pas de plainte contre lui apparemment à ce stade, peut-être parce que personne ne souhaite lui faire de la publicité.

    Les gens bien informés savent depuis plusieurs années que Blanrue est devenu l’« écuyer » de Faurisson (selon le terme utilisé par Pierre Guillaume dans le fanzine confidentiel La Vieille Taupe), lequel Faurisson lui rend sur son site un hommage émouvant : il voit en lui son héritier, celui qui fera triompher la bonne parole. 

    Bref il n’y a plus d’ambiguité du tout (Blanrue défend-il juste la liberté d’expression ou bien les thèses négationnistes ?) - à supposer qu’il y en eut par le passé, lorsque Blanrue affectait une prudence tactique qui ne trompait que les gogos.

    JD



  • Jesse Darvas Jesse Darvas 24 novembre 2010 10:28

    Certes Hijack, et vous aussi.
    Néanmmoins j’avoue ne pas comprendre ce que vous « croyez » en l’occurrence. Sur cette affaire il y a deux appréciations possibles (à supposer, ce qui n’est en rien prouvé, au contraire ! que Rossevelt ait sciemment laissé faire l’attaque) :
    1) les Etats-Unis seraient de toute façon entrés en guerre, même s’ils avaient repoussé l’attaque de Pearl Harbour : dans ce cas Roosevelt aurait commis une grave erreur en laissant faire mais la conséquence de ses actes aurait été limitée aux victimes directes de l’attaque ;
    2) C’est parce que Roosevelt a laissé faire Pearl Harbor que les Américains sont entrés en guerre. Dans ce cas il est clair que Roosevelt a eu raison car sans l’entrée en guerre des Américains l’Europe serait devenue entièrement nazie (ou - peut-être - entièrement soviétique ?)

    Bref, ce qui me gêne tout particulièrement dans l’argument des truthers tel que vous le formulez, c’est - outre le fait que leur « démonstration » est aussi peu solide sur Pearl Harbor que sur le 11/09 - qu’ils semblent déplorer l’entrée en guerre des Etats-Unis contre le Japon et l’Allemagne (comme ils déplorent l’invasion de l’Afghanistan et de l’Irak). Et là, je n’ai vraiment pas envie du tout d’échanger quelque propos que ce soit avec des gens qui tiennent de telles opinions. 



  • Jesse Darvas Jesse Darvas 23 novembre 2010 21:22

    Hijack : vos liens vont vers un film qui décrit l’attaque de Pearl Harbor mais qui n’apporte aucun élément de nature à déduire que Roosevelt aurait sciemment laissé faire ll’attaque ; idée d’autant plus curieuse que le Japon a déclaré la guerre le jour même et que les Allemands ont suivi : une fois qu’on leur avait déclaré la guerre, il n’était pas douteux que les Américains allaient se battre, et mieux valait le faire avec une flotte en bon état qu’avec une flotte détruite.
    Certes, le fait que les Etats-Unis aient soutenu les Alliés de manière non directement militaire a contribué à leur entrée dans la guerre, mais à part les nostalgiques du IIIème Reich (dont certains s’expriment manifestement dans votre fil « Remember Pearl Harbor » sur Livenet) je ne vois pas qui va s’en plaindre...
    Bref je ne comprends guère votre hostilité à Roosevelt : il aurait dû se coucher devant les Japonais ou rester neutre dans le conflit anglo-nazi pour se conformer à votre étrange pacifisme ? Charmants truthers, vous nous étonnerez touujours...

    Quant à maxx et son lien Bush/Ben Laden, c’est à peu près comme si on « découvrait » que Faurisson et Serge Klarsfeld ont tous les deux un compte bancaire à la Société Générale et que cela démontre une très grande proximité entre eux. Grotesque.



  • Jesse Darvas Jesse Darvas 23 novembre 2010 12:00

    @Hijack :
    « Etant gosse, Pearl Harbor me semblait faux ... à présent où les documents secrets sont déclassés petit à petit ... Pearl Harbor est un false flag ... de toute évidence.
    Pour le 11/09, ce ne sera pas aussi long ... rassure toi ! »

    Les Japonais n’ont pas détruit la flotte américaine à Pearl Harbor ?? Il s’agissait en fait de pilotes américains ?? Mince alors... Je suis intéressé par les documents qui « prouvent » ce fait (je suppose aussi que le Japon n’a jamais déclaré la guerre à l’Amérique, et que la défaite de 1940 était un « false flag », les soldats allemands étant en fait des américains déguisés ?)


    « Ben Laden n’a jamais revendiqué les soi disant attentats ... lui même est une victime, bien que ce soit un con, puisque proche des Bush. »

    Bon exemple de la confusion des truthers sur le sujet Ben Laden :
     -tantôt il n’a jamais existé (ou est mort depuis longtemps) et toutes les videos ou enregistrements de lui sont des faux fabriqués par la CIA : mais dans ce cas pourquoi n’ont-ils pas fabriqué une revendication en bonne et due forme ?
    - tantôt c’est un « proche des Bush » (source ???)
    - parfois c’est un authentique « résistant musulman » injustement accusé (mais dans ce cas pourquoi n’a-t-il pas lui-même accusé les US du « false flag » ? Au contraire son ami Al Zawiri a me semble-t-il clairement condamné ceux qui propageaient l’idée que de valeureux combattants arabes auraient été incapables de mener cette action)



  • Jesse Darvas Jesse Darvas 22 novembre 2010 15:58

    Hijack, vous faites semblant de ne pas comprendre...

    « Déjà, ils nous sortent dès à présent, l’accusation de traîtrise au sein de l’Amérique ce jour là ...
     » l’excuse du désespoir « ... bouhhhhhh ... »

    Dans votre présentation le « ils » concerne les « partisans de la VO » qui d’après vous « sortiraient l’accusation de traitrise ».

    Il n’en est rien : cette histoire de traitrise au Pentagone est issue d’un article rédigé par un truther. L’accusation ne vient que de lui, pas des officiels.

    Ce n’est qu’un exemple parmi des dizaines de manipulations assez grossières. La plus grotesque étant celle du « pull it » qui est toujours ressortie par des gens qui font semblant de croire que Silverstein aurait reconnu à la TV avoir demandé la démolition contrôlée de la Tour 7. Que les truthers en soient réduits à de si pitoyables fabrications montre l’état de déliquescence avancée du mouvement.
     



  • Jesse Darvas Jesse Darvas 22 novembre 2010 15:54

    Hijack, il faut arrêter d’appeler « Bédouins » ces militants islamistes qui étaient tous des citadins et pour certains diplômés d’enseignement supérieur. Certains diraient que vous êtes raciste... pour vous un Arabe est toujours un paysan du désert...

    L’histoire des « mauvais pilotes » a été abondamment commentée et réfutée en détail par des spécialistes. Vous oubliez que le plus dur dans le pilotage c’est l’atterrissage... discipline que les terroristes n’avaient pas besoin de maîtriser, et pour cause...
    Et puis on les a bien vu se crasher dans les tours, ces deux avions (même en oubliant, pour vous faire plaisir, les deux autres, en supposant que les appels téléphoniques étaient des faux, qu’on a fait disparaître deux avions remplacés par des missiles et des hologrammes...). Donc quelle est votre théorie ? Que des pilotes d’avions commerciaux américains sont devenus des kamikazes au service des noirs desseins de Bush ? Cela vous paraît une explication plus crédible ?

    Ce qui vous aveugle, c’est une croyance un peu naïve dans la supériorité du nombre et de la technologie. En suivant votre raisonnement, je poserais la question suivante : comment se fait-il que l’Alliance Atlantique, puissance militaire de haute technologie reposant sur les plus économies les plus avancées de la planète, soit toujours tenue en échec 9 ans après par une bande de va-nu-pieds afghans ? N’est-ce pas beaucoup plus surprenant que le fait qu’une douzaine de terroristes ait réussi à détourner 4 avions ? Allez-vous en déduire que le Haut commandement de l’OTAN est infiltré par des neocons ou des « sionistes » décidés à faire échouer l’opération afghane pour mieux préparer la suivante ?



  • Jesse Darvas Jesse Darvas 22 novembre 2010 11:34

    Hijack, l’idée qu’il y avait des traîtres au sein du Pentagone pour aider les terroristes ne vient pas de « partisans de la VO ». Relisez vos sources : il s’agit juste d’un bobard à la Forestier... Quelle paresse tout de même.



  • Jesse Darvas Jesse Darvas 22 novembre 2010 11:11

    « Scientists for 9/11 Truth, une association regroupant plus de 60 scientifiques américains de premier plan (chimistes, physiciens, geophysiciens...) »

    Cette phrase suffit pour qui dispose d’un minimum de curiosité et d’esprit critique à comprendre la manipulation des truthers. La liste des 60 signataires figurent sur le site de Scientists for 9/11 Truth et en fait de « scientifiques de premier plan » que trouve-t-on ?
    - la moitié n’a même pas de PhD (c’est comme si on vous présentait comme « scientifique de premier plan » un étudiant ou ex-étudiant de maîtrise ou de DEA)
    - un quart a pour l’essentiel cessé toute recherche scientifique après le PhD : on trouve des consultants, des anciens de l’administration, des volontaires à plein temps de Truth911, etc.. ;
    - le quart restant comprend pour l’essentiel des scientifiques de deuxième ou troisième plan (aucun ne travaille dans une université réellement prestigieuse).

    Plutôt que d’accumuler des témoignages de « scientifiques prestigieux » qui ont plutôt la caractéristique du borgne au pays des aveugles (ce « Mark Basile » est semble-t-il BS - ie niveau DEA - et sans emploi), les truthers devraient adresser leurs conclusions pour revue à quelques vrais spécialistes du domaine concerné. Il est vrai que leur réponse classique (celle que m’a faite C.Assaini dans le fil du dernier message de « Forestier ») est que seuls des ratés patentés peuvent prendre position pour le truthism, les gens qui ont une carrière à défendre n’osant pas dire la vérité. Position qui a l’avantage d’être tautologique...



  • Jesse Darvas Jesse Darvas 17 novembre 2010 15:33

    Petit Jean : Il faut faire attention à ne pas confondre intrigue et structure

    C’est vrai ; votre exercice de « pitch » est convaincant - Proust ou Céline « pitchés » ne donnent rien de très intéressant. Il y a une interaction complexe entre le style, l’histoire qui est racontée, le détail de chaque scène, la complexité des personnages... Je dirais que l’histoire, ou l’intrigue, est un élément de structure essentiel pour donner à l’ensemble sa force mais que, seul, elle ne vaut souvent pas grand-chose (même chez des auteurs qui valent presque uniquement pour l’ingéniosité de leurs histoires - Philip K Dick par exemple - il faut le flux romanesque pour lui donner consistance et le défaut de style -c’est le cas de Dick - fait perdre de sa consistance à l’ensemble)

    Pour revenir sur vos deux exemples, ils sont très différents : Proust éblouit par sa capacité à tisser le fil des jours et des souvenirs, les méandres de chaque sensation ou perception inscrits dans le cadre plus vaste d’une existence (ce en quoi il est d’ailleurs difficile d’apprécier à sa valeur chaque ouvrage isolément, indépendamment de l’ensemble de La Recherche) ; Céline dans le Voyage nous plonge tout de même une suite de péripéties avec des personnages hauts en couleur, dont certains peuvent être très émouvants.

     S’agissant de Nabe : dans AZ, ce sont les scènes réelles (ou possiblement réelles) qui m’ont emporté, avec la même force que celle du Journal, tandis que les passages ouvertement imaginaires (le suicide collectif des chinois(es) par exemple) m’ont paru plus artificiels. J’ai l’intuition que derrière cet avis fort subjectif, des éléments plus objectifs peuvent être mis au jour mais cela demanderait un travail approfondi d’analyse littéraire que je n’ai pas l’intention de mener à ce jour.

    Sur L’Homme, c’est un peu différent, la dissociation entre réel et imaginaire étant plus délicate... il faudrait peut-être que je le relise pour répondre plus complètement.



  • Jesse Darvas Jesse Darvas 14 novembre 2010 14:17

    @Petit Jean

    Intéressante discussion ; il me semble que les meilleurs personnages de Nabe sont des personnages réels (à commencer par lui-même, Hélène, son père et sa mère, mais aussi Choron, Woodyard, Paudras... et bien sûr Lucette, mais aussi Hallier, Sollers...). Que Linden soit condensé dans le Bonheur alors qu’il est dispersé dans le Journal ne change rien au fait qu’il s’agit dans les deux cas du même personnage. Peut-être la richesse des personnes réelles qu’il a connues et son talent de portraitiste ont-ils dispensé Nabe d’en créer d’autres.

    Céline dans Nord modifie assez considérablement les personnages dont il s’inspire, « transposez ou c’est la mort » disait-il d’ailleurs...

    Ceci ne conduit d’ailleurs pas à mon sens à dévaloriser Nabe ; le Journal avec ses avatars et prolongements divers constitue une oeuvre réellement singulière ; ce serait moins le cas si Nabe avait fait oeuvre de « romancier » au sens classique.

    Quant à l’écriture de L’Homme, je sais bien qu’elle n’est pas houellebecquienne ; pas plus que celle de La Carte n’est nabienne (même dans son incarnation la plus récente). C’était juste une manière de contester le raisonnement un peu rapide de l’article.

    Je ne partage pas votre avis sur Le Libre Penseur, que je trouve franchement rasoir. Pour avoir passé quelque temps à écouter les délires des orateurs de Hyde Park Corner à Londres il y a plus de quinze ans, je ne vois rien de très original dans ce discours et pour le coup son rendu littéraire ne va pas assez loin dans l’exagération pour en faire quelqu’un de réellement intéressant. Mais c’est bien sûr un avis très personnel que personne n’est obligé de partager.

    Pour finir, je pense qu’il est plus intéressant de mettre en avant l’originalité et l’intérêt propres de l’oeuvre de Nabe (comme vous l’avez fait d’ailleurs sur le site alainzannini) que de chercher à tout prix des traces et échos dans l’oeuvre de ses contemporains. 
    Bien à vous
    JD

     
     




  • Jesse Darvas Jesse Darvas 14 novembre 2010 10:57

    Bonjour Charles

    merci de votre réponse. Si mes contributions arrivent parfois « en retard » par rapport à la publication de l’article, ce n’est pas parce que j’aurais « peur du débat » (voir par exemple ici, ici oud’autres contributions sur Agoravox) mais parce que j’ai bien d’autres occupations dans la vie et que je ne viens ici que de manière très irrégulière. Mes diverses contributions sur les autres fils, que ce soit sur le négationnisme ou sur le 11/09, n’ont donné lieu qu’à de piètres contradictions de la part de contributeurs dont le niveau intellectuel est malheureusement généralement très bas. La palme devant être attribuée à ceux qui menacent de « procès pour crimes contre l’humanité » quiconque n’adhère pas à leur vision d’un monde, tout en se plaignant des atteintes à la liberté d’expression des truthers...

    Pour faire bref : la « VO » n’a nul besoin de « défenseurs acharnés » sur le net. Ce sont les truthers qui produisent (pour certains) des accusations extrêmement graves (contre les administrations Bush et Obama, le FBI, le NIST, l’armée, l’ensemble du congrès, l’ensemble des journalistes américains, l’ensemble des universitaires de valeur, la quasi-totalité des familles de victimes : tous complices du plus grand cover-up de l’histoire) sans apporter à ce jour le moindre commencement du début d’une preuve. Que personne n’ait envie de débattre avec eux à la TV ne montre pas la vérité de leurs thèses mais le faible intérêt qu’ont les gens sérieux à crédibiliser une telle fable : même chose que pour les négationnistes.
    En réclamant un « débat », les truthers se placent exactement dans la même position que les faurissonniens : il ne s’agit pas pour eux de faire « avancer la vérité » (pour cela il faudrait collecter des preuves et les présenter aux autorités compétentes) mais de trouver une tribune pour leur propagande. Et on peut reprendre à ce sujet les propos de SJ Gould cités sur le site anti-négationniste mentionné ci-dessus :

    « Le débat est une forme d’art. Il s’agit de sortir victorieux de la confrontation. Il ne s’agit pas de découvrir la vérité. Le débat relève d’un certain nombre de règles et de procédés qui n’ont absolument rien à voir avec l’établissement des faits [...] Ils [les créationnistes] sont très bons à ce jeu-là. Je ne pense pas que je pourrais avoir le dessus dans un débat contre les créationnistes »

    (Conférence donnée à Caltech en 1985, cité par Michael Shermer, Why People Believe Weird Things, W. H. Freeman and Company, New York, 1997, p. 153).


    Pour ma part, il me semble clair, après avoir visionné Loose Change et lu les sites de debunking qui pointent l’ensemble des erreurs, manipulations, trucages et approximations de ce film phare du truthism, de même qu’après avoir lu les principaux documents publiés par les truthers et leur réfutation, que l’on a affaire qu’à une petite bande d’illuminés qui ont pour point commun principal de n’avoir rien réussi dans leur domaine professionel d’origine (à l’exception de quelques « people ») et de trouver dans ce mouvement l’occasion d’une validation qui leur a toujours échappé. Je l’ai écrit ailleurs : on ne trouve chez les truthers que des ratés (universitaires de troisième zone, politiciens déchus, etc...), l’explication des truthers (que vous reprenez ici) étant que quelqu’un qui a quelque chose à défendre « n’osera pas » prendre partie pour la vérité. Outre le grand mépris que cela suppose pour des gens de valeur (toutes les grandes causes ont trouvé des défenseurs courageux près à risquer leur réputation... et l’idée que leur gouvernement pourrait être le plus criminel de l’histoire des US mais qu’aucun intellectuel de valeur n’oserait le dire est une vision assez grotesque), ce raisonnement a l’inconvénient d’être circulaire. Il permet aussi de justifier par avance l’échec de ce mouvement qui n’a aujourd’hui à son actif que sa présence multiforme sur internet.

    Bon courage à vous,
    JD



  • Jesse Darvas Jesse Darvas 14 novembre 2010 10:35

    Bonjour Petit Jean

    lorsque je dis que Nabe et Houellebecq ne sont pas des romanciers, je mentionne précisément deux points qui pour moi sont constitutifs du roman : la création de personnages et d’intrigues. Quelques grands romanciers : Cervantès, Dostoievski, Balzac, Flaubert, Dickens, Céline, Musil, Proust, Thomas Mann, JC Powys...

    Les personnages peuvent être des « transpositions » de personnes réelles (une ou plusieurs) ou bien des inventions pures. Lorsqu’il n’y a pas transposition mais reprise directe de personnages existants dans des scènes réelles (comme dans Lucette par exemple - qui m’a beaucoup touché) on peut appeler l’ouvrage « roman » mais il s’agit de tout autre chose.

    Il y a un passage de Nabe’s Dream (je crois) où l’auteur se donne comme programme d’inventer des personnages et de développer des intrigues. Je ne pense pas que l’oeuvre qui suit réponde à ce programme, et il ne s’agit pas d’en faire le « reproche » à Nabe, juste de faire un constat. D’autant que l’art romanesque est aujourd’hui à bien des égards épuisé (du moins en France), et que les écrivains français contemporains les plus intéressants ne sont pas des romanciers au sens que je donne à ce terme (Pierre Michon, Antoine Volodine par exemple).

    En caricaturant un peu, on pourrait dire que presque tous les livres de Nabe sont des extensions ou variations autour du Journal, qu’il y ait absentement du narrateur (Lucette), figuration de celui-ci dans des scènes imaginaires qui pourraient être vraies (Je suis mort, Le Bonheur - dont la critique la plus sévère est celle de Nabe lui-même dans son Journal, Alain Zannini) ou disparition totale du récit pour ne laisser la place qu’au pamphlet...

    Pour en revenir au sujet de l’article : on pourrait aussi bien inverser la proposition et dire que L’Homme qui... est écrit dans un style houellebecquien... s’il est vrai que l’humour et l’ironie ont largement disparu dans La Carte..., on les trouve au contraire dans L’Homme qui..., livre qui recèle aussi une certaine dose d’énèrvement et d’indignation (par exemple à l’égard des fumistes de l’art contemporain) alors qu’il n’y a rien de tel chez Houellebecq (neutralité totale). Quant au fait que Houellebecq n’a pas réagi, sinon de manière très incidente, au 27ème livre, y voir la preuve d’une obsession nabienne chez Houellebecq c’est partir de la conclusion pour dérouler le raisonnement : car si Houellebecq avait réagi par une longue réponse, un nabien conséquent en aurait déduit de même une obsession nabienne chez Houellebecq. Damned if you do, damned if you don’t...

    Et puis, vu les délais , il me semble tout simplement matériellement impossible que Houellebecq ait lu l’ouvrage de Nabe (à supposer qu’il l’ait lu, ce qui n’a rien d’évident ! Topplers doit le savoir...) avant d’écrire le sien.



  • Jesse Darvas Jesse Darvas 13 novembre 2010 19:53

    Pour avoir lu, et de longue date, tant Nabe que Houellebecq, je trouve votre démonstration forcée et bien peu convaincante (je pourrais détricoter vos exemples un à un mais ce serait fastidieux). En somme typique d’un nabisme caricatural tel qu’il s’exhibe malheureusement trop souvent (allant piocher dans des détails insignifiants la preuve d’une prétendue obsession nabienne chez le moindre de ses contemporains), même si la fermeture récente du forum sur alainzannini.com est susceptible de mettre fin aux dérives les plus criantes.

    Le vrai point commun de Nabe et de Houellebecq, c’est qu’ils sont tous deux de vrais écrivains mais qu’aucun n’est un romancier : Nabe est d’abord un diariste, un critique et un pamphlétaire (son Journal est une mine d’or, un recueil de trésors enfouis - je lui serai toujours reconnaissant de m’avoir fait découvrir Powys par exemple), Houellebecq un poète. Leur incursion dans le roman est donc toujours insatisfaisante : pleine d’éclairs de lucidité, de passages hilarants ou (plus rarement) émouvants mais jamais à même de construire des personnages dotés de l’épaisseur attendue d’une créature romanesque, ou des intrigues susceptibles de toucher et d’emporter le lecteur (il suffit d’ailleurs de relire le Journal de Nabe pour y trouver les auto-analyses les plus percutantes sur ce point, avec son plan non abouti de retenir la leçon de Cervantès par exemple, dans Nabe’s Dream). J’ai dévoré en quelques jours L’Homme qui arrêta d’écrire et la Carte et le Territoire, parce qu’à chaque fois quelque chose me poussait à poursuivre : un univers, une vision du monde... mais dans les deux cas que de passages insatisfaisants, trop longs ou au contraire trop allusifs... c’est comme ça, et il n’y aurait aucun sens à leur en faire le reproche.

    La grande faiblesse du 27ème Livre, à la relecture, c’est que Nabe y projette sur Houellebecq sa vision d’une écriture stratégique, répondant à un plan mûrement construit (voir son récit de la composition du Bonheur dans Inch Allah). L’écriture de Houellebecq n’a rien de tel et lui-même dit très simplement que c’est un processus largement automatique : il ne « choisit » pas d’écrire comme ceci ou cela ou d’aborder tel sujet plutôt que tel autre. S’il a rencontré le succès, c’est que dès Extension du domaine de la lutte (qui reste son meilleur « roman ») il a su percevoir quelque chose de l’époque qui échappera forcément toujours à Nabe, qui n’a jamais connu le salariat.Quant à l’oeuvre finale de Jed Martin, que vous ne mentionnez pas dans votre article, elle recèle quelque chose de réellement tragique (notion qu’on ne trouve nulle part chez Nabe).

    Plutôt que de les opposer ou de les mettre en regard l’un de l’autre de manière un peu forcée, il me semble préférable de savoir puiser chez l’un comme chez l’autre la nourriture qu’il peut nous apporter. Je suis d’accord avec votre conclusion : Houellebecq n’écrira probablement plus de roman de valeur et devrait retourner à la poésie - ou à d’autres formes d’expression. Quant à Nabe il continuera à drainer un lectorat qui aime chez lui le refus de tout ce qui est médiocre. Mais ce n’est pas en cherchant de vaines traces de copie chez le premier que l’on apprécier mieux le second.



  • Jesse Darvas Jesse Darvas 12 novembre 2010 16:30

    « la décharge des truthers, l’expérience qu’ils peuvent avoir de gens comme Mmarvin, Jesse Darvas, Moorea34, etc,, tellement semblables à notre narrateur, sous nombre d’aspects »

    J’aimerais bien savoir quel est mon point commun avec ce Forestier... à part le refus de me prosterner devant l’Evangile Selon la Tour 7 et ses 3000$ collectés auprès de « millions » de partisans (point commun partagé semble-t-il par beaucoup... le truthism faisant bien moins recette que l’Eglise de la Scientologie ou les Raeliens...)

    Ceci dit
    « La dernière phrase de l’étude, double lecture au possible ne comporte pas la moindre once d’humour. »

    je veux bien vous croire. Et je n’ai moi non plus pas vraiment envie de rire à l’écoute de l’ignominie de certains gamins mal élevés dont Reopen911 assure la « promotion » :

    voir notamment ce passage où Avery accuse (tout en reconnaissant ne pas avoir le dixième du courage nécessaire pour le faire en face) le père d’un gamin de 11 ans mort dans un des avions d’avoir envoyé sciemment son fils à la mort en allant jouer au golf.

    http://video.google.com/videoplay?docid=-7216643725166640147&hl=en#

    Enfin, je suggère à Charles Aissani de passer moins de temps à faire le pitre sur Agoravox et d’en passer un peu plus à convaincre de ses thèses des gens un peu plus évolués que la bande à fonzibrain. Tiens, par exemple : Stanislas Dehaene, qui a supervisé votre stage de master, constituerait une prise de choix. Mais cela demanderait un peu plus de boulot...



  • Jesse Darvas Jesse Darvas 12 novembre 2010 15:57

    « La franchement, je suis epoustouflé.
    J’ai betement cru que vous etiez un defenseur de la VO jusqu’a cet article »


    Pourtant ce ne sont pas les avertissements qui manquaient... un truther simple d’esprit (pléonasme) m’a même indiqué lorsque je commentais le caractère évident de la parodie que mon appréciation sur le sujet était tout aussi crédible que celle que je portais sur les responsabilités du 11/09 (voir les derniers commentaires dans le chapitre sur l’Irak)

    Comme je l’ai écrit ailleurs, la saga Forestier a surtout démontré l’immense niaiserie des truthers, qui ont « moinssé » comme un seul homme tous les chapitres... jusqu’à celui-ci pour certains d’entre eux.

    Et entre temps la campagne BuildingWhat végète péniblement... Les truthers préfèrent blablater et parodier plutôt que sortir le carnet de chèques, manifestement (ou plus simplement se bouger les fesses de derrière leur écran : pas bien nombreux aux dernières commémorations, ces trublions...)