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perlseb

Nous avons tous 2 parents, 4 grands-parents, ..., environ 1 million (2 puissance 20) d’ascendants à la 20ème génération : nous sommes tous frères mais nous avons aussi, inévitablement, quelques criminels parmi nos ancêtres.

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Derniers commentaires



  • perlseb 24 novembre 2010 19:37

    L’avenir, tel que Giscard et Pompidou nous l’ont promis en 1973, c’est un monde entièrement privatisé où l’on paye beaucoup d’impôts sans aucune contrepartie (impots payés = paiement d’intérêts sans remboursement de capital).

    Bref, l’eau de la grenouille commence à monter doucement, mais elle ne saute toujours pas : et tout le monde sait par expérience qu’elle va se laisser mourrir.



  • perlseb 24 novembre 2010 19:19

    Quand le système se sera effondré et que la monnaie papier ne vaudra plus rien, les plus abrutis (et il y en a) seront très fiers de posséder de l’or et de l’argent. D’autres abrutis, mais méchants, iront alors leur voler leur or et leur argent : donc, dans le système effondré, il vaudra mieux avoir des armes et être méchant qu’avoir de l’or ou de l’argent.

    Cependant, je ne suis pas sûr, dans un système effondré, que les agriculteurs échangeront leurs productions contre de l’or ou de l’argent vu que leurs avoirs en or ou en argent seraient dérobés par les abrutis méchants. Si plus rien ne fonctionne, les heureux possésseurs d’or se retrouveront peut-être affamés comme le bon vieux roi Midas.

    Si le système s’effondre, le seul vrai conseil si vous voulez survivre, soyez méchant et armé. Perso, je préfère mourir de faim que voir des abrutis s’entretuer pour survivre dans un monde de merde.



  • perlseb 24 novembre 2010 18:49

    Entièrement d’accord avec MAIKEULKEUL. L’euro est attaqué par les agences de notations anglo-saxonnes qui veulent faire diversion sur leurs monnaies de singe (dollar et livre), il ne faut pas s’étonner s’il y a des alarmistes chez les anglo-saxons vis-à-vis de l’euro. Bien sûr que ça se casse la gueule, bien sûr que l’Europe, comme la France sont des dictatures.

    Maintenant, si c’est la démocratie que vous souhaitez, autant croire au père Noël et il faudra que vous m’expliquiez à quelle époque un pays, sur cette Terre, a déjà connu la démocratie. La conclusion c’est que je préfère quand même des dictatures en paix que des dicatures qui se déchirent entre elles. Si les nationalismes sont à nouveau exacerbés, on risque d’avoir des dictatures à la Hitler dans certains pays d’Europe (sûrement pas en France mais des graves divergences entre pays proches créent les guerres). Il faut choisir entre le système le moins pire et ayons conscience que c’est très difficile.

    Donc oui, MAIKEULKEUL a raison, les banquiers nous volent : nationalisons les banques au lieu de les innonder de fric pour payer leurs comportements irresponsables. En fait, si j’étais banquier, avec le système tel qu’il est, je ferais volontairement faillite pour recevoir de l’argent de l’état pour ensuite spéculer sur sa dette (vu que les intérêts de la dette, c’est moi qui les touche) : système absurde où les banquiers ne perdent jamais.



  • perlseb 23 novembre 2010 19:50

    @ L’auteur

    C’est très exactement le genre de propos(qui furent les siens !)

    Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis ! Cependant, peut-être que Julian Barnes a peur de la mort, ou a cru que sa vie avait un sens ou devait en avoir un... et, en vieillissant, arrive, ce qui doit arriver dans de tels cas : des peurs (ou des souffrances physiques ou morales qui s’accumulent et qui ne peuvent se faire oublier), des regrets peut-être, un sentiment d’inachèvement... En résumé, l’âge qui aurait dû le rendre plus fort l’a peut-être affaibli.

    Quand on n’attend rien de ce monde, qu’on s’y sent même comme un étranger, la mort n’est pas une mauvaise chose en soi. Et ce n’est pas parce que l’on ne tient absolument pas à la vie qu’on n’a pas le moral, ou des envies suicidaires : non, il faut profiter au maximum de chaque journée que l’on vit sans se corrompre pour l’avenir et sans corrompre les autres. Seule une forme d’impuissance oblige l’homme à corrompre pour profiter de la vie (= sadisme), mais lorsqu’il fait le choix de corrompre (soi-même ou les autres), l’impuissance augmente en même temps que la nécessité de corrompre encore plus : dans de tels cas, il est tout à fait normal de se refuser soi-même et de chercher à s’échapper d’une façon ou d’une autre. Le châtiment de l’homme, animal doué d’une mémoire remarquable, est son propre tourment.

    Je suis donc convaincu que la morale est indispensable pour profiter pleinement de la vie, mais cela fait longtemps qu’on a séparé la morale de la religion.



  • perlseb 22 novembre 2010 21:30

    On commence par les petits pays, pour formater l’opinion dans les autres pays. Dans 1 ou 2 ans, les français ne trouveront plus choquant que l’on paye toujours plus d’impôts pour moins de services rendus. La seule contrepartie sera d’avoir des banques toujours privées, sauvées de leur faillite : pourquoi donc les sauver à tout prix et ne pas les faire racheter par l’état pour un euro symbolique ? Qui peut perdre à ce jeu ? Certainement pas le peuple, à qui l’on demande toujours plus pour toujours plus de régressions (tout ça, avec des gains de productivité !). Frédéric Lordon voit juste :

    Etat 1 : on laisse les banques aller à la faillite, les actionnaires perdent tout, nous mourrons derrière ; état 2 : l’Etat saisit les banques, les actionnaires perdent tout, nous sommes sauvés. Les plus perspicaces auront déjà noté que ces deux états du monde que tout sépare n’en ont pas moins un fort point commun : les actionnaires (des banques) y meurent dans tous les cas de figure. Dans l’hypothèse considérée, il n’y a en effet aucune possibilité qu’ils survivent. Il s’en suit logiquement que leur sort nous est indifférent, et que ça n’est pas d’après leurs intérêts (transfigurés en droit sacré de la propriété) que l’action publique doit se régler. Si, à volatilisation identique des actionnaires, l’alternative s’énonce « nous mourrons » vs. « nous ne mourrons pas », il ne devrait pas y avoir trop longtemps à hésiter.

    Si les représentants du peuple ne prennent pas les meilleures décisions pour le peuple, il faut les guillotiner. On aurait dû guillotiner Giscard et Pompidou, à l’origine de la dette française avec leur loi de 1973 qui était contre l’intérêt du peuple.

    La dette des états est vraiment un faux problème, elle a toujours été créée de toute pièce par des voyous achetés par les banquiers, mais la saignée que l’on opère sur le peuple sera bien réelle.

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