Pierrot

@Astrolabe
L’auteur parle de faiseur de conflit, c’est-à-dire de provocateur, pas de ceux qui finissent par mener les guerres fomentées par ce type d’individu.

Mais si vous avez des arguments pour ranger Poutine dans cette catégorie, alors il faudrait nous en faire part, en n’oubliant pas de préciser qui était à l’origine des conflits auxquels vous vous référez.

Petit rappel des faits concernant le conflit en cours : le régime de Kiev bombardait les populations russes d’Ukraine depuis sa mise en place par l’administration américaine en 2014, et il menaçait de frapper la Russie avec des armes de destruction massives avant le début du conflit armé en 2022 ; conflit déclenché par l’envoi de troupes ukrainiennes pour écraser le Donbass, dont les premiers financements étaient déjà actés à Washington en 2021, et à propos duquel les membres du gouvernement ukrainien avaient par la suite rappelé que leur armée faisait « le sale boulot de l’OTAN »...

@titi
« Sérieux », vous ne savez pas de quoi vous parlez.

D’une part, les « menaces » dont il est question existaient déjà avant la naissance de Poutine. D’autre part, nous proférons les mêmes contre les Russes, depuis trois quarts de siècle pour les USA et depuis 60 ans pour la France.

Ce dont on commence à avoir marre, en revanche, c’est de lire les élucubrations d’un décérébré qui, bien qu’il ne comprenne rien à rien et le démontre à chacune de ses interventions, continue de tenter d’accréditer la propagande de nos oligarques occidentaux. Ces oligarques qui, après avoir consciencieusement pillé et déglingué notre pays, nous précipitent sciemment dans cette guerre qu’ils se sont évertués à provoquer (a minima à partir de 2014).

@pemile
Cessez de prendre vos désirs pour la réalité.

Si la Crimée n’était pas russe, elle ne serait pas frappée par les missiles ukrainiens, et Poutine n’aurait pas envoyé ses troupes plus au nord, sur le Dniepr, pour la protéger des invasions terrestres.

Ce n’est pas en tenant des raisonnements avec ce niveau d’imbécilité que vous parviendrez à deviner ce que Poutine pense, ni à comprendre la façon dont il agit et les raisons qui le poussent à le faire.

@Nicolas Cavaliere
Ce qui est réellement minable, c’est votre commentaire.

Le type de sophisme que vous y employez (qui consiste à prêter à l’adversaire des opinions ou sentiments blâmables inventés de toute pièce afin de porter des accusations contre lui) est passablement usé.

On peut certainement débattre du contenu de cet article, en y portant des critiques dûment argumentées. Faut-il que vous n’ayez rien de sérieux à y opposer pour vous abaisser à employer un tel stratagème !
 
Je résume : vous accusez à l’auteur 1) de souhaiter l’effondrement de la clique de couillons actuellement au pouvoir et 2) d’avoir pour seul objectif de démontrer qu’il a raison.

Déjà, à moins de tenir absolument à continuer de se faire maltraiter par cette clique, je ne vois pas comment reprocher le point 1) à l’auteur, quand bien même son article se serait limité à exprimer cette volonté (de fait, il y expose plus certainement le mécanisme de déclin qu’il entrevoit).

Quant au point 2), a minima il paraît normal qu’on pense avoir raison en son for intérieur, puisqu’il serait intellectuellement malhonnête d’exprimer sciemment des choses à tort (le fait qu’on puisse avoir tort finalement n’entre pas en ligne de compte). Ce que vous faites, donc, c’est dénigrer l’auteur en lui prêtant une motivation exclusivement dictée par l’orgueil, qu’il n’a manifestement pas exprimée.

Sauf qu’à l’évidence vous n’êtes pas dans sa tête ; vos propos sont, au contraire, le reflet de ce qu’il y a dans la vôtre. Alors, c’est quoi votre problème ?

@Astrolabe
Arrêtez avec vos confusions et vos fixations.

L’inflation n’est pas le sujet.

Le sujet ici, c’est la tendance globale au déclin du secteur manufacturier durant ces derniers mois. Or, il se trouve que dans ce domaine, la Russie se porte plutôt bien (et pour sa part, la Chine n’est pas non plus à plaindre).

Depuis 2022 (et le début des sanctions occidentales), les indices PMI de la zone Euro et de la Russie ont évolué en sens contraire : nous avons rapidement chuté sous la barre des 50 points, tandis que les Russes l’ont dépassée sans jamais redescendre au-dessous.