Pierrot

@Astrolabe
Ne serait-ce pas plutôt vous qui avez oublié (ou pas compris) de quoi parlait le sujet ?

Malgré la tendance globale qui est évoquée, les indices PMI de la Chine et de la Russie sont actuellement supérieurs à 50 points. Il y a donc de bonnes raisons pour qu’on ne s’y intéresse pas outre mesure dans cet article. (À titre de comparaison, ceux de la zone Euro et des USA sont inférieurs à 46 et 48 points, respectivement).

@Jules Seyes
Vous voudrez bien excuser l’auteur de cet article d’y développer principalement la partie du sujet qui nous concerne en premier lieu, à savoir l’état de notre production manufacturière.

Le sujet n’est pas la Chine, mais la chute des indices PMI (Purchasing Managers’ Index) sous la barre des 50 points, phénomène qui est mondial mais qui, justement, se trouve être moins marqué en Chine qu’ailleurs.

@titi
Encore eût-il fallu que vous eussiez compris le sujet.

Ce dont il est ici question, c’est une catégorie d’armes occidentales dont chaque utilisation requiert l’intervention de ces mêmes occidentaux.

Dans ce cas particulier, le problème n’est donc pas l’origine réelle ou supposée du matériel, mais l’origine des moyens humains et logistiques nécessairement impliqués dans les tirs effectués contre le territoire russe.

C’est cette implication directe des occidentaux que Poutine qualifie de « casus belli ».

Si après ça vous ne voyez toujours pas en quoi consiste la menace ou l’intervention des pays de l’OTAN, alors on ne peut plus rien pour vous.

@Rinbeau
« ... pourrait... »
Ce conditionnel est bien malvenu !

Tant que les termes de l’adhésion à l’UE et à l’Euro ne sont pas invalidés dans les faits, (et pas seulement dans les textes constitutionnels et législatifs), notre soumission reste inchangée, reléguant le contenu de votre nouvelle constitution au rang de détails très secondaires, tout comme celui de notre constitution nationale actuelle.

Cela me semble prouver que cette dernière n’est pas le problème essentiel auquel nous devons faire face. Je crains même qu’en adoptant une nouvelle constitution qui dilue le pouvoir de la Nation, nous ne soyons plus jamais en capacité de nous sortir de cette situation.

À grande échelle, une constitution qui donne la parole à tout le monde aboutit à un pouvoir qui ne satisfait quasiment personne. Et c’est à peu de chose près ce qu’a institué l’UE : faute de consensus, rien de ce qui serait nécessaire à l’intérêt général ne parvient à être décidé ; seul le totalitarisme d’une minorité parvient à s’exprimer.

@Rinbeau
Pour votre gouverne, le régime politique actuel n’est plus la Ve République, mais l’Union Européenne.

Changer de constitution nationale aujourd’hui ne nous fera pas sortir de la prison dans laquelle nous sommes tombés, car ce n’est plus le problème. Cela pourrait même empêcher à jamais de s’en échapper, tant il nous est nécessaire de disposer d’un régime fort pour sortir de cette situation.