@rogal Plutôt que vous contenter de généralités vaseuses destinées à instiller des soupçons imprécis, vous devriez expliciter votre point de vue sur le sujet en essayant de l’étayer avec des arguments dont on pourrait discuter.
@rogal Vous auriez pu dire qu’on trouve parfois des menteurs chez ceux qui affirment que leurs chiffres prouvent leurs propos.
Mais votre affirmation est catégorique, de sorte qu’elle accuse également de mensonge ceux qui apporteraient réellement la preuve de leurs propos par des chiffres. Là, on tombe en plein délire orwellien : « la vérité, c’est le mensonge ».
@xana Le sujet n’est pas motivé par le sentiment de ceux qui, comme vous, se font accueillir chez les autres, mais par la situation de ceux qui les accueillent. Situation qui peut être très différente selon le lieu et l’époque.
Les imbéciles, ce sont ceux qui ne comprennent pas les raisons pour lesquelles ils sont bien ou mal accueillis, et ceux qui vont jusqu’à menacer leurs propres intérêts (y compris vitaux) en accueillant n’importe qui n’importe comment.
L’accueil dépend certainement de l’éducation de ceux qui reçoivent, mais il dépend surtout de leur compréhension, dans le contexte particulier qu’ils connaissent, des avantages et des inconvénients à accueillir l’autre. D’ailleurs, cette venue est souvent mieux vécue quand ils savent que l’hôte n’est que de passage.
Votre récit est idyllique. Mais si vous avez voyagé sur les cinq continents, alors il est étonnant que vous n’ayez pas réussi à percevoir, derrière la curiosité naturelle, l’instinct grégaire et les règles d’hospitalité qui ont cours ça et là, à quel point le racisme et la xénophobie étaient des sentiments naturels chez les humains.
La Russie est un vaste territoire peu peuplé, ce qui suggère que vous pourriez y être le bienvenu. Mais vous constaterez certainement qu’on n’y entre pas comme dans un moulin, et que tout le monde n’y aime pas forcément les Français.
@Buzzcocks Vous n’avez manifestement pas compris à ce qui est exposé dans cet article. Mais peut-être doit-on mettre cela sur le compte d’un réflexe pavlovien instillé par nos organes de pouvoir.
Il n’est pas ici question de critiquer la culture (latine) de vos ancêtres ni de fustiger les anciennes vagues d’immigration qui ont façonné notre pays, mais de mettre en lumière les mensonges de ceux qui cachent la réalité de la situation et qui œuvrent à son aggravation en prônant une immigration sans condition ni retenue.
Cette mise au point est d’autant plus justifiée que les temps où une forte immigration était bénéfique (voire nécessaire) à l’intérêt général et où elle débouchait sur l’intégration des nouveaux venus à la Nation sont maintenant révolus.
Pour moi, la question n’est pas de savoir si mes enfants prendront du cassoulet, des raviolis ou du coucous à midi, mais plutôt de savoir s’ils pourront manger à leur faim, s’ils arriveront encore à concurrencer l’exploitation inhumaine de cette nouvelle immigration, s’ils arrêteront de subir les discriminations et la xénophobie de communautés étrangères, nombreuses, fermées et souvent influentes qui prennent pied dans notre pays, s’ils ne finiront pas par être étrangers dans leur propre pays du fait de leur culture et de la couleur de leur peau. Ce ne sont pas des paroles en l’air, mais le rappel de mauvaises expériences qui tendent à se multiplier.
Mais que vaut l’expertise d’un auteur de fictions dans ce domaine ?!...
D’une part, certains chiffres peuvent mentir, du seul fait qu’ils sont faux. D’autre part, les menteurs craignent par dessus tout les chiffres qui démentent leurs propos quand ils ne peuvent les nier et peinent à manipuler leur interprétation.
Or, les chiffres que L’apostilleur expose ici sont les propres chiffres de chez ceux qui tentent aujourd’hui de mentir sur l’ampleur et les conséquences du phénomène. De sorte que si ces chiffres devaient être faux, alors il faudrait en conclure que la situation est pire que ce qu’ils suggèrent déjà.