timiota

Après avoir lu le bouquin d’Aglietta et Sandra Ribot, « Réonvation financière etc. », assez technique, et sachant qu’Aglietta est considéré parmi ceux qui ont vu venir la crise, je dois donner un tant soit peu raison à Marc Bruxman :
Sur 30 anset plus, les portefeuilles en actions effacent les krachs mieux que les obligations, semble-t-il, et sont les placements priviliégiées des fonds qui doivent voir loin (suivant leur démographie).
J’avoue m’être étouffé en comprenant ça. Aglietta n’hésites pourtat pas à tancer vertement les irresponsables de la crise, et à proposer un brin bureaucratiquement des solutions ... elles sont un peu mieux que Bisounours, mais pas de beaucoup, le Moloch ne s’en laisse par conter.
Ceci dit, pour les fanas de Nassim Taleb, (comptez moi à 10%), Aglietta ose recourir à des lois normales et des Gaussiennes dans les estimateurs, ... ô scandale. Qui nous montrera que notre chaos interne est nécessairement reflété par le chaos externe. Lequel fait perdre son sens aux notions d’émancipation, et même, apparemment, d’aliénation.
J’aime bien les catégories Stiegleriennes pour sortir de ce dilemne : désublimation, liaison des pulsions, etc., les pulsions n’étant pas forcément celles de papa Freud

C’est une variante des « antennes intelligentes » ou « antennae arrays » connues depuis fort longtemps. On ne peut pas dire que les données rendent clair en quoi consiste l’innovation, à part à loger les antennes élémentaires « dans les coins », peut être.

C’est dommage pour la science et pour le public, ce genre d’annonce ni faite ni à faire.

De plus, nous allons sans doute être envahis d’ici quelques temps d’antennes intelligentes pour adresser nos récepteurs wifi de nos PC sans nous saturer d’onde dans tout le volume de nos pièces, c’est en effet le sujet passionnant d’une des start’up crée par Mathais Fink, issues de l’ESPCI, basées sur leurs idées issues du « retournement temporel » avec les ultra-sons.

Je ne tiens pas spécialement à leur faire de la pub, mais dans leur cas, on peut comprendre ou se niche la physique....bien plus que dans le lien d’ici...

désolé pour les phautes ci-dessus

L’aspect « sombre » d’aujourd’hui est le versant négatif des grandes oscillations qui accompagnent le changement de nos supports de mémoire

- pensée religioso-mystique à pensée du langage raisonnant (Socrate et un peu avant) : le langage lui même est le premier support d’une mémoire en association avec un raisonnement, et non un savoir-faire uniquement. LE contrepied vient de suite : les sophistes, ces gens qui raisonnent pour trois drachmes de plus dans leur poche et foutent la m... dans les débats de l’Agora.

- imprimerie. Super d’avoir la bible au départ, et puis au XVII, le gros de l’imprimerie , pour survivre, ce sont les libelles et les pamphlets + ou - infamants, comme nos forums à enguelades godwinnesques aujourd’hui. Ca n’empeche pâs qu’on a jamais eu autant d’excellents livres à disposition (Braudel, Hobsbawm en histoire, par exemple)

- Radio, cinéma : Ca démarre en intéressant les gens pour qu’ils approfondissent ce qu’ils connaissent , puis ca s’inverse, le medium capte les modes de pensée et de parole, le jingle l’emporte, le son s’affadit globalement même si des points isolés sont toujours très bien et « mieux » que ce qu’il y avait avant. Bon raps et tonnes de starac, bon jazz et tonnes de chansonnettes, mauvais jazz et trois aznavour, je vous laisse juge.

- Télé, internet : perte de l’habitude de lecture concentrée (cf Ars industrialis), impressions que vous citez de puissance, de loisirs futiles et de désirs futiles.

L’extériorisation technique noustient donc. Parmi les deux-trois directions encore incertaines de la prochaine extérioirsation technique, je citerais celle induite par la génétique et par la getsion de l’énergie. Traçabilité des bilans énérgétiques des individus, des tendances génétiques, avec une génétique qui reconnaitrait la complexité comme centrale à son fonctionnement (faite de quoi, c’ets trop totalitaire et ca va dans le mur en qqs années).

On passerait son temps à gérer ses gènes (en fait son épigénèse, berbard !) et son être neurologique suivant de nouvelles symbioses qui dépasseraient Freud (y s’rait temps), donc possibilité d’une extériorisation qui laisse un peu de répit aux noirceurs staracadémeiens et indésirantes de l’ex société de loisirs que vous me semblez peindre.

Le brouillon est sans doute plus vaste que celui que plaide Attali, mais il me plait d’imaginer que nous savons déjà à peu près à quoi ressemble l’extérrioisation interent (facebook et généralisation) et que cela a des limites assez simples...

@ l’auteur
Il n’est que juste de vous faire étriller. L’article que vous citez doit bien en citer qqs autres dont les introductions et conclusions seraient intéressantes à synthétiser autrement que votre phrase standard d’introduction.

Sur le plan de la simple raison, ce serait ouvre de salut public (kantien) de nous informer justement sur le devenir des vitamines dans les fruits, à quelle dose de cuisson qui disparait, parmi A B1 B12 C D E etc. ainsi que les autres classes de composés (polyphénols entre autre).

La confiture de cassis (maison) se conserve moultement mieux que framboise ou abricot dans des conditions que je pratique (30% de sucre 70% de fruit, fermé à chaud mais avec des couvercles recyclé, reste une contamination de type « mer du vinaigre » sur les fruits « sensibles » (coings, orange, framboise), ) Est-ce à cause de la vitamine C ? d’un complexant qui la protège de la dégradation par cuisson ?
La biochimie est ingrate, mais de l’ignorer est quand meme un comble pour des actes si quotidiens que consommer des fruits et légumes et les cuire ! Je ne connais pas un seul forum précis à ce sujet, ca en reste au « tu cuits, tu cuits pas », alros que la question, c’est le temps de demi-vie en fct de la température (et de deux ou trois grandeurs classiques : pH, pressio osmotique, et potentiel redox sans doute) . Cuisiner avec un thermomètre n’est pas courant chez nous mais avec la technologie d’une machine à pain, on sauraient évidemment faire. Quant au charcutier, il sait tout de la chose, les cuissons des jambons se jouant autour de 60-70° sur des durées de qqs heures à 10 heures.

Bref, vous avez encore droit à un un rattrapage de ma part si vous nous parlez de consommation de ces bonnes choses un brin rationnellement, ce qui n’exclut pas le culturel dans les attendus ou les détails ...