Bien d’accord avec Zen, une grande partie du problème vient de nos sociétés et du mode de vie des jeunes.
La vie est beaucoup trop facile, et les jeunes sont poussés à la fainiantise, contre leur gré.
Il est normal de préférer jouer aux jeux vidéos ou de regarder la télévision que d’étudier, c’est bien moins fatiguant, et spécialement conçus pour leur plaire, voire activant leur zones érogènes.
Le marché visant la clientèle des jeunes a explosé, et tous les outils de matraquage sont utilisés pour capter ses proies faciles, dont la faiblesse des parents noyé dans l’idéal consummériste actuel ouvre le porte monnaie. Le budget alloué à un jeune a fortement augmenté : téléphone portable, jeux vidéos captivants, émissions élaborées par des spécialistes des centres-d’intéret des adolescents : tous ces pièges qui absorbent leur énergie conduisent à ces générations de fainiants incapables du moindre effort et blasés à 20 ans. Merci la société de consommation de nous transormer en bovins consommateurs de leur merde.
L’université devrait admettre en 1ère année tous les bacheliers, mais être baucoup plus exigeante sur la quantité de travail à fournir, et augmenter le nombre d’heure de cours, puis demander aux examens de meilleurs résultats que ceux escomptés actuellement. Mais il est vrai que des amphis de 300 personnes sont bien moins optimaux que des classes de 20 élèves, où l’interaction professeur élève devient possible. Mais comment offrir des scéances de cours à 20 pour tous les étudiants ?
Et en effet, une sélection en M1 semble plus logique ensuite qu’en M2, pour ne pas gâcher une année supplémentaire.