L’auteur, outre le fait de noter de fausses inexactitudes dans tout ce qu’il lit, ne prouve pas grand chose lui-même. Il s’égosille, crie mensonge, mais ne sait, au fond, vraiment rien.
Il réfute même l’irréfutable : les denrées se font sporadiquement rares au Venezuela. Crier mensonge ne remplit pas un estomac. Alors ce billet n’a certainement pas d’autres vertus que de prouver un point : il y a toujours des gens pour défendre les dictateurs, qu’ils soient confirmés ou en gestation.
Beaucoup de gens, de la même espèce que l’auteur au fond, défendent encore Bush, malgré les faits accablants. Alors, avec la feuille de route de Chavez, comment peut-on encore ne pas s’inquiéter, au moins ?
L’auteur fait partie d’une association française de soutien à Cuba, Cuba Si France. Organisme paradoxal s’il en est un. Cet organisme fait l’apologie de Cuba et du régime Castriste, mais, en même temps, se présente comme un organisme humanitaire ??? Un exemple (extrait de leur site) :
« Cette réalisation permettra à l’école de bénéficier d’un outil pédagogique essentiel à l’éducation, à son développement et améliorera la qualité nutritive des repas dans les écoles de toute la région de Sancti Spiritus »
Me permettez-vous de rire (même si c’est triste à mourir) ? Fidel ne sait pas nourrir les enfants au pays de la magie communiste ? Comme c’est atroce !
Je suis allé à Cuba, j’ai visité des « écoles » (bâtiments sans pupitres, sans planchers et sans eau). J’ai visité des « agriculteurs » (trois bananiers et un cocotier).
Ce « paradis », que Chavez leur prépare à l’aide des « blueprints » de son ami Fidel, je suis certain que les Venezueliens n’en veulent pas.