Commentaire de Paul Villach sur La succession au Gabon : le président Sarkozy trahi par ses propres mots ?

Commentaire de Paul Villach

sur La succession au Gabon : le président Sarkozy trahi par ses propres mots ?

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Paul Villach 18 juin 2009 15:14

@ Jules Simon

1- Quel que soit le contexte, la déclaration sur l’absence de candidat s’analyse de façon comparable. Elle est malvenue sauf à annoncer la couleur, comme je l’analyse.
2- Pour ce qui est des héritiers, je suppose que la maladie du père n’était un secret pour personne dans les sphères gouvernementales. Et gouverner c’est prévoir.
3- Quand à l’hypothèse d’un sucesseur hors de la famille Bongo, je ne vois pas de contradiction, dans la mesure où les enfants ne paraissent pas faire l’unanimité. Paul Villach

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