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Commentaire de njama

sur Un cas épineux


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njama njama 7 février 2013 14:55

y-a des trucs foireux dans cet article !!!

L’article (version 98,5 FM Montréal) dont le lien est cité dit : " Après 16 ans et demi d’union, Michael (nom fictif) et sa conjointe ont décidé de mettre un terme à leur relation.« 
Il s’agit donc d’un divorce par consentement mutuel, puisque après il est question de pensions alimentaires.

L’@uteur, hommelibre, trafique l’info à sa sauce pour Agoravox en résumant par :
 »Un homme, ... se sépare de sa femme."

Ce ne veut pas dire la même chose !

Après la rupture, il a décidé de soumettre ses enfants à des tests d’ADN. C’est alors qu’il a appris, il y a trois ans, que trois de ses quatre enfants n’étaient pas les siens. (version 98,5 FM Montréal)

Il fait faire un test ADN à leurs enfants.( version hommelibre)

Il n’est pas possible en France de faire faire légalement un test de paternité juste pour vérifier une filiation, il faut que ce soit dans le cadre d’une action judiciaire pour faire reconnaître cette filiation, la contester ou en tirer les conséquences financières. (article16-11 du code civil, introduit par la loi du 29 juillet 1994)
http://www.cyber-avocat.com/CaFamille/Famille/Default.asp?IdF=4&IdSf=39

hommelibre compte-t-il faire réfléchir les lecteurs d’Agoravox sur des questions de lois canadiennes ?

Avec les lois françaises, le cas n’était pas épineux, AVANT divorce, il aurait fallu que la décision d’un juge pour procéder à des tests ADN sur les enfants (mais « par consentement mutuel » pourquoi demander des tests ?), APRÈS divorce, prononcé « par consentement mutuel » - il aurait été débouté de sa demande de faire des tests ADN sur ses enfants, ses enfants seraient toujours les siens.


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