Non mais à une condition : redonner, si tant est qu’elle jamais eue, la primauté à l’authentification sur l’immédiateté. Ce n’est pas l’information qui est mauvaise, c’est la spéculation à chaud sur la base de fragments d’actualité non avérés.
Le devoir d’informer ne doit pas être confondu avec celui de répercuter tout et n’importe quoi au fur et à mesure que ça tombe sous des yeux de médiateux.