A J C Lavau,
Merci de m’avoir enfin donné une référence, à savoir : Jacques Duran.
J’ai rapidement survolé le contenu de son site et vais en prendre connaissance.
Une attitude qui se veut un tant soit peu scientifique impose d’explorer le registre des connaissances de ce domaine, manifestement controversé.
Cependant, si un risque existe, mieux vaudrait ne pas attendre « que le thermomètre départage les tenants et opposés » à la théorie du réchauffement climatique induit par l’homme.
Que l’on soit tenant ou opposant reconnaissons que :
— isoler un bâtiment passoire thermique et remplacer le chauffage fuel ou gaz par des pompes à chaleur ne peut être que bénéfique pour la balance des paiements (moins d’importations) et l’emploi (et sous réserve d’aider ceux auxquels cela serait imposé et ne pourraient financer)
— Imposer une réduction de la consommation des véhicules à moteurs thermique, idem
— Construire des pistes cyclables + vélos électriques ou non (on aurait pu doubler toutes les routes françaises avec les 120 milliards consacrés aux éoliennes selon Jancovici.
— puis voir les propositions de le commission pour le climat (que je ne connais pas mais donc je suppose qu’elles ne comportent pas que des sottises)
J’arrête donc ici cet échange sur la réalité du réchauffement climatique provoqué par les activités humaines et vais consacrer autant de temps à des recherches à partir du site de Jacques Duran que j’en ai consacré à J M Jancovici.
Cet aspect étant évacué pour l’instant il n’en reste pas moins que nous avons bien mieux à faire avec le pétrole que de le brûler et avons tout intérêt à en conserver l’usage pour ses sous-produits les plus nobles.
Quant aux autres sources d’énergie fossile et à l’ensemble des minerais indispensables à la production, cela a été dit par ailleurs : nous n’avons qu’une planète dont il n’est pas évident que les ressources permettront durablement aux plus pauvres de parvenir à obtenir notre niveau de vie, ni à nous-même de simplement le conserver. ........... et ceci même avec la fusion nucléaire laquelle, si elle est maîtrisée, n’entrera probablement pas en phase d’exploitation avant la fin du siècle.