Amada

Bonjour astroemail,

Heu... je ne comprends pas... D’où sortez vous Uranus-Pluton dans cet article ? Il n’en est question nulle part, il me semble...
Si j’ai eu envie de relayer cet article tiré d’astropopote.com avec l’accord de son auteur, c’est que son approche tient toute seule, du moins à partir d’une simple observation serrée et pensée des faits historiques « sans précédents » qui ont eu lieu durant les années 60. Faits qui ont remodelé le monde, nos mentalités etc.
Pour vous, ces faits sont des fictions ?
Ah bon...
Je comprends mieux pourquoi vous craignez que les gens risquent de « croire » à ces fictions... ... Et pourquoi le fait, que ces faits historiques débordent nos petites volontés persos ne puisse que vous échapper....
Et pourquoi ’c’est grave"...

Amada

Bonjour tout le monde,

Merci pour vos réactions.
Effectivement je trouve cette synthèse remarquable moi aussi.
L’article n’est pas de moi. Il vient d’un site spécialisé, je me suis contentée de le relayer.
Et puis, on n’a pas forcément besoin de « ludique » pour s’intéresser à un sujet creusé.

Bien cordialement
Amada

Bonjour André Jacques Holbecq,

Merci pour ce rappel de plus ! Ce transfert de souveraineté, très facile à comprendre, reste difficile à entendre. Est-ce parce que nous nous sommes habitués (et ne cessons d’entendre répéter par les experts) au fait qu’il est « normal » de payer l’argent de l’Etat ?
Aussi j’aime « traduire » ce transfert en terme de privatisation de la création monétaire...
Quant à faire passer l’info, mais je ne sais pas trop comment s’y prendre, il me semble qu’Avaaz.org pourrait être un relai efficace

Bien cordialement
Amada

Bonjour Georges Yang,

A mon avis, votre remarque est la plus pertinente de toutes. Pour ma part j’irai encore plus loin. Non seulement être mince est un signe extérieur de richesse en Occident, mais aussi d’« autorité naturelle », et, ainsi que le dénonce l’auteur de l’article de « probité morale ».
C’est une nouvelle forme de « l’aristocratie » (littéralement les « meilleurs »).
Outre la mode de la maigreur/minceur, la parole publique n’a de poids aujourd’hui qu’à condition que celui qui la profère fasse partie des minces. Une simple observation des images dominantes, des plateaux télé et des comportements le long des caisses des supermarchés en donne des petites preuves en douce (d’ailleurs, Bachelot et Hollande ne s’y sont pas trompés).
Ce que je trouve intéressant sociologiquement parlant, est le « test » des interlocuteurs que représente la rondeur : ça dénaise très vite. Ca trie avec efficacité.

Cordialement
Amada

Bonjour ffi,