Décidemment les articles se suivent et se ressemblent.
Je recopie ce que j’ai écrit sur l’article du réseau voltaire
Je pense qu’il ne s’agit plus aujourd’hui de désigner un pays mais bien de désigner une communauté d’intérêt que l’on appelle aussi la ploutocratie.
L’ennemie ne sont pas les USA mais ceux qui en ont pris le contrôle et manipulent les citoyens. Cependant, il se passe la même chose en Europe et en Asie. Si certains pays semblent résister, ce n’est pas tant contre la domination de la ploutocratie, mais pour leur attachement à leur idéal nationaliste. Idéal que la ploutocratie occidentale a abandonné pour une vision de domination totalitaire du monde. C’est cette folie de grandeur lié à leur cupidité insatiable qui doit les mener à leur propre perte.
Cqfd, ce n’est pas de la mondialisation qu’il faille avoir peur, mais du nationalisme. Toutefois, comme je vous l’ai déjà écrit, je pense aussi que la solution passe bien par le niveau national.
Mais suivant les deux maximes « l’union fait la force » et ’diviser pour mieux régner", tant que les gens voulant changer le rapport de force restent divisés, rien ne sera possible.
Or, la seule manière de passer au dessus des divisions est de s’associer pour un but unique, prendre le pouvoir par les urnes. Et pour y arriver il n’y a qu’une solution, créer un parti sans parti pris. C’est a dire, un parti dont la seule lettre de mission est de lancer un débat national pour la création d’une nouvelle constitution dont il sera débattu du contrat social unissant les citoyens, de son rapports avec les citoyens des autres pays et suivant cela, définir un nouveau contrat social devant décider du retrait des traités actuels en fonction de leur respect des rapports voulu par les citoyens français.Tout cela au vue et au su des citoyens du monde entier. Car dans le monde d’aujourd’hui il s’agit bien de faire une révolution mondiale appelant aux citoyens de toutes les nations à s’unir pour des rapports fondés non plus sur l’argent, mais sur la dignité. Cette dernière étant la seule fondant des rapports basés sur l’équilibre entre droits et devoirs des uns envers les autres.
Car dans la société mondialisé d’aujourd’hui, un pays avec la position de la France ne peut faire une telle révolution sans appeler les citoyens des autres pays à faire de même. Ce simple constat suffit à expliquer la démission des politiciens. Il est en effet inutile de faire appel à la corruption et au chantage. Non pas que celle ci ne puisse pas exister, mais qu’elle n’est pas nécessaire. Comme il n’est pas nécessaire, voir contreproductif, de la stigmatiser et d’y mettre son énergie. Car ce qui est incontestable, est le lien de dépendance des politiques envers les ploutocrates par le contrôle du capital.
De toute façon, tant que la capacité de consommation du superflu concerne la majorité, celle ci choisira toujours l’inertie à l’action. Même en ayant connaissance de l’escroquerie dont elle est l’objet. Ceci par l’association de la peur, de la dépendance, de la soumission et enfin, de l’admiration. Toute chose que les médias déversent dans la tête des gens de manière permanente.
Aussi en attendant, la seule alternative constructive est de continuer à communiquer sur cette escroquerie et d’éveiller les esprits. Mais pas tant contre ceux qui nous manipules, mais en agissant sur les raisons de l’inertie, soit, contre la peur, la dépendance, la soumission et l’admiration.
Et concernant Asselineau
Asselineau à crée l’UPR pour l’Europe, non pour la France. Ce qui veut dire qu’il met la charrue avant les boeufs. Voter pour l’UPR consiste en un référendum pour sortir de l’Europe et non pour changer de pensée d’organisation politique.
Asselineau se présentant comme LE chef, guide suprême, il ne change pas ce qui doit être changé en premier, soit, la suppression du carriérisme politique. Mais son idée de rassembler tous le monde sur une seule action, dépassant les clivages est la bonne. Là où il fait erreur c’est qu’il est impossible de rassembler une majorité de citoyens pour sortir de l’Europe sans avoir établi un programme politique, social et économique de sortie. Seulement, comment faire un programme qui ne soit pas un parti pris idéologique ? Le chien se mord la queue !
Non, il faut procéder dans l’ordre, c’est à dire poser l’idée qui est ici et qui rejoins celle de Dominique Donin et d’autres, c’est qu’il n’y ait plus de chef ! La masse critique de citoyens responsables est atteinte, reste juste à en prendre conscience. Ensuite, considérer qu’avant toute action extérieure, il faut se mettre d’accord intérieurement à une majorité absolu c’est à dire des 2/3 minimum. D’où il doit en ressortir un contrat social s’imposant et dictant la conduite sociale et économique de la France. Ce n’est que le constat d’une incompatibilité entre le contrat social et les accords économiques passés avec l’Europe qui doit conduire à en sortir.
Car ce qui est le plus important dans tout cela est que le débat en France soit une caisse de résonance sur le monde entier. Donc, le débat est absolument nécessaire avant de rompre quoique ce soit avec les autres pays. Ceci pour éviter qu’une telle décision soit totalement manipulé par les médias extérieurs et incomprise par les citoyens des autres pays. Nous sommes dans une guerre de communication et celle ci demande des moyens et du temps.
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