DSK : faisons le travail que Vance n’a pas fait
C'est ce vendredi que le juge Douglas McKeon va rendre sa décision, dans le volet civil de l'affaire du Sofitel, sur la requête de délai supplémentaire déposée le 29 août par William Taylor pour DSK. Très curieusement cet avocat déclare que les procédures au pénal l'ont empêché de préparer la procédure au civil. Or les choses semblent si simples du côté de DSK : une relation consentie. Où est le problème ? Pourquoi tenter de retarder un procès qui devrait selon les dernières déclarations des avocats de DSK rendre un non lieu sans l'ombre d'une hésitation ? Si la vérité est si évidente, si cela n'est qu'une formalité, se devant de se servir de l'abandon des poursuites de Vance comme argument massue, pourquoi donc attendre ? Pourquoi attendre quand la réputation de DSK est en jeu car cette plainte est une accusation très grave de violence sexuelle, de brutalité ? Il est vrai que pour nos journalistes DSK est un héros grec qui - et c'est le moment de dire quand la Grèce plonge dans l'enfer grâce à l'action hyperbolique de DSK directeur général du FMI - une sorte de phénix qui va renaître de ses cendres. Tout juste si la presse ne nous dit pas que DSK sera notre futur président de la République, blanchi qu'il a été, ayant subi un cauchemar qui le rend grandi.
Plus le temps passe, plus je me dis qu'il y a une véritable problème avec le cabinet du procureur. On se rend compte qu'aucune balance n'a été faite, la balance de mettre dans un plateau la vérité selon Nafissatou Diallo et dans l'autre celle selon DSK. De la première on a un récit qui n'a jamais varié, de l'autre on a, après avoir affirmé que cela était impossible, en niant tout en bloc, car DSK avait un alibi - mensonge qui n'intéresse pas Vance - oubliant au passage que DSK s'est prévalu de son immunité diplomatique lors de son arrestation (compte rendu de la police), ce fait n'intéresse pas plus Vance qui ne se pose pas la question de savoir pourquoi DSK aurait le besoin de se prévaloir de cette immunité s'il n'avait rien à craindre, on a donc du côté de DSK une relation consentie et une seconde information selon laquelle il n'y avait jamais été question d'argent.
Je vais faire deux choses. La première est un comparatif des deux versions en tenant compte des éléments que nous avons, la seconde c'est de vous proposer que nous fassions le travail que Vance n'a pas fait.
COMPARATIF
Si la version de SK est vraie : une relation consentie sans qu'il ait été question d'argent il faut que cette version coïncide avec les faits :
- Pourquoi le départ de DSK est-il précipité ? Cela a été prouvé par Vance, par les témoignages qui déclarent qu'il avait encore du dentifrice sur le bord des lèvres. Cela est indirectement prouvé par le sperme retrouvé dans son slip et sur son pubis, alors que s'il prend la peine de se brosser les dents et d'être propre, on se demande bien pourquoi il ne trouve pas une minute pour laver son outillage. Ensuite il y a une autre incohérence majeure que l'on oublie de relever. DSK peut être pressé, mais nous savons que son avion n'est qu'à 16 h 20, et il quitte l'hôtel à 12 h 28. Les restaurant où il rejoint sa fille est à 8 mn à pied. On imagine très mal pourquoi il serait si pressé. Mais il n'est pas pressé, son départ est précipité. Ce que l'on oublie comme dit plus haut c'est qu'il appelle sa fille. Il sait donc pertinemment quel temps il va mettre pour la rejoindre. Il peut lui dire qu'il aura un peu de retard. Il peut être un peu préssé mais rien ne permet de penser qu'il a une autre raison de se précipiter que la volonté de quitter le plus vite possible l'hôtel. Quelle en est la raison ?
- Pourquoi Diallo accepte-t-elle une fellation s'il n'est pas question d'argent ?
- Pourquoi y-a-t-il du sperme sur l'uniforme de Diallo ?
- Pourquoi cette fellation se fait-elle dans un couloir étroit et non dans un lieu plus &confortable et plus vaste, si la relation est consensuelle ? Ou alors faut-il qu'aussi Diallo aime la brutalité, l'étroitesse du lieu, l'inconfort ? Elle ne fait pas qu'accepter elle se précipite et adore cela, sans doute, adore cela dans une position le plus inconfortable possible car en plus elle doit être masochiste sur les bords.
La version de Diallo donne des détails
- Le scénario est conforme à la configuration des lieux
- Elle déclare avoir craché dans le couloir à côté de là où la fellation a eu lieu. On retrouve à deux mètres de là où elle dit que l'agression s'est passée le sperme de DSK mêlée à de la salive, la sienne.
- Elle parle d'agression et on retrouve du sperme sur son uniforme
- Elle déclare que DSK lui a pris le sexe violemment : on retrouve des cellules épithéliales de DSK sur les élastiques des deux collants, de sa culotte et sur l'entrejambe de son collant. On trouve une rougeur photographiée et constatée dans la zone vaginale.
- Elle déclare avoir été brusquée et jetée à terre. On trouve une trace à l'IRM d'une déchirure du ligament et le médecin de Vance décrit un geste très étrange : mouvement vers le haut et en rotation comme un lanceur de poids. Cette description voulant nuire à la la déclaration de Diallo et à ce qu'a trouvé un autre médecin. Sauf que personne n'a vérifié si Diallo est gauchère et si elle a dans ses activités le lancé de poids d'autant que ce médecin dit que le mouvement est répétitif. Or cette description correspond exactement à la conséquence d'un geste brusque qui propulse son adversaire au sol avec évidemment torsion et envoi vers le haut du bras car en fait c'est le corps qui va vers le bas en se tordant par rapport au bras.
TRAVAIL DE VANCE
Comme je le disais plus le temps passe, plus l'attitude de Vance me paraît très étrange. L'incident, comme il le dit, n'a aucun intérêt pour lui. Dans son pensum il n'a d'autres objets que de décrédibilser Diallo, sans se préoccuper de l'incident lui-même. Il va jusqu'à utiliser des éléments interdits par décret new-yorkais, mais surtout il manipule les faits. Un exemple. Il ne dit pas que Daillo a dit qu'elle voyait un intérêt financier à attaquer DSK dans sa conversation avec son fiancé. Il dit simplement qu'il a été question d'argent (Mais à une date très proche de ces déclarations, la plaignante a eu une conversation téléphonique avec son fiancé incarcéré, dans laquelle a été mentionné le potentiel gain financier qu'il était possible de tirer de l'événement du 14 mai 2011.). Il ne dit pas qui ni dans quels termes. Mais là où c'est le plus grave. Diallo ignorait que les conversations étaient enregistrées (il y en a au moins deux). Or si Vance se sert de ces enregistrements il ne s'en sert qu'à moitié. Tout d'abord Diallo conteste la version de Vance. Vance a mis plus de 28 jours pour permettre à l'avocat de Daillo d'entendre ces conversations. Pourquoi ? Mais le point très important que l'on oublie est que dans ces conversations téléphoniques elle décrit son agression dans les mêmes termes que partout ailleurs. Or si on veut se servir de ces conversations pour l'incriminer pourquoi Vance ne se sert-il pas de la partie qui au contraire donne un poids considérable à sa version ? Elle n'a aucune raison de mentir à son fiancé, d'autant moins que Vance l'accuse de manigance. Ce pont-là est à charge contre Vance. Mais ce n'est pas tout.
Vance ment par deux fois. Ou alors il est particulièrement incompétent. Il dit qu'il n'est pas possible : a- de savoir l'écart exact entre l'heure du portable et l'heure de l'hôtel et qu'il est impossible de savoir ce qu'a fait Diallo entre 11 h 06 et 12 h 26, du moins jusqu'à quand elle était avec DSK :
Par conséquent, il apparaissait que, quoi qu'il se soit passé entre l'accusé et la plaignante, les événements s'étaient déroulés approximativement entre sept et neuf minutes.
Mais à la lumière des défaillances de la plaignante à offrir un récit précis et constant de l'immédiat après-rencontre, il est impossible de déterminer la durée de la rencontre elle-même.
Que l'accusé ait pu passer un bref coup de fil à 12h13 n'indique pas de manière infaillible quand la rencontre a eu lieu, quelle que soit sa durée, ni où se trouvait la plaignante entre 12h06 et 12h26.
Toute déduction qui pourrait se concevoir quant à la chronologie de la rencontre est nécessairement affaiblie par l'impossibilité de consolider la chronologie elle-même.
1- la différence d'heure. Dans son pensum, Vance dot que la relation a pu durer entre 7 et 9 mn. L'appel téléphonique est passé à 12 h 13, heure du portable et Diallo est entrée à 12 h 06 heure de l'hôtel. Il y a un possible écart de 2 mn. Donc il appellerait à 12 h 15 (heure hôtel) soit 9 mn. Tout d'abord ceci est mathématiquement faux. S'ils ont constaté un écart de 2 mn c'est un écart instantané à la minute près. Ce qui veut dire que l'écart peut être entre 1 mn et 2 secondes et 2 mn et 58 secondes. En effet à 12 h 06 et 1 sec et 12 h 08 et 59 secondes il y a 2 mn et 58 secondes mais les heures seront de 12 h 06 et 12 h 08. On peut aussi avoir 12 h 06 et 59 secondes et 12 h 08 et 1 seconde soit toujours 12 h 06 et 12 h 09 indiqués, soit 1 mn et 2 secondes. Ecart entre 1 mn et 2 secondes et 2 mn et 58 secondes. Donc il est déjà possible de donner une fourchette qui n'est pas entre 7 et 9 mais entre 8 et 10 mn. Vous voyez j'accorde un peu plus de temps à DSK. Mais surtout il était parfaitement possible de savoir l'écart exact. Je vous donne deux solutions. On a un chronomètre. Quand l'un passe juste la minute on enclenche le chronomètre et puis on attend que l'autre passe une autre minute que l'on note et on stoppe le chrono. Très simple et pas cher. Un peu plus cher mais très efficace. On met côte-à-côte le portable et l'horloge électronique de l'hôtel, on filme les deux pendant 3 mn et ensuite, comme au cinéma, on cale les images avec un chrono et on aura l'écart exact. Donc Vance ment. On pouvait connaître avec certitude l'écart entre l'heure du téléphone et l'heure de l'hôtel.
2- Vance ment à nouveau quand il dit que l'on ne pouvait pas savoir quand DSK et Diallo étaient ensemble dans la chambre. Alors que l'on voit dix fois par semaine si ce n'est plus les Experts Manhattan, Las Vegas, NCIS et tout le tralala, Vance aurait été incapable de faire une reconstitution ? Cela prenait combien de temps pour réaliser une reconstitution et pour la chronométrer ? Cette reconstitution aurait permis dans un tribunal d'avoir un véritable impact et aurait permis de savoir si le récit de Diallo était crédible et si celui de DSK, car alors au procès il n'aurait pas pu se murer dans le silence, était crédible. Donc pas de reconstitution. Mais on avait le moyen de savoir avec une précision importante quand DSK aurait quitté la chambre et de là quand il aurait commencé à s'habiller. Il suffisait de faire le trajet de la chambre au desk avec un chronomètre. Et je lance ici un appel à l'aide. Malgré tous mes efforts je n'ai pas retrouver l'article d'un journaliste américain qui a fait lui l'expérience. Il voulait montrer, lui, que Diallo mentait car le temps était trop court entre 12 h 06 et 12 h 28 pour l'agression, or ce temps bref est argument pour un acte non consenti, justement. Il n'était donc pas soupçonnable d'être pro Diallo. Je me souviens de 2 mn pour aller de la sortie de l'ascenseur au desk, mais je ne me souviens pas du reste. Si vous le retrouvez, mettez le en commentaire ou envoyez le moi par e-mail ([email protected]). On fera ainsi le travail de Vance et nous pourrons déterminer avec une fourchette quand la relation sexuelle s'est finie au plus tard.
Il y a un fait qui n'a pas sauté aux yeux bandés de Vance. C'est que l'appel téléphonique de DSK à sa fille, que Vance s'est interdit d'interroger, n'est noté dans aucun des récits de Diallo. Strictement aucun. Cela ne peut avoir qu'une signification : elle n'était plus là quand DSK a passé son appel ! Du reste le fait de passer un appel sans doute si proche parès la relation sexuelle va plus dans le sens de Diallo que celui de DSK. On a l'impression que passer ce coup de fil était impératif. Donc Diallo n'ayant jamais parlé de cet appel - cela a échappé à Vance - il y a de très fortes chances pour qu'elle l'ignorait, sinon elle s'en serait servi dans son témoignage pour le crédibiliser. Il n'y a que deux possibilités : elle était dans une autre pièce, elle avait quitté la suite.
Reprenons : appel téléphonique à 12 h 15 (12 h 13 + 2 mn heure de l'hôtel), disons au minimum deux minutes de conversation et de brossage de dents, au minimum 3 mn pour s'habiller, même en faisant très vite. On arrive à 12 h 20. Il reste 8 mn pour sortir de la chambre, aller à l'ascenseur, l'attendre, descendre 18 étages, aller au desk, régler la facture. Si c'est 12 h 16 il ne reste que 7 mn et si c'est 12 h 14, 9 mn. On voit que, sous confirmation du chronométrage de ce journaliste américain (je crois qu'il avait calculé 15 mn pour tout cela,mais ce n'est que de mémoire), cela nous rapproche très considérablement que la fin de l'acte sexuel se situant avant l'appel téléphonique et que c'est à cet instant, la fin, que Diallo a quitté la chambre. Or c'est Vance qui le dit : un rapport sexuel si court plaide pour un rapport non consenti. Pourquoi n'a-t-il pas fait ce simple travail de chronométrage, de reconstitution qui dans tous ces feuilletons amènent les preuves dont on a besoin, y compris sans témoins, le B A BA d'une enquête ?
Avec votre aide, en retrouvant le chronométrage de ce journaliste nous pourrons envoyez à Vance - et aux avocats de Diallo pour la procédure civile - des éléments scientifiques qui détermineraient avec une fourchette de faible amplitude entre quand et quand a eu lieu le rapport sexuel.
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- les micros partis de Copé, Wauquiez, Woerth, Sarkozy etc.
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- les accords entre l'UMP et le Parti Communiste Chinois, l'UMP et la mairie de Paris pour payer les frasques de Chirac, l'envoi par l'UMP des bulletins d'adhésion aux restaurateurs dans la période de la baisse de la TVA à 5,5 %
- les affaires Yade, Boutin, Copé, Juppé, Joyandet, Bertrand, Blanc, Estrosi, Lefebvre, Santini, Proglio, Amara, Laporte, Péchenard, Mitterrand, Ouart, Solly, Soubie, Richard, Fillon, Squarcini, Marleix, Charon, Longuet, Bachelot, Mignon, Morano, Giacometti, Besson, Courroye,Tron, Laroque (Baroin), Guéant (contrats avec la Libye), Dupuydauby …
- l'utilisation du contre-espionnage pour des affaires privées
- l'utilisation de l'Elysée pour recevoir les caciques de l'UMP et les satellites jusqu'à plusieurs fois par semaine, l'utilisation des moyens de l'Etat pour la propagande et pour préparer et faire la campagne du candidat Sarkozy, la proposition de Sarkozy à Lauvergeon d'une prime de 2 ans de salaires comme si Aréva lui appartenait et qu'il sortait l'argent de sa poche
- les légions d'honneur (Servier, Widenstein, Desmarais, Frère, Maistre, Peugeot etc.)
- l'Air Sarko One (250 millions d'euros dont 50 % de dépassement selon René Dosière) et ses deux fours à plus de 131 000 € (TTC et avec l'étude), le cocktail de New York à 400 000 euros, le dîner pour l'UPM à 1 million d'euros
- la proposition de loi sur la déchéance de la nationalité française et son extension, et le débat sur la nationalité, le fichier EDVIGE, Wauquiez et son cancer de la société, le RSA
- l’affaire de la rémunération illégale de septembre au 31 décembre 2007 (rémunération comme ministre de l'intérieur alors que Nicolas Sarkozy est président), l'augmentation stratosphérique, le divorce, le mariage, l'inscription hors délai sur les listes électorales, la déclaration des impôts en retard, le tout illégal ou non pénalisé
- la circulaire Hortefeux, ses amitiés avec Takieddine, ses déclarations d'Auvergnat, celles de Guéant dont celles répétées sur l'échec scolaire des enfants d'immigrés, l'autre récidiviste, celles de Guaino (béatification, prison, etc.)
- la nomination à la têtes des chaînes audio et vidéo publiques par le pouvoir
- la réforme constitutionnelle
- les ministres aussi maires ou élus, le mélange des genres, la non séparation de l'exécutif et du législatif avec le retour sans élection des députés virés du pouvoir
- l'irresponsabilité pénale du Président de la république
- la position d'Hortefeux dans la condamnation des 7 policiers, et ses deux condamnations à lui
- l’affaire des sondages
- les classements du parquet
- le site France.fr (des millions d'euros pour rien
- les évictions des préfets pour crimes de lèse-pelouse ou de sifflets
- la paralysie des villes et les moyens de quasi guerre (2 000 CRS pour 600 habitants par exemple) au coût pharaonique pour les déplacements du président
- l’affaire de l’espionnage des journalistes par le contrespionnage
- l’affaire de la validation des comptes de campagne de Balladur et de Chirac
- la scientologie
- l'affaire Servier dont Nicolas Sarkozy a été l'avocat. Coût 1,2 milliards à la Sécurité Sociale en plus des morts.
- l'affaire Bongo
- la proposition de MAM d'aide à Ben Ali et son pouvoir pendant la révolte tunisienne, les lacrymos et son voyage entre Noël et le jour de l'an et ses quatre mensonges fondamentaux, les petites affaires des parents, et Ollier (ses amitiés libyennes en plus), l'utilisation de la Libye et du Japon par Nicolas Sarkozy pour raison électorale
- les vacances de Fillon payées par Moubarak dont la clique a détourné plus de 45 milliards de $ et dont 3 ministres ont été arrêtés pour corruption et détournement de fonds publics, et sa justification, celles Sarkozy au Maroc. Et la Ferrari prêtée en 2009 en pleine crise à Fillon, ses voyages à 27 000 € pour retourner en Sarthe alors que le train met 1h20
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