• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Accueil du site > Tribune Libre > Vers un rafraichissement ? Par Vincent Courtillot

Vers un rafraichissement ? Par Vincent Courtillot

Vincent Courtillot est géophysicien et ancien directeur(1) de l’Institut de Physique du Globe de Paris. Je le remercie de m’autoriser à diffuser sur internet la version intégrale et très documentée de sa libre opinion « Vers un rafraîchissement ? » publiée en format raccourci dans Le Figaro (en ligne et papier) du 8 février dernier. Dans cette tribune, Vincent Courtillot réclame le droit au débat et cite nommément les académiciens et scientifiques de grande qualité qui soutiennent sa thèse qu’il reconnaît encore minoritaire aujourd’hui. Il développe également des arguments scientifiques fondés sur les résultats de ses dernières recherches sur les cycles solaires.

"Quel hiver ! Ce serait pour la France et pour une bonne partie de l’Europe occidentale, peut-être aussi pour l’Amérique du Nord, l’hiver le plus froid depuis quatre décennies. De plus, trois hivers très rigoureux viennent de se suivre, notamment dans les îles britanniques. Est-ce là la preuve que le réchauffement climatique a cessé ? La réponse à cette question est loin d’être évidente ! Pourquoi ? Parce que le climat est défini comme la tendance d’une variable météorologique (comme la température) sur une trentaine d’années et n’a a priori rien à voir avec un extrême saisonnier, fut-il planétaire. On ne peut parler d’évolution climatique sur des durées de seulement quelques années, encore moins à l’échelle d’une saison (ce qui n’empêche pas certains journalistes de la météo d’attribuer tout et n’importe quoi au réchauffement climatique, y compris la période froide actuelle !). Il est vrai que si ces extrêmes froids se répétaient suffisamment souvent, il pourrait en être autrement…

Parmi les graphiques que l’on montre en général pour illustrer le réchauffement climatique, l’un des plus fréquents est celui de la température moyenne (de la basse atmosphère) du globe depuis 1850. Passons pour l’instant sur le fait que seuls les climats régionaux sont bien définis et que la notion de climat global et surtout de température globale n’a peut-être pas de sens(2). Passons sur le fait que les variations que l’on cherche à isoler sont minuscules par rapport aux variations dont chacun fait l’expérience entre le jour et la nuit, l’été et l’hiver, le pôle et l’équateur… En effet, les tendances climatiques que l’on cherche à faire apparaître se chiffrent en dixièmes de degrés, une quantité qu’un individu n’est pas capable de sentir. Quelques dixièmes de degrés face à des dizaines : l’effet est cent fois plus petit que les variations auxquelles nous sommes sans cesse soumis dans notre vie.

Regardons donc cette courbe, ainsi que la fournit par exemple l’un des principaux centres mondiaux de données, le Meteorological Office britannique : on y voit bien que les quelques dernières décennies sont plus chaudes que les premières il y a 150 ans. Il y a un réchauffement moyen, de l’ordre de 0,7°C, entre 1850 et 2000. Ce qui ne nous dit pas quelle en est la cause principale.

Donnons une description un peu plus détaillée de cette courbe, reconnaissons-le très bruitée (agitée) : on y voit un refroidissement de 1870 à 1910, un réchauffement de 1910 à 1940, un léger refroidissement de 1940 à 1970, un réchauffement de 1970 à 2000 et un léger refroidissement depuis une dizaine d’années (mais encore une fois soyons prudents, ce n’est qu’une dizaine d’années, certes mieux qu’une ou trois, mais moins que les 30 ans « canoniques »). Le réchauffement de 1970 à 2000, qui n’est autre que le fameux réchauffement global dont tout le monde parle et qui fait si peur à certains, est en fait assez voisin en valeur et en rapidité de celui qui avait prévalu de 1910 à 1940. Par trois fois l’évolution des températures globales depuis 1850 a été interrompue par une légère baisse, de 1870 à 1910, de 1940 à 1970 et maintenant depuis dix ans, douze ans si on prend la courbe au pied de la lettre, le maximum ayant été atteint en 1998, une année à « El Nino ». Pour d’autres centres de données, les valeurs moyennes de 1998 et de quelques-unes des années de la première décennie du XXIe siècle seraient voisines et l’on devrait parler d’un plateau plutôt que d’une décroissance. En tout état de cause, une nette rupture avec la tendance des trois décennies précédentes.

Pour la majorité des scientifiques qui contribuent aux rapports du GIEC, la tendance générale au réchauffement serait due à l’augmentation dans l’atmosphère de la teneur en gaz carbonique (et autres gaz à effet de serre rejetés par l’Homme). Pour d’autres, actuellement minoritaires, mais semble-t-il de plus en plus nombreux et dont je fais partie, ce réchauffement pourrait n’être que la sortie d’un cycle de mille ans piloté par l’activité du Soleil(3). On a en effet beaucoup d’indications que les températures (au moins dans l’hémisphère nord, beaucoup mieux documenté) étaient pratiquement aussi chaudes vers l’an 1000 qu’actuellement. Ceci nous(4) a conduits à formuler l’hypothèse que le Soleil serait un élément beaucoup plus important qu’on ne croit le comprendre aujourd’hui dans l’évolution du climat, le gaz carbonique n’étant alors que secondaire. Ce qui va incontestablement à l’encontre des modèles théoriques et numériques de l’effet de serre, qui servent d’explication principale depuis plusieurs décennies, et donc pose problème.

Depuis un peu plus de cinq ans, nous cherchons des preuves ou au moins des indications (qui n’auraient pas été reconnues au préalable) de l’influence du Soleil sur le climat. Nous pensons en avoir trouvé un nombre significatif : elles ont fait l’objet d’une dizaine de publications dans les revues scientifiques internationales. Nous ne sommes d’ailleurs pas seuls. Nous découvrons au fur et à mesure de notre exploration de ce domaine qu’un nombre significatif de scientifiques étrangers de renom remet en cause le degré de confiance qu’on peut apporter aux conclusions du GIEC : on peut citer Lindzen, Svensmark, Singer, Tinsley, de Jager, Shaviv, Wunsch, … Lors du débat à l’académie, et sur certains points importants au moins, Morel, Pomeau, Aubouin, Férey, Fontecave, Frisch, Amatore, Moreau ont émis des doutes ou des interrogations. De nombreux géologues et géographes, plus nombreux certes que les climatologues et sans doute pas par hasard, émettent également des doutes… Il est en tout cas faux de dire, comme le fait Al Gore dans son film, que personne de sérieux ne pense autrement que le GIEC.

Ainsi, nous pensons avoir mis en évidence des signatures solaires aussi bien dans les températures moyennes et que dans leur variabilité, en Europe, en Amérique du Nord et de l’Ouest, et notamment dans les observatoires européens qui disposent des plus longues séries de données. La signature solaire est aussi présente dans la longueur du jour ou ce qui revient au même la vitesse de rotation de la Terre (figure ci-dessous), ce qui implique l’ensemble du système des vents, ainsi que dans certaines oscillations climatiques qui impliquent atmosphère et océan, comme l’oscillation dite de Madden-Julian,… Si certains de ces travaux ont été critiqués par écrit, ce qui est une procédure absolument normale, on omet souvent de signaler (et cela est moins normal) que nous y avons répondu point par point(5). Nous considérons quant à nous que nos résultats tiennent toujours, même si nos contradicteurs n’en sont pas d’accord. Ainsi vont les débats scientifiques sans lesquels la science n’a pas de sens.

Reste à trouver le mécanisme. On nous oppose le fait que l’énergie totale que nous envoie le Soleil (« l’irradiance solaire totale ») ne varie au cours du temps que d’une partie pour mille seulement et que cela ne suffit pas à expliquer nos observations. D’autres groupes de chercheurs que le nôtre ont proposé des hypothèses très intéressantes et plausibles, même si elles ne sont pas encore démontrées. C’est ainsi que H. Svensmark évoque le rôle des rayons cosmiques, dont le flux de particules chargées électriquement, variable au gré de l’activité solaire, pourrait affecter la couverture nuageuse et ainsi modifier l’énergie réfléchie vers l’espace, donc le bilan énergétique de l’atmosphère dans son ensemble. Un autre chercheur, B. Tinsley, propose que les variations des courants électriques dans l’ionosphère et la magnétosphère et du champ électrique entre la très haute atmosphère et la surface terrestre (dont on sait qu’elles se chiffrent en dizaines de pour cent et non en « pour mille ») modifient l’état électrique des nuages et partant leur couverture, jouant là encore un rôle important sur le bilan énergétique de l’atmosphère. Certaines de ces idées sont en cours de test au CERN.

On a beaucoup entendu dire que le récent débat à l’académie des sciences et surtout le rapport remis ensuite à la ministre semblaient donner raison « définitivement » à la vision du GIEC. Plusieurs journalistes (mais pas tous heureusement) et deux ministres l’ont apparemment compris ainsi. Ils ont malheureusement dû le lire un peu trop rapidement, et ce n’est certainement pas ce qui ressortait de la journée de débat. Que dit donc le rapport ?

Tout d’abord, dès sa première page, il note que le débat a été « très riche et de haute tenue scientifique ». Cela vaut pour les divers points de vue et reconnaît la qualité du débat instauré par les « climatosceptiques ». C’est un grand pas en avant et va bien au-delà des rapports plus frileux d’autres académies étrangères. Le rapport parle de « la forte modulation sur des périodes annuelles et multidécennales » de la température, avec « deux périodes de plus forte augmentation (approximativement de 1910 à 1940 et de 1975 à 2000) encadrées par des périodes de stagnation ou de décroissance ». Nous ne disons pas autre chose, si ce n’est que, contrairement au rapport, nous n’oublions pas de signaler que la température a à nouveau tendance à stagner ou même à décroître depuis une décennie… Le rapport reconnaît que « tous les mécanismes de transmission et d’amplification du forçage solaire, et en particulier de l’activité solaire, ne sont pas encore bien compris », que « si le cycle de 11 ans de l’activité du soleil tendait à diminuer d’intensité, comme cela a été le cas dans le passé, un ralentissement graduel du réchauffement global pourrait se produire ». N’est-ce pas bel et bien ce qui se passe depuis une décennie ?

Un long paragraphe de la partie sur les mécanismes climatiques qu’on ne peut citer in extenso ici reconnaît que « les effets potentiels de l’activité du cycle solaire sur le climat sont l’objet de controverses, mais donnent lieu à des recherches actives » ; ceci concerne notamment les hypothèses de Svensmark et Tinsley rappelées plus haut. Dans la partie sur les modèles climatiques, un autre long paragraphe est consacré aux nuages « partie unanimement reconnue comme la partie la plus incertaine », avec notamment les travaux de R. Lindzen qui invoquent une rétroaction négative et conduisent à des conclusions à l’opposé de celles du GIEC. Le débat est ouvert. Cette partie s’achève en soulignant l’existence de « mécanismes non encore identifiés qui ne sont naturellement pas inclus dans les modèles », le débat sur les corrélations observées (dont les nôtres) et enfin, comme l’a indiqué fortement au cours du débat ce spécialiste incontesté de la théorie du chaos qu’est Y. Pomeau, « les éventuels comportements fortement instables ou chaotiques du système sont un autre facteur important d’incertitude ». Ce dernier pense qu’« il n’y a pour le moment aucune évidence de ce que les fluctuations récentes du climat soient causées par autre chose que le comportement chaotique du système(6) ».

Comment me direz-vous certains journalistes, voire ministres, ont-il pu tirer du rapport des affirmations définitives sur le fait que le GIEC avait raison ? Eh bien tout simplement parce qu’elles y sont. Le rapport est en fait la juxtaposition des points de vue contradictoires exposés au cours du débat, sans véritable synthèse ni conclusion.

Ceci semble avoir échappé à des lecteurs trop pressés. Mais cela n’a pas échappé à Luc Ferry qui, dans une chronique du 10 novembre dernier au Figaro, rappelle qu’il n’est nullement certain que le réchauffement soit dû à l’augmentation des gaz à effet de serre, que la planète fut au moins aussi chaude qu’aujourd’hui durant une longue période située au Moyen-Age et que depuis 1998 il n’y a plus aucun réchauffement climatique. Citant un ouvrage récent de Jean Staune(7), Luc Ferry souligne que Jean Jouzel ne nie nullement la réalité de ce plateau et avoue que s’il devait durer encore dix ans « c’est Courtillot et les climatosceptiques qui auraient raison ».

Il est intéressant de constater que ceux qui ont, à mes yeux, la vision la plus lucide et la plus raisonnable du fond de ce débat sont désormais des spécialistes des sciences humaines et sociales : géographie, sociologie, histoire des sciences, philosophie. Je n’ai pas la place de reprendre ici une analyse que j’ai entamée ailleurs(8) et que j’ai retrouvée dans plusieurs livres, analyse qui souligne les aspects dogmatiques et quasi religieux de la tournure prise par ce débat, qui échappe largement à la rationalité et aux scientifiques. On en trouvera des éléments par exemple dans les livres de S. Galam, V. Anger, B. Rittaud, J. Staune et dans des articles de H. Atlan et P.H. Tavoillot (« la nouvelle idéologie de la peur »). En réponse à l’envoi que je lui faisais de l’article de Luc Ferry, Alain Carpentier, l’un des principaux rédacteurs du rapport de l’Académie et son président depuis ce premier janvier 2011, m’écrivait : « Cher Ami, Merci pour la Tribune de Luc Ferry.

L’argumentation est claire, solide, convaincante(9). » Seule l’observation de la « vraie » nature et non pas des projections informatiques, douteuses au vu des incertitudes restantes tant dans les observations que dans les modèles physiques et numériques, permettra de trancher (ou de trouver une autre cause qui ne serait ni le Soleil ni les gaz à effet de serre…). Des physiciens du Soleil éminents, comme K. de Jager, pensent que le Soleil passe de manière irrégulière par trois états que j’appellerai fort, moyen et faible. Nous venons de passer de l’état fort, qui avait prévalu pendant trois décennies, à l’état moyen. De Jager pense que nous pourrions tomber dans l’état faible vers 2060. Le dernier état faible a correspondu au fameux minimum de Maunder des taches solaires et au coeur du Petit Âge Glaciaire. On verra bien, mais en attendant suggérer un léger refroidissement pour les quelques décennies qui viennent n’est décidément pas déraisonnable.".

Vincent Courtillot

________________________________

A propos de Vincent Courtillot, lire aussi :
Rencontre avec un géoscientifique et citoyen engagé : Vincent Courtillot (par Véronique Anger. 29/09/2010).

(1) Claude Jaupart, professeur à l’université Paris-Diderot, succède à Vincent Courtillot qui dirigeait l’IPGP depuis 2004.
(2) Ce point de vue est défendu par certains thermodynamiciens qui font remarquer que la somme de deux températures n’est pas une température, au contraire de la somme de deux volumes qui est bien un volume : c’est la différence subtile entre grandeurs intensives et extensives que l’on apprend au début d’un cours de thermodynamique.
(3) On notera l’absence de corrélation entre les phases de croissance et de décroissance de la température et l’évolution monotone des gaz à effet de serre.
(4) Notre équipe, animée par Jean-Louis le Mouël, comprend aussi Elena Blanter, Vladimir Kossobokov et Mikhail Shnirman, chercheurs de l’International Iinstitute of Earthquake Prediction Theory and Mathematical Geophysics de Moscou invités régulièrement à l’Institut de Physique du Globe.
(5) Nos réponses aux deux séries de critiques principales sont accessibles sur :
http://www.clim-past-discuss.net/6/C342/2010/cpd-6-C342-2010-supplement.pdf
http://www.clim-past-discuss.net/6/C345/2010/cpd-6-C345-2010-supplement.pdf
(6) Communication écrite à l’auteur.
(7) La Science en otage. Jean Staune. Presses de la Renaissance, 2010.
(8) Nouveau Voyage au Centre de la Terre. Vincent Courtillot. Odile Jacob, 2009.
(9) Communication écrite à l’auteur.


Moyenne des avis sur cet article :  3.3/5   (66 votes)




Réagissez à l'article

61 réactions à cet article    


  • chria chria 17 mars 2011 10:12

    Cet article est totalement vide de faits scientifiques.
    Une simplification à l’extrême.
    Comment en plus peut-on expliquer que le système climatique est chaotique, complexe, avec pleins de facteurs qui jouent, et expliquer que les GES n’ont pas d’importance et que c’est un seul facteur, le soleil, qui explique tout, et la preuve, c’est que les malheureux petits climato-sceptiques qui se sont fait rabroués à l’académie des sciences sont en fait de gentils chercheurs qui sont attaqués par les méchants climatologues, et que autre preuve, des géographes, des sociologues, des philosophes (quelques un en fait, on a vu par exemple sur les géographes que 90% d’entre eux ne soutiennent pas les thèses climatosceptiques) se rallient aux géologues ?
    Niveau récup de chercheurs Courtillot se place là en bon élève (ou maître) d’Allègre.

    Toutefois, la vraie question, c’est que si on doit sortir du nucléaire, il faudra sûrement dégager beaucoup beaucoup plus de GES avec le pétrole et le charbon, et là j’aimerais bien que Courtillot nous explique comment l’envoi massif de GES ne peut avoir aucun effet.

    Mais n’oublions pas la cerise sur la gâteau :
    "On verra bien, mais en attendant suggérer un léger refroidissement pour les quelques décennies qui viennent n’est décidément pas déraisonnable.« . »

    Trop bien Courtillot nous explique que les simulations informatiques sont de la merde, mais par contre il faut croire ses prévisions à lui au doigt mouillé ? 

    Enfin il ne vaut mieux pas que je parle du paragraphe sur Luc Ferry, j’ai cru avoir une crise cardiaque : voilà qu’un philosophe devient caution scientifique d’un scientifique !

    C’est vraiment du grand n’importe quoi.


    • Voltaire Voltaire 17 mars 2011 11:10

      Cet article est affligeant du point de vue scientifique. Et franchement on commence à en avoir un peu raz-le-bol des « articles » (en fait même pas un article mais un copié-collé) de l’auteur dans sa propagande pro-Courtillot.
      L’année 2010 a, de nouveau, été une année record en matière de température pour le globe, comme l’indiquent toutes les mesures réalisées (il suffit d’aller voir le site de la NASA par exemple). Illustrer une théorie avec l’exemple d’un hiver normal en Europe est aussi ridicule que si le GIEC ne prenait pour base de sa position que la canicule 2010 en Russie (tient, pas de référence à ce propos dans l’article... on se demande pourquoi).
      Mr Courtillot ferait bien d’aller voir l’état de la banquise polaire de temps en temps, notamment au nord du Canada.
      Sa théorie solaire n’est absolument pas validée par les faits. Quant aux noms cités d’accadémiciens qui le soutiendrait, je conseille aux internautes d’aller voir leurs spécialités et leurs contributions au débat qui a eu lieu sur le sujet. C’est, hélas, très révélateur.


    • sisyphe sisyphe 17 mars 2011 13:22

      Par Voltaire (xxx.xxx.xxx.14) 17 mars 11:10

      Cet article est affligeant du point de vue scientifique. Et franchement on commence à en avoir un peu raz-le-bol des « articles » (en fait même pas un article mais un copié-collé) de l’auteur dans sa propagande pro-Courtillot.


      Bah... Madame Anger de Friberg continue inlassablement sa petite propagande lobbyiste contre le réchauffement.... un intérêt personnel, peut-être ? 

      Son problème, est que, comme références, elle n’a que des clowns, totalement discrédités dans le milieu scientifique environnemental, auxquels elle se raccroche comme une naufragée à une épave alors que l’eau monte.... 

      Pathétique... 


    • dj_kroket 18 mars 2011 01:12

      « L’année 2010 a, de nouveau, été une année record en matière de température pour le globe, comme l’indiquent toutes les mesures réalisées (il suffit d’aller voir le site de la NASA par exemple). »


      Voilà tout le problème. Vous critiquez les climato sceptiques en disant qu’ils font de la pseudo science non vérifiée.
      Et bien vous faites exactement la même chose. Votre affirmation ci dessus et fausse et uniquement idéologique. Je parie même que vous l’avez acceptée telle quelle sans jamais la vérifier.
      2010 n’a été l’année la plus chaude ’officiellement’ que pour la NOAA et le GISS (et donc pas pour HadCRUT, RSS, UAH), et de plus, elle n’a été plus chaude par rapport à 1998 que de quelques centièmes voire dixièmes de degrés pour ces deux sources.
      Ce qui ne contredit pas du tout le fait que la température du globe stagne (pas de hausse) depuis une dizaines d’années.

    • chria chria 17 mars 2011 10:17

      Sans parler de cette histoire de refroidissement actuel sur les hivers en Europe de l’ouest. Courtillot se fout ouvertement de la gueule du lecteur, car lui-même sait que cela n’a aucun sens climatique. Il l’explique d’ailleurs dans le premier paragraphe, avant de plonger sur une phrase totalement énigmatique
      « Il est vrai que si ces extrêmes froids se répétaient suffisamment souvent, il pourrait en être autrement… » et de mettre un dessin.
      Il n’y a eu aucun extrême froid... Et si ma tante en avait...
      Bienvenue chez les fous.



      • chria chria 17 mars 2011 11:23

        Un contradicteur de Courtillot ?
        Parce que Gilles s’exprime le plus souvent sur les scénarios du Giec et la transition énergétique, ce qui n’est pas le cas ici. Ce texte essayent tout simplement de minimiser les effets des GES et de victimiser les climato-sceptiques, et je doute que Gilles soit en accord avec cette vision partisane.


      • globulos nilasse 17 mars 2011 10:17

        courtillot,l’homme qui disait récemment sur le plateau de ce soir ou jamais,pas de problème avec le nucléaire malgré fukushima,tchernobyl ou les dechets dont on sait plus quoi faire,pas de réchauffement malgré les milliards de tonnes de co2 relâchés dans l’atmosphère chaque année. quant on sait que ses bailleurs de fonds sont des industries polluantes,on comprend qu’il n’ait pas très envie de perdre les credits qui lui sont accordés. étrange d’ailleurs qu’il soit aussi souvent invité a donner son avis sur toutes les sciences,alors qu’il est géophysicien et pas climatologue ou physicien nucléaire,qui sont des disciplines relativement différentes de la sienne. ce gars la est une forfaiture vendu a toutes les sauces.


        • ZEN ZEN 17 mars 2011 10:23

          Courtillot, comme Allègre, serait bien avisé de rester cantonné dans sa discipline ou de ne s’aventurer qu’avec d’extrêmes précautions hors du cadre de sa recherche.


          • globulos nilasse 17 mars 2011 11:14

            il est très instructif le lien que tu donnes sur courtillot wald,a faire tourner pour demasquer ce charlatan.


          • sisyphe sisyphe 17 mars 2011 11:16

            Par orion (xxx.xxx.xxx.129) 17 mars 11:01

            Le mieux serait d’organiser un débat, avec preuves incontestables à l’appui, entre Courtillot et le GIEC.


            Mais ça s’est déjà fait ; non seulement avec le GIEC, mais avec le quasi-ensemble de la communauté scientifique climatique, et Courtillot a vu ses « thèses » complètement démontées...

            Courtillot est l’auguste du clown blanc Allègre...

            Il parait que le Cirque hipparque a besoin de clowns ; envoyons les sur la lune...


          • djanel Le viking- djanel Le viking- 17 mars 2011 13:10

            Par ZEN (xxx.xxx.xxx.74) 17 mars 10:23Courtillot, comme Allègre, serait bien avisé de rester cantonné dans sa discipline ou de ne s’aventurer qu’avec d’extrêmes précautions hors du cadre de sa recherche.

            >>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>><<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<

            Pauvre Zen.

            Pas plus haut que les chevilles aurait dit Alexandre à un savetier qui voulait donner son avis sur.....

            Chacun brille comme il peut ! Et toi comme un ver luisant.



          • sisyphe sisyphe 17 mars 2011 13:25

            Par djanel Le viking- (xxx.xxx.xxx.139) 17 mars 13:10


            Chacun brille comme il peut ! Et toi comme un ver luisant.


            Tandis que toi, chamelle, il est vrai que ta connerie est éblouissante... un vrai phare....


          • Maître Yoda Castel 17 mars 2011 14:11

            Ces liens, je les connais et je trouve qu’ils sont tellement partial qu’il vaut mieux ne pas trop s’en occuper. On peut dire n’importe quoi vis-à-vis de n’importe qui, même prendre quelqu’un à demi-mot.
            Dans le problème du climat, c’est toujours : comment se sentir plus scientifique que les scientifiques ? qu’on soit climato-sceptique ou réchauffiste, les défauts sont toujours les mêmes, on croit avoir plus de choses à dire que les chercheurs.


          • tomahawk 18 mars 2011 06:08

            Non, pas sur la lune ! Toute la bande de joyeux clowns (C Allègre, Courtillot, vu sa récente intervention d’anthologie chez Taddeï, etc...) qui avec force conviction beuglent de concert que le nucléaire est bon pour l’économie, bon pour la santé, bon pour la planète, etc..., je propose de profiter d’une des rotations d’un avion d’Air France pour les envoyer au Japon les faire s’installer sous une tente juste à coté de la centrale de Fukushima, et sans protection particulière...Non seulement ils seront aux premières loges pour profiter du spectacle des effets spéciaux aquatiques « fontaines lumineuses » et « rideaux d’eau » aimablement organisés par l’armée nippone et Tepco, mais en plus ils pourront de manière éclatante et incontestable démontrer l’inocuité du nucléaire même en cas de catastrophe...ce n’est qu’à partir de là qu’ils seront à mes yeux crédibles...et on pourra faire venir en échange en France des Japonais qui eux depuis le 11 mars, maudissent le nucléaire...


          • tchoo 17 mars 2011 11:09

            J’aimais bien Courtillot jusqu’a ces derniers jours
            Visiblement il est moins enclin au débat sur le nucléaire que sur le réchauffement climatique.
            Comme quoi, il y a des positions à géométrie mouvantes !


            • bernard29 bernard29 17 mars 2011 11:16

              j’aime beaucoup la clarté et la rigueur de ce Monsieur Vincent Courtillot. 


              • sisyphe sisyphe 17 mars 2011 11:19

                Il y a belle lurette que le cerveau de Courtillot s’est effectivement considérablement rafraîchi ; et se rapproche de la cryogénisation... 


                • galien 17 mars 2011 13:38

                  Quelle argumentation ! Toujours la même chose avec vous, c’est usant !


                • NeverMore 17 mars 2011 11:55

                  Quoi qu’il en soit, il semble bien que l’acidification des océans commence à devenir un problème, qui apparaît lié au taux de gaz « à effet de serre » dans l’athmosphère, ces derniers étant dû à l’activité humaine (dont peut être l’élevage).

                  Il semble ainsi que les solutions au problème de l’acidification des océans soientt convergentes avec celles préconisées par les tenants du réchauffement climatique, que ce dernier soit effectif ou non, et quelle qu’en soit l’origine.

                  Le débat sur la réalité d’un réchauffement, ou d’un refroidissement, ou d’une stabilisation et sur son origine porte sur les mécanismes en jeu (est de nature pûrement scientifique pourrait t’on dire) et ne conduit pas (ne doit pas conduire) à ignorer l’impact des actiivités humaines et les actions correctives à apporter.


                  • Cocasse cocasse 17 mars 2011 12:57

                    En même temps, quand ta concierge te raconte qu’elle n’avait pas connu d’hivers aussi froids que ceux de ces dernières années, tu as du mal à croire que cela se réchauffe !


                    • Voltaire Voltaire 17 mars 2011 13:08

                      @cocasse, si votre concierge vous raconte cela, c’est soit qu’elle perd la mémoire, soit qu’elle a passé ses hivers ailleurs ! dans ma jeunesse (sic), j’avais pour marotte de faire des relevés météo chez moi tous les jours (entre 78 et 85 environ) ; la température descendait tous les hivers à moins 10 (record vers -22 l’année la plus froide), tout cela en région parisienne. Evidemment, depuis les années 95-2000, nous n’avons plus eu d’hiver normaux, alors quelques jours de gel surprennent, mais franchement c’est encore bien doux par rapport à il y a 20-30 ans. Et de toute façon des infos régionales sur quelques années n’ont strictement aucune signification statistique par rapport au climat.


                    • sisyphe sisyphe 17 mars 2011 13:15

                      Par cocasse (xxx.xxx.xxx.36) 17 mars 12:57

                      En même temps, quand ta concierge te raconte qu’elle n’avait pas connu d’hivers aussi froids que ceux de ces dernières années, tu as du mal à croire que cela se réchauffe !


                      Ca, c’est ben vrai, Mâme Michu ! 

                       smiley 


                    • Cocasse cocasse 17 mars 2011 13:35

                      Tiens, tu comprend le second degré, toi ??! smiley

                      Après lecture d’articles scientifiques étudiant l’activité solaire, il se trouve que les réchauffements et refroidissement correspondent principalement aux caprices du soleil. Enfin caprices si on veut, puisque ses périodes d’activité changent pour de longues périodes.
                      Allez donc vous renseignez là dessus, et faites la comparaison avec les températures.


                    • sisyphe sisyphe 17 mars 2011 13:52

                      Par cocasse (xxx.xxx.xxx.36) 17 mars 13:35


                      Après lecture d’articles scientifiques étudiant l’activité solaire, il se trouve que les réchauffements et refroidissement correspondent principalement aux caprices du soleil. 

                      FAUX. 

                      La preuve ici . 


                      Allez donc vous renseignez là dessus, et faites la comparaison avec les températures.

                      Je ne saurais effectivement trop te le conseiller, avant de parler pour dire des conneries..

                       smiley 


                    • globulos nilasse 17 mars 2011 13:55

                      sur 10000 ans peut etre,pas sur 1/4 de siecle.


                    • globulos nilasse 17 mars 2011 13:56

                      mon dernier post etait pour cocasse.


                    • chria chria 17 mars 2011 14:08

                      C’est même l’inverse depuis des années


                    • Maître Yoda Castel 17 mars 2011 14:24

                      Ne vous inquiétez pas trop : si le soleil dort comme dit ce fameux (que dis-je, cette étonnant orateur, voir arrêt sur image smiley ) journaliste, ça aura tôt ou tard des répercussion importantes sur le climat. Dormez tranquille, après quelques vagues de froid, nous en aurons d’autres, probablement de plus en plus importantes.
                      D’ailleurs,par exemple à l’île de Ré, il n’a jamais fait aussi froid ces deux dernières années (depuis 30 ans), alors que c’est un des endroit en France où il fait le plus doux en hiver.


                    • Cocasse cocasse 17 mars 2011 14:29

                      Ah ! Je ne m’étais pas tenu au courant des derniers développements de cette histoire...
                      Allez, en cherchant un peu, je suis sur que l’on peut trouver un article scientifique contredisant celui ci.
                      Le problème de cette histoire de changement climatique, c’est qu’il y a eu tellement de magouilles, qu’il devient difficile de partager le vrai du faux.
                      Alors je vais faire ce qu’il y a de mieux dans ses cas là : SANS OPINION.


                    • Cocasse cocasse 17 mars 2011 14:33

                      Dormez tranquille, après quelques vagues de froid, nous en aurons d’autres, probablement de plus en plus importantes.

                      Voilà !
                      Et la voix de la sagesse, c’est de suivre l’avis de Madame Michu (ma concierge), pour savoir si je met un pull et l’anorak le lendemain matin !!
                       smiley


                    • pissefroid pissefroid 17 mars 2011 13:43

                      Compte tenu des différents commentaires que je viens de lire je dois dire que :

                      Le GIEC n’est pas un organisme scientifique, c’est un organisme politique, ces conclusions n’ont donc aucune valeur scientifique.

                      Le GIEC fonde ces prévisions sur des modélisations informatiques qui ne prennent pas en compte les propriétés de transparence de l’athmosphère pour le rayonnement issu du soleil, et cela, pour une raison simple, c’est qu’on ne connait pas comment et pourquoi évolue cette transparence.

                      Les GES, jusqu’à preuve du contraire, n’explique pas les variations climatiques observées depuis plus de un siècle.
                      (voir le site de pensee-unique.fr et cotoyer les discours de physiciens reconnus permet de se faire une idée de la complexité de ce que l’on appelle évolution climatique).

                      Penser que l’espèce humaine a une responsabilité significative dans l’évolution du
                      climat me paraît relever de la foi et plutôt que de la science.


                      • sisyphe sisyphe 17 mars 2011 13:59

                        Oui, oui, on connait parfaitement votre argumentation, et le parti-pris du site « pensée unique », et sa propagande laborieuse contre le réchauffement. 


                        Penser que l’espèce humaine, avec ses milliards de tonnes de gaz rejetées dans l’atmosphère, n’a aucune incidence sur le climat, paraît relever de l’aveuglement volontaire plutôt que de la science...

                        C’est de la même eau que penser que les milliards de litres de détergent déversés sur les cultures, et dans les sols, ne se répercutent ni sur ceux qui les mangent, ni sur les sols eux-mêmes ; c’est de l’ordre de la foi dans le saint-progrès, qui ne peut être que bénéfique, pas vrai, pissefroid ? 

                        Je vous conseille d’aller vous enfermer dans votre garage, avec le moteur de votre voiture en marche pendant quelques heures, et de revenir vous faire part de votre expérience ; de toutes façons, vous ne risquez rien, puisque ; « penser que l’espèce humaine a une responsabilité significative sur la nature » vous parait relever de la foi....
                        Bonne route .. 
                         smiley 

                      • chria chria 17 mars 2011 14:06

                        Si le giec n’a aucune valeur scientifique, alors les blogs que vous lisez encore moins, puisqu’ils font la même chose que le Giec, ils synthétisent ce qui leur plaît, tout en faisant passer des messages politiques.

                        « Penser que l’espèce humaine a une responsabilité significative dans l’évolution du
                        climat me paraît relever de la foi et plutôt que de la science. »
                        J’aime bien le terme « significative » devant responsabilité qui montre que n’êtes pas sûr en fait, que votre avis dépend finalement d’un parti pris, qu’on pourrait appeler aussi la foi.
                        Je vous rappelle que le Giec s’exprime en termes de probabilité. 

                        Alors les GES d’origine anthropique, ils peuvent avoir une influence sur l’atmosphère oui ou non ?


                      • Maître Yoda Castel 17 mars 2011 14:32

                        Penser que l’espèce humaine, avec ses milliards de tonnes de gaz rejetées dans l’atmosphère, n’a aucune incidence sur le climat, paraît relever de l’aveuglement volontaire plutôt que de la science...

                        Les océans en rejètent plus (par l’intermédiaire du dégazage). De toute manière, ce sont les scientifiques (et les êtres humains) qui pensent, pas la science. La science n’est qu’une institution abstraite, rien de plus.
                        Et alors, vous voulez faire quoi ? mettre les vaches dans des camps de concentration ? Le CO2 est totalement naturel, indispensable à la vie. Nous sommes fait de carbone et nous rejetons tous le temps du CO2. Comment pouvez-vous croire que la nature n’a pas les moyens de gérer les surplus de CO2 ? Cela me parait impossible. Seul les produits artificiels ne peuvent pas être recycler par la nature.


                      • 2102kcnarF 17 mars 2011 14:45

                        Le GIEC a été complètement démonté et puis a été réinstallé par un rapport de l’académie des sciences dont les conclusions ont été truquées par Valérie Pécresse....

                        Il n’y a qu’en Europe que l’on donne sens à ses fadaises.... dans le reste du monde on en rigole !


                      • chria chria 17 mars 2011 14:58

                        @castel : je suis d’accord, ce sont les hommes qui pensent, pas la science. Mais la science n’est pas non plus une institution. Il faut distinguer la science « ce que l’on sait pour l’avoir appris, ce que l’on tient pour vrai au sens large » et la méthode scientifique, qui demande de la rigueur, et évite de dire des conneries du style : puisque nous sommes constitués de carbone les GES d’origine anthropique ne peuvent pas avoir d’effet (la nature s’en charge).
                        Avec des raisonnement comme çà on vivrait encore à la préhistoire, à confier notre destin aux dieux.


                      • chria chria 17 mars 2011 15:07

                        "Le GIEC a été complètement démonté et puis a été réinstallé par un rapport de l’académie des sciences dont les conclusions ont été truquées par Valérie Pécresse...."
                        Celle là il faut l’encadrer elle est fabuleuse


                      • Maître Yoda Castel 17 mars 2011 15:13

                        Passons pour la science. Je maintiens ce que j’ai dis, même si, il est vrai, le mot « institution » peut être mal interprété. Les scientifiques eux-même avouent que la science n’est qu’une vue de l’esprit, rien d’autre. Si tu veux, la science, c’est l’ensemble de ce que l’on considère vrai ou démontré au moment où l’on parle, on ne peut pas le prendre à témoin puisque la science, par définition doit évoluer et la perception de la science est différente suivant l’endroit où l’on se trouve. (la science pratiquée aux EU ou en France, ça n’a rien à voir).

                        évite de dire des conneries du style : puisque nous sommes constitués de carbone les GES d’origine anthropique ne peuvent pas avoir d’effet (la nature s’en charge).

                        J’espère que vous avez remarqué que vous avez terriblement simplifié voire déformé ce que j’ai écrit.


                      • chria chria 17 mars 2011 16:02

                        Bon, j’avoue, oui.
                        Mais on était pas loin ;)
                        Quand à la science bien sûr qu’elle ne détient pas la vérité. Mais elle apporte des considérations souvent plus proches du réel que nos propres interprétations.


                      • Pierre 18 mars 2011 13:33

                        @ Sisyphe qui nous sort un de ses arguments massue  :

                        J"e vous conseille d’aller vous enfermer dans votre garage, avec le moteur de votre voiture en marche pendant quelques heures, et de revenir vous faire part de votre expérience« 

                        Mon cher Sisyphe, sachez que ce qui vous tuera dans ce cas là, c’est le CO, le monoxyde de carbone et non pas le CO2, le dioxyde de carbone.
                        Durant la dernière guerre, et avant de construire les chambres à gaz, les nazis avaient utilisé ce procédé en recyclant les gaz d’échappement à l’intérieur des camions bourrés de malheureux...

                        Croyez -moi, Sisyphe, si vous voulez venir en aide à votre » cause", le mieux c’est de vous taire. Vous la discréditez.


                      • chria chria 17 mars 2011 15:06

                        Les scientifiques n’ont jamais demandé aux politiques de trancher un débat scientifique, c’est du grand n’importe quoi (comme souvent).
                        Relisez le texte au lieu de prendre comme argent comptant n’importe quel avis issu d’un blog partisan.


                      • paul 17 mars 2011 15:50

                        Finalement, l’origine du réchauffement climatique, « peu me chau » .
                        Ce qui est certain, c’est que la pollution croissante de la biosphère est bien d’origine humaine .

                        Limiter CFC, GES, CO2, pesticides, bisphénol et autres saloperies que nous vend l’industrie grâce à ses lobbies, semblent des mesures de bon sens .Si les pays industrialisés ne s’engagent pas sur cette voie, ce ne sont pas les pays dits émergents qui vont ralentir ce processus destructeur .

                        M.Courtillot a peut être raison pour le climat, mais il s’engage avec des scientistes comme Allègre, ou
                        pire en citant Fred Singer le lobbyiste au service des industries du pétrole .Le scientiste croit que la
                        science va résoudre tous les problèmes .La faim dans le monde est elle résolue avec l’emploi massif
                        des pesticides ? Quant au tout nucléaire, il résulte d’un « choix » politique imposé, auxquels les scientistes ont apporté leur caution .
                        Le libéral Guy Sorman a pour une fois dit une chose juste : le nuléaire a été imposé dans les années 60 / 70 dans les états forts, c’était une décision technocratique sans débat démocratique .
                        La controverse sur le climat et la catastrophe nucléaire font remettre en cause un modèle de société, que des politiques inféodés aux lobbies veulent nous imposer .


                        • jesuisunhommelibre jesuisunhommelibre 17 mars 2011 15:59

                          Quand on sait qu’un seul volcan, en quelques heures, produit autant de gaz, et de poussière qu’un pays comme la Chine en une année, on mesure la prétention humaine à vouloir soit tout contrôler, soit, mais la démarche est la même, penser que l’homme est coupable de tout les maux.

                          Un simple éternuement du soleil, et la Terre s’évapore. Un pet tonitruant d’un volcan, et la race humaine disparait sous la cendre (l’humanité aurait failli disparaitre il y a 70 000 ans).

                          Pour asseoir leur petit pouvoir, certains sont prêt a créer toutes sortes de religions. Il suffit de culpabiliser, puis de proposer une pseudo solution qui passe, nécessairement, par une punition : « Vous serez privé de dessert ! » ou d’énergie. Dans le genre, l’Apocalypse est pour demain à toujours fait bonne recette.


                          • chria chria 17 mars 2011 16:06

                            Émissions volcaniques de CO2 autour de 130 à 230 millions de tonnes par an. C’est beaucoup moins que les 27 milliards de tonnes de CO2 émises chaque année par les activités humaines.


                          • Maître Yoda Castel 17 mars 2011 16:10

                            Je vous reconnais bien là numéro 6. smiley


                          • Heil Cartman Heil Cartman 17 mars 2011 16:45

                            J’ai du mal à saisir l’intérêt de ce débat puisque dans un cas comme dans l’autre on va se faire fucked.

                            Si il y a réchauffement climatique dû à l’activité humaine : alors nous sommes tous coupables (nous les citoyens, pas les gentils industriels, faut pas déconner). Nous devrons donc payer des taxes eco, carbone, aide au développement durable (qui va rester en développement un bon nombre d’années visiblement), on va nous faire trier nos déchets en nous culpabilisant alors que la grande majorité de la pollution est dû a l’industrie. Bref on est fucked !

                            Si il n’y a pas de réchauffement climatique : alors on peut continuer à enrichir les sociétés pétrolières alors que la voiture zéro émission devrait déjà être dans tout les garages (http://www.agoravox.tv/actualites/environnement/article/qui-a-tue-la-voiture-electrique-27945), on peut continuer à sur-exploiter les pays du tiers-monde (oui je cause pas nov-langue) pour leur piquer les matières rares pour nos puces électroniques, bref on peut continuer à faire de la planète une poubelle géante. On est re-fucked !

                            Donc à part nous éclairer sur la façon dont on va être fucked, en doggy-style, en missionary ou en alabama hot pocket, je vois pas l’intérêt (tout mon vocabulaire youporn vient de passer dans cette phrase ^^).


                            • Maître Yoda Castel 17 mars 2011 17:09

                              L’intérêt, c’est juste la vérité.
                              Cependant, je suis d’accord pour dire que nous sommes dans un monde de merde et, dans tous les cas, nous sommes manipulés.


                            • sisyphe sisyphe 17 mars 2011 19:06

                              Quand on voit le commentaire suivant posté en tête (je cite) : 


                              Par 2102kcnarF (xxx.xxx.xxx.195) 17 mars 14:45

                              Le GIEC a été complètement démonté et puis a été réinstallé par un rapport de l’académie des sciences dont les conclusions ont été truquées par Valérie Pécresse....

                              Il n’y a qu’en Europe que l’on donne sens à ses fadaises.... dans le reste du monde on en rigole !


                              On se rend compte du niveau des intervenants ! 

                              Allons, l’obscurantisme a encore de bien beaux jours devant lui... 

                              Et sinon, qu’est-ce qu’on en dit au Café des Primates et des Ignares Réunis ? 


                              • sisyphe sisyphe 17 mars 2011 19:27

                                Tiens ; pour compléter le tour de piste .... 



                              • tvargentine.com lerma 17 mars 2011 19:09

                                Le débat sur l’écologie est devenu un bizness pour toutes les entreprises de communications,tout les politiciens qui trouvent des arguments réactionnaires qui consistent à transférer sur le citoyen des couts qu’ils ont déjà payé (limitation du nombre de passage des ramassages de ordures,tri selectif...)

                                Derrière le discours ce cache un vrai terrorisme intellectuel qu’il convient de combattre car ce discours sur « la planète » est dangereux pour notre société

                                http://www.tvargentine.com/sejour.html


                                • sisyphe sisyphe 17 mars 2011 19:31

                                  Par lerma (xxx.xxx.xxx.11) 17 mars 19:09


                                  Derrière le discours ce cache un vrai terrorisme intellectuel qu’il convient de combattre car ce discours sur « la planète » est dangereux pour notre société

                                  Ah ! Il n’en manquait plus qu’un au tableau ; il est là ! 

                                  C’est vraiment le bal des couillons, là... 

                                   smiley 


                                • eko 17 mars 2011 20:00

                                  Quand on pense que la « farce du réchauffement climatique anthropique » est née sous Tatcher pour promouvoir l’énergie nucléaire dite « propre » face aux énergie dites « fossiles »...
                                  Des décennies de décérébration forcée par la « pub » à conquit le cœur de millions de gens persuadés d’avoir « enfin » une juste cause a défendre.
                                  Pendant ce temps les milliards qui pouvait être dépensée pour « la vrai protection » de l’environnement contre les vrais polluants, parfois dit « propre », une belle pollution « propre », garantie 100% sans C02 va nous simplifier la vie pendant quelques mois un peu partout dans l’hémisphère nord.
                                  Bref pour comprendre certains devrait retourner en 1984 ou alors consulter http://www.pensee-unique.fr/

                                  Pour ce qui est de l’avenir, je suis étonné que personne ne donne d’écho a cette nouvelle énergie ?
                                  Pourquoi l’université de Bologne donnerait elle une caution morale à une farce ?

                                  http://www.journal-of-nuclear-physics.com/?p=360


                                  • Pierre 18 mars 2011 13:15


                                    Quand on lit le texte de Courtillot, on y apprend que des scientifiques patentés, académiciens et (ou) prof au Collège de France tels Morel, Pomeau, Aubouin, Férey, Fontecave, Frisch, Amatore, Moreau ( Voyez WIkipédia) etc... en plus de Courtillot et Allègre, ont exprimés des doutes sérieux.

                                    Et ici, on voit des surfers aussi anonymes qu’acharnés, tels que Sisyphe et Chria, qui n’en expriment jamais aucun et qui sont persuadés de détenir la vérité.

                                    Je sais bien qu’en matière de sciences, l’argument d’autorité ne signifie rien, mais là, quand-même, c’est vraiment le grand, très grand écart, pour ne pas dire, le précipice.


                                    • chria chria 18 mars 2011 16:20

                                      Vous avez raison sur le précipice, c’est ce que je dis à tous ceux qui croient qu’en fréquentant les blogs ils vont découvrir la vérité. La facilité de compréhension d’un sujet aussi complexe ne peut qu’être orientée à partir du moment où on le simplifie à l’extrême pour le rendre compréhensible par chacun, tout en faisant passer un message... On finit ainsi souvent sur l’argument du complot mondial.
                                      Il y a aussi une énorme manipulation de certains qui mentent sans vergogne, car ils sont en guerre idéologique. Je n’aime pas qu’on prenne la science en otage, c’est pourquoi j’essaye de dire quand une connerie est manifeste. Courtillot, dans ce texte, tord les faits pour qu’ils correspondent à son message.
                                      Bon c’est vrai il arrive que certains scientifiques militants fassent pareil pour souligner le RCA. Je me bats aussi contre ça.

                                      Sinon je ne vois pourquoi j’exprimerais mes doutes puisque le doute cartésien est intégré dans la recherche et le débat scientifique, je ne donnerai pas le bâton pour me faire battre par les adeptes de la technique de l’épouventail. Mais rien n’est sûr à 100%, et puis nous sommes dans une science complexe.
                                      J’exprime par contre énormément de doutes sur les arguments sceptiques qui ne passent jamais la barre de la publi. Ne vous parait-il pas étonnant que Courtillot s’épanche dans les médias sans aucun argument scientifique valable ?
                                      Quant à votre argument d’autorité, que pensez-vous des autres scientifiques qui pensent que le RCA n’est pas une connerie, que les GES ont un effet ? Ils sont plus nombreux pourtant, et plus spécialiste. La plupart que vous citez sont inconnus du monde de la climatologie.

                                      Il y a un univers entre exprimer des doutes et démontrer que l’autre à tort.
                                      Quand on ne fait que le premier, c’est qu’on est plus dans la science, mais dans la politique.

                                      Et c’est bien ce que font tous ces lobby libéraux anti-écolo.

                                      Le Giec a ses casseroles, mais quand on ne fait rien sauf critiquer, on ne risque rien.

                                      Enfin cautionnez-vous par exemple la phrase qui arrivent maintenant en tête de gondole de la page ? Parce que beaucoup la cautionne en votant pour elle, malgré le fait qu’elle soit complétement débile. Peu importe la véracité des faits, pourvu qu’on ait l’idée...
                                      Et vous trouvez cela normal vous ?


                                    • Maître Yoda Castel 18 mars 2011 17:38

                                      Quant à votre argument d’autorité, que pensez-vous des autres scientifiques qui pensent que le RCA n’est pas une connerie, que les GES ont un effet ?

                                      C’est facile et restons uniquement sur les certitudes :
                                      1- Il faut que vous acceptiez le fait qu’en science, quand on dit « il n’y a pas de problème », le domaine est moins intéressant et il y a moins de financement (pour ne pas dire pas du tout). Puisque les scientifiques ne roulent pas sur l’or, il faut sensibiliser les gens et le gouvernement pour attraper les crédits. C’est d’une logique implacable. La recherche de la vérité est secondaire sur la recherche de la survie.

                                      2- Devant des experts, les scientifiques ont tendance à s’incliner, non pas pour des raisons objectives, mais parce que eux-même veulent qu’on les respecte. C’est un principe psychologique que l’on retrouve souvent : le respect de l’autorité pour que les autres respectent sa propre autorité.

                                      3- Autant il est certain que des gens comme Courtillot ont pratiqué le doute méthodique (car il s’est remis en question, il a réexaminé et approfondit la problématique), autant il n’est pas certain que les « experts » du GIEC ont véritablement douté de ce qui leur paraissait le plus évident. Quand ils disent « on est à 90% sûr de nous », ce n’est pas une démarche scientifique et ces gens n’acceptent pas facilement la critique et l’anti-catastrophisme argumenté. En d’autre terme, quelque soit les éventuelles idioties de Courtillot, je suis convaincu qu’il est bien plus prudent et finalement sérieux que la plupart des experts francophone du GIEC.

                                      D’ailleurs, quand vous dites que vos scientifiques sont plus spécialistes, permettez moi de dire que ce n’est pas du tout un argument. Devant la problématique du climat, il faut au contraire prendre beaucoup de recul, connaitre plusieurs sciences pour un minimum maitriser la science du climat.


                                    • chria chria 18 mars 2011 20:36

                                      @castel :
                                      Il faut savoir si vos exemples ont un intérêt scientifique.
                                      Le premier non, puisque ce n’est pas parce que dans les arguments pour obtenir un financement on recense tous les points d’intérêt, dont évidemment la prévention des risques, que ce risque n’existe pas.
                                      De toute façon ce sont les publis qui décident et côté sceptique c’est le vide. Le 90% de probabilité du Giec vient de l’analyse de milliers de publis, entre autre. Avec cette technique, qui vaut ce qu’elle vaut, mais si vous en avez une autre proposez là, on serait tombé à quelques % de probabilité que les émissions de GES n’ont pas d’effet sur le long terme. Les modèles, ensuite, sont juste là pour se faire une idée sur le futur ou valider les hypothèses de manière mathématique, mais imaginer une gouvernance face au problème possible. La réduction des GES de toute façon, ne se fera pas avant longtemps, donc ne vous inquiétez pas, les répercutions de la politique anti-RCA n’auront pas d’effet sur vous. Comme dirait certains, les problèmes énergétiques, qui sont d’ailleurs liés au climat, auront raison de toutes les initiatives. Il faut aussi voir que les stratégies d’adaptaiton et d’atténuation des GES seront appliqué de la manière la plus équitable possible, du gagnant gagnant. Si on préfère s’en foutre, et que le problème arrive, on est perdant-perdant. On mise ?

                                      Le deuxième est du même acabit, l’aspect psychologique des rapports scientifiques-experts ne pouvant résister aux travaux scientifiques qui fabriquent ce rapport.

                                      Le troisième est étonnant : la prudence n’est qu’une donnée subjective qui ne remet pas en cause non plus le phénomène étudié et sa compréhension la plus acceptée.
                                      Toutefois, le giec est une entreprise étonnante ! Mais il faut regarder en dehors du Giec, et les débats existent, les publis sortent, l’idée de base se confirme ou s’infirme. Le problème, c’est que ce que dit Courtillot n’est confirmé par aucune publication, et que même ses considérations « climatiques » sur les derniers hivers est du grand n’importe quoi, si c’était vrai je le dirais, j’ai les données. Il y a toutefois d’autres aspects sur la modélisation de l’atmosphère qui posent de vrais problèmes, mais ça cherche.

                                       J’ai l’impression que vous cherchez la réponse à la question climatique en vous basant sur des arguments émotifs, comportementaux, et non scientifiques. Il est vrai que se taper l’ensemble de la littérature spécialisée n’est pas simple.

                                      Enfin pour finir sachez que la climatologie n’est pas une spécialité en tant que telle, c’est une discipline très multi-disciplinaire, ce qui fait les climatologues ont souvent une formation autre, et on du aussi se mettre à d’autres spécialités. Les seules « vrais » climatologues sont les climatologues géographes, mais ils n’interviennent pas dans les considérations physiques de l’atmosphère, et très peu dans les modèles. Ils travaillent plutôt sur les impacts, ou les aspects climatiques locaux.


                                      • Maître Yoda Castel 18 mars 2011 22:35

                                        J’ai l’impression que vous cherchez la réponse à la question climatique en vous basant sur des arguments émotifs, comportementaux, et non scientifiques. Il est vrai que se taper l’ensemble de la littérature spécialisée n’est pas simple.

                                        Des études montrent que le climat ne dépend pas seulement des phénomènes terrestres, mais aussi du système solaire et même plus. Ne pas en parler, c’est prendre les gens pour des ignares facile à manipuler (je parle du GIEC principalement, puisqu’ils sont très médiatisé). Alors quoi, vous allez faire confiance en des gens qui mentent ou qui simplifie tout en nous prenant pour des idiots ?
                                        Je me base évidemment sur ce qui me parait logique. Pour l’instant, ils sont peu nombreux, même sur agoravox, les réchauffistes qui disent, non pas seulement que le soleil a une influence sur le climat, mais surtout que tout l’univers en a.


                                      • chria chria 18 mars 2011 22:55

                                        C’est évident que tout facteur a une influence. Le soleil aussi, et c’est le moteur principal de la dynamique climatique, de peu devant les océans, etc. Mais encore faut-il faire la part des choses. Je rappelle juste qu’à l’académie des sciences, quand Courtillot a du justifier sa valeur du forçage solaire, bien supérieure à celle donné par le Giec, et bien il a fait un flop, il n’avait pas d’argument valable, le bide.
                                        Enfin les rapports du giec sont assez explicite sur le sujet, les médias peut-être pas, mais bon...
                                         
                                        Sur l’univers, les rayons cosmiques, l’interaction avec les nuages, etc, on attend les données.
                                        Pourquoi croire que les expériences en cours sur ces sujets vont forcément contredire le RCA ? Cela va juste complexifier la situation, vous verrez.

                                        Le système est complexe, on avance doucement, mais rien à l’heure actuelle ne peut contredire la théorie du RCA dans ses grandes lignes. Seulement des interrogations, des doutes. C’est normal.


                                      • Maître Yoda Castel 19 mars 2011 11:40

                                        Si, ce qui contredit la théorie du GIEC, c’est leur certitude d’avoir raison. Ils sont à l’opposé du doute cartésien comme vous dites.


                                      • chria chria 21 mars 2011 12:21

                                        Le Giec est ce qu’on appelle un outil d’aide à la décision. Il doit prendre parti, même si les certitudes n’existent pas, pour dire aux politiques : oui, il a de grandes chances que, ou non, etc...
                                        Le doute cartésien se retrouve dans la phase de recherche, et non lors de l’aide à la décision. Sinon on ne prendrait jamais de décision...
                                        Et puis on ne pas balayer l’ensemble des travaux scientifiques d’un revers de main parce quelques illuminés sont sûrs d’eux. 

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON







Palmarès