Goebbels a pu structurer sa propagande antisémite, mais pas que, à cause du contexte de l’époque : effondrement de 18, écroulement économique, désir de vengeance, dettes de guerre, création d’ennemis intérieurs et extérieurs, etc...
Le contexte a changé mais la propagande demeure même s’ elle est devenue plus « soft ».
Comme à l’époque, elle s’appuie de façon démultipliée sur le consentement de la majorité à un ensemble de règles et de présupposés qui ne tiennent que parce que la plupart y adhèrent, coachés par un système médiatique qui postule que l’occident constitue l’acmé de la civilisation, ce qui en soi est une démonstration par l’absurde du contraire, et surtout cache bien sa déréliction.