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Les commentaires de thomthom



  • thomthom 15 décembre 2022 14:41

    article qui vient à point nommé...juste quelques semaines après la sortie d’une excellent jeu de société sur ce thème « La bête ».... si on était complotiste on pourrait presque croire à une publicité déguisée ! C’est Noel, faites vous plaiz !



  • thomthom 6 novembre 2018 22:35

    déjà que cette revente d’Alsthom a GE, sans connaitre les détails du dossier, ça sentait franchement mauvais... mais avec toutes les précisions données dans cet article, c’est à vomir !



  • thomthom 2 septembre 2018 10:44
    A quelques effets bord près (le fait de ne plus pouvoir doubler les camions, et de se retrouver « coincé » entre 2 d’en eux par exemple), il est à peu près évident qu’il est plus sécurisant de rouler à 80 km/h qu’à 90. Moins on roule vite, moins il y a d’accident, c’est une évidence.
    La limitation de vitesse est n’est qu’un « compromis entre le risque »acceptable" et l’objectif de réduction des temps de trajet. Pourquoi le 90, admis jusqu’alors, ne serait soudainement plus le meilleur compromis pour les routes concernées, alors qu’au contraire, ces routes et les voitures sont de plus en plus sécurisantes de part leur conception ?

    A ce rythme là, pourquoi ne pas réduire à 70, puis à 60, puis à 50, puis à 10km/h ? ça n’a aucun sens, et voila pourquoi cette mesure n’est pas acceptée !

    L’état ferait mieux de renforcer la lutte contre les infractions réellement dangereuse : les grands excès de vitesse, la conduite sous l’emprise de l’alcool ou autres drogues, la conduite sans permis ou même simplement le non respect chronique des distances de sécurité qui est quasi généralisé, les conducteurs de poids lourd qui ne respectent pas les pauses obligatoires....ça, ça aurait du sens pour améliorer la sécurité, sans faire peser sur les épaules des conducteurs responsables le poids d’une règlementation constamment durcie.... mais bien sur c’est plus compliqué à contrôler que la vitesse, qui peut facilement servir de bouc émissaire.

    Commençons par faire appliquer les règles avant de penser à les durcir.


  • thomthom 4 août 2018 23:06
    D’autres arguments : le Bio coute effectivement en moyenne 30% de plus à produire que le conventionnel (hors prise en compte des externalités négatives du conventionnel, effectivement, comme mentionné dans l’article), mais c’est oublier que , hors vente directe, le cout de production n’intervient que pour environ 1/3 (33%) dans le prix payé par le consommateur. Or, bio ou pas bio, le cout de transport, de distribution, de revente est quasiment le même. Il n’y a donc aucune justification à ce que les intermédiaires voient leur rémunération différenciée (en valeur absolue, et non relative) entre du Bio et non Bio.
    Donc si tout le monde jouait le jeu le bio devrai couter seulement 10% plus cher que le conventionnel en moyenne (+30% sur 1/3=33% du prix de vente au consommateur). Mais voila.. le agriculteurs rechignes à se convertir (et ils ont pour beaucoup de bonnes raisons, c’est loin d’être simple), on est en sous production, donc le bio est trop rare.. la loi du marché fait ensuite le reste : le Bio est vendu comme un produit de luxe, souvent 3x plus cher que le conventionnel dans les grandes agglomérations pour les produits frais (et je ne parle pas e la viande bio : quasi inexistante des étals).

    Bon après, c’est une moyenne.. produire de la viande bio dans un pays « riche », c’est nettement plus que +30% vs un élevage en batterie... alors que pour d’autres produits, on peut en se débrouillant bien avoir des couts de productions en Bio inférieurs au conventionnel, surtout des les pays peu développés à faible cout de main d’œuvre !


  • thomthom 15 avril 2018 08:18

    Quel que soit le mode de production, on a encore une petite marge de man ?uvre mais pas ?norme... La r ?alit ? que presque personne ne veut voir est homme est la pire espece invasive que la plan ?te n ait jamais connu et que nous sommes trop nombreux. La solution ne sera pas de d ?sesp ?r ?ment produire toujours plus, ce qui n’est impossible ou alors seulement avec une approche court termiste d ?vastatrice pour l avenir, mais dans la r ?gulation de notre population, de notre prolif ?ration. Si on ne le fait pas de nous m ?me de mani ?re contr ?l ?e, la plan ?te s en chargera ? notre place et de mani ?re bien plus violente



  • thomthom 12 mars 2018 21:42

    Mais comment peut-on réussir à aligner autant de stupidités en si peu de lignes ?. il est écrit « il faut comparer ce qui est comparable : les rendements pour de mêmes variétés, dans des sols et des climats comparables, avec les mêmes méthodes de culture (avec ou sans rotation de cultures par exemple, qui n’est pas une exclusivité bio), ». Alors, OK pour les climats et les sols (et encore, la nature du sol dépend justement de la façon dont on le cultive, donc déjà l’argument du « sols comparable » ne tient pas tout à fait), mais concernant les variétés et méthode de culture, évidemment que la comparaison doit se faire, en toute objectivité, sur les meilleures solutions disponibles dans chaque approches : si vous cultivez sans pesticides des variétés spécialement conçues ou sélectionnées pour être utilisées conjointement avec des pesticides, vous obtiendrez effectivement des rendements lamentables, bien moins bons que ceux que vous pourrez obtenir en cultivant en bio des espèces adaptées avec des méthodes adaptées. Produire bio en se contentant de juste « retirer » les pesticides et engrais chimique est la chose la plus stupide qui soit et n’a aucun sens (et le ruine assurée pour celui qui le tenterait) ! Ce qui a été démonté, c’est que justement, en adoptant des méthode de culture adaptée, la perte de rendement en bio est très limitée. Ni plus, ni moins, MAIS C’EST BIEN CA QUI COMPTE. Quant à l’argument de la population sans cesse croissante, de toutes façon, il ne faut pas se tromper de débat : si le conventionnel permet (à court terme) de produire un poil plus, de toutes façons, malgré les milliards invertis par les géants de l’agro-business, les rendements stagnent. Tous ces investissements ne servent plus qu’à limiter tant bien que mal la baisse des rendements moyens observés à l’échelle mondiale, engendrée justement par appauvrissement des sols causé par ces méthodes inadaptées et non durables.... alors que de l’autre coté, les « bonnes » méthodes bio, encore balbutiantes, disposent de marges d’amélioration considérables moyennant des investissements bien moindre, et surtout, par leur nature, produisent des résultats durables. Mais surtout peu importe... peu importe que tel ou tel type d’agriculture produise 10% ou 20% de plus ou de moins, de toutes façon, il y aura un moment ou la planète ne pourra pas nourrir plus de monde que ce qu’on arrivera à y produire, et ce jour là, la seule solution sera la régulation démographique de l’espèce humaine , espèce la plus invasive que notre planète n’ait jamais connu (tabou qu’il serait grand temps de lever). Si on ne le fait pas de nous même, la planète nous l’imposera dans la douleur.... et peu importe que ça arrive un peu plus tôt ou un peu plus tard, ça arrivera fatalement !



  • thomthom 11 mars 2018 13:44

    mais mais.. Sarkozy aurait-il eu tord avec son « travailler plus pour gagner plus » ?



  • thomthom 31 mars 2016 13:47

    Il me semble qu’il y a une petite erreur dans l’article :
    Si les cadres au forfait jour font très souvent des horaires à rallonge de manière systématique, c’est juste car la loi n’est pas appliquée.

    Le forfait jour n’est en aucune manière un droit accordé à l’entreprise de faire travailler les employés sans limite. Le temps de travail moyen DOIT rester conforme à la durée légale du travail.
    la seule différence, c’est qu’on parle là de temps MOYEN... et ce sans que ni le patron ni l’employé ne ressente le besoin de passer par un système de pointage, de contrôle précis du nb d’heures travaillées.... question de confiance mutuelle : l’employé fait confiance à son employeur pour se voir attribuer une charge de travail qui en moyenne tienne dans la durée légale du travail, et le patron fait confiance à l’employé pour faire le job sans avoir besoin de surveiller ses horaires.

    ça c’est la théorie... en pratique c’est effectivement bien différent... mais la loi, c’est bien ce que je décris.



  • thomthom 6 mai 2015 22:15

    @VICTOR
    c’est clair, ce n’est pas la quantité de travail qui fait sa qualité. En prenant les bonnes décisions, en ayant les organisations adaptées, en prenant soin de se poser systématiquement les bonnes questions plutôt que de tourner en rond, on peut etre bien plus productif et efficace qu’un employé (ou une entreprise) qui se contente de bosser 15 heures par jour mais faisant tout de travers. D’ailleurs, c’est en repoussant systématiquement ses limites (travail hors horaires, travail malgré la fatigue...) qu’on fait les les plus grosses bêtises.... en plus de pourrir sa vie de famille ce qui forcément à un moment ou un autre a un effet sur le moral, et donc sur le travail.



  • thomthom 15 avril 2015 09:55

    @lsga
    Sans etre aussi radical, je prônerais personnellement un plafonnement des allocs, pour tous, à 3 ou 4 enfants par exemple. Ceux qui veulent leur petite colo perso restent libres de la faire, mais à leur charge. ça n’a aucune utilité sociale, donc qu’ils assument seuls ce choix si c’est ce qu’ils veulent.



  • thomthom 19 juin 2014 08:04

    tres intéressant. reste plus qu’à créer un site web qui présente la même courbe mais mise à jour en temps réel.



  • thomthom 15 mars 2014 09:39

    Colonialisme, certes, mais on devrait même parler d’esclavagisme dans certains cas !



  • thomthom 16 décembre 2013 10:22

    C’est sur que dans le genre idée à la con, notre mignonne Najat, elle a fait fort là !



  • thomthom 29 novembre 2013 12:37

    L’étude de Seralini n’est peut être pas parfaite... elle est certainement critiquable sous de nombreux aspects... mais elle a juste été menée avec 10 fois plus de sérieux et de rigueur que les tests qui actuellement servent à valider la mise sur le marché d’OGM.

    Et comme par hasard, les résultats, à défauts d’être incontestables en tout point, sont particulièrement inquiétants !

    Et sans oublier que le risque « médical » est surement le moindre de tous les risques liés aux OGM (les risques socio-économiques, environnementaux... sont largement prépondérants).

    Enfin, juste un rappel : Les français, dans leur très grande majorité, ne veulent pas d’OGM... ni dans leurs assiettes, ni sur notre territoire. Peu importe qu’ils aient techniquement et scientifiquement tord ou raison, c’est la volonté du peuple français... et nous sommes (en principe) en démocratie... la volonté du peuple doit donc être respectée, et une interdiction totale de ces produits imposée sur notre territoire... tant que la population ne change pas d’avis.



  • thomthom 29 novembre 2013 12:25

    « - Citer un proverbe »
    Vous auriez pu répondre « tant va la cruche à l’eau qu’à la fin, tu me les brises ! »



  • thomthom 20 novembre 2013 17:38

    bonne piqure de rappel, cet article



  • thomthom 20 novembre 2013 17:34

    Henri
    En réponse à votre premier paragraphe.
    Vous avez l’impression , « nouvelle », d’être ignorant ?
    je vous rassure, c’est normal... c’est juste que vous êtes un humain du XXIè siècle !

    Le XXè siècle, celui dans lequel vous avez grandi, était celui des certitudes et de l’insouciance.
    Dès qu’on faisait une découverte ou qu’on comprenant comment fonctionnait un truc, on avait l’impression de tout avoir compris du sujet en question.
    Un truc nouveau sortait ? Bah, c’était nouveau donc forcément un progrès... même pas la peine de se poser la question...

    Mais un siècle est passé.... nous sommes au XIXè siècle et les être humains sont passés à un stade supérieur de leur développement : celui de la prise de conscience (encore imparfaite) de leur ignorance.
    Nous étions conscients de nos connaissances et inconscients de tout ce qui nous restait à comprendre et apprendre... Nous commençons maintenant à prendre conscience de tout de que nous ignorons et du relativisme de ce que nous prenions pour des vérités absolues, une fois replacées dans un contexte plus large.
    Alors le choc est dur à encaisser.... nous nous croyons tellement supérieurs... et nous réalisons que nous ne sommes pas au bout de notre peine... que le chemin de l’évolution sera encore long avant de faire de nous des êtres réellement civilisés (et à condition de ne pas rendre notre planète inhabitable d’ici là).

    Vous avez « l’impression [nouvelle] d’être un vieil ignorant ». Ce n’est rien, vous venez juste d’ouvrir les yeux, comme nombre de vos congénères.... comme un nouveau né qui découvre le monde qui l’entoure apres quelques semaines d’existence, sa vue commençant à se stabiliser.... imaginez le chemin qui reste à ce nouveau né pour devenir « un homme »... j’espère que vous croyez en (ou au moins n’êtes pas hostiles à l’idée de) la réincarnation, sinon, vous risquez de vous sentir frustré de na pas vivre la suite...



  • thomthom 20 novembre 2013 17:17

    Très sympa ce petit article sans prétention !

    Bon, dans le lot présenté, je n’ai que le gaufrier... et encore, le mien fait aussi croque monsieur, donc sert nettement plus souvent que s’il était mono-fonction.

    Petit bémol quand même pour la machine à pain : pour les gros consommateurs, ça peut permettre de faire des économies, et surtout, c’est très utile pour ceux qui habitent loin d’une boulangerie digne de ce nom.... et faire son pain soi-même de manière traditionnelle... ben faut vraiment avoir beaucoup de temps à perdre. Clairement, ça ne vaut pas une bonne baguette, mais pour faire des pains de mie divers et variés, c’est vraiment pas mal.

    2eme bémol sur les champions de l’article : la fontaine choco et la machine à barbapapa.... c’est pour moi une catégorie à part...il ne s’agit pas vraiment de cuisiner, mais plus d’un accessoire pour faire la fête avec les enfants.... presque un jeu.

    Le pire du pire, ce sont les objets nocifs, genre la carafe filtrante...
    Ensuite viennent tout les petits objets mono-fonction, souvent électriques, sensés simplifier et accélérer des tâches déjà tres simples, mais qui au final n’apportent rien et encombrent. Un ouvre boite électrique ? ok si vous avez 30 boites de conserve à ouvrir par jour (et encore !!!)... mais pour une ou 2 grand max, franchement !!!!
    Dans le même genre, la machine à pop corn : totalement inutile, etc...

    Ensuite viennent ceux qui sont nécessaires à certaines préparation, mais qu’on utilise jamais car trop galere à utiliser : la machine à pates est un bon exemple : indispensable pour faire des pâtes soi-même, mais inutilisable. Sans compter que les pâtes fraiches toutes prêtes sont sans additif douteux et pas chères... quel est l’intérêt de les faire soi-même ?

    En dernier, donc quand même assez utiles, sont les divers objets destinés à râper, émincer, hacher, mixer, mélanger que l’on accumule. Utiles certes, même indispensables, mais souvent redondants.
    Qui n’a pas le mixeur et/ ou batteur plongeant + le robot multifonction ?
    C’est notre cas à la maison, on a les 3... et voila-t-y pas qu’on se demande si on ne va pas ajouter à ça une mandoline haut de gamme !
    D’un coté c’est déraisonnable d’avoir autant de bidules qui servent à la même chose
    D’un autre coté, chacun est tout de même mieux adapté que les autres en fonction de la situation : le blender mixe plus fin que le robot (blender-> soupe, robot->purée), la mandoline serait probablement plus adaptée pour de petites quantités (montage et lavage plus rapide), alors que le robot est plus adapté pour remplir un saladier... Les mixeurs et batteurs plongeants plus pratiques pour travailler directement les aliments dans le récipient où on fait la préparation.... bref ce n’est pas toujours simple de faire des choix et au final, on cumule, on cumule... et chaque objet pris indépendamment sert peu, même dans une cuisine « active ».



  • thomthom 27 août 2013 18:47

    ah bon, non disposons d’un système de retraite par répartition ? vraiment ?

    Il ne me semble pas. la réalisé, c’est que nous avons un système de retraite basé sur l’emprunt, qui fait porter aux futures générations de travailleurs le poids des retraites actuelles.

    Dans un vrai système par répartition, seule le montant des cotisations collectées dans l’année serait réparti (comme son nom l’indique) parmi les retraités.

    Un système qui distribue des pensions de retraites pour une somme totale plus élevée que ce que les actifs peuvent raisonnablement verser, c’est juste une folie irresponsable !



  • thomthom 20 août 2013 20:02

    Quand on lit les commentaires dénigrant et caricaturaux de certains sur ce sujet ô combien sérieux et sensible on comprend qu’il y a encore un sacré bout de chemin à parcourir avant que les autorités puissent envisager de communiquer officiellement.