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Les commentaires de the southern fry



  • the southern fry the southern fry 9 août 2010 10:50

    Merci Pour Cet Article Très Pénible à Lire En Raison De l’Epidémie de Majusculite Aigüe Qui y Sévit.
    Une petite sélection, rien que sur le premier tiers du texte :
    - la Crise
    - le Salaire
    - les Profits
    - le Pouvoir d’Achat
    - la Dette
    ...quel rapport religieux au monde de la finance (pardon, Finance) ! amour refoulé ?



  • the southern fry the southern fry 4 août 2010 14:15

    A l’instar de l’auteur, je gage qu’on trouvera fort peu de couscous, même en fouillant bien le terroir français. Je salue la beauté de l’implacable logique !



  • the southern fry the southern fry 4 août 2010 14:00

    « chacun pourra amener (...) son pique-nique « constitué de produits du terroir français ». Gageons qu’on y trouvera force cochonnaille et fort peu de couscous. »

    Merci, c’est beau...



  • the southern fry the southern fry 4 août 2010 13:49

    « Depuis 8 ans »
    ...
    « comment s’imaginer qu’en dehors du titre de séjour officiel ce garçon ne soit pas complètement intégré à notre pays »
    ...
    « (ah oui petit détail John ne s’exprime qu’en anglais) »
    ...



  • the southern fry the southern fry 6 avril 2010 09:58

    Je rêve d’un monde où l’on cesserait de citer Desproges(ça serait plus possible aujourd’hui, gnagnagna) systématiquement quand on parle de Guillon (ce fut également la mode pour Dieudonné), fut-ce pour dire qu’il ne le vaut pas.

    Parle-t-on toujours de Flaubert dans les articles sur Anna Gavalda, ou de Spinoza lorsqu’il s’agit de commenter le dernier bernardhenrilévisme ? (quoique, dernièrement on citait abondamment Kant au sujet de l’excité en chemise blanche, mais il l’avait bien cherché).



  • the southern fry the southern fry 3 avril 2010 23:24

    Wow, merveilleux, y’a même le petit côté souci de l’environnement. J’en parle tout de suite aux gens de Sodimatex, à qui on propose de travailler en Tunisie pour 130 euros mensuels. Enfin, c’est sans doute parce que la France est très très en retard en matière de libertés économiques.



  • the southern fry the southern fry 3 avril 2010 23:12

    L’auteur, probablement un vieux réactionnaire, se replie sur les valeurs périmées de la France moisie. C’est à cause de gens comme ceux-là que nous risquons un retour des heures les plus sombres de notre histoire. Son français, de toute façon plus personne ne le comprend, et c’est surtout un frein au Progrès, un véhicule de dangereuses valeurs passéistes.
    Résistons : NO PASARAN !



  • the southern fry the southern fry 26 février 2009 20:14

    Tiens, un archéo-raciste, on n’en fait plus des comme ça. Allez hop, au musée !



  • the southern fry the southern fry 26 février 2009 18:02

    Oh rassurez-vous, rien de tel ! Disons une affaire "nous concernant", et il ne s’en trouve pas des dizaines, rien que de très anodin - mais qui serait un peu trop hors de propos en commentaire de cet article.



  • the southern fry the southern fry 26 février 2009 17:14
    Cher Paul Villach,
     
    Pardonnez-moi pour le hors-sujet dans le cadre de cet article, mais je souhaiterais, selon l’expression consacrée, « m’entretenir avec vous d’un sujet vous concernant », et m’aperçois que, sauf erreur de ma part, les fonctionnalités d’AgoraVox ne permettent pas la mise en relation à titre privé des rédacteurs. Si l’envie vous prend de savoir ce que je veux vous communiquer, comme on dit, pourriez-vous m’écrire à l’adresse suivante : thesouthernfry( at )gmail.com, afin que je dispose d’une adresse me permettant de vous contacter ?
     
    A bientôt donc,si vous le voulez bien.


  • the southern fry the southern fry 20 février 2009 00:38

    Au hasard des commentaires, ne bougez plus vous êtes bien sur Agoravox :

    "le capitalisme a provoqué lui aussi beaucoup de dégats (les deux dernieres guerres mondiales par exemple)"

    "Sommes nous en démocratie ? A lire l’article, certainement pas puisque les élections sont truquées par une oligarchie co-optée régnant sur un peuple manipulé. "

    "Qu’est ce que la démocratie ?
    L’exploitation toujours plus affirmée d’une oligarchie prédatrice, qui au travers du contrôle de l’information marchande, fabrique du consensus à coup de désinformation.
    "


    Heureusement, par ci par là, une petite lueur, un raisonnement construit et instruit... aujourd’hui, rendons grâce à Sylvain Reboul.



  • the southern fry the southern fry 20 février 2009 00:28

    tiens, un lecteur de Comte-Sponville ?



  • the southern fry the southern fry 7 février 2009 23:36

    Mon bien cher Paul,

    J’ai maintenant du mal à vous suivre : vous qui déclariez hier encore la démocratie en danger, sous l’influence de grossiers manipulateurs démagogues, vous voilà, en deux ou trois commentaires, regrettant vaguement le "manque de variété" et d’"invention" dont aurait fait preuve le Point ?

    Tout cela est un peu confus, mais en cherchant bien, et parce que je suis pas l’mauvais gars, je suis d’accord avec votre conclusion : l’école fait exactement ce qu’il faut pour continuer à créer de gentils robots qui aimeront les chanteurs engagés et les livrets rémunérés à 4,2%, détesteront l’injustice et l’intolérance, et si l’envie leur prend de se piquer de politique, disposeront d’une vaste gamme de slogans tout préparés qui leur éviteront le scandaleux effort d’avoir à se creuser la tête.



  • the southern fry the southern fry 7 février 2009 13:14

    Ah, me voilà bien eu, ma ruse est éventée. Décidément Paul, on ne vous la fait pas, c’est avec une courageuse maestria que vous fîtes sauter ma couverture. Votre admirable dénonciation de mon venimeux sarcasme vous vaudra de figurer parmi les générations futures, parmi les éclaireurs de ce sombre XXIème siècle.

    Mes amis du Point et moi-même allons donc faire notre mea culpa, et rédiger dès lundi une nouvelle campagne d’abonnements. La lettre d’icelle sera signée d’un assistant-aide comptable adjoint stagiaire (pour ne pas flatter les bas instincts du lecteur par le pouvoir de séduction de la star). Elle indiquera au lecteur que l’offre qui lui est proposée est tout à fait banale et qu’il ne doit en rien croire que nous lui réservons un traitement de faveur. Le lecteur potentiel sera également averti de ce qu’une éventuelle réponse favorable de sa part à cette sollicitatiion ne saurait en rien profiter aux finances du journal. On pourrait même lui préciser, afin de contourner le leurre d’appel humanitaire, que sa qualité de lecteur lambda pourrait bien compromettre la réputation du Point, qui gagnerait plus à être lu par des personnalités hors du commun.

    Le récipiendaire du courrier se verra aussi notifier la liste des journaux qui vendent plus que le Point, dont il sera précisé qu’il n’est qu’un humble titre hebdomadaire surpassé par de nombreuses publications de meilleure facture et au public plus nombreux. Foin de pression du groupe sur l’individu.

    Plus sérieusement mon cher Paul, je n’ai évidemment rien à voir, de près ou de loin, avec le journal Le Point, ni aucun autre journal d’ailleurs. Je suis un simple citoyen, qui s’émeut de voir tant d’outrance dans vos propos, qui sont contre-produtifs dans la défense de vos positions qu’au fond je ne suis pas loin de partager. Mais l’argumentaire de vente (d’un produit, d’un service, d’une idée politique...) est aussi vieux que le monde : qui ne souhaite pas présenter ce qu’il souhaite vendre sous son meilleur jour ?

    Au lieu de hurler à la pernicieuse manipulation devant l’exercice de style ridicule que constituent la plupart des courriers de services abonnements de la presse, dont personne n’est dupe, pourquoi ne pas mener une étude sérieuse sur la grande déculturation induite par la société d’hyperconsommation ? Je suis sûr que ce thème vous parle, et que vous avez la capacité de la traiter avec sérieux.

    Je ne connais personne qui pense réellement qu’Ariel procure à ses vêtements une couleur "plus blanc que blanc" - par contre nous sommes tous entourés de personnes persuadées qu’une condition nécessaire de leur épanouissement est la possession d’un téléphone portable à écran tactile, et que les oeuvres complètes de Francis Cabrel valent bien les recueils de poèmes du rétrograde Ronsard.



  • the southern fry the southern fry 6 février 2009 23:46

    Tout à fait d’accord avec vous, de toute évidence il s’agit là d’un complot du service marketing du Point, qui a de notoriété publique partie liée avec des éléments fascisants des sphères économiques néo-libérales.

    Cette tendance des services commerciaux à essayer de vendre des produits n’est pas neuve, mais elle prend cependant de plus en plus d’ampleur, dans une coupable indifférence générale. Devons-nous laisser les journaux vendre des abonnements ? de toute évidence, et comme vous le soulignez avec perspicacité, les fallacieux arguments employés ici relèvent de la tromperie éhontée et de la plus grossière manipulation mentale. J’irai même plus loin en rappelant que le but de ces cyniques individus n’est autre que de s’approprier la pensée des malheureux pris dans leurs filets : le système des abonnements est-il autre chose que le plus beau moyen que le capitalisme a trouvé pour emprisonner les consommateurs dans une odieuse prison mentale, en distillant son puissant venin sur la durée ?

    Ne nous laissons pas faire, vous me trouverez derrière vous, ainsi que les nombreux libre-penseurs encore trop timorés que compte ce pays, chaque fois que nos libertés seront menacées. No pasaran !



  • the southern fry the southern fry 6 février 2009 14:27

    Mais pas besoin de licence poétique, ne vous rétractez pas et dénoncez ce qui doit l’être !

    Par ailleurs, j’ai vraiment apprécié votre emploi du terme Kondukator, et les roumains qui pourraient vous lire et se souviendraient des années 70 et 80 seront tout comme moi pleinement à vos côtés dans votre noble lutte. Pensez-vous qu’une fois que le bon peuple l’aura attrapé nous devrons le guillotiner ou le fusiller ?



  • the southern fry the southern fry 6 février 2009 14:11

    J’ai lu le début de votre article, où j’ai appris que 3 chaînes représentent 80% de l’audiovisuel français. Je vous remercie de rétablir la vérité sur ce thème scandaleusement escamoté par ces messieurs les puissants, j’étais persuadé que nous disposions de beaucoup plus que 3,75 chaînes.

    Même en termes d’écoute, l’officine de barbouzes à la solde du pouvoir et connue sous le nom de Médiamétrie m’indique que TF1 + Fr2 + M6 = 54% de l’audience en janvier 2009.

    Je n’ai pas peur de poser la question : où sont passés les 26% manquants ? Même si ma petite idée sur la question pourrait bien me valoir un séjour dans les geôles infâmes de cet Etat policier, je l’expose ici sans hésitation : ils sont évidemment dans les poches des affameurs d’enfants, les complices du pouvoir que sont les patrons du CAC 40 et leurs sbires du Medef.

    Je salue donc votre courage et me joins à votre cause avec toute la ferveur qui est la mienne. N’ayez crainte, notre beau pays est peuplé d’autres libre-penseurs qui, le moment venu, seront à nos côtés même si la terreur sourde qui pose sa chape de plomb sur notre pays autrefois démocratique paralyse leurs vélléités contestataires. N’ayons pas peur de dénoncer le nouveau Ceaucescu : no pasaran !



  • the southern fry the southern fry 2 février 2009 13:57

    Intéressant, ce que vous dîtes là. Mais ne peut-on pas penser, à l’inverse, que la société mercantiliste dont parle "abdelkader17" essaie de nous faire passer pour une vertu incontournable le "festivisme" effréné et obligatoire ?

    La peur du vide est telle qu’un espace sans fête devient impensable, une espèce de gâchis insupportable. Qui n’aime pas les quartiers animés ? mais partout et tout le temps ? Je serais plutôt rassuré de voir qu’un soir de janvier, la rue Mouffetard peut être calme.



  • the southern fry the southern fry 31 janvier 2009 18:26

    L’absolue vacuité de la plupart des programmes de cette chaîne n’est plus vraiment à prouver, et on a ici un puissant enfonçage de porte ouverte.
    Heureusement, notre courageux auteur est, lui, "perméable au discernement" et il "n’esquive pas l’effort intellectuel". On respire, d’un coup, les "forces anti-révolutionnaires" (sans blague ??!) sont démasquées, le parti du Bien vaincra.



  • the southern fry the southern fry 5 janvier 2009 14:39
    Si « cul-de-jatte » relève de la comparaison peu flatteuse, je ne vois pas où est le problème avec « manchot » : peut-être souhaitez-vous nous proposer un « brachialement défavorisé » qui violenterait moins votre moderne sensibilité ?
     
    Et c’est avoir une bien piètre opinion des « personnes de petite taille » que de croire qu’elles ont besoin de votre protection sémantique pour accéder à la dignité du sapiens sapiens modèle courant.
     
    Par ailleurs, je n’ai jamais été satisfait que la femme de l’ambassadeur soit appelée ambassadrice (qui l’a nommée à ce poste ?), et àce titre j’espère bien que la dame Carla n’est pas ma présidente !

    D’accord avec vous au moins sur un point : le politiquement correct, tout le monde est d’accord pour dire que c’est mal, mais personne n’est d’accord sur ce qu’on doit y ranger, c’est pourquoi je n’utilise l’expression qu’avec parcimonie. 
    Pour le reste, je vous remercie d’apporter de l’eau à mon moulin, en parlant de « pensée korrecte » (le k jouant à peu-près le même rôle que le néo de néo-libéral : k = germanique, la suite va de soi...).
    Votre recours au mot « nègre », que nul ne regrette, est également parlant. La culpabilisation est le ressort principal du tout-venant bien-pensant : peut-être aurez-vous remarqué que la désignation courante des « personnes de couleur » est « noir », depuis un certain temps maintenant (mais pour combien de temps encore ?), et que la novlanguisation de la notion se passe à un niveau tout autre. A moins que vous ne fréquentassiez des cercles peu recommandables, ou que vous ne vous en imaginassiez entouré. Ou que vous ne souhaitassiez récrire l’ensemble de la littérature comportant le mot tabou, de l’art nègre à Agatha Christie ?
    Honnêtement, « 10 personnes verticalement différentes issues de la diversité », ça a plus de gueule que « 10 petits indiens », que fait Louis Schweitzer ?