Réchauffement climatique : il n’y a aucune preuve de son origine humaine
L’IPCC, créé sous l’impulsion des Etats-Unis et sous l’égide de l’ONU nous affirme avec force que le réchauffement climatique et l’augmentation dramatique de gaz à effet de serre sont dus à l’activité humaine, et surtout industrielle. Et ils le prouvent "scientifiquement" dans un rapport que doivent prendre pour pain bénit tous les dirigeants de la planète.
Seulement, voilà : leurs preuves scientifiques sont fausses, avec des données bidonnées, des modes de calculs erronés et de raisonnements inexacts.
Question : pourquoi continuent-ils à nier que leurs preuves scientifiques sont fausses ?
Serait-ce une raison tout aussi inavouable que les fausses preuves fabriquées par les Etats-Unis pour envahir l’Irak ?
Le réchauffement climatique
Cet article ne nie en aucune façon le réchauffement climatique. De nombreux signes convergents portent le témoignage de ce réchauffement, que ce soit par le climat mondial, la montée des niveaux des océans ou la diminution des calottes glacières pour n’en citer que quelques-uns. Personne n’est capable aujourd’hui de dire si c’est une tendance longue ou courte, mais il y a un réchauffement climatique.
IPCC = GIEC
On s’en inquiète donc et, dès 1988, ils nous fabriquent une nouvelle administration internationale pour étudier ce réchauffement climatique.
Les choses sont en place, le cirque va pouvoir commencer.
Toute l’histoire commence par le fameux rapport du Giec (Groupement intergouvernemental sur l’évolution du climat). En anglais, il s’appelle IPCC (Intergovernemntal Panel on Climate Change).
L’IPCC est un truc un peu bizarre, créé par l’OMM (Organisation mondiale de météo) et le PNUE (Programme des Nations unies pour l’environnement). Les membres sont en fait un représentant par gouvernement (pas besoin qu’il soit scientifique) et l’IPCC vient nous commettre des super rapports qui deviennent la bible en matière de climat pour l’ensemble de tous les gouvernements.
Il y a parfois quelques scientifiques, mais nous verrons un peu plus loin que ce ne sont pas eux qui commandent ni qui décident des conclusions du rapport.
Les débuts de l’IPCC (GIEC)
Jusque en gros 1995, l’IPCC tient des propos très mesurés et prudents, n’avançant des conclusions que lorsqu’elles étaient scientifiquement prouvées. Mais, petit à petit, cette tiédeur n’est plus de mise, et les scientifiques climatologues sont désavoués et doivent démissionner, comme Richard Lindzen (chaire de climatologie au MIT), Christopher Landsea, Pielke, Christy, Rieter... et il ne reste en guise de scientifiques météo (utiles quand même pour étudier le climat) que des botanistes, sociologues, économistes, bref des gens qui peuvent peut-être mesurer les conséquences d’un réchauffement, mais que leur spécialité ne place pas vraiment bien pour étudier l’origine climatologique du réchauffement planétaire.
En 1996, ils nous sortent un rapport dont le titre en français est "Résumé pour les décideurs" et en anglais "Summary for policymakers" dans lequel la branche politique de l’IPCC impose de supprimer les deux dernières réserves que voulaient quand même mettre les scientifiques :
- aucune des études citées dans ce rapport n’a démontré clairement que nous pouvons attribuer le changement climatique observé aux gaz à effet de serre ;
- à ce jour, il n’existe aucune étude prouvant que tout ou partie du changement climatique résulte des activités humaines.
Et le rapport part donc, en expliquant que le changement climatique est dû aux gaz à effet de serre et à l’activité humaine, sans aucune des réserves scientifiques nécessaires.
Les incohérences de l’IPCC sur les températures
La courbe qu’utilise l’IPCC dans son rapport de 1996 est une courbe dite de "Michael Mann" (le mec qui l’a fabriquée) qui montre que la température baisse en moyenne depuis l’an 1200 et qu’à l’arrivée de l’industrialisation du XIXe siècle, apparaît une hausse brutale de température.
Avant 1996, l’IPCC utilisait d’autres courbes qui indiquaient quelque chose de tout à fait différent. Mais la courbe de Michael Mann est devenue la vérité en 1996.
Deux petits problèmes sont malheureusement apparus : d’une part le programme statistique utilisé par Mann s’est révélé buggé avec donc des résultats faux, et récemment la méthode utilisée pour calculer la température à partir des cercles de croissance des arbres est également mise en défaut.
En tout cas, la fameuse courbe de Mann n’apparaît plus dans le rapport de l’IPCC de 2004.
Donc, on ne parle plus vraiment de mesure de température en hausse grave depuis le XIXe siècle due à l’activité industrielle. Heureusement d’ailleurs, car l’Histoire nous dit bien qu’au Moyen Âge on faisait pousser du raisin et qu’on produisait du vin en quantité en Angleterre, ce que la température d’aujourd’hui après la brutale augmentation due à l’industrie que nous assène l’IPCC ne permet pas vraiment de faire...
Les incohérences de l’IPCC sur le taux de CO2
Le deuxième argument fort de l’IPCC sur l’influence l’activité industrielle sur le réchauffement climatique est basé sur le gaz à effet de serre et particulièrement la production de CO2.
Il y a quand même également quelques petits problèmes de raisonnement. D’abord, selon les auteurs, le CO2 ne serait responsable qu’à hauteur de 40 % à 10 % de l’effet de serre. En effet, c’est surtout l’eau qui est responsable de l’effet de serre.
Il y a quand même discussion sur le sujet, même si tous acceptent le fait que le CO2 a moins d’influence que notre bonne H2O. Une conférence contradictoire scientifique vient d’avoir lieu en 2007, avec un résumé des arguments des deux.
Ensuite, leur courbe d’augmentation brutale du CO2 dans l’atmosphère est malheureusement fausse...
En effet, depuis 1811, plus de 90 000 mesures directes du CO2 de l’atmosphère par des scientifiques très divers dont deux prix Nobels récompensé pour leurs travaux sur le sujet (Krogh en 1923 et Warburg en 1933) montrent des courbes totalement différentes ! Ernst-Georg Beck a bossé deux ans pour compiler toutes ces données et la courbe qu’il montre dans son rapport raconte une tout autre histoire avec en particulier un pic de CO2 à 480 ppm en 1820 et dans le début des années 1940 alors que le taux de CO2 dramatique d’aujourd’hui selon l’IPCC est de 384 ppm.
Mais, là, ils n’en démordent pas, parce qu’ils ont "mesuré" le taux de CO2 dans les micro-bulles de la glace polaire qui leur dit le contraire. Comme si une méthode indirecte de mesure pouvait être meilleure que la mesure directe. C’est un peu comme si je refusais de considérer votre taille parce que mesurer la longueur de votre manche pour en déduire votre taille me permet d’arriver à un résultat différent, mais qui m’arrange !
J’ai trouvé là-dessus des données qui me laissent rêveur, dans un article de Jean Martin (ancien directeur de recherche au CNRS, à la retraite) : voir "Carottages glaciaires et mesures directes du taux de CO2 dans l’atmosphère" vers la fin de page.
Il apparaît que c’est un chercheur, G. S. Callendar, qui avait bâti sa théorie disant ce que l’IPCC dit aujourd’hui (à savoir l’augmentation du taux de CO2 due à l’activité industrielle) et qui, pour justifier sa théorie, a "choisi" les points qui l’arrangeaient pour fabriquer une courbe qui disait ce que lui-même disait. Quand on regarde le nuage de points d’origine, on se rend parfaitement compte que c’est du bidonnage complet !
D’ailleurs, quand il a présenté son papier en 1938 devant la Royal Meteorological Society, il s’est fait jeté.
En plus de ce bidonnage qui ne prouve donc rien (mais dont les données sont utilisées par le rapport de l’IPCC), la méthode même de mesure est mise en défaut.
En effet, toute cette technique repose sur le fait que la composition des bulles est celle de l’atmosphère à l’époque. Mais rien ne permet de le dire : en effet, le CO2 se dissout dans l’eau et les molécules de CO2 peuvent passer dans la glace. D’ailleurs, les mesures actuelles tiennent compte de ce phénomène en corrigeant l’âge des bulles de 90 à 200 ans par rapport à la glace, parce que les bulles remontent. Tu parles d’une méthode scientifique... D’autres considérations physico-chimiques (Cf. la fin du papier de Jean-Martin) détruisent encore plus la méthode. Et l’IPCC ne se base que sur cette méthode fausse en ignorant volontairement les autres qui disent le contraire.
Pourquoi cette théorie continue d’exister ?
Le rapport repose donc sur des faits totalement non prouvés et, malgré leur apparence scientifique, rien ne permet de dire que le réchauffement climatique puisse être relié de façon quelconque à l’activité industrielle.
Et la continuation de cette mascarade me gêne beaucoup, car je ne vois pas l’intérêt de fabriquer de fausses preuves.
Quand les Américains ont fabriqué de fausses preuves d’armes de destruction massives, je le comprenais : c’était pour se justifier pour aller mettre la patte sur l’Irak et piquer le pétrole.
Mais là...
A moins que ce ne soit un moyen pour justifier l’interdiction aux pays en voie de développement de se développer pour cause de destruction de la planète. Et même peut-être d’envoyer une force d’intervention américaine autorisée par l’ONU pour fermer les usines de Chine qui sont en train de détruire notre planète ?
269 réactions à cet article
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el bourrico 20 août 2008 10:12Article d’un tel parti pris qu’il en est ininteressant. Opinion confirmée par le vocabulaire employé visant a rabaisser de façon infantile l’idée qu’il entend pourfendre.
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Ca c’est un commentaire complètement con, contrairement d’ailleurs à votre commentaire suivant très intéressant. Je ne m’attarde donc pas sur celui-ci
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Calito 20 août 2008 14:27Je suis d’accord avec l’auteur de l’article.
Ne serait-ce qu’aà cause de la façon dont les tenants de la version officielle s’adressent à leurs detracteurs :
- mépris
- appel à la censure
- insultes
- refus de remise en question
et les fameux "tout le monde sait que".
Voila. -
el bourrico 20 août 2008 10:14J’ajoute que s’il n’y a aucune preuve de l’origine humaine (opinion que je suis loin de partager), il n’y a pas plus de preuve du contraire (voir même encore moins)
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CA, c’est tout à fait exact. Et c’est une remarque très pertinente. Je le rappelle d’ailleurs dans l’article, mais il est vrai que c’est au tout début, et donc on ne le remarque pas.
Mais vous avez 1000 fois raison, il est impossible de dire si oui ou non, l’activité humaine a ou non un effet sur le réchauffement climatique. Et je pense qu’il n’est pas possible de le prouver pour une raison bien simple : les variations qui seraient dues à l’intervention humaine sont trop faibles par rapport aux causes non humaines.
Cela ne veut pas dire que l’activité humaine n’a pas un effet négatif sur le réchauffement climatique, mais simplement qu’on ne peut pas le prouver, pas plus que l’inocuité de l’activité humaine sur le réchauffement climatique.
Mais tout l’article tourne autour d’une autre idée : ce n’est pas parce qu’on est convaincu de quelque chose qu’il faut fabriquer de fausses preuves pour le démontrer.
Ce dont je parle dans l’article, c’est de la fabrication de fausses preuves et c’est contre cela que je m’élève.
Pour prendre un autre exemple, je respecte parfaitement les croyances religieuses. Mais tout le monde sait se méfier des démonstrations scientifiques qui prétendent démontrer que tel dieu est le seul, le vrai.
On a eu ça dans le temps, et l’Inquisition qui torturait était dans la droite ligne des raisonnement aveugles et faux.
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Juste une dernière chose à propos de votre remarque : zéro preuve, je sais ce que c’est. Mais moins que zéro preuve, ça me fait penser au sketch de Coluche sur le plus blanc que blanc. -
La glace a poussé de 30 pour cent en un an dans l’Arctique
Discrédit total des prédictions d’un été « libre de glace » pour la première fois de l’histoire.
Prison Planet, Paul Joseph Watson, 20 août 2008
Les scientifiques alarmistes, qui prédisaient que le Pôle Nord pourrait être « libre de glace » cet été à cause du réchauffement climatique, ont été embarrassés quand on leur a révélé que la glace arctique a en fait augmenté d’environ 30 pour cent en un an depuis août 2007.
En juin, de nombreuses voix éminentes de la communauté scientifique exprimaient leur peur de la fonte massive des calottes polaires. Parmi elles, David Barber de l’Université du Manitoba, disait au National Geographic Magazine, « Nous prévoyons effectivement que cette année le Pôle Nord pourrait être libre de glace pour la première fois de l’histoire. »
« Cet été, les prévisions, et les épisodes inhabituels de fonte précoces tout autour de l’Arctique, sonnent comme un avertissement lugubre sur la rapidité de la dégradation des régions polaires à cause du changement climatique, » ajoute l’article.
En février, M. Olav Orheim, directeur du Norwegian International Polar Year Secretariat, déclarait à Xinhua : « Si la température moyenne de cette année en Norvège égale celle de 2007, la calotte glaciaire dans l’Arctique se dispersera entièrement, ce qui est fort possible à en juger par la situation actuelle. »
Comme d’habitude, la réalité ne s’est pas accordée au matraquage médiatique des oiseaux de malheur du climat.
Selon les données recueillies par le NASA Marshall Space Flight Center et l’université de l’Illinois, l’étendue de la glace arctique était 30 pour cent plus grande le 11 août 2008 qu’elle ne l’était le 12 août 2007. Il s’agit d’une estimation prudente, basée sur une projection cartographique.
Représentation de l’augmentation de la couverture glaciaire au Pôle Nord en un an depuis août 2007
Rapportée par The Register, la vidéo ci-dessous met en lumière les différences entre ces deux dates. Comme vous pouvez le voir, la glace a augmenté dans pratiquement chaque directions depuis l’été dernier, avec une forte poussée dans le nord de la Sibérie. Notez aussi que la région autour du passage du Nord-Ouest (à l’ouest du Groenland) a vu une extension importante des glaces. Quelques îles de l’archipel canadien sont entourées par plus de glace qu’elles ne l’étaient durant l’été de 1980. »
Voir la vidéo : youtube.com/v/cKLiHWRaJU4&hl=en&fs=1Mais qu’en est-il de l’Antarctique, au sud ? Les chiffres nous disent que, depuis le mois d’août 2007, la calotte glaciaire s’est étendue dans l’année de près d’un million de kilomètres carrés.
Comme le note l’article de The Register, « L’Arctique n’a pas subi la fonte prédite par le NSIDC et le Norwegian Polar Year Secretariat. Il en est même loin. En plus, certains graphiques actuels et communiqués de presse du NSIDC semblent moins que prudents. Ils ressemblent à une forme persistante de surestimation concernant la perte de glace arctique. »
La tendance au refroidissement général de la planète est à présent évidente, tandis que l’activité des taches solaires, le principal moteur du changement climatique, se réduit à presque rien.
Comme nous le signalions la semaine dernière, un grand observatoire qui mesure les cycles du Soleil depuis plus de 200 ans, prévoit que la moyenne de la température mondiale baissera de deux degrés dans les deux prochaines décennies, tandis que l’activité solaire s’amenuise jusqu’à s’arrêter et que la planète se refroidit considérablement, annonçant potentiellement le début d’une nouvelle ère glaciaire.
Pendant que les médias, Al Gore et les organismes politisés comme le GIEC font de l’alarmisme sur le péril du réchauffement climatique et demandent aux pauvres et à la classe moyenne de payer des taxes sur le CO2, des données scientifiques solides et les preuves circonstancielles indiquent une nette tendance au refroidissement.
Il reste à voir comment les défenseurs d’un réchauffement climatique créé par l’homme tourneront cela. Peut-être qu’ils continueront tout simplement à suivre leur tactique habituelle, en prétendant que tout événement géologique ou météorologique, qu’il s’agisse d’ouragans, de tremblements de terre, de sécheresses ou d’inondations, d’augmentation ou de diminution de la température, et même des 30 pour cent de croissance de la calotte glaciaire polaire, sont le résultat de ce diabolique gaz vivifiant que nous expirons, le CO2.
Original : www.prisonplanet.com/arctic-ice-grows-30-per-cent-in-a-year.html
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@el bourrico
Et tout votre commentaire pour dire qu’il y a un réchauffement climatique aros que c’est exactement ce que je dis en introduction dans le corps de l’article sur tout un paragraphe ?
Quel est votre objectif avec ce commentaire ? -
@altermoondialiste
"Il s’agit d’une estimation prudente, ..."
30% d’augmentation en un an n’est pas une estimation prudente, c’est surréaliste, du jamais vu !
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Et pendant ce temps, la Russie, la NOrvège et le Canada se battent pour les eaux territoriales avec ce fait ubuesque : la marine russe a envoyé un sous-marin planter un drapeau sous la mer pour appuyer ses revendications territoriales.
Objectif : contrôler le futur passage maritime par la mer arctique.
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@ l’Auteur. Je partage votre scepticisme. Je suis sûr d’une chose, cependant, la théorie qui prévaudra sera celle qui fera faire le plus de fric à ceux qui contrôlent les lmédias. Pour l’instant, je vois une bonne derniere curée sur le pétrole, mais vite suivie de projete trillionnairee (000 000 000 000 ) pour le dévelopement des énergies vertes en Chine et en Inde.
Projets implanté par des compagnies occidentales, avec des technologies dépendant de brevets à propriété ocidentale, projets pharaoniques payés par nos taxes via des prêts soft de la Banque Mondiale qui, de toute façon, ne seront jamais remboursés.
Pierre JC Allard
http://nouvellesociete.org/415.html
http://nouvellesociete.org/H35.html -
@ Daerel 	 	 	
Rien à voir avec les routes artiques. Il y en a 2, chacune située dans des eaux territoriales.
La route Russe (passage du nord-est) longe la Sibérie. Elle est fermée l’hiver et ouverte à partir du printemps par des brises glaces précédent des convois de cargo. Elle est libre l’été sur la plus grande partie de son parcours, sauf le long de la péninsule de Taïmir. Elle accueille un trafic interne à la Russie destiné aux ports du nord sibérien.
Le passage du Nord-Ouest, le long des côtes canadiennes, est inutilisé actuellement. Depuis le début du siècle, elle est libre de glace environ une année sur trois en moyenne. Les russes ne peuvent en aucun cas prétendre à son contrôle.
Cette route ne présente pas d’intérêt dans l’état actuel des choses : aucun port canadien ne se trouve sur cette route et l’organisation en convoi ne répond pas aux contraintes du trafic maritime.
Des investisseurs parient sur cette route. On verra bien ce qu’il en adviendra.
Le drapeau russe sur fond de l’océan artique au pôle nord s’explique dans le contexte de la recherche pétrolière. Les champs pétroliers s’étendent en artique du Canada au pôle, et les russes convoitent une part de ce gâteau... pour autant qu’il devienne accessible.
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Réchauffement climatique ? A considérer l’été qu’on vient de passer, on a du mal à y croire !!!
Pourtant la banquise fond de plus en plus vite.
Réchauffement climatique ? Ce terme tend à disparaître des médias, remplacé par les mots "dérèglement climatique" , ce qui paraît déjà plus approprié.
La réalité du moment est pire, tout ce dont on parle abondamment, existe, avec des effets plus ou moins rapides et plus ou moins bien cernés.
Mais ce qui pertube réellement le climat mondial en ce moment, et qui est tu, autant par le GIEC, que par les gourvernements, sont les atteintes à la lumière et aux préciptations causées par le trafic aérien devenu trop important.
Actuellement nous commençons à vivre mondialement, non pas dans un climat réchauffé ou déréglé, mais dans un nouveau climat, un climat inédit, inexistant jusqu’alors sur terre, le néoclimat, d’une néoplanète, qu’on pourrait appeler "Avionie". www.eauseccours.com -
Eh oui, on apprend à être un peu plus humble, enfin je l’espère...
http://www.rue89.com/2008/08/26/pole-nord-non-la-banquise-nest-pas-en-train-de-repousser -
La légende du réchauffement. moi j’ai trouvé 2008 desastreuse avec une invasion de limaces dans le jardin et un froid considérable . En vertu de cette croyance on nous déverse du soufre sur la tête pour faire du SO2 pour soi disant disperser les rayons du soleil . Le resultat est augmentation des maladies respiratoires et un ciel constament barbouillé
http://www.dailymotion.com/widget/jukebox?list[]=%2Fplaylist%2Fxko67_eddy51100_doc-arte-dans-lombre-du-ciel-
Votre commentaire déforme considérablement mon propos : vous concluez de mon article que je dis qu’il n’y a pas de réchauffement climatique.
Je m’élève contre cette affirmation, car je dis bien qu’il y a un réchauffement climatique. Et cela n’est pas vraiment discutable, car c’est une constatation par des mesures.
Ce que je dis dans l’article, c’est que les "preuves scientifiques" liant l’activité industrielle humaine au réchauffement sont fausses. En d’autres termes, il n’y a actuellement pas de preuve scientifique, ni que l’activité humaine provoque un réchauffement, ni qu’elle ne provoque pas de réchauffement.
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Pour revenir au réchauffement climatique, rien ne permet de dire comment les choses vont évoluer. Le passé montre qu’il y a des variations climatiques de grande ampleur (sans aucune intervention de l’homme qui n’existait pas) et d’autres de faible ampleur. L’amorce de réchauffement que nous constatons peut rentrer aussi bien dans un cadre qu’un autre, et à part des analyses statistiques du passé, rien ne nous permet de prédire l’avenir. En d’autres termes, on ne sait pas comment cela va évoluer.
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que de suceptibilité . J’ai simplement profité de votre article pour confirmer que le réchauffement dû à l’homme est exagéré ,mais qu’en fonction de cette croyance l’élite commence à paniquer et prendre des décisions desastreuses comme avec les chemtrails. C’est le message que j’ai voulu passer : la relation entre rechauffement et chemtrails . Répandre du soufre en haute altitude pour refroidir la terre . Il n’y a pas que cet objectif ,parce que du barium est aussi impliqué . On manipule le ciel , les mers , la terre , la santé ,les végétaux par panique de manquer. Tout cela au nom de critères scientifiques qui s’avèrent être des erreurs . Il y a pas si longtemps des gens très doctes nous affirmaient que l’on va vers une période glacière .
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@dup
Désolé, je ne sais pas pourquoi ma réponse est apparue sous votre commentaire, elle ne s’adressait pas à vous.
Cela m’est déjà arrivé quand beaucoup de commentaires arrivent en même temps : je clique pour répondre, mais comme s’autres commentaires sont arrivés entre temps, il apparait à un autre endroit. -
TALL 20 août 2008 10:34Article d’une bêtise ridicule, mais qui correspond parfaitement au créneau marketting de ce site proposant des "vérités" alternatives tous azimuths.
Des "vérités" genre "l’effroyable imposture" de Thierry Meyssan dont les ventes ont évidemment excité certains esprits cupides et cyniques.
Comme si le monde n’était pas déjà assez ignorant comme ça qu’il faille encore faire commerce de sa naïveté.
Lamentable ....-
Commentaire d’une bêtise ridicule mais qui correspond parfaitement à une crédulité aveugle sans aucun effort de réflexion.
Je vais résumer simplement l’article pour que vous arriviez à comprendre en ne lisant pas correctement :
- il y a un réchauffement climatique dont on ne connaît pas l’origine ni jusqu’ou il va aller
- les démonstrations scientifiques avancées par l’organisation politique (IPCC ou GIEC en français) sont fausses avec une démonstration scientifique de leur fausseté.
- on ne peut donc pas conclure scientifiquement, ni que l’activité humaine provoque le réchauffement climatique, ni que l’activité humaine ne provoque pas le réchauffement climatique.
- pourquoi donc, malgré la fausseté des démonstrations "scientifiques" de l’IPCC, tout le monde fait comme si ces conclusions ne sont pas discutables.
Lamentable ... -
@tall
que vient faire l’anachronisme dans le sujet ? -
TALL 20 août 2008 14:06Désolé, je ne discute jamais sérieusement avec des intégristes.
Trop vieux pour ça -
Calito 20 août 2008 14:32Tall en toute franchise, je ne partage pas ton point de vue.
Mais je t’accorde que le scénario le plus vraisemblable soit celui du rechauffement.
Seulement, je vois tellement de mauvaise foi de l’autre bord que j’ai des doutes.
Si tu prend le 11/9, seule une minorité remet en question l’attentat.
Et pour le réchauffement, seule une minoité remet en question le rechauffement.
Cependant, il y a une légère différence. On m’annonce du chaud depuis 10 ans, et j’enchainne mois d’aout pourris sur mois d’aout pourris. Et en général, quand on me dit "ce n’est pas ce qui était annoncé, mais c’est normal", je pense que l’on se fout de ma gueule.
Bref, s’il n’y a pas un article par jour sur ce sujet, pourquoi pas ? -
Calito : c’est que j’essaie d’exprimer dans mon commentaire plus bas. L’annonce du réchauffement planétaire est trop simpliste pour un mécanisme aussi complexe.
Une chose est sûr : l’activité a un impact sur la nature. Etant donné la fonte des glacier, de la calote polaire ou la désertification, on pourrait penser à un réchauffement. Par exemple, autour du village de mon grand père (au maroc), on est passé d’une sorte de garrigue il y a 150 ans à une steppe aujourd’hui.
Mais les phénomènes sont plus complexes que cela, et aujourd’hui une thèse en vogue prétend que le contre coup du réchauffement serait une glaciation. Possible, mais loin d’être sûr. -
TALL 20 août 2008 14:59Mois d’aoüt pourri par la pluie, pas par le froid
Mais le réchauffement implique justement plus d’évaporation d’eau des mers, donc + de nuages, donc + de pluies là où les nuages passent généralement ( comme en Belgique )
Personnellement, j’ai été convaincu du fait il y a longtemps déjà ( en 2000 je crois ) par un petit article de météo qui disait que sur les 10 années les + chaudes du 20e siècle, 8 d’entre elles étaient situées après 1990.
Quant à l’influence huamine, ça me paraït évident. Le CO2 est un gaz à effet de serre important, et on en dégage à donf depuis + d’un siècle, alors bon, à la longue.
T’as vu la pollution à Pékin ? Le smog quasi permanent. Et ils ont fait de gros efforts avant les JO encore bien, en fermant les usines, en alternant la circulation etc ... faut pas demander. -
Calito 20 août 2008 15:19Certes.
Je reste méfiant.
L’homme pollue c’est un fait.
Bouzille la nature, c’est un fait.
Pour autant est-il plus efficace que le soleil en matière de rechauffement ?
C’est un débar, comme je te le dis, sur lequelle je suis prudent. Je ne prend pas partit pour un bord.
Je regarde. On verra dans quelques années, je me garde le droit de ne pas être certain pour le moment.
A+
Calito. -
Vouloir simplifier le réchauffement climatique à une élévation des températures maximales est un raccourci quelque peu brutal.
Le réchauffement va correspondre de manière globale à une élévation de la température moyenne sur l’année pour la Terre. (Ce qui induit entre autres une augmentation de l’évaporation et de la production de nuage)
Les conséquences vont ensuite être variées : assèchement, pluviométrie en hausse, fonte des glaciers : tout cela va dépendre de la variation des différents climats ! -
philbrasov 28 août 2008 11:42"pourquoi donc, malgré la fausseté des démonstrations "scientifiques" de l’IPCC, tout le monde fait comme si ces conclusions ne sont pas discutables."
D’abord c’est LOIN D’ETRE TOUT LE MONDE....
Et ensuite...
L’auteur de l’article lui s’est posé la question.... Apparement PAS VOUS...
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tu mérites d’être embrassé par G.W.Bush qui pense exactement comme toi !
le business avant tout , qu’importe si la planète crève ,telle est le but de ces négationistes !-
@le chat
Sur quel sujet je pense comme Gearges Bush (ou l’inverse) ?
Avant d’affirmer ce genre de choses, il faudrait d’abord comprendre ce que j’écris, puis comprendre ce que cela veut dire, et surtout en cas d’affirmation de similitude avec Bush, dire à quel sujet ...
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Cet article ne sert à rien.
Puisque le réchauffement est indubitable, et que, selon l’article, l’effet de l’activité humaine, même s’il n’est pas mesurable, est patent, il est insdispensable de réduire sa part.
A part chercher une polémique stérile, ou faire des brèves de comptoir en raisonnant sur le réchauffement de la planète par rapport à un été pourri, ça ne sert à rien.
Il faut réduire les émissions de CO2 et la pollution par les gaz à effet de serre, et basta. -
Bazar... je suis impressionné. Un article critiquant au final les USA et en même temps le réchauffement climatique... il faut le faire surtout quand on sait que justement le gouvernement US nie le réchauffement climatique.
Un petit test tout simple :
- Quels sont les pays qui risquent de disparaïtre d’ici 2050 à cause de la montée des eaux ? Ah oui, les états insulaires du Pacifique et de l’océan indien... mais eux, tout le monde s’en fiche.
- Quand j’étais petit, je faisais des bonhommes de neige en région parisienne... Oh, c’était possible que deux-trois semaine par an... maintenant, je ne peux plus (il neige quoi ? deux jours par an maintenant dans la même région). Ma grand-mère me parlait des grandes neiges de son enfance dans la même région...
- Il suffit de regarder les troncs d’arbre et leur ligne pour se poser des questions ? Mais ça, ce sont les bucherons et les gardes-forestiers... tout le monde s’en fiche d’eux.
Au final, il y a bien réchauffement climatique de la planète. Actuellement, beaucoup l’oublie, la Terre est dans une phase chaude de sa période glaciaire (bah ouais, on est en période glaciaire). Nous sommes dans cette phase chaude depuis environ 20 000 ans (à 10 000 ans près, je ne me souviens plus du chiffre) et cela correspond au développement de l’humanité. En même temps, nous sommes actuellement dans une phase de haute intensité solaire. Cela explique-t’il le réchauffement planétaire ? On pourrait le penser... mais ceci n’explique que le fait que nous sommes en période chaude d’une phase glaciaire. Là où la bât blesse, ce sont les déréglements climatqiues de plus en plus fréquents qui ont commencé à apparaître plus ou moins (à l’échelle du temps planétaire pas humain) avec la phase industrielle initiée au XIXe siècle.
La machine climatique est une affaire complexe, il faut le reconnaître... mais actuellement, l’idée de l’origine humaine dans l’accélaration du réchauffement planétaire et donc l’apparition des déréglements climatiques est la plus probante.
Mais tout un ensemble d’humains hypocrites et avides (qu’ils soient de l’Occident ou d’ailleurs, la rapacité est un trait universellement partagé dans l’humanité) refusent de l’accepter et font de la contre-propagande. Et au final, les îles des océans indien et pacifique vont devenir de nouvelles atlantides en attendant nos rivages.
Nier le réchauffement climatique est une aberration, on le voit tous les jours. Accepter dogmatiquement les données du GIEC est tout aussi stupide. Mais voir dans les rapports du GIEC une vérité imparfaite mais qui pose une vraie problématique est responsable.
Il faudrait un jour que j’explique sur Agoravox le concept géographique de centre-périphérie et son observation dans le monde actuel globalisé... certains commenceraient à comprendre que ce n’est pas pays riches contre pays en développement mais bien humains riches de tous les pays vivant dans les centres des grandes villes mondialisées (Shanghai, Paris, New York, Londres, Abu Dhabi -je sais jamais l’écrire celui là-, Singapour...) contre le reste de l’humanité actuellement.
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Bonjour
Quand Erik le Rouge a débarqué au Groenland il n’y avait pas de glacier (d’où le nom qu’il lui a donné), Il marchait au diésel son drakkar ?
La véritable raison de cette intoxication c’est que nous sommes entrés dans une période de raréfaction de l’énergie et qu’il faut préparer les populations et les économies à une énergie coûteuse et rare en attendant les solutions de remplacement. Ces solutions existent peut-être mais les compagnies pétrolières ont tout à gagner à exploiter le pétrole jusqu’à la dernière goutte car plus il est cher, plus leurs bénéfices augmentent !
Radix -
@Daerel
Il me semble que vous n’avez pas lu correctement mon article.
Dommage, cela vous aurait évité toute une démonstration pour dire exactement ce que j’ai dit en essayant de me faire dire le contraire.
Je reproduit ici mon premier paragraphe : "Cet article ne nie en aucune façon le réchauffement climatique. De nombreux signes convergents portent le témoignage de ce réchauffement, que ce soit par le climat mondial, la montée des niveaux des océans ou la diminution des calottes glacières pour n’en citer que quelques uns. Personne n’est capable aujourd’hui de dire si c’est une tendance longue ou courte, mais il y a un réchauffement climatique."
Oser à partir de là écrire un commentaire pour dire que je nie le réchauffement climatique, c’est quelque part entre l’aveuglement et l’imbécilité. Comme vous ne me paraissez pas être dans le second terme, je suppose donc plus que vous êtes dans le premier. Aussi, pour le futur, je vous conseilelrais de bien lire un article avant d’en faire un commentaire autant à côté de la plaque.
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Possible mais tout de même, vous faites un rapprochement beaucoup trop grossier liant intérêt des pays riches (qui auraient commissionné le GIEC) contre pays en développement.
C’est là où je tique.
Le GIEC n’est pas parfait mais ses rapports montrent bien des éléments amenant à penser que l’homme est en partie responsable de ce qu’il se passe actuellement. Vous vous focalisez sur des éléments apparemment biaisés (ce dont je ne suis pas capables de dire la véracité ou non, je ne suis pas spécialiste) en omettant tous les autres (la mention que j’ai faite sur les troncs d’arbres étudités montrent l’augmentation de la masse carbonique dans l’atmosphère liée au développement industriel sans qu’une éruption volcanique d’ampleur puisse l’expliquer sur un si long terme). C’est en cela que je me suis opposé à votre article.
Maintenant, comme je l’ai dit, je pense que l’homme et ses activités amplifient une situation naturelle amenant à un déréglement possible à venir.
Pour Erik le rouge, vous devriez réviser vos classiques. COmme je l’ai dit, il y a des variations climatiques qui ont toujours eu lieu (d’où l’histoire de la colonisation du Groenland) mais elles n’ont jamais amenées à de telles modifications généralisées du climat.
Je suis franchement ouvert au débat, ces questions me passionnent mais ademettez que vous oubliez des pistes de recherche que le GIEC avance et qui sont beaucoup plus intéressantes que les courbes de température.
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nous sommes ds une periode interglaciaire commence il y a peu pres 12000a
on sait juste que ces periodes ont existes, le reste est juste de la theorie.
on sait quand meme par les recits historiques que la temperature peut varier de maniere importante : du petit age glaciaire a la periode tres chaude -
Ah merci pour la date, je l’avais oublié (et je le pensais plus ancien).
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Tiens une pure question théorique : en tant qu’ingénieur en génie chimique et docteur en informatique, qui vous emploie ?
Agoravox fait la part belle à la transparence, ça pourrait éclairer (positivement ou négativement de le savoir).
Et si vous travaillez pour une petite entreprise, elle a des contrats avec qui ?
J’avoue que depuis que j’ai lu le livre de la journaliste d’Arte sur Monsanto, j’ai pas mal de doute sur l’origine d’articles destinés à démonter des arguments scientifiques les génant !
En plus, entre être cons, aveugles ou stupides, vos contradicteurs cumulent franchement toutes les tares du monde.
Sans oublier le fameux premier petit paragraphe. En plus, vous connaissez les grands pédagogues expliquant le réchauffement climatique... mais ces grands pédagogues sont datés (encore des humains ne voyant pas la lumière) selon vous ? ET de même, vous vous axez sur la méthodologie employée par le GIEC sur les courbes de température (chose qui fait débat au sein même du GIEC) mais pas sur les autres arguments (vous parlez tout de même des carottes glaciaires) mais vous omettez que le rapport de GIEC fait des centaines voire des milliers de page.
Et comme le dit Jancovici, c’est aux spécialistes scientifiques de parler de la chose (qu’ils soient pour ou contre), pas à des passionnés ou des journalistes.
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cette date n’est pas fixe, mais une estimation
les seul trucs sur sont les recits historiques tres peu nombreux. eric le rouge est par exemple une saga qui peut dater de tres longtemps -
@Daerel
Vous me semblez avoir un bonne capacité de raisonnement. Je vous propose donc de ne pas vous enfermer dans un mécanisme où vous affirmez avoir lu des choses parce que vous avez mal lu.
Comme nous avons pas mal d’échanges et que je ne suis pas certain que ma réponse sera à proximité de la votre, je mets des citations de votre réponse pour que vous compreniez de quoi je parle.
vous faites un rapprochement beaucoup trop grossier liant intérêt des pays riches (qui auraient commissionné le GIEC) contre pays en développement.C’est là où je tique.
Je ne fais pas de rapprochement entre le GIEC et les pays riches. Ce que j’écris, c’est que le GIEC a été créé par l’OMM (Météo Mondiale) et le PNUE (environnement ONU) sous l’impulsion des USA.
l’OMM ne concerne pas seulement les pays riches, pas plus que le PNUE.
Je cite l’impulsion des USA, parce que c’est remarquable : le GIEC a des conclusions que les USA veulent nier.
Le GIEC n’est pas parfait mais ses rapports montrent bien des éléments amenant à penser que l’homme est en partie responsable de ce qu’il se passe actuellement.
C’est toute la problématique qu’aborde l’article. La conclusion du GIEC est qu’il y a parfaite corrélation d’une part entre l’activité industrielle et le taux de CO2 et d’autre part qu’il y a corrélation directe entre le CO2 et le réchauffement climatique, et donc que pour lutter contre le réchauffement climatique, il faut réduire l’activité humaine (sous entendu dans le terme corrélation directe, si on ne lutte pas contre cette activité, le réchauffement climatique est irrémédiable et si on diminue l’activité humaine, on réduira le réchauffement climatique).
Cette conclusion est fausse. Car les données permettant la démonstration sont fausses. En fait ce sont à la fois des données et le traitement des des données.
Il n’y a pas de corrélation directe ni entre l’activité humaine et le taux de CO2 de l’atmosphère, ni entre le taux de CO2 et la température.
Si le rapport du GIEC avait été qu’il existait des éléments montrant que l’activité humaine avait une influence au moins partielle sur le climat, les choses auraient été totalement différentes. Mais il vous faut le lire plutôt que de me dire que je me trompe ...
[...] en omettant tous les autres (la mention que j’ai faite sur les troncs d’arbres étudités montrent l’augmentation de la masse carbonique dans l’atmosphère liée au développement industriel sans qu’une éruption volcanique d’ampleur puisse l’expliquer sur un si long terme). C’est en cela que je me suis opposé à votre article.
Le rapport du GIEC ne relie pas les mesures dendrochronologiques au taux de carbone, mais à la température ambiante. Je ne sais pas si votre phrase est une erreur d’inattention ou si vous disposez de données que je ne connais pas, auquel cas, je vous demanderais de bien vouloir m’en communiquer les références, je suis très intéressé.
Le principe est simple : la température est le facteur n°1 de la cinétique de croissance et donc plus il fait chaud, plus les troncs d’arbre deveinnent gros cite (pour une même espèce).
Une étude récente (24 juillet de cette année) publiée par Brent R. Helliker du département de Biologie de Pensylvanie et de Suzanna L. Richter du département des Sciences de la terre et de l’Environnement de la même université montrent que ce raisonnement est en fait faux, et que même si la température a un effet évident sur le ryhtme de croissance, on ne peut pas en déduire une indication sur la température ambiante car les arbres ont un mécanisme de régulation de température qui contrarie la température ambiante.
http://www.nature.com/nature/journal/v454/n7203/full/nature07031.html#B5
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En fait, j’avoue que je ne comprenais pas votre premier paragraphe et la suite. Quand j’écrivais réchauffement climatique, je pensais réchauffement climatique « d’origine humaine ». Il faut pardonner ma paresse, ou plutôt ma tendance naturelle aux zeugmes.
Néanmoins, je pense très honnêtement que votre article aurait gagné à ne pas faire mention de son dernier paragraphe où vous mentionnez le mensonge des armes de destruction massive et l’idée que le GIEC serait une arme pour forcer les pays en développement à faire quelque chose arrangeant les pays riches.
Maintenant soyons clairs, je suis convaincu par le caractère anthropique de l’« accélération » du réchauffement planétaire (ou plus exactement des déréglements climatiques actuels) et votre article ne me convainc pas.
En effet, je ne suis pas un scientifique dur, j’ai le malheur d’être seulement historien et géographe (avec les limites de ma mémoire sur certains faits), et j’ai été initié à la critique de documents. J’ai maladroitement utilisé une expression inapropriée qui ne va pas avec vos mots du premier paragraphe.
Il n’empêche. La première chose que je vois est la suivante :
- vous vous focalisez que sur une donnée. On pourrait vous dire : et les autres ? Vous y répondez (et j’ai appris un mot, la dendojesaisplusquoi ^^) et je ne suis toujours pas convaincu (faut s’y mettre longtemps, un ami biologiste a du mal à me dé-lamarckiser comme il dit).
- Vous amenez des données extérieures au problème purement scientifique (géopolitique) ce qui est troublant dès lors.
- Vous utilisez un argument que même les scientifiques du GIEC trouvent discutable (la méthodologie employée pour le calcul des courbes de température).
- Vous occultez toutes les autres.
J’avoue que l’ambiance agoravoxienne a tendance à me rendre très critique et à partir au quart de tour (contrairement à mon travail où je m’oblige à un temps de réponse minimum de 24 heures aux choses qui me heurtent, le temps de l’internet est beaucoup trop court malheureusement)... mais il n’empêche, votre article mélange bien des choses et il est tronqué. Un rapport de plusieurs milliers de pages ne peut être démoli que par la contradiction ou la critique d’un de ses points.
D’ailleurs, si je me souviens bien, le rapport du GIEC parle de biend ’autres facteurs climatiques gênants (et en fait, on devrait plus parler de facteurs bioclimatiques). Je m’explique :
- la deforestation est montrée comme un souci majeur dans l’accumulation de carbone dans l’atmosphère. Les forêts sont des entrepôts de carbone, leur disparition amène la libération du carbone qu’elles conservaient et réduit les capacités de réabsorption du carbone présents dans l’atmosphère. Cela ne peut être nié et cela est dû au facteur humain qui n’aide pas à l’équilibre bioclimatique planétaire (la désertification et la sécheresse y sont liés).
- vous omettez aussi la capacité de prison à carbone des océans qui sont au bord de la saturation... que va-t’il se passer si ça se dérègle ?
En fait, comme beaucoup, vous voyez dans le rapport du GIEC un dogme qu’on essaie de nous asséner. Or, il n’est qu’un ensemble de pistes et de problématiques sur un fait majeur : nos domaines bioclimatiques changent bien vite en ce moment et ça risque d’être graves pour nos civislisations. Il y a des erreurs dedans évidemment... le prochain rapport du GIEC va se pencher dessus pour le comprendre.
En science et vous devez le savoir, on ne définit pas des axiomes inaltérables (on laisse ça à la religion), on remodèle, on re-étudie dès que quelque chose cloche.
Le caractère anthropique des déréglements climatiques semble apparaître des études du GIEC et les analyses m’en ont convaincues. Vous emarquerez que je ne parle pas de réchauffement climatique mais bien de déréglements climatiques (qui est majoritairement lié à une augmentation moyenne de la température mondiale, donc il peut y avoir refroidissement sur une région du monde et ailleurs, ça grimpe).
Au final, je suis extrêmement critique sur votre démarche, c’est tout l’objet d’un débat (et merci de débattre, malgré un ou deux posts agressifs de ma part, je n’ai plus l’habitude dans le coin ;)).
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@Daerel
Enfin un commentaire qui contient plein d’idées. Je trouve triste qu’il arrive au bout de plus de 50 commentaires mais c’est bien qu’il arrive de vous.
Tout d’abord réglons un point qui semblait vous gêner dans un autre post, oui, je suis bien ingénieur et j’ai bien un doctorat, et j’ai commencé une carrière purement scientifique. Et j’ai plus de 50 ans, et j’ai mon entreprise.
Ce point étant réglé, passons à la discussion.
J’avais bien compris que vous étiez un convaincu de la thèse anthropique du réchauffement climatique. Pour ma part, je suis convaincu qu’il existe effectivement une influence de l’activité humaine sur le réchauffement climatique, et je vous confirme que rien dans mon article ni dans ceux que je cite n’est à même de prouver la non influence de l’activité humaine.
Et oui, le rapport du GIEC contient bien des choses qui sont primordiales et bien autre chose que la relation entre l’activité humaine et le réchauffement climatique. Mais ce contre quoi je m’élève n’est pas la plus grosse partie du rapport du GIEC que je prends telle quelle, mais uniquement celle qui figurait dans le rapport du GIEC et qui disait que la cause du réchauffement climatique est l’activité antrhopique.
Et même le GIEC lui même dans sa troisième version du rapport (rapport 2007) a laissé tomber cette ancienne conclusion pour écrire :
"Les activités humaines ont :
- très probablement contribué à l’élévation du niveau de la mer au cours de la deuxième moitié du XXe siècle ;
- probablement concouru au changement de la configuration des vents, qui a modifié la trajectoire des tempêtes extratropicales et le régime des températures ;
- probablement entraîné une élévation de la température des nuits extrêmement chaudes et froides et des journées extrêmement froides ;
- sans doute accru les risques de vagues de chaleur, la progression de la sécheresse depuis les années 1970 et la fréquence des épisodes de fortes précipitations."
Et surtout le nouveau rapport indique désormais clairement :
- Il est très improbable que la variabilité naturelle puisse expliquer à elle seule l’adéquation spatiale entre les régions du globe qui se réchauffent sensiblement et celles où les perturbations importantes de nombreux systèmes concordent avec une hausse des températures. Plusieurs études de modélisation ont établi des liens entre la réponse de certains systèmes physiques et biologiques et le réchauffement anthropique.
- Il est impossible d’imputer totalement la réaction observée des systèmes naturels au réchauffement anthropique en raison de la durée insuffisante de la plupart des études d’impact, de la variabilité naturelle accrue du climat à l’échelle régionale, de l’intervention de facteurs non climatiques et de la couverture spatiale limitée des études réalisées.
En d’autres termes, le GIEC dit désormais qu’il est impossible de dire que l’activité humaine est la raison [unique] du réchauffement climatique, mais qu’il est très improbable que ce qui a été constaté puisse être expliqué uniquement par des phénomènes naturels sans influence de l’activité humaine.
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Reste un point de votre intervention qui n’est pas encore bien identifié et qui concerne le méthane qui risque d’être libéré des permafrost.
Vous levez là un vrai sujet d’une importance capitale. D’ores et déjà, le relâchage du méthane (je ne parle même pas du carbone de surface des permafrost qui sont sous forme de CO2) est cinq fois plus important que ce que l’on pensait.
Voir : http://www.uaf.edu/news/a_news/20060907084941.html
Le problème, c’est que je n’ai vu dans le rapport du GIEC une qulconque allusion à ce méthane, et j’ai peur qu’ils n’en tiennent pas compte (je n’ai lu en détail que le résumé de 114 pages. Au fait qui, parmi ceux qui ont fait des commentaires ont lu au moins ce résumé de 114 pages ? Il est là en français :
http://www.ipcc.ch/pdf/assessment-report/ar4/syr/ar4_syr_fr.pdf )
Les estimations actuelles sont un volume de 500 gigatonnes de gaz à effet de serre qui risquent d’être relâchés. La totalité de rejet de CO2 par an dans le monde est environ de 24 Gigatonnes.
En plus il en existe également dans le fond des océans (en couche mince sous forme d’hydrates de méthane).
On ne sait pas ce qui va se passer avec ce méthane des permafrost (enfin des gélisols comme on dit en bon français) mais cela vaudrait sans doute un article dans Agora.
Mais je ne vais pas le faire. Quand je vois l’hystérie qu’il y a autour de mon article qui s’appuie sur des données indiscutables que même l’intéressé (le GIEC lui-même) confirme dans ses rapports ultérieurs avec des lecteurs (lisent-ils vraiment) qui m’accusent de tout : malhonnêteté, insuffisante intellectuelle, manque de rigueur scientifique, mensonges, incompétence, propagande, bêtises ridicules, et j’en passe, je me demande ce que pourrait donner un article sur un sujet qui est encore en pleine étude et où les résultats publiés ne sont pas très nombreux....
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Alors il y a un souci de rédaction dans votre article : en le lisant, on a l’impression que vous niez l’implication humaine dans le « réchauffement actuel » ’je dis bien actuel) de la Terre.
Or, dans votre commentaire (si je le comprends bien), vous y adhérez. Il y a là un souci rédactionnel qui me trouble.
Enfin bref, le souci des réserves de carbone que nous commençons à toucher est une vraie boîte de Pandore.
N’oubliez pas aussi les dernières études récentes sur les capacités d’entrepôt de méthane des océans et cette grande question : si les océans saturent, ne vont-ils pas devenir eux-même des émetteurs de carbone ?
Au final, votre article aurait gagné à dire que vous critiquiez une part de la méthodologie du rapport du GIEC.
Quant à l’hystérie d’agoravox, faut s’y faire et ne pas se troubler des notes attribuées aux articles/commentaires. Faites votre article sur ce carbone contenu dans le permafrost, ça sera toujours intéressant (et à critiquer).
De même, il serait intéressant de parler de la destruction des biotopes et de l’influence que cela a sur le climat régional et à terme mondial (si des centaines de régions sont touchées, cela a une influence à terme global).
Mais en même temps, vu certains commentaires, il serait intéressant d’expliquer comment fonctionnent grossièrement les vents, les précipitations et les températures sur notre planète et d’expliquer qu’on parle de moyenne sur des décennies. LA glace peut reprendre de la vigueur pendant 2 ans mais si sur 10 ans elle a perdu malgré ces deux ans 20% de sa masse, c’est un souci. De même, sur la température, on peut avoir 3 ans de suite des mois d’août pourris mais sur une moyenne décennale, on verra une montée de châleur. La montée de 0,5 degré tous les dix ans, on ne le voit pas nous... mais au bout de 100 ans, on est à 5 degré de plus et là, ça change tout.
Mais que voulez-vous, la science est mal vue et mal appréciée en France et elles sont mal loties dans l’enseignement (que 1h30 de SVT par semaine au collège, on croit rêver !)
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@daerel
Je suis navré que vous trouviez un défaut de présentation dans on article. Et quand j’écris "navré", ce n’est pas un exercice de style, c’est que j’avais pris garde d’appliquer toutes les règles journalistiques qu’on avait voulu inculquer à l’époque à un pauvre scientifique et que je pensais avoir digéré.
- Le chapeau résume bien tout le thème de l’article et le raisonnement qu’on va y trouver :
"L’IPCC, créé sous l’impulsion des Etats-Unis et sous l’égide de l’ONU nous affirme avec force que le réchauffement climatique et l’augmentation dramatique de gaz à effet de serre sont dus à l’activité humaine, et surtout industrielle. Et ils le prouvent "scientifiquement" dans un rapport que doivent prendre pour pain bénit tous les dirigeants de la planète.
Seulement, voilà : leurs preuves scientifiques sont fausses, avec des données bidonnées, des modes de calculs erronés et de raisonnements inexacts."
- Je fais un paragraphe spécial pour bien préciser que je ne mets pas le réchauffement climatique en cause (ce qui a valu quand même 2/3 des commentaires qui me reprochent de le faire !)
- J’introduis le coeur du sujet pour bien expliquer le problème du rapport :
"Et le rapport part donc, en expliquant que le changement climatique est dû aux gaz à effet de serre et à l’activité humaine, sans aucune des réserves scientifiques nécessaires."
- Je conclus la démonstration :
"Le rapport repose donc sur des faits totalement non prouvés et, malgré leur apparence scientifique, rien ne permet de dire que le réchauffement climatique puisse être relié de façon quelconque à l’activité industrielle."
C’est donc bien le rapport (surtout la version 1 et partiellement la version 2) qui est en cause, avec des éléments qui continuent de circuler, et en particulier au niveau des différents services gouvernementaux.
La version 3 (que je vous ai cité dans un autre commentaire) me paraît tout à fait adéquate avec notre niveau de connaissances.
Et lorsque que je dis que les preuves présentées sont fausses, je ne dis rien sur le fait lui-même ! Et donc, mon article ne dit certainement pas que l’activité humaine n’a pas d’influence sur le réchauffement climatique, pas plus d’ailleurs que je ne dis que l’activité humaine a une influence sur le réchauffement climatique. En tout cas, cela faisait partie de mon objectif qui n’étais pas de donner mon avis sur quelque chose qui n’est pas prouvé, mais uniquement que de dire que la preuve présentée ne prouvait rien du tout.
Dans les commentaires, j’ai donné un avis que vous connaissez désormais, mais je ne l’ai pas donné dans l’article.
J’aimerais que -suite à nos multiples échanges- vous ayez la gentillesse de relire cet article qui vous a heurté dans vos convictions dans un premier temps et me dire si cette relecture n’est pas différente de votre première ?
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En fait, en le relisant, je me rends compte d’une chose.
Vous prouvez bien que le principe de la courbe de Michael Mann qui a été employé est fausse... mais ensuite vous généralisez. Je me suis emporté car vous parliez aussi du mensonge sur l’Irak (et vu le nombre de thèses complotistes actuellement dissertées sur ce site, j’avoue que j’ai vu rouge sans réfléchir).
Je reviens à votre généralisation. Oui, cette courbe a été montrée, remontrée pour convaincre or, elle est bugguée/fausse/insuffisante (je ne suis pas experts) mais pour affirmer comme vous le dîtes dans certaines phrases (est-ce un effet rhétorique pour appuyer votre assertion sur la courbe ?) : « Le rapport repose donc sur des faits totalement non prouvés et, malgré leur apparence scientifique, rien ne permet de dire que le réchauffement climatique puisse être relié de façon quelconque à l’activité industrielle. »
Je crois surtout que le futur GIEC a une étude à faire : que vont devenir les banques naturelles de carbone de notre planète (océans, forêt, permafrost mais surtout océans) s’ils arrivent à saturation ou sont détruits ?
Mais autrement, je me suis emporté pour ces deux choses : le rapport au mensonge américain sur l’Irak et la phrase que j’ai cité car, reconnaissant votre démonstration sur la courbe de michael mann, je ne suis toujours pas convaincu sur l’inexactitude du rapport développement industriel - accélération du déréglement climatique actuel car je subodore que la capacité naturelle des banques naturelles de carbone commencent à bugguer.
Enfin voilà, heureux d’avoir débattu avec vous même si je ne suis pas d’accord sur votre conclusion ;)
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J’ai beaucoup apprécié cet article et il m’a fait pensé à un livre d’un auteur bien connu, Michael Crichton qui s’appelait State of Fear. Le principe du livre s’est réalisé, c’est ça le plus fort. En gros, l’histoire est qu’on a remplacé la peur de la guerre froide par la peur de l’environnement pour continuer à maîtriser les populations.
Et justement, on sortait des publications scientifiques vaseuses à la place des publications scientifiques valables pour justifier l’entretien de la peur.
Je conseille la lecture de ce livre à tous, qu’ils pensent à un réchauffement climatique ou pas, dû aux hommes ou pas. Le livre est bourré de références bibliographiques qui modifient profondément la manière d’appréhender le climat. -
C’est de la mauvaise foi ou quoi ?
Je ne suis qu’un modeste technicien, loin d’avoir le temps et les compétences pour approfondir un tel sujet et modeste pratiquant la langue francaise. Mais il est clair a la lecture de l’article que l’auteur ne remet pas en cause la possibilité que l’activité humaine soit l’une des origines du réchauffement climatique. Il se révolte seulement sur la façon dont des données scientifiques sont altérées afin de prouver une théorie.
Je félicite d’ailleurs l’auteur car il est l’un des rares, avec JC Allard, a prendre le temps de répondre aux commentaires de manière très constructive sans tomber dans la débilite, la vulgarité et les parti pris qui font honneur a ce FABULEUX media citoyen...
Au- delà de l’article, Internet et Agoravox en est une caricature, devient le lieu privilégié pour les apprentis journalistes a vouloir faire croire qu’ils détiennent la vérité. Il suffit de mettre ’le lien’ qui va bien et le tour est joué. Bien évidemment le lien a été trouve grâce a un moteur de recherche en tapant les mot clefs qui vont dans le sens de l’article que l’on écrit et bien sur sans vérifier la source la plupart du temps. C’est écrit, c’est sur Internet, c’est Vrai ! J’ai 80 personnes qui ont vote ’oui’ a mon article, super, LES FRANCAIS pensent comme moi ! J’en ai 10 qui ont voté ’non’ ce sont des cons et des prosarkofachos !
Vous me faites mourir de rire les 15 même commentateurs qui se congratulent en permanence sur leur propres commentaires de décérébré de base....
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à Daerel,
vous avez raison concernant l’élévation de température vers l’an 900-1100 et la culture de la vigne en Angleterre, le climat favorable au Groenland ...
Cependant le nom donné par Eric le Rouge est aussi à but publicitaire pour attirer les futurs colons scandinaves.
De même pour le cap dit "de Bonne Espérance" au lieu du Cap des tempêtes" et le nom des iles des Antilles ...
Bon dimanche. -
philbrasov 28 août 2008 11:51Lire l’excellente étude concernant les vendanges en bourgogne... depuis 7 siècles....
année chaude.... vendanges précoces.
Années froides vendanges tardives....
VOUS SEREZ ETONNE.
http://www2.cnrs.fr/presse/communique/589.htm
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Article de désinformation !
Sur ce sujet, le site Internet de vulgarisation de Jean-Marc Jancovici (ingénieur français spécialiste dans le domaine de l’énergie et du climat mais non climatologue) :
Faut-il croire les scientifiques qui nous parlent de l’avenir du climat ?-
Greenpeace a créé un site pour dénoncer l’implication du pétrolier exxon dans la remise en question du réchauffement climatique lié à l’activité humaine
http://www.exxonsecrets.org
Deux news intéressantes que l’on peut trouver sur le site :
« Exxon finally admits denialists cause problems
Tue, 27 May 2008
Exxon has admitted - for the first time - that the climate deniers it funds are causing problems for action on climate change.
This is a first for the company which has spent, since 1998, $23 million funding the climate denial industry.
And it’s official - Exxon made this statement in this year’s Corporate Citizenship Report, released in time for its shareholder meeting.
The statement reads : "in 2008 we will discontinue contributions to several public policy interest groups whose position on climate change could divert attention from the important discussion on how the world will secure the energy required for economic growth in an environmentally responsible manner."
"Could divert attention" ? We award Exxon a special prize for the Understatement of the Year. The denial industry can be held responsible for the US’s failure to act on climate. And Exxon has been at the heart of it for more than a decade. »
« Crimes against humanity ?
Tue, 24 Jun 2008
The tipping point on global warming is close, according to James Hansen, director at NASA’s Goddard Institute for space studies.
In his speech to congress on 23 June, Hansen has issued his strongest warning yet about the state of the climate.
He focuses, at one point, on the CEO’s of major companies, singling out Exxon and Peabody in particular. "In my opinion, these CEOs should be tried for high crimes against humanity and nature." »
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@Montag
Personnellement, j’aime bien Jean-Marc Jancovici. J’ai eu l’occasion de travailler avec lui il y a quelques années et il a un style que j’aime bien. Il fait partie de la bande de l’X (dont il est sorti) où j’ai encore des amis, et c’est un mec brillant.
Cela me gêne donc beaucoup qu’on vienne citer des articles de Jancovici qui datent un peu pour venir contredire des éléments qui sont postérieurs à ces articles.
Cela dit, il a raison quand il dit que que les travaux scientifiques ne se jugent pas dans des articles de presse, mais dans les publications scientifiques.
Il a raison quand il dit qu’il faut remonter aux documents originaux, et pas à des commentaires de commentaires.
Et je vais même aller plus loin : avec vous cliqué sur les liens que j’ai mis et qui conduisent à des publications scientifiques, et aux données d’origine ?
Avez-vous au moins essayé de lire les éléments démonstratifs techniques et connaissez-vous les méthodes scientifiques évoquées ?
J’ajoute une chose : avez-vous compris que je ne nie rien du réchauffement climatique ni des risques énormes qui sont indiqués dans le rapport de l’IPCC (j’écris même que les scientifiques à l’IPCC sont compétents pour juger de l’impact du réchauffement climatique, ce qui est le point le plus important du rapport) ?
Et avez-vous compris que ce que j’accuse est simplement la fausseté de la démonstration de l’IPCC de ce que le réchauffement climatique actuel est dû à l’homme. Je ne nie même pas que que l’homme puisse ou non avoir une influence sur le réchauffement climatique, mais simplement que la démonstration est fausse.
Et mon interrogation se justifie pleinement : après tout, une fois que des actions sont prises contre telle ou telle communauté, peu importe que si l’on avait fabriqué de fausses preuves (cf le scandale de l’origine de l’intervention américaine en Irak). -
"Et avez-vous compris que ce que j’accuse est simplement la fausseté de la démonstration de l’IPCC de ce que le réchauffement climatique actuel est dû à l’homme."
Mais non bien entendu, je n’ai rien compris en vous lisant, d’ailleurs je n’ai même pas compris la phrase que je viens de citer !
Votre titre de l’article c’est "Réchauffement climatique : il n’y a aucune preuve de son origine humaine"
J’en conclu (avant même d’avoir lu le reste, que j’ai lu mais que je ne suis pas capable de comprendre selon vos dire) que c’est un article à classer dans la catégorie des sceptiques. D’où ma démarche de donner des liens vers le site Jancovici et de rappeler que les "grands noms" chez les sceptiques ont un lien avec le lobbying pétrolier. (cf le profil de Paul Reiter, Frederick Singer, Patrick Michaels, etc.)
Je fais peut-être un amalgame mais j’assume... (et puis de toute manière, suis-je réellement capable de comprendre le mot amalgame ?)
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@montag
Je me demande effectivement si vous en comprenez le sens .... -
Oups excusez-moi ! Mon cerveau d’incapable a fait un raisonnement implicite qui, semble-t-il, n’était pas de votre portée !
L’amalgame, c’est de vous associer au lobbying pétrolier (notez tout de même le « peut-être », je n’ai en effet aucun élément tangible sur lequel me reposer).
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@Montag
?????
Mais quel pourrait donc être l’élément dans mon article ou dans une quelconque de mes interventions qui pourrait vous laisser croire que je puisse être en relation quelconque avec le lobby pétrolier (à part votre imagination laissée en roue libre).
Ensuite je ne vois toujours pas où il y aurait un amalgame, à moins que vous ne vouliez dire que je suis le lobby pétrolier.
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Bonjour l’auteur,
Certains articles de monsieur Jean Marc Jancovici datent un peu sur son site.
Cependant ses récents exposés et conférences montrent bien que sa pensée n’a pas varié et , en autres, il n’a aucun doute exprimé, que l’influence des activités humaines sont les principaux contributeurs aux variations climatiques.
Certes des phénomènes naturels existent aussi (variation de l’irradiation solaire mais périodique, émissions volcaniques, influence des nuages bas etc...).
De même il ne me semble pas judicieux de prendre , sans cesse, l’exemple du mensonge des USA sur la présence d’armes de destructions massiques en Irak pour justifier l’invasion de l’Irak.
Car sinon nous douterions de tout sur cette base (rotation de la terre, théorie de Darwin, origine de la vie, origine de l’homme, etc.).
Bonne journée. -
Le terme de "preuve" (ou non ) de réchauffement climatique me gène et ne convient pas dans une argumentation sur un sujet d’une telle complexité
Mieux vaut parler de "convergences d’indices" et de degré (plus ou moins haut) de probabilité
Je rejoindrais plutôt les mises au point de Jancovici ( liens ci-dessus) . Mais il faut le lire attentivement-
@Zen
Vous avez peut-être lu attentivement Jean-Marc, mais moi, vous ne ’avez pas lu attentivement :
J’affirme qu’il y a réchauffement climatique, et même, j’utlise une formule proche de celle que vous souhiatez : "De nombreux signes convergents portent le témoignage de ce réchauffement, que ce soit par le climat mondial, la montée des niveaux des océans ou la diminution des calottes glacières pour n’en citer que quelques uns."
Mon article ne porte donc pas tant sur le réchauffement climatique que sur la fausseté des démonstrations de l’IPCC qui lient directement l’activité humaine au réchauffement climatique. Comme je n’ai pas arrêté de l’écrire pour répondre aux commentaires qui constituaient plus des professions de foi sur le réchauffemnt climatique que sur le sujet de l’article, je ne dis même pas qu’il n’y a pas de lien, mais simplement que les démonstrations de l’IPCC qui servent à la conclusion de devoir diminuer les activités humaines (ce qui a des effets terribles sur l’économie et donc sur notre vie quotidienne) sont fausses. -
La vérité commence à transpirer.
Elle finira par éclater au grand jour.
Quand les humains auront subi 2 ou 3 hivers avec les rivieres gelées pendant 1 mois, ils comprendront mais les escros ne seront pas punis comme d’ab.-
Que les rivières gèlent de plus en plus n’est pas la preuve que le réchauffement climatique n’existe pas.... bien au contraire.
Petit exercice de climatologie : Pourquoi Edimbourg qui est au même parallèle qu’Oslo a un climat beaucoup plus doux ? Réponse : le Gulf stream (http://fr.wikipedia.org/wiki/Perturbation_du_Gulf-Stream#Possibilit.C3.A9s_de_disparition_du_Gulf-stream), un courant océanique chaud qui adoucit les climats de l’ouest européen. Si les glaces de l’Arctique persiste à fondre, cela refroidira le Gulf stream, refroidissant l’Europe. En clair, réchauffement climatique ne veut pas dire création de la Terre en four mais chaos climatique généralisé avant recomposition globale.
C’est là le gros risque. Après, l’origine humaine ou non, les gens s’étripent dessus pour des motifs idéologiques et économiques. La réalité, c’est qu’on risque tous d’avoir mal bientôt (en terme planétaire, pas humains).
C’est déjà arrivé comme le dit l’auteur (le grand froid en Europe au XIIIe siècle). Maintenant, nier l’influence humaine me semble éxagérer. Nous avons faits, nous humains, un choix de développement basé sur les énergies carboniques polluantes qui accroissent l’augmentation de CO2 dans l’atmosphère. Cela est une réalité.
Après, il y a un ensemble de convergences amenant à penser que l’homme en est en partie responsable. C’est tout.
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@Daerel
Je suis assez d’accord avec tout le commentaire. A commencer bien entendu par celui à propos de AYE qui n’a pas vraiment de logique ni d’orthographe d’ailleurs (les fautes ne sont pas des fautes de frappe ...).
On peut penser effectivement que l’activité humaine a une influence sur le climat. On ne sait pas à quel degré, mais sachant que l’on rejette du CO2, on peut penser que l’influence existe.
Cependant, il y a certainement d’autres facteurs qui sont bien plus importants, puisque les mesures directes de CO2 dans l’atmosphére nous indiquent deux pics à 480 ppm en 1820 (où l’influence industrielle était évidemment faible) et en 1942 alors que le taux actuel est autour de 380 ppm. Et on ne parle que du CO2 qui n’est pas le gaz le plus important en terme de réchauffement climatique dont on ne connait d’aileurs pas bien le mécanisme !
Et je suis également d’accord sur le fait qu’on ne puisse guère aller plus loin dans les conclusions sur ce sujet. Ce qui me fait peur dans la conclusion fausse de la prépondérance de l’activité humaine dans le taux de CO2 d’une part et dans le réchauffement climatique d’autre part, c’est que les gouvernements commencent à envisager des mesures pour stopper certaines activités humaines pour sauvegarder le climat.
Et c’est probablement quelque chose du genre qui fait que puisque les USA ne peuvent plus nier l’interaction directe entre l’activité économique et le réchauffement climatique du fait des "preuves" de l’IPCC, les USA nient désormais le réchauffement climatique lui-même !!!
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Salut,
Je trouve que même si ce qui est dit dans cet article est vrai (ce dont je doute) ... il serait tant de vivre en harmonie avec la planète ne serait-ce que pour préserver le peu de biodiversité qu’il nous reste ! non !?
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Je ne crois pas que l’absence d’influence humaine soit prouvé par ce que vous dites, tout simplement parce que ce que vous apportez ne sont pas des preuves, avec un mécanisme prouvé, mais des faits supplémentaires.
Par exemple, l’eau. Effectivement, la vapeur d’eau induit plus d’effet de serre que le CO2. Mais par contre, l’eau, contrairement au CO2, se condense dans la haute atmosphère. On appelle cela des nuages. Hors les nuages jouent un rôle dans la réflection des rayons du soleil. Bref, cet effet de serre de l’eau est extrèmement relatif.
Ensuite, le CO2 produit par l’humanité n’est peut être pas suffisant pour changer le climat, mais il l’est probablement pour démarrer une réaction en chaîne. Par exemple, un réchauffement suffisant pour commencer à faire fondre le permafrost sibérien. Il se trouve que ce permafrost contient des quantités hallucinantes de méthane. Hors ce gaz est (un peu comme la vapeur d’eau) 8 fois plus actif pour l’effet de serre. Si le permafrost sibérien fond, nous aurons une réaction autoentretenue aggravant l’effet de serre : un phénomène naturel, mais démarré par l’homme.
Ensuite, une des critiques vis à vis de la responabilité humaine vient souvent d’un manque de preuve. C’est malheureusement vrai. Toutefois, j’aimerais à rappeller quelques phénomènes pour lesquels nous manquions de preuve. Tout d’abord l’amiante : dès 1910, les assureurs ont fuis comme la peste tout idée de produit lié au risque sur l’amiante. Pourquoi ? Parce qu’on soupçonnait déjà fortement une corrélation entre l’amiante et certaines maladies. Mais nous n’avions pas de preuves sur le mécanisme exact liant l’amiante au cancer. Nous avons donc joyeusement tartiné de l’amiante un peu partout pendant plusieurs décénnies. Ensuite le tabac : cela fait déjà des siècles que tout le monde avait constaté l’effet néfaste du tabac sur la santé, pourtant aucune restriction, aucun avertissement pendant longtemps. Pourquoi ? Parce que le mécanisme liant tabac et cancer n’avait jamais été démontré. Même lorsque les corrélations statistiques ont été sans appel, les producteurs de tabac ont continué à nier sous prétexte qu’il n’y avait pas de preuve sur le mécanisme précis. Ces preuves n’ont d’ailleurs été trouvé que dans les années 80.
En clair, pour un grand nombre de phénomènes naturels, ce n’est pas parce qu’il n’y a pas de mécanisme correctement déterminé, qu’il n’y a rien.
Donc dans le cas du réchauffement climatique, qui a raison ? Difficile à dire. Pour ma part, je pense que l’activité humaine esst effectivement en cause. Une chose me fait penser cela : l’activité humaine en terme de volume. Je me rappelle qu’en première année de fac, notre prof de chimie nous avait fait la remarque suivante : dans le cadre d’une expérience, on isole une partie de l’univers pour observer les phénomènes, "l’univers" restant tout le temps stable dans sa composition, même si l’on rejette une partie des produits de l’expérience dans l’univers. Dans le cas du moteur à explosion, cela se tient parfaitement : les rejets d’un moteur ne modifie pas fondamentalement la composition de l’atmosphère terrestre. Mais que se passe-t-il lorsqu’il y a un milliard de voiture, plus les deux roues, plus les avions, plus les usines, plus les centrales, et même plus les vaches ? La quantité de gaz émise change significativement la composition de "l’univers", c’est à dire l’atmosphère terrestre.
La question n’est donc pas de savoir si l’activité humaine a un impact, mais quelle est la nature de cet impact.
Et c’est là que j’ai quelque doute. Tout d’abord, s’il nous semble oberver une modification du climat, nous manquons cruellement de recul pour avoir une certitude sur ce phénomènes. Ensuite, le climat terrestre est un mécanisme autrement plus compliqué qu’un moteur à explosion. De fait, il faut tenir compte de la chimie, de la mécanique des fluides, de la thermodynamique etc... Bref, une première réaction peut parfaitement déclencher une réaction contraire (en apparence).-
Je voudrais également revenir sur l’argument de la culture du vin qui me semble d’assez mauvaise foi.
Le fait que les vignes soient présentes au XIXème mais plus au XXème n’a strictement aucun rapport avec le climat, mais uniquement avec d’autres variables.
La première variable, c’est la consommation quasiment nécessaire de vin : pour la messe (motif religieux), pour l’hygiène (celle-ci n’éxistant pas, le vin se révèle plus sain que l’eau), et tout simplement pour l’aspect récréatif. La seconde variable, c’est l’absence de transport moderne : même avec les chemins de fer (très récent au XIXème), le volume de marchandise transportée est faible. L’importation de vins bordelais se limite donc à une clientèle riche. La consommation de vin est telle que les volumes concernés ne peuvent pas venir de très loin. Il y a donc nécessité absolue de cultiver de la vigne y compris en angleterre.
C’est la révolution des transports qui tue ces cultures (que ce soit en angleterre ou même en lituanie).
Car si la culture est possible, elle n’est en revanche pas optimale. Par manque de soleil, un hectare de vigne anglaise n’a pas le même rendement qu’un hectare du sud français, que ce soit en terme de volume ou en terme de qualité. Au délà de l’absence de soleil, les régions n’ayant pas la bonne terre ont également vu leur culture vignoble disparaitre : Argenteuil ou Chanteloup les vignes produisaient beaucoup de vin. -
Je plussoie ce commentaire et critique l’article de l’auteur.
Ce dernier présente quelques argumentaires scientifiques - ou plutôt la défaillance dans d’autres démonstrations - tout en se limitant sur un seul axe pour en arriver à des conclusions dangereuses dans la formulation (il suffit de lire le titre de l’article). Comme tant d’articles sur Agoravox qui tendent non pas à l’objectivité ou la nuance mais à tisser un ensemble de faits pour en arriver à l’opinion de l’auteur (d’où l’expression dans la description de l’auteur : "par le petit bout de la lorgnette").
Et de surcroit, en se limitant sur ce seul axe, il occulte tous les autres faits ou principes, qu’ils soient scientifiques, empiriques (exemple de l’amiante), de responsabilité (principe de sécurité) ... bref on ne déduit pas d’une ou deux trouvailles une telle conclusion formulée de manière à influencer le lecteur sur un sujet aussi important.
On se limite à dire qu’une courbe est buggée, et point barre. On ne va pas plus loin.
Article de style "raccourci" - aurait mérité d’être écourté sur les seuls faits, atténué dans ses conclusions (émettre des réserves ?) ou complètement développé sur les différents aspects du réchauffement climatique. -
@zalka
Vous avez parfaitement raison, mon article ne prouve pas que l’activité humaine n’a pas d’influence sur le réchauffement climatique. Mais il ne cherchait pas à le prouver non plus.
L’article n’avait qu’un seul but, c’est de remettre les pendules à l’heure sur les versions 1 (1997) et 2 (2004) du rapport du GIEC où ce rapport affirmait qu’il y avait une relation directe et unique entre l’activité industrielle et le réchauffement climatique, chose que l’on voit constamment écrit et répété par gouvernants, associations et public.
La nouvelle version du rapport de 2007 ne le dit plus, et je suis d’accord avec la nouvelle formulation qui se contente de dire qu’une explication du réchauffement climatique par des raisons uniquement naturelles est peu probable.
Je sais que certaines associations et groupements se basent sur la fausseté des démonstrations des V1 et V2 du rapport du GIEC pour dire que le dit rapport n’est pas bon et que d’autre part, il prouve que l’activité humaine n’a pas d’influence sur le réchauffement climatique. Ce n’est pas ce que je dis, et je n’ai jamais fais semblant de le dire dans mon article.
Pour préciser mon opinion dans ce commentaire (c’est à cela que servent aussi les commentaires), je trouve le rapport V3 du GIEC très très bien sans aucune réserve et je suis persuadé que l’activité humaine a une influence partielle sur le réchauffement climatique.
Mais ce n’est pas dans l’article dans lequel il ne faut certainement pas chercher plus que ce qu’il y a. -
pour moi, la seule preuve tangible de la "culpabilité" humaine de ce rechauffement, c’est la vitesse a laquelle il se produit
Dame nature a l’habitude d’unité de temps bien plus grande, le mini etant le millenaire, alors que là on est dans l’echelle de temps de la decennie
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Ca peut être très rapide un phénomène climatique. L’éruption du Krakatoa à eu des effets climatique quasiment immédiat.
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quand les glaces ont fondue il y a 12000a, ca a ete rapide
peut etre que les atlantes etaient coupables......... -
@GOC
Zelka et foufouille ont déjà répondu.
J’ajouterai que Dame nature n’a pas de préférence pour les phénomènes lents par rapport aux phénomènes brutaux. J’ai en particulier en tête les mammouths qu’on désenfouit de la glace pour récupérer les défenses (qui ne sont pas frappées de l’embargo sur l’ivoire) et où l’on peut constater une mort par gel extrèmement brutale puisque leur estomac contient encore des herbes non digérées.
Et donc si la seule "preuve tangible" est la cinétique du réchauffement, on est mal barré, parce qu’on est encore dans la fourchette de ce que peut faire la nature sans l’homme dans un espace de temps aussi réduit que 200 ans. Surtout que la température actuelle est à peu près celle qu’il y avait sur terre au 13e siècle.
De plus, compte tenu des habitudes de pas mal d’intervenants que cela ne gêne apparemment pas de me faire dire ce que je n’ai pas dit, je précise que ce n’est pas parce que je ne suis pas d’accord avec votre raisonnement que je nie la conclusion : c’est la démonstration que je mets en doute, pas le fait que l’activité humaine a une influence sur le réchauffement climatique.
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@l’auteur
je persiste dans mon raisonnement. Vous me donnez des exemples ponctuels (comme un volcan) et tres limité dans l’espace (le gel d’un mamouth siberien ne prouve pas que le climat s’est refroidi en polynesie) . Moi je parle de phenomene planetaire trop rapide pour etre naturel
De plus l’exemple des volcans est bien representatif, a la fin du tertiaire on pense que ce sont les volcans siberiens qui ont fait disparaitre 90% de la vie , mais on sait maintenant que tout brutal que fut ce phenomene il a quand meme duré plus de 10 000ans. -
Cela fait 2 articles en 2 jours afin de détruire le combat contre le réchauffement de la planète, c’est quoi ce lobbying sur Agoravox ?
Quoi qu’il en soit, 3 réflexions :
1. Que ce soit par la diffusion massive de CO2 (réchauffement de la planète) ou par la pollution qui s’étend sur la planète, il est clair que notre mode de vie actuel ne nous aménera qu’à notre perte (sans oublier la destruction de la biodiversité auparavant). Donc le combat pour des énergies et un mode de vie propres restera de toute façon le défit de notre jeune siècle.
2. Dans une "grande cause", il y a souvent une partie qui a un intérêt financier qui rentre en jeux. J’attends toujours de voir quel serait l’intérêt financier de Greenpeace ou des autres mouvements écologistes à combattre les énergies sales. Par contre, je vois bien l’intérêt d’Exxon, Total et autre à nier l’influence humaine dans le réchauffement climatique.
3 Ce même réchauffement, ils ont commencé par le nier tout simplement, jusqu’à ce que les preuves accumulées ne fassent plus aucun doute... Alors maintenant, ils nient l’influence de l’homme sur le réchauffement... C’est quoi l’étape suivante ?-
vous ne voyez pas l’interet financier de Grennpeace.... voyez vous l’interet financier des islamistes ?
Savez vous ce qu’est un "dogme" ?
Cela dit la demarche policière consistant a trouver l’interet des uns et des autres peut etre d’actualité a condition de savoir faire la difference entre l’opportunisme et la responsabilité. Puisque le climat se rechauffe, surfons sur la vague de la culpabilisation et tirons en profit ! voila une phrase que ne rebierait pas Greepeace, organisation autant politique qu’ecologique.
Dans cette affaire nous sommes en presence du paradigme de l’oeuf est la poule. le gaz carbonique est il la cause ou la resultante du rechauffement climatique ? Oui je sais vous allez immediatement rejeter cette simple question, pourtant de nombreux scientifiques commencent a mettre en evidence les taux de CO2 anterieurs a l’elevation de temperature.
Ce qui me gène dans tout ça, moi, petit beotien et probablement beauf de banlieue par rapport a tous les doctes intervenants, ce sont les faisceaux de convergeance entre les problèmes climatiques que nous connaissons et l’enrichissement de certaines compagnies.
Les problèmes climatiques me semblent vraiment independants de l’homme ne serait-ce que par les energies mises en oeuvre. Pensez un peu a l’energie degagée en surface par le dernier tremblement de terre en chine par rapport au piege a UV et infratouge qu’est le CO2 pour faire correspondre et obtenir le même resultat. et des tremblement de terre, il y en a, regardez le tsunami.... rien que ça cela peut avoir un effet de quelques fractions de degres sur tout le globe.
Tout ce barouf me laisse croire que faire focaliser le monde la dessus permet de cacher des choses beaucoup moins jolies, comme l’ensemencement des oceans au profit de ces multinationales mais egalement l’incurie de nombreux etats qui permettent la ruine de la biodiversité, la pollution et tous les avatars que nous rencontrons aux quotidien, partout : rivieres imbuvables, assechement des zones humides, irrigations de zone seche... (vou connaissez la mer d’aral ?) etc
Je prefereais de loin, de tres loin, entendre Greenpeace parler avec les industriel sur les emballages, les dechets, l’eau, la qualité, les baleines (bon, ça ils le font) plutôt que d’essayer de convaincre comme on hurle avec les loupq, de la responsabilité de l’homme dans le rechauffement planetaire. -
Vous voulez voir les combats de Greenpeace ? et bien allez simplement déjà sur leur site web, et vous verrez qu’il n’y pas que le climat :
en 20 secs, voilà ce que j’ai trouvé :
http://www.greenpeace.org/belgium/fr/campaigns/climat
http://www.greenpeace.org/belgium/fr/campaigns/oceans
http://www.greenpeace.org/belgium/fr/campaigns/substances-toxiques
http://www.greenpeace.org/belgium/fr/campaigns/forets
Et concernant la mer d’Aral
http://www.greenpeace.org/canada/fr/apropos/vertfonce/fevrier-2008
Mais c’est sûr que si vous ne regardez que TF1, les causes de Greenpeace paraissent limitées… Bon, j’y vais un peu fort, mais vous comprendrez certainement mon agacement face aux inepties que vous avez sorties...
Puis il n’y a pas que GreenPeace, il y a des milliers de bénévoles, d’associations...
Il est vrai que le climat apparait souvent comme un combat des plus important pour les écolos, mais c’est aussi parce-que c’est un tremplin pour informer la population sur notre mode de vie en général, et sur son effet dévastateur pour notre environnement.
Alors oui, Greenpeace existe aussi grâce à ce combat, mais avouez franchement : Qui a le plus à perdre dans cet enjeu ? Certainement des entreprises font et feront leur beurre grâce au combat contre le réchauffement climatique, mais certainement pas autant que Total et ses 15,8 milliards de dollars en 2006 et ses 16,7 milliards en 2007 (Résultat net). -
Après le rapport de l’IPCC, voici le document du NIPCC :
http://www.pensee-unique.fr/NIPCC_VF_04.pdf
Un autre document, en anglais, explique que le climat est influencé par des phénonèmes de rétroactions négatives, et que quelque soit la quantité de CO2 que dégage l’être humain, les températures ne pourront pas dépassé les 1 degrés :
"Low climate sensitivity and other inconvenient truths" Dr. Luboš Motl.
http://junkscience.com/july08/cep-eng.pdf-
Je serai très curieux de savoir qui finance cette ONG ? AH oui ! Les firmes pétrolières ou le slobbys conservateurs américains. Cela me rappelle ces scientifiques de Monsanto démolissant les pauvres universitaires italiens ou britanniques ayant fait l’erreur de reproduire leurs epxériences... sans falsifier les données.
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el bourrico 20 août 2008 11:58Mon commentaire est peut être completement con, mais t’avais qu’a mieux choisir tes mots et éviter de dénigrer ceux qui pensent autrement. Article con -> commentaire con.
C’est tout.-
el bourrico 20 août 2008 12:04Et je pense qu’il n’est pas possible de le prouver pour une raison bien simple : les variations qui seraient dues à l’intervention humaine sont trop faibles par rapport aux causes non humaines.
Vous avez vraiment fait de la chimie pour affirmer une énormité pareille ? Rien ne vous autorise à dire ça, c’est de la propagande sans aucune argumentation.
Prenez un système fini, comme l’endroit ou nous vivons, voyez le volume du contenant, voyez les volumes que nous rejetons, voyez en combien de temps et dans quelles proportions nous modifions la composition chimique de l’atmosphère, et osez encore dire que c’est négligeable devant je ne sais quoi.
Vous savez que les extinctions de masse sont dues à des changement brutaux d’environnement ? et quand on dit brutaux, ça reste à l’échelle géologique... Vu la vitesse à laquelle on va, ça deviens de l’instantanné à cette échelle la, et vous devriez savoir qu’un équilibre chimique met du temps à s’établir, avec la brutalité du changement actuelle, ça va osciller fort, et longtemps avant de s’amortir.
Bref, en dehors d’une histoire de montage de preuve dont je me fous, puisque qu’elles soient vraies ou fausses, elles sont ignorées, décriées, trainées dans la boue, je pense que vous tenter de déresponsabiliser l’espèce humaine, comme quoi elle n’y est pour rien, et que donc, ben ma foi, allons y gaiement.
C’est limite criminel, voila pourquoi je trouve cet article sans intérêt, et je le redis.
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@el bourrico
Commencez donc par lire ne serait-ce que le résumé du rapport V3 du GIEC (publié en 2007). Je vous donne même le lien : http://www.ipcc.ch/pdf/assessment-report/ar4/syr/ar4_syr_fr.pdf
Et si vous n’avez pas le courage de le lire en entier, allez directement en haut de page 7, deuxième paragraphe qui dit :
"il est impossible d’imputer totalement la réaction observée des systèmes naturel au réchauffement anthropique"
Ce sera certainement plus utile que de vous enflammer en ne connaissant probablement pas bien le sujet. -
Si au moins, la mise en garde du GIEC, nous permettait d’aller toujours plus en avant vers un mode de vie respectueux de l’environnement, ça serait déjà une très bonne chose...
Si les moyens mis à disposition pour accélérer le remplacement du pétrole et du charbon, par des énergies propres et efficaces, étaient décuplés, ce serait également une très bonne chose.
Et si les compagnies pétrolières et l’industrie de l’armement, ne contrôlaient plus la marche de ce monde, ça serait aussi une très bonne chose...
Mais avec des si...-
je pense quand meme que 6 milliards de bestioles ca pollue. bon on a quand meme tuer toutes les autres pour faire de la place
le probleme est que ceux qui crie au loup sont des voynet et autre accros au pouvoir. comme d’hab tout ceux qui ont des theories ont un parti pris-
Vous proposez quoi pour les empêcher de respirer ?
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nous faisons bcp plus de choses que les animaux. les solutions ecolo comme les maisons passives existent, seulement ces solutions sont reserves aux riches. elles ne peuvent etre soutenu par les gds froupes car la consommation est tres faible........
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Même si l’origine anthropique du réchauffement climatique n’était pas établi , il n’en reste pas moins le problème des matières premières limitées , de la croissance démographique un peu folle, de la pollution galopante...d’où la nécessité de revoir nos schémas de développement , la notion de croissance, etc...
Faisons alors le pari de Pascal . Il n’y a rien à perdre , il y a tout à gagner !-
@koudou
félicitations à l’auteur ; plus on fait des mesures sur les évènements du passé , plus on disculpe l’activité humaine d’être à l’origine d’un changement climatique ; on découvre ainsi que du réchauffement a parfois précédé une augmentation de CO2 ; ou d’autres évènements voir lien vers un doc du site du CEA
http://www.cea.fr/le_cea/actualites/le_climat_a_bascule_de_facon_extrememen t_brutale
vous êtes courageux de le dire ; il est clair que l’hystérie collective telle qu’elle est organisée avec les procès staliniens faits à tout contradicteur, ont quelque chose de très suspect.
Quant au dédain affiché du connard au chapeau qui infeste ce forum, qu’il se le prenne en boomerang en pleine poire.-
TALL 20 août 2008 13:09Le jour où l’on créera Boursavox, j’en connais qui investiront dans la location de skis pendant qu’on se promènera en chameau à Paris ...
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Ce site existe déjà : c’est le forum de boursorama.
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@lerêveur
Merci de votre commentaire.
Non pas tellement pour les félicitations, mais enfin parce que vous me semblez être un des premiers à avoir lu mon article et d’avoir compris qu’il ne parlait que de la relation entre activité humaine et réchauffement climatique.
Dans les gens que je rencontre tous les jours, je n’ai jamais rencontré une telle concentration de gens qui ne comprennent pas ce qu’ils lisent. Ici, la plupart partent en commentaire sur leurs croyances personnelles plus ou moins justifiées par le sujet, et accusent l’article de dire des choses qui n’y sont pas. Le pire est probablement le fait que la moitié des intervenants vient me traiter de je ne sais quoi en prétendant que je nie le réchauffement climatique alors que j’écris en toute lettres et en début d’article qu’il y a un réchauffement climatique !
Il y en a même un qui vient douter de la réalité de mon profil et en profite pour expliquer que parce qu’il en doute, mes arguments ne sont pas valables. Un comble ...
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ronchonaire 20 août 2008 13:06Il y a quelque chose que je n’ai jamais compris : pourquoi se focaliser uniquement sur le réchauffement climatique ?
Je ne suis pas expert en la matière mais admettons que vous ayez raison : l’activité humaine n’est pas forcément la cause du réchauffement climatique. Il n’empêche que cette activité a quand même des retombées très graves sur la planète : pollution des sols, de l’air et de l’eau, lutte pour le territoire et pour les ressources naturelles avec les autres espèces animales qui conduit à leur extermination, baisse de la biodiversité aussi bien végétale qu’animale.
Le fait que l’activité humaine ne soit peut-être pas à l’origine du réchauffement climatique ne nous dédouane pas pour autant de faire des efforts pour minimiser notre impact négatif sur la planète. Par conséquent, les efforts entrepris aujourd’hui au nom de la lutte contre le réchauffement climatique ne sont à mon avis pas vains car ils permettent quand même de réduire les autres nuisances que notre espèce inflige à l’environnement naturel de toutes les espèces vivantes.-
C’est peut etre bien à ca que sert l’epouvantail du rechauffement climatique. Il nous fait perdre de vue les rivières polluée, l’ai empoisonné, la nourriture avariée, le gaspillage des ressources. Et ca ; il n’y a pas besoin d’attendre 2050 pour en subir les effets.
Mais le gouvernement agit energiquement, il taxe 20 000 véhicules par an. J’espère que vous vous en souviendrez avec gratitude le jour ou on vous annoncera que vous avez un cancer grace aux cochonneries que vous avez ingurgitées tout au long de votre existence. -
on appelle ca la manipulation des masses ou comment "agiter un drapeau rouge devant le taureau"
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@ronchonaire
Votre commentaire, simple à priori, m’a fait penser à poupée russe. Chaque fos que j’allais partir sur une réponse, je trouvais une autre idée à l’intérieur de l’idée précédente ...
Je vais essayer de retouver mes petits.
L’activité humaine a effectivement d’autres effets que le réchauffement climatique (pour être plus exact dans la formumaltion i vaudrait mieux dire "influence d’autres effets").
Votre remarque nous rapproche très fort de la notion de développement durable, et donc non seulement des questions d’environnement et de ressources, mais aussi de l’économie, du social, des hommes et des civilisations. Le gros problème du millénaire à venir sera d’arriver à nourrir et abreuver tout le monde. Et il va falloir trouver des mesures intelligentes avec des taux de transformation de l’énergie solaire autrement meilleurs que ceux qu’ils sont avec les céréales, ou pire, avec la viande.
Dans votre remarque sur le fait qu’il nous faut minimiser notre impact sur la planéte est tout à fait juste, mais il pose plus de questions qu’il n’en apporte. Par exemple, pour diminuer le besoin en nourriture (avec un bilan global qui devient problématique), il y a deux types d’actions : augmenter la quantité de nourriture ou diminuer le nombre de gens qui mange. Si on prend le terme de diminuer le nombre de gens qui mangent, faut-il limiter à tous les foyers (comme ils ont tenté de le faire en Chine) à 1 seul enfant ? Et si cela ne suffit pas, comment va-t-on tirer au sort ceux qui auront le droit d’en avoir un ? Sans compter que dans certaines civilisations, n’avoir qu’un seul enfant est un véritable renonciation à a vie et contraire aux traditions et à la religion. Sans compter l’inégalité entre garçons et filles dans certains pays comme l’Inde où le problème risque d’arriver plus vite qu’on ne le pense.
Si on prend le terme d’augmenter les rendements de production alimentaire, comment faire sans passer par des OGM ou des pesticides et autres traitement chimiques ? Comment régulier l’usure des terrains avec des cultures de plantes énergétiques mais gournamndes e ressources du sol ou en eau ? Comment interdire à des pays comme le Brésil de détruire les forêts pour les transformer en champs ?
Avez-vous remarqué le nombre de points d’interrogation dans ce aragraphe ? et chaque fois qu’on touche à quelque chose dans un coin, cela a des répercussions dans tous les autres secteurs.
Revenons à la diminution de l’activité humaine pour diminuer l’influence sur le réchauffement climatique. Et en premier, les USA. J’ai choisi les USA parce qu’ils ont les capacités pour produire un peu plus de nourriture s’il le fallait. Mais la problématique, c’est que pour nourrir un américain, il faut 1500 litres de pétrole par an. Pas pour le transporter, ni le chauffer, ni lui permettre de regarder sa télé : uniquement pour le nourrir
http://www.organicconsumers.org/corp/fossil-fuels.cfm et demander aux USA de fournir cette nourriture en plus a un coût en réchauffement climatique supérieur à tout ce qu’on eut imaginer dans un pays en voie de développement, ceux qui auraient besoin d’une aide pour la nourriture ...
Avec ces exemples par le petit bout de la lorgnette, on peut facilement se rendre compte que la probélatique est très complexe, et que si on démarre en ayant les mauvaises informations (en particulier sur les influences de l’activité humaine sur le réchauffement), cela peut nous amener à des décisions qui seront dramtiquement fausses.
Mais vous avez raison, le réchauffement climatique n’est pas seul en cause, car aucun problème ne peut être traité indépendamment des autres. Mais cela ne rend pas les choses plus faciles.
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c’est aberrant ,6, 5 milliards d’humains avec leurs activités industrielles ou autres qui pollueraient ?
qui pourrait bien avoir cette idée aussi sotte que grenue !!
les mers ,les nappes phréatiques,la terre sont pourries mais ce ne sont pas les humains !!quelle galéjade !!!
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@ l’auteur :
Sans rentrer dans le débat sur le réchauffement climatique, une précision d’importance :
Le GIEC ne démontre rien et n’émet aucune théorie, le rôle du GIEC est de faire la synthèse de tout les articles et travaux scientifiques paraissant dans des revues à comité de lecture et qui concernent le changement climatique.
Cette méthodologie ne garantit pas l’exactitude de ce qui y est écrit mais valide ’l’honnetetté" des travaux quant à la méthodologie, aux sources et aux conclusions.
Si les outils, les courbes et les modèles utilisés dans le rapport changent, cela traduit simplement ce qui se passe au sein de la communauté scientifique-
""" le rôle du GIEC est de faire la synthèse de tout les articles et travaux scientifiques paraissant dans des revues """
C’est bien là le problème ! Le GIEC ne verifie rien, puisque les scientifiques specialistes du climat se sont barrés. donc, le GIEC publie n’importe quoi et vous tous prenez pour argent comptant ce que le GIEC a publié. un vrai cercle vicieux : du nimporte quoi publié dans dans la presse ... repris par le GIEC,.... et en référence au GIEC d’autres se basent sur le n’importe quoi pour avancer touijours plus loin dans le dogme. pffff...
Tiens ça vaut combien de moins 1 de dire du mal du GIEC ? -
c’est bien pour ça que je précise revue scientifique à comité de lecture !
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Pour préciser, une revue à comité de lecture n’est pas un titre de presse qui publie ce qu’on lui donne à publier ou ce qu’il a envie de publier :
Les équipes scientifiques lui envoient leur article qui est relu par un comité éditorial composé de scientifiques du domaine concerné. Ce comité peut ensuite accepter ou refuser l’article et il peut aussi demander des corrections ou des précisions.
Selon cette définition, pas plus Le Monde que Biofutur ou Science & Vie ne sont des revues scientifiques.
Je le redis, ce processus garantit l’honneteté intellectuelle des travaux publiés.
Le rapport du giec est un peu rédigé selon le même processus : voir un commentaire un peu plus bas qui explique la procédure ! -
Il y a un an ou deux, ce sujet avait été abordé ici même, et j’avais pris la peine d’aller à la pêche aux infos. J’en suis revenu avec quelques questions sans réponse.
Les gaz à effet de serre, sont ils comme les matelas avec une face été et une face hiver ? Il me semble, que si la réfraction des infra rouge par ces gaz augmente, elle doit se répartir dans les deux sens, du bas vers le haut, et aussi du haut vers le bas.
Si ces gaz ont la particularité, de capturer et d’augmenter la chaleur, il devrait faire plus chaud en altitude, au niveau de ces gaz, et non à la surface de la terre.
Enfin, pourquoi ne pas utiliser les propriétés de ces gaz, pour chauffer les appartements et faire fonctionner des moteurs de type stirling, puisque un simple rayon infra rouge suffit.
Le réchauffement climatique, s’il nous permet, de penser en écolonomiste est une bonne chose, mais il faut bien voir, que ce sont les financiers, qui se sont emparés du dossier, et avec eux, il n’y a ni pro, ni anti Bush, mais seulement des gogos.
Enfin, il semblerait, qu’au pole sud, on ait trouvé des traces d’une trés ancienne végétation.-
Apparemment, il se produit tout à la fois, une augmentation de la température, et une diminution de l’évaporation. Grosso modo, les gaz à effet de serre, fonctionne comme un accélérateur et les matières en suspension comme un ralentisseur.
Aprés que les avions aient été cloués au sol, suite aux attentats du 11 septembre, il a été noté une augmentation de la température sur le territoire des états unis.
Les contrail, et chemtrail, participeraient, également comme retardateur.
Les paramètres à prendre en compte dans le dérèglement climatique, ne sont pas tous connus, et il semble difficile de construire un modèle fiable dans le temps, puisque chaque découverte remet en question le modèle en vigueur.
Si on peut avoir une certitude, c’est que par le codex alimentarius, par le rechauffement climatique, ou autre, une bonne partie de la population terrestre est en sursis, et cet épée de Damoclès, n’émeut pas outre mesure les gouvernements du monde qui persistent à finaliser l’interdépendance économique des nations.
Il faut espérer, que la responsabilité de l’homme soit infime et sans influence, ce qui n’empêche pas de revoir nos priorités, car il vaut mieux avoir peur pour rien, que trop tard. -
TALL 20 août 2008 13:57Mais c’est la technique morice ça, Renève, très appréciée par Avox d’ailleurs.
Au point d’envoyer aux dames insultées ( Gül ) des mails d’excuses en lieu et place de l’auteur.
Et à côté de momo, notre koudou là, c’est encore un gentil
Ah bon, le niveau d’Avox baisse ? Mais comment est-ce possible ? -
@Philippe Renève
Je relève deux reproches dans votre commentaire .
Le premier est d’avoir des tons de réponse agressifs, et le deuxième que l’article a un ton polémiste alors qu’il s’agit d’une démarche scientifique.
1. A propos du ton agressif.
Vous avez raison, certaines de mes réponses sont agressives. Mais si vous examinez plus avant les choses, vous vous rendrez facilement compte que les réponses agressives sont adressées à des gens qui sont d’emblée agressives (et je parle bien dans la forme).
Vous vous rendrez également compte que lorsque les commentaires ne sont pas, mes réponses ne le sont pas, même, et contrairement àce que vous écrivez lorsque les auteurs de commentaires sont en désaccord avec moi.
Vous posez une question intéressante par ailleurs qui est de savoir s’il est vraiment nécessaire de faire des réponses agressives aux commentaires agressifs.
Je ne réponds pas aux réponses outrancièrement agressives, et celles qui relèvent d’abus font l’objet d’une demande de suppression. Je ne le fais pas souvent, mais cela m’arrive : à force de pouvoir écrire n’importe quoi sous n’importe quelle forme, il y en a qui finissent par confondre impunité et liberté d’expression.
Au début de ma présence et lors de mes premiers articles, je ne répondais pas agressivement aux réponses agressives. Il m’a fallu peu de temps pour me rendre compte que cela n’était pas le comportement adéquat.
2.A propos du ton polémiste pour une affaire qui est scientifique
C’est une remarque pertinente dont la réponse réside dans l’éclairage sous lequel on décide d’écrire un article.
Tout d’abord, merci d’avoir lu mon article et d’avoir saisi le fait qu’il s’agissait d’un point scientifique.
Vous avez donc sans doute constaté que le ton de l’article était léger, que l’illustration en début se voulait humoristique ainsi que la conclusion. C’est un à priori rédactionnel. J’en écris parfois des complètement humoristiques et d’autres où il n’y a pas un brin de sourire. Mais celui-ci était en grande partie humoristique comme de nombreux signes l’indiquent.
J’ose espérer que vous admettrez que l’humour et le domaine scientifique ne s’excluent pas mutuellement. En tout cas, la dédicace de ma thèse de doctorat est allée à la maison Nescafé pour son soutien durant mes longues nuits de travail, et le jury a plutôt apprécié.
3. Le sujet est-il controversé ?
Désolé, il ne l’est pas ou plus exactement il ne devrait pas l’être.
Le réchauffement climatique est un sujet controversé.
L’influence exacte des gaz à effet de serre sur le réchauffement climatique est un sujet controversé.
Mais le sujet de l’article, à savoir les "preuves" des rapports V1 et V2 du GIEC affirmant que le réchauffement climatique était essentiellement du aux activités antropiques n’est plus du tout controversé, même pas par le GIEC qui le précise désormais bien dans la version 3 de son rapport. Il dit désormais qu’il est difficile d’expliquer le réchauffement climatique par des causes naturelles sans faire intervenir les activités antropiques.
Apporter de la controverse à mon article en traitant du réchauffement climatique est à côté du sujet, et le commentaire est à priori douteux lorsqu’il prétend que l’article nie le réchauffement climatique alors que tout le premier paragrahe n’a d’autre objet que de le confirmer. -
Bon sang mais c’est bien sûr ! Que je suis naïf ! je gobe tout ce qu’on me dit ! quelle cloche je fais ! et moi qui croyais qu’il y avait un lien entre les activité industrielles en croissance exponentielles et l’effet de serre ! quel idiot je faisais !
merci à l’auteur qui dans son souci de servir l’humanité vient nous éclairer aujourd’hui ! Merci !!!!!!!
Pourtant , je reste un peu inquiet ..............Si demain un autre auteur , lui aussi au service de la vérité , m’apprenait qu’en fait , rectification faite , c’était bien l’homme qui influait sur le climat ?
Ah mais , ais je lu dans un des commentaires , on ne peut pas parler de preuves sur des sujets complexes et globaux , mais de faits convergeants ! OUF ! Me voilà rassuré : tout converge ! Ces auteurs qui veulent nous éclairer ne souhaitent que s’éclairer eux mêmes ..ça converge !
Et puis en matière de faits convergeants , on en trouve en assez grands nombre qui nous montrent avec clarté que notre relation au monde et aux autres ,nos sociétés nous mènent droit dans le mur . Les prophètes de malheur n’ont même plus besoin de boule de cristal : il suffit de regarder les faits convergeants.-
Bonjour,
Cet article est de la désinformation à l’état brute et ne sert qu’à embrouiller les esprits. Le réchauffement climatique actuel est bien d’origine humaine qu’on le veuille ou non. C’est le fruit le plus "intelligent" de l’évolution qui a provoqué ce dérèglement planétaire.
Dommage qu’Agoravox soit tombé dans ce panneau...
Bien amicalement.
Michel WALTER
http://terresacree.org
________________________________http://terresacree.org SOS-Planete, le site de l’association Terre sacrée, parce qu’on la massacre ! Base vivante d’informations environnementales, d’alerte et de réflexion. L’actualité de la planète au jour le jour, enjeux écologiques planétaires, réchauffement climatique, déforestation, surpopulation mondiale, érosion de la biodiversité, derniers peuples premiers, dignité animale et humaine... Un dossier énorme sur les nouvelles menaces biotechnologiques. La planète est le bien commun de l’humanité. En prendre soin donne un sens à la Vie.Bulletin quotidien d’information sur l’état de santé de la Terre : S’abonner gratuitement : http://terresacree.org/archives.htm.Groupe de discussion : http://terresacree.org/googlegroupe.htmPour nous aider dans notre action sur internet, adhérer à l’Association ou faire un don : http://terresacree.org/adhesion.htm-
Il ne faut pas trop s’en étonner.
Internet est un formidable outil de diffusion... et de propagande.
Il suffit que quelques firmes paient quelques scientifiques pour flooder les fora d’articles de propagande à leur service... et comme sur internet, celui qui parle le premier et le plus gagne, c’est parti... la désinformation va à fond.
Je m’étonne que les fondamentalistes chrétiens évangéliques ne tentent pas le coup de force sur le caractère plat de la Terre ? Enfin bon, ils le font bien sur l’intelligent design...
Enfin bref, je ne m’étonne plus de rien.
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TALL 20 août 2008 14:08Avox n’est pas tombé dans le panneau
Avox est le panneau -
Bonjour,
Je pense que ce sujet est tres délicat et il est difficile de se faire une opinion lorsque nous ne sommes pas impliqué dans la recherche sur les changements climatiques.
Nous pouvons lire une grande quantitée d’article et de rapport sur le sujet, mais quel crédit peut on y accorder ??
Quoiqu’il en soit il faudrait être aveugle pour nier le fait que l’activité humaine n’ait pas d’impact sur notre bonne vielle planète et ses habitants. Malheureusement ces impacts sont majoritairement négatif mais ce n’est pas ce que l’auteur met en doute.
Comme par hasard il y a un article aujourd’hui sur Alterinfo qui parle du fait que les glaces des pôles nord et sud, contrairement à certaines prévisions, ont augmenté de surface entre cet été et l’été dernier.
http://www.alterinfo.net/La-glace-a-pousse-de-30-pour-cent-en-un-an-dans-l-Arctique_a22985.html
Mais peu importe que ce soit vrai ou pas, la tendance qui voudrait montrer qu’il faut absolument ralentir l,activité humaine afin de préserver notre planète est une bonne chose. Car même si ce n’est pas le déreglement climatique qui causera notre perte, l’extinction de plusieurs especes et la pollution engendrée par nos activitées mettra tres certainement notre avenir (ce qui n’est pas le plus grave) et l’avenir de la planete et du reste de ces habitants en grand danger. -
La planète se remettra très bien de notre disparition.
Ce n’est pas l’avenir de la planète qui est en danger mais bien celui de l’humanité.
Il suffit de lire des articles sur la disparition de la culture pascuane ou de la civilisation maya pour comprendre ce qui va nous arriver (lire le numéro hors série du magazine Histoire consacré aux civilisations disparues, il était excellent surtout dans son explication de la disparition des principales cités maya du fait de leur pratique du decorum et de la succession filiale qui a conduit à de nombreuses guerres dévastatrices mettant en danger l’équilibre agricole qu’ils avaient fondé, les cités survivantes furent anéanties par les Espagnol malheureusement, mais ça a pris du temps !).
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en meteorologie, il y a bien peu de preuve permettant de demontrer la moindre causalite entre deux evenements. L’activite humaine est suicidaire ecologiquemt energetiquement et tout les mots en -ment que vous voudrez, si bien qu’il n’y a rien a perdre a le changer. Aucun climatologue n’osera faire le raccourci que vous faites en disant que l’homme est a l’origine de rechauffement, au mieux supposera-t-il qu’il y participe. Vous enfoncer une porte ouverte. En plus votre remarque sur l’aspect scientifique de la methode est hors sujet. La meteorologie est une discipline statistique et empirique par excellence vu sa nature chaotique, donc hors de notre portee intellectuelle ou technique. Les seul outils de prediction disponibles sont donc obtenu a partir de modeles SIMPLIFIES dont il faut ESTIMER au plus juste les parametres d’entree. Ce type de modele est toujours soumis a des facteur correcteurs justifies par l’observation. Cette demarche est tout a fait scientifique... au contraire de la votre qui voudrait reduire une theorie a un dogme.
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@anto
SI c’est à moi (l’auteur) que votre commentaire s’adresse, je ne comprends rien à ce que vous dites.
Avez vous lu le rapport du GIEC (la version 3 de 2007) ? Commencez donc par là pour parler du sujet de l’article. -
Au risque de me faire passer pour un pollueur intégriste financé par Exxon, j’irais quant à moi plus loin que l’article en rappelant que la température moyenne de la Terre diminue depuis au moins 2002. Ai-je besoin de préciser qu’aucun de nos "spécialistes" annonciateurs de cataclysmes ne l’avait prévu ?
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la véritable cause ( toujours ) du freinage ( du capitaine ) de l’ accélération ( atome de Savoie ) de la courbe indicièle de tendance proportionnellement inversée de la preuve que le réchauffement climatique ( tac ) , terrestre mondial et globululaire ( de rien ) est dûe à l’ interdiction de fumer dans les cafés-restaurants , en effet ( de serre ) il a été calculé qu’ un fumeur de moins au mètre carré sur un territoire grand comme le Zwaziland fait baisser la température de l’ ambiance de trois degrés centigrades , et pourtant là-bas ( ba-cool ) , quelle chaleur !
cqf-cgt
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le manque de rigueur de certains commentaires est assez consternant
s’il s’agit de prétendre qu’il y a un lien direct entre changement climatique et activité humaine, c’est faux
quel rapport avec la pollution, le mépris de l’environnement , la consommation délirante d’énergie fossile , la surconsommation non moins délirante de produits inutiles ... etc ?? aucun
quand bien même on stopperait aujourd’hui la totalité des centrales thermiques à charbon et nucléaire , l’impact sur le changement climatique serait invisible ; pour la simple raison que l’origine des changements climatiques n’est pas connu ; on sait simplement qu’ils existent, ont existé, et existeront encore ; et cela bien avant toute activité humaine mesurable (laquelle ne date que de moins d’une centaine d’années à l’échelle que nous connaissons)-
" les gens sont cons et godent n’importe quoi "
Oh my god ! -
Gül 20 août 2008 15:13@ Actias
Les gens godent n’importe quoi...
Ciel !!!!!
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Gül 20 août 2008 15:14Ah ! Olga !
Les grands esprits se rencontrent.... -
Evidemment avec de telles pratiques, la chaleur monte d’un cran...
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Bonjour Gül
Notre réputation va encore en prendre un coup...
Et un coup de quoi ? Je vous le demande ma bonne dame...
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Gül 20 août 2008 15:24Elle est déjà bien assise...si je puis me pemettre !!!
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Article affligeant de désinformation. D’un côté un constat partagé (dégradation de l’état de la planète et urgence à agir) par la communauté scientifique mondiale, les nations-unies et les 5000 scientifiques qui participent au GIEC et de l’autre quelques illuminés à contre-courant qui s’engouffrent dans la propagande des grandes multinationales US qui insidieusement contestent non le rechauffement climatique mais le lien entre celui-ci et l’activité humaine... Autrement dit ne changeons rien, continuons comme si ... Au fait, la terre, vous êtes sûr qu’elle n’est pas plate ?
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Pour compléter mon précédent propos sans doute trop spontané et je l’avoue coléreux, je crois qu’il convient de se poser la question "Quel intérêt y-at-il à déconnecter le réchauffement climatique et activité humaine ?". La réponse est en partie fournie par le Conseil Economique et Social amené à émettre un avis sur le projet de loi du Grenelle de l’environnement. Pour le CES, "le développement durable implique la mise en oeuvre de logiques économiques et sociales qui ne fassent pas de la croissance des marchés et de la rentabilité, les uniques fondements de l’efficacité".
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@Henri Moreigne
Comme le disait quelqu’un de bien connu regarde la poutre dans ton oeil avant la paille dans l’oeil de l’autre.
En d’autres termes :
1. Lisez l’article : ce qui s’appelle lire et non pas le survoler en intervenant sur un sujet qui n’a rien à voir mais vous fait penser à quelque chose d’autre
2. Lisez au moins le résumé du fameux rapport du GIEC (version 3 de 2007) que vous citez mais dont je doute que vous ayiez fait l’effort de l’ouvrir : cela vous aurait évité de traiter mon article de désinformation ...
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@Henri Moraigne
hummmm...
"Quel intérêt y-at-il à déconnecter le réchauffement climatique et activité humaine ?"
Ma question ressemblait beaucoup à celle là, mais ce n’était pas la même. Je me demandais en fait quel intérêt il y avait à présenter l’activité humaine comme seule responsable du réchauffement climatique ?
Désormais, les choses sont claires pour à peu près tout le monde qui s’est spécialisé ne serait-ce qu’un minimum dans le domaine : l’activité humaine a une influence dans le réchauffement climatique, mais n’est pas la cause unique.
Le développement durable, c’est encore autre chose et c’est aussi complexe. Et dans ce domaine aussi, il traine des présentations complètement dépassées qui datent du rapport de 1986 et n’intègrent même pas toutes les conclusions des grandes rencontres internationales sur le sujet.
Mais ce sont effectivement des problématiques complexes dans le sens où tout projet, toute action a des répercussions sur chacun des axes et tout réajustement impose de refaire l’examen de l’ensemble des axes du développement durable (qui sont 6 et non pas 3 comme on le pensait en 1986) -
Bonjour,
Debat (et article) hors de propos.
Excusez ma naiveté mais meme si le rechauffement de la planete n etait pas lié a l activité humaine...
admettons.
Faut continuer de polluer connement ?
Regardez l etat de votre monde, pas les quelques clichés alarmistes que l ont peut vous servir dans les grands medias nationnaux, regardez partout votre esprit peut vous porter.
Peut importe sa temperature, la Terre est malade ... donc nous le sommes.
On est constement assaillis d informations et de contre informations... et nous manquons cruellement de Savoir ; Nous, les decideurs, Nous, le Peuple.
On pourra nous manipuler eternelement par les medias et autres.... vu qu on ne sait rien ou ce qu on a bien voulu nous faire "croire".
Dans ce monde fait de croyances vehiculer par les medias, on ne peut decement pas s etonner des consequences de NOS decisions.
Manifestons pour demander du SAVOIR, et en URGENCE. Notre avenir a tous en depend.
DPM
-
hier on nous disait "noir", nous pensions noir.
aurjourdhui les memes nous disent "blanc"... et on pense blanc.
La Verité (constituante du savoir) est Unique.
Ce que je viens de dire n est pas limité au problemes de rechauffement planetaire mais a tous les domaines.
Si une chaine prenait l initiative de consacrer 100% de son temps d emission sur 1 semaine, sur les sujet cruciaux de nos societes, en laissant le temps aux specialistes existants d argumenter et de contre argumenter ... on avancerait... peut etre ?
Du jamais vu pour l instant, nullepart sur Terre.
DPM (uuuutopiste ouuuuuuuuhhh !!!!!!) -
@DPM
J’excuse votre naïveté, mais permettez mois deux trois remarques :
- il ne faut pas confondre réchauffement climatique et pollution
- je n’ai pas écrit que l’activité humaine n’avait pas d’influence sur le réchauffement climatique, mais qu’il n’en existait aucune preuve.
- vous réclamez de l’information juste, la même que celle que reçoivent nos dirigenats je suppose : je n’ai pas arrêté de donner le lien pour télécharger le résumé du rapport du GIEC (version 3 de 2007) qui ne fait que 114 pages. Commencez donc par le télécharger pour le lire ! -
@ l auteur
" il ne faut pas confondre réchauffement climatique et pollution "
Ai je l air de confondre les deux ? Vous faites l amalgame... pas moi !
Je pense simplement que le debat ainsi centré ne vaut strictement rien.
Le debat n est pas si oui ou non l ours polaire est decimé par l homme, ni si l huitre est menacé par l homme, mais "COMMENT DIMINUER L IMPACT NEGATIF DE L HOMME SUR SON ENVIRONNEMENT"
Je suis assez satisfait de la croyance selon laquelle l homme serait responsable du rechauffement... simplement parce qu elle fait peur. Hors les gens (la masse) ne reagissent plus QUE par peur.
En cela, et au vu de l etat reel et certain de notre planete, ca a du bon.
" je n’ai pas écrit que l’activité humaine n’avait pas d’influence sur le réchauffement climatique, mais qu’il n’en existait aucune preuve."
Et c est bien en cela que reside l inutilité totale de l article. Vous savez que vous ne savez pas ? moi aussi.
Juste que meme si il n y a aucune preuve que VIH = SIDA, je prefere me proteger..simple precaution. (c est un exemple pour l exemple, une figure de style rien de plus)
" vous réclamez de l’information juste, la même que celle que reçoivent nos dirigenats je suppose : je n’ai pas arrêté de donner le lien pour télécharger le résumé du rapport du GIEC (version 3 de 2007) qui ne fait que 114 pages. Commencez donc par le télécharger pour le lire !"
Je ne reclame rien pour moi meme, les liens que vous donnez ont deja ete portés a ma conscience, parce que cela m interesse, parce que j ai du temps, et des milliers de Chances qui font que je peu consacrer du temps a comprendre.
C est un Savoir de MASSE que je reclame. Un savoir que les gens n auraient pas a aller chercher puisqu ils ne savent plus le faire.
Un Savoir simplement dispensé par un media de masse... un media POUR LES MASSES.
C est la base de la Democratie, le Peuple dispose du pouvoir de decider.... pour ca il faut Savoir... pas "croire".
DPM -
@ dapeacemaker911
’’Je suis assez satisfait de la croyance selon laquelle l homme serait responsable du rechauffement... simplement parce qu elle fait peur.’’
Vous avez peur vous ? de quoi ? Je ne connais personne qui a vraiment peur(voir la définition du mot ’’peur’’).
J’en connais pas contre des milliers qui essaient de faire peur.
Ma principale question est : dans quel intérêt faire peur ?
Pour ma part à choisir entre le bébé de l’homme et celui de l’ours, je n’hésite pas, j’extermine l’ours si besoin est.
Toute cette démagogie sur l’écologie profite encore et toujours aux mêmes sources. Dans quelques années, le recul de l’histoire se moquera sans aucun doute de toute cette saga sur le réchauffement climatique. Pour le moment ceux qui s’en moquent sont justement ceux qui essaient d’en répandre la terreur.
Notre groupe d’étude s’est esclaffé à la fin de la présentation de la BBC (en 2002) du documentaire archéologique sur Caral, au Pérou. Une civilisation (-2600 a.v J.c.) de 1000 ans sans guerre. OUI 1000 ans sans guerre. La conclusion du documentaire ? Le commerce est le fondement de la civilisation et non la guerre. Devinez qui sont les sponsors de l’équipe d’archéoloques ?. Vous pouvez à votre tour vous esclaffer.
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Article comique, le dernier paragraphe ma bien fait rire, merci.
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@ Alexandre
Merci d’avoir été le seul à comprendre que la dernière phrase n’était qu’un exercice de style et pas une opinion ... -
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Donc votre solution, c’est la technique de l’autruche : la tête dans le sable et attendre que ça passe ?
Remarquez, avec la progression des deserts, la surface disponible pour ce genre de technique augmente aussi.
Réchauffement climatique du à l’homme ou pas, j’aimerai juste vivre dans un monde plus propre... -
Vous dites qu’en 1940 la concentration de CO2 était de 440ppm alors qu’elle est de 384ppm aujourd’hui.
D’après la courbe que vous citez la concentration augmente de 120ppm en 15 ans puis diminue de 120ppm en 10 ans seulement. Or cette valeur correspond à 60 ans de consommation de combustibles fossiles et de déforestation au taux actuel :
- où est donc passé le CO2 correspondant ?
- par quel mécanisme cela s’explique-t-il ?
D’autre part, toujours d’après la courbe que vous citez la concentration a augmenté de 60ppm les 50 années suivantes ce qui est totalement cohérent avec les émissions humaines mesurées : comment expliquez-vous cette corrélation ?
Le problème des mesures directes du passé, voyez-vous, c’est qu’elle peuvent être fausses mais qu’on peux pas le prouver puisqu’il est impossible de remonter le temps. Je pense en particulier aux mesures de 1811 avec les instruments peu fiables et les connaissances limitées de l’époque (que savait-t-on des conditions de fiabilité de ce type de mesure ?).
L’avantage des mesures indirectes, c’est qu’elles permettent de connaître la situation passée avec des mesures présentes. Donc entre un résultat de mesure directe passée impossible à refaire et une mesure indirecte disponible en permanence, qu’elle devrait-être la plus fiable selon vous ?
C’est bien d’exhiber un tas de données pour réfuter la théorie courante mais sans explication ça ne vaut pas grand chose, et avec en plus des données présentées antérieures de plusieurs décennies à la théorie en question ça ne vaut rien. Et puis exhiber des donnée vieilles de 60 ans, ça équivaut quelque part à faire une mesure indirecte car on ne peux plus accéder à la réalité décrite.
Votre démarche ne fait que semer le doute mais sans rien proposer d’autre à la place, ce n’est pas constructif.-
et l’activité industrielle mondiale en 1811 , c’était quoi ?
le gaz des vaches ? -
@Gilbert
Vos questions sont de bonnes questions. Et pour ma part, je n’ai aucune explication. Mais ce que je sais, c’est que l’ancienne théorie du GIEC qui consistait à dire que le réchauffement climatique était essentiellement du à l’activité humaine est désormais considére comme fausse, y compris par le GIEC lui-même.
Maintenant, si je m’essaye à un raisonnement, j’aurais tendance à dire que si on a mesuré des taux supérieurs, c’est soit qu’il y avait une autre source importante à l’époque qui a disparu depuis (peut-être un relâchage étant donné l’aspect pic temporaire de quelques années seulement), soit que le taux de CO2 de l’activité humaine a été contrée par une baisse de dégagement de CO2 pour des raisons naturelles. On est à peu près sur de la deuxième raison, mais on ne sait pas trop sur la première.
Pour ce qui conrene les mesures du passé, ce sont des mesures chimiques qui sont les mêmes méthodes aujourd’hui. Et je trouve votre raisonnement sur l’avantage des mesures directes d’aujourd’hui quelque peu bizarre. En tout cas, pour prendre un exemple, j’aurais plus confiance dans les mesures faites de sa taille par mon grandpère avec un mètre à ruban qu’essayer de déduire sa taille à partir de son ancienne veste que je mesurerais aujourd’hui ...
-
Je vous cite "il y a parfois quelques scientifiques, mais nous verrons un peu plus loin que ce ne sont pas eux qui commandent ni qui décident des conclusions du rapport."
Je trouve que le "parfois quelques scientifiques" est assez culotté. Pour faire simple, un copier-coller du site de Jancovici dont j’ai déjà donné les liens plus haut.
Qui sont les scientifiques étudiant l’avenir du climat ?
"[...] Et vous verrez que la quasi-totalité des disciplines concernées ne sont pas nées avec l’étude du changement climatique, et que leurs résultats sont validés dans d’autres cadres.
Voici donc ce que donne un début d’inventaire (liste non exhaustive) si l’on essaie de savoir qui fait partie des "scientifiques" :- des astronomes, qui s’intéressent à l’activité du Soleil, et aux variations de l’orbite de la Terre, toutes choses qui conditionnent la quantité d’énergie reçue par notre planète (qui est primordiale pour le climat), que l’on trouvera par exemple, en France, à l’Observatoire Midi-Pyrénées, mais également à bien d’autres endroits,
- des astrophysiciens, qui décrivent certaines caractéristiques de l’Univers qui conditionnent notre environnement (rayonnement cosmique par exemple) et que l’on trouvera par exemple à l’Institut d’Astrophysique spatiale,
- des aérologues, qui étudient la composition de l’atmosphère et son fonctionnement général, ce qui est indispensable pour savoir comment se répartit l’énergie dans l’atmosphère et au sol, comme par exemple ceux du laboratoire d’aérologie du CNRS à Toulouse, mais aussi de la NOAA américaine,
- des océanographes, qui étudient le comportement de l’océan, lequel est primordial pour les évolutions à moyen et long terme, par exemple à l’IFREMER,
- des biogéochimistes, qui étudient les grands cycles des éléments (carbone, azote, etc) sur la terre, et que l’on peut par exemple trouver au LEGOS,
- des hydrologues, qui s’intéressent au cycle de l’eau, par exemple ceux du centre de Wallingford en Grande Bretagne,
- des météorologues, qui disposent d’archives permettant de comparer la manière dont les modèles simulent le climat passé avec ce qui a réellement été mesuré, comme par exemple ceux de Météo France,
- des biologistes et des agronomes, qui étudient le comportement des végétaux dans des conditions climatiques différentes, par exemple ceux de l’INRA,
- des spécialistes des glaces : des glaciologues, pour analyser la composition des glaces anciennes et en tirer des renseignements sur le temps qu’il a fait au moment de la chute de neige, que l’on trouvera par exemple au laboratoire de glaciologie de Grenoble,
- des géologues, dont les connaissances sont mises à profit à divers titres (cycle du carbone, montée des océans, volcanisme...), par exemple ceux de l’institut de Physique du Globe,
- des physiciens des particules, qui ont expliqué la formation de certains isotopes radioactifs (qui seront ensuite utilisés par les spécialistes de la ligne suivante), par exemple ceux qui travaillent au CERN,
- des spécialistes des faibles radioactivités et de l’analyse isotopique, comme ceux qui interviennent pour la datation au carbone 14, ou qui reconstituent les temperatures du passé grâce à la proportion de deuterium dans la glace, et que l’on peut trouver en France - entre autres - au Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement.
- des dendrochronologues, qui reconstituent les températures des derniers millénaires en analysant les cernes des troncs des vieux arbres (ou des arbres morts), par exemple ceux qui travaillent au Laboratory of Tree-Ring Research (LTRR), at the University of Arizona
- des spécialistes de la mesure physique, qui mesurent désormais en continu les concentrations de gaz à effet de serre dans l’atmosphere, l’un des lieux mondialement connus pour ce faire étant l’Observatoire américain de Mauna Loa (Hawai).
Sur la page concernant le GIEC :
"[...]plusieurs milliers de scientifiques de haut niveau, parfaitement respectés par ailleurs (ils comportent des Académiciens de très nombreux pays, par exemple...), ont-ils des raisons particulières de nous raconter sciemment des salades à l’occasion d’un tel cas de figure ? C’est doublement improbable :
les résultats sur lesquels ils s’appuient sont parfaitement admis dans d’autres cadres,
il n’y aurait pas de mobile au crime. L’argument de crier au loup pour avoir des crédits de recherche, entendu parfois, peut sembler recevable a priori, mais il se trouve qu’en Europe, c’est exactement le contraire qui se produit : plus le dossier semble solide, et plus la puissance publique a tendance a considérer que "on en sait assez comme cela et ce n’est pas la peine de financer d’autres recherches". Et aux USA, avec le gouvernement actuel, ce seraient probablement plus les scientifiques qui cherchent à remettre le dossier en cause qui auraient des facilités financières !
Au surplus, cet argument pourrait éventuellement fonctionner pour quelques personnes, mais que des milliers de chercheurs, qui sont des gens assez honnêtes par nature, issus de dizaines de disciplines différentes, aient cette même idée en tête en même temps semble totalement improbable. En tous cas, spéculer là-dessus pour penser que nous n’avons pas à nous faire de souci est un pari que je ne prendrais pas."
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Je vous cite "Les membres sont en fait un représentant par gouvernement (pas besoin qu’il soit scientifique) et l’IPCC vient nous commettre des super rapports qui deviennent la bible en matière de climat pour l’ensemble de tous les gouvernements.
Il y a parfois quelques scientifiques, mais nous verrons un peu plus loin que ce ne sont pas eux qui commandent ni qui décident des conclusions du rapport."
En réponse, toujours le site de Jancovici (beh oui, c’est un excellent vulgarisateur en la matière, pas besoin d’aller voir ailleurs. De plus vous l’aimez bien...)"Comment se passe l’élaboration des rapports d’évaluation du GIEC ?
Sur la base du programme de travail décidé par l’AG pour les 3 groupes, qui consiste en fait en le sommaire prévisionnel (toutes les têtes de chapitre sont déjà prévues) d’un futur rapport à remettre (un par groupe), le bureau du GIEC sollicite comme auteurs des experts des domaines couverts. A raison de plusieurs dizaines d’auteurs par tête de chapitre, chaque rapport nécessitera donc la contribution de plusieurs centaines de rédacteurs, sans compter ceux plus nombreux encore qui feront part d’un avis sur les projets.
L’architecture d’un rapport d’évaluation est la suivante : chaque chapitre d’un rapport traite d’un domaine particulier (par exemple les propriétés physiques des gaz à effet de serre, ou encore la qualité de représentation des phénomènes physiques dans les modèles, les variations climatiques du passé, la part probable des émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine dans l’augmentation de température depuis le début du siècle, etc), et les auteurs du chapitre en question sont chargés de faire la synthèse des connaissances scientifiques sur ce sujet.
Ce qui leur est demandé n’est pas de donner un avis "comme ca" : ils effectuent un long travail de compilation de tous les travaux publiés dans la littérature scientifique spécialisée, ou ceux en cours dans les laboratoires de recherche. Par exemple la tête de chapitre intitulée "évaluation des modèles" (qui fait partie du rapport du groupe 1) est rédigée par des spécialistes de la modélisation qui analysent les centaines d’articles publiés dans la littérature scientifique sur l’évaluation des modèles (c’est à dire : est-ce que les modèles reproduisent correctement tel ou tel processus). La bibliographie est donnée à la fin de chaque chapitre.
Ces synthèses sectorielles permettent de produire un premier projet de rapport, qui sera lu et commenté par d’autres experts des disciplines couvertes, ce qui conduira à une deuxième mouture qui sera soumise aux mêmes relecteurs ainsi qu’à des représentants des gouvernements de tous les pays membres du GIEC. C’est seulement après ces allers-retours, très formalisés, qu’un document définitif est soumis à l’assemblée générale du GIEC pour approbation avant publication.
Au total, plusieurs milliers d’experts - généralement des chercheurs de renom, mais le processus est ouvert à qui veut, voir plus bas - sont impliqués dans les processus de rédaction et d’expertise organisés par le GIEC. Les disciplines couvertes concernent à la fois des sciences "dures" (physique, chimie, biologie...), au travers de multiples spécialités (voir quelques exemples) et aussi des sciences "moins dures" : on y trouve aussi des économistes, des sociologues..."
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TALL 20 août 2008 17:50C’est évident ....
Les conclusions du Giec sont l’héritage d’un énorme travail multidisciplinaire d’observations diverses et de corrélations sérieuses constatées par des milliers de scientifiques tout au long des dernières décennies.
De plus, le Giec a subi d’énormes pressions contraires de la part de diverses sphères du pouvoir industriel qui voyaient venir ça d’un très mauvais oeil.
Et puis aujourd’hui il y a un plouc qui débarque sur Gogovox et qui déclare :
"Mesdames et messieurs, c’est du bidon tout ça, on vous a trompé, en voici la preuve !" et en une page A4, la démo est faite, envoyé c’est pesé !
Bon sérieusement maintenant, cette fusée citoyenne que Gogovox compte lancer sur Mars d’ici Noël, c’est une rumeur ou c’est vrai ? -
@ Montag,
C’est vrai, cette phrase n’est pas bonne, et j’avoue qu’elle ne reflète pas ma propre opinion.
Cela est du à mon ire lorsque les délégués politiques ont décidé contre l’avis des scientifiques d’enlever les termes de prudence que ces derniers avaient mis.
Il faut comprendre comment fonctionne le GIEC :
Il y a des milliers et des milliers de scientifiques du monde entier qui participent sous forme de publications qu’ils proposent à chacun des groupes de travail du GIEC.
Si leurs papiers sont acceptés, il sont présentés aux réunions du groupe de travail, puis analysés par d’autres groupes de scientifiques et remontés au bureau du groupe de travail. lequel les resoumet à des lecteurs, en général des somités scientifiques qui n’ont eux-même pas obligatoirement de papier.
Une fois validés scientifiquement, les papiers passent chez les politiques qui sont les représentants des états membres de plein droit au GIEC.
Ce qui est cherché à chaque fois, c’est le consensus (je cite )
Consensus Building within the IPCC
The word “consensus” is often invoked, and sometimes questioned, when speaking of IPCC reports. In fact, there are two arenas in which a consensus needs to be reached in the production of IPCC assessments ; one is the meeting of the entire IPCC, in which unanimity is sought among government representatives. Even though such consensus is not required (countries are free to register their formal dissent), agreement has been reached on all documents and SPMs to date—a particularly impressive fact.
Consensus is also sought among the scientists writing each chapter of the technical reports. Because it would be clearly unrealistic to aim for unanimous agreement on every aspect of the report, the goal is to have all of the working group’s authors agree that each side of the scientific debate has been represented fairly.
En gros, chez les scientifiques, on choisit ce qui est le moins en désaccord, et chez les politiques ceux qui ne sont pas d’accord peuvent dire qu’ils ne le sont pas dans le rapport.
Ce qui a justifié mon irritation, c’est que ce sont les politiques qui ont décidé de retirer avec consensus (donc entre eux) la phrase de prudence des scientifiques, sachant que cette phrase a été lise justement parce que tous n’étaient pas d’accord avec les résultats que je dénonce dans mon article. -
TALL 21 août 2008 09:28Salut l’homme
Ah, mais le moutonnisme, ça ne change pas. Quelque soit le camp.
Y a juste qu’ici, on est dans la secte de l’anti-conformisme. Et gare à celui qui ne s’y conforme pas.
L’adage de la secte : "Tout ce qui est vrai est faux !"
Parce que tous les médias corrompus à la botte du pouvoir nous mentent à tours de bras, bien sûr
Il me fait marrer, le romain, avec son 5e pouvoir.
Demande-lui seulement 5 cents pour écrire un article, tu verras vite où est son sens de la démocratie -
D’une cause noble, la protection de la planete, les banques ont fait un bussines des quotas de pollution que les entreprises américaines negocient entre elles. Ca fait circuler les capitaux, et les banques se gavent dessus. Pour proteger leur petit commerce, ils vont jusqu’a truquer ou enlaidir les données scientifiques. Par exemple, le graphe en forme de canne de hockey, qu’Al Gore nous présente sur un élévateur, tellement il monte, souffre d’un oubli important - une période très chaude au moyen-age. D’ici quelque temps, quand les banques gagneront suffisament d’argent, on sortira les arguments contraires et on accusera les ecologistes d’utiliser les arguments fallacieux. On ne gagne jamais quand les banques se melent.
-
Pour être basique : quelqu’un peut il affirmer qu’il existe une "bonne" façon de mesurer la température de la planète ? déjà que j’ai du mal à mesurer celle de mon appartement....
Tout est relatif...-
@nonal
Il y a une explication de la mesure de la température et de l’effet de serre, sur le site du CNRS.
Avec également une simulation de la température moyenne sur Terre jusqu’en 2100.
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Si on considère que dans mille ans l’homme (ou ce qu’il en restera) connaîtra à peine 1/100e de la mécanique atmosphérique (données officielles du GREC), on se demande quel crédit on peut apporter aux simulations d’aujourd’hui.
Si on sait : il suffit de comparer la météo de la télé avec le temps qu’il fait en regardant par la fenêtre. -
Arche Noé vegetal =>
http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/terre-3/d/une-arche-de-noe-vegetale-enfouie-dans-les-glaciers-de-larctique_9157/
http://fr.wikipedia.org/wiki/Svalbard_Global_Seed_Vault
http://www.dailymotion.com/video/x4a7te_larche-de-noe-vegetale-de-bill-gate_politics
==============================
aaron russo / rockfeller
http://www.dailymotion.com/video/x4qth8_aaron-russo-temoigne_politics
==============================
Camps fema
http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.apfn.org/apfn/camps.htm&sa=X&oi=translate&resnum=10&ct=result&prev=/search%3Fq%3Dcamp
(traduction google de la page pour les non anglophones)
==============================
quelques milliers de cerceuils en georgie : http://www.dailymotion.com/video/x668m4_des-milliers-de-cercueilsau-cas-ou_news
http://fight-tyranny.blogspot.com/2008/07/500000-fema-plastic-coffins-in-madison.html
==============================
article guerre genetique
http://www.oulala.net/Portail/article.php3?id_article=329
==============================
article guerre biologique
http://www.alterinfo.net/L-inquietant-projet-du-Pentagone-Un-vaccin-contre-la-grippe-aviaire-dans-un-contexte-de-guerre-biologique_a22837.html?PHPSESSID=1e0b5144bb70bccff90a383a7c9efc80
==============================
Pubmed (base de donnees des publications medicales)
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/sites/entrez?db=pubmed
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Reduction de population
http://www.delaplanete.org/Reduction-de-la-population.html
http://www.comlive.net/Reduction-massive-de-la-population,102893.htm
Union Nord Americaine : http://www.vigile.net/Le-Canada-et-le-Projet-d-Unionn
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vaccins
http://questionvaccins.canalblog.com/archives/2008/05/27/9342574.html
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Pub MTV
1) http://www.youtube.com/watch?v=W5oKqQmGYHQ
2) http://www.youtube.com/watch?v=vTOuq4pY10o
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Holocaust happened to people like you ? ;)
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Conte de la grenouille bouillue
Le principe de la grenouille chauffée
Olivier Clerc, écrivain et philosophe, a envoyé ce petit conte :
Imaginez une marmite remplie d’eau froide dans laquelle nage tranquillement une grenouille. Le feu est allumé sous la marmite, l’eau chauffe doucement. Elle est bientôt tiède. La grenouille trouve cela plutôt agréable et continue à nager.
La température continue à grimper. L’eau est maintenant chaude.
C’est un peu plus que n’apprécie la grenouille, ça la fatigue un peu, mais elle ne s’affole pas pour autant.
L’eau est cette fois vraiment chaude. La grenouille commence à trouver cela désagréable, mais elle s’est affaiblie, alors elle supporte et ne fait rien.
La température continue à monter jusqu ’au moment où la grenouille va tout simplement finir par cuire et mourir, sans jamais avoir fait quelque chose pour s’extraire de la marmite.
Si la même grenouille avait été plongée directement dans l’eau à 50°, elle aurait immédiatement donné le coup de patte adéquat qui l’aurait éjectée aussitôt de la marmite...
Cette expérience montre que, lorsqu’un changement s’effectue d’une manière suffisamment lente, il échappe à la conscience et ne suscite la plupart du temps aucune réaction, aucune opposition, aucune révolte ".
Si nous regardons ce qui se passe dans notre société depuis quelques décennies, nous subissons une lente dérive à laquelle nous nous habituons.
Des tas de choses qui nous auraient horrifiés il y a 20,30 ou 40 ans, ont été peu à peu banalisées, édulcorées, et nous dérangent mollement à ce jour, ou laissent carrément indifférents la plupart des gens.
AU NOM DU PROGRES et de la science, les pires atteintes aux libertés individuelles, à la dignité du vivant, à l’intégrité de la nature, à sa beauté et au bonheur de vivre, s’effectuent lentement et inexorablement avec la complicité constante des victimes, ignorantes ou démunies.
Les noirs tableaux annoncés pour l’avenir, au lieu de susciter des réactions et des mesures préventives, ne font que préparer psychologiquement le peuple à accepter des conditions de vie décadentes, voire DRAMATIQUES.
La GAVAGE PERMANENT d’informations de la part des médias sature les cerveaux (- Serf-Veaux -) qui n’arrivent plus à faire la part des choses entre le réel et le virtuel, entre les films et la réalité.
L’énergie nucléaire, les engrais chimiques, les clonages, le génie génétique, ont grignoté progressivement notre libre arbitre au point qu’il est devenu ILLEGAL de vouloir manger bio, condamnable de vouloir échapper aux OGM etc.
Mais le meilleur est à venir, car VOICI QU’ARRIVENT LES PUCES " "Verchip", microprocesseurs, de la taille d’un grain de riz, mises au point par la société Applied Digital Solutions, en Floride.
Ces puces sont implantées sous la peau et émettent un signal lisible par un décodeur spécial qui identifie tous nos paramètres sociaux, médicaux et autres... Les malades en sont les premiers " bénéficiaires " aux Etats-Unis.
L’implantation coûte 200 dollars, plus 19 dollars d’abonnement mensuel pour l’entretien des bases de données.
Vos enfants seront la prochaine cible. Pratique, n’est-ce pas ?
Et puis bientôt, CEUX QUI REFUSERONT perdront l’accès aux établissements publics, aux autoroutes, aux banques ; sur les routes, la police vérifiera si vous avez bien votre puce et si elle est à jour ! Big Brother ! Quoi !!!
Alors, si vous n’êtes pas, comme la grenouille, déjà à moitié cuits, donnez le coup de patte salutaire avant qu’il ne soit trop tard.
====
Toutes les infos/liens/infos si dessus sont a verifié par vos propres soins.
Pour ma part je me suis surtout concentré sur le verifiable, les infos sur les scientifiques morts (article sur la guerre genetique), Etat civils et travaux verifiable sur pubmed.
Tout ce que je peux dire... c est que ca chlingue.
Dpm-
Je suis bien content de voir que je suis pas le dernier des crétins à mettre sérieusement en doute cette pseudo théorie pseudo scientifique qu’est le réchauffement climatique (du aux gaz à effet de serre).
Pour répondre à l’article, selon moi cette esbrouffe panurgesque a un but : celui de faire payer au "gogo" de contribuable le coût du changement de source d’énergie planétaire.
Dans une trentaine d’année (mais peut être dans mille ans ou dans dix ans personne ne sait vraiment) la goutte de pétrole coutera plus cher que le même volume en diamant. Ce pétrole qu’on retrouve dans chaque station d’essence même dans les coins (trous) les plus perdus de la planète. Changer ce mode de production, ce modèle économique et ce mode de distribution va couter une "FORTUNE" que ni les Cies pétrolières ni les Cies automobiles ne veulent payer. Alors faire peur au gogo est une belle astuce pour lui faire cracher au bassinet dans un geste de "citoyen responsable écologique".
Il existe d’autres réponses qui circulent cà et là, dont certaines se retrouvent dans les post(s) ici. Parmi elles, celle d’une influence des organisations bidono-écologistes qui voient là un moyen de faire du blé et de prendre du pouvoir sur les média et les politiques.
Enfin, il est amusant de lire le bouquin écrit par Michael Crichton, ETAT d’URGENCE, qui critique le Global Warming avec une parfaite mauvaise foi mais avec d’excellents arguments dont j’ai retenu ceux ci :
La courbe des températures ne montre un réchauffement climatique qu’à une certaine échelle (de 1880 à 2003). Il s’agit donc (peut être) d’un artefact d’échelle.
Aucune explication n’est fournie concernant la baisse des températures climatiques dans les années 40 et qui apparait sur la courbe
Les historiques de températures sont issus de relevés de stations météo publiques ou privées. Or ces stations (en dehors de leur fiabilité et de leur précision notemment il y a deux siècles) sont situées principalement en zone urbaine. Il s’agit donc de relevés concernant les zones de concentration humaines (où la température est plus élevée du fait de l’activité) et non pas de la surface globale du globe terrestre.
Le livre met le doigt où ca fait mal : la correction appliquée aux mesures, qui tient donc compte que ces mesures ont été faites en zone urbaine plus chaude que les autres zones, est faite au pifomètre. Selon la correction, on peut aboutir à un réchaffement ou à un abaissement des températures sur la même période.
J’ajouterai, à titre personnel, qu’une théorie scientifique "valable" n’est considérée positivement que par 33% des savants, que 33% préfèrent ne pas prendre position, et que le dernier tiers y est totalement opposé. Le Global Warming étant "prouvé" et reconnu par tous, tout le monde le sait, montre donc que cette théorie est fausse statistiquement. Il manque les 33% de savants qui sont "contre". A moins qu’"on" ne les fasse taire volontairement.-
Contrairement à ce que certains semblent penser, le GIEC n’est pas une armée de scientifiques désintéressés. Il affirme lui-même regrouper 2500 des "meilleurs scientifiques", mais n’en a jamais publié la liste. Il est établi que bien des membres de ces 2500 n’ont rien de spécialistes (on y trouve des administrateurs). Il est aussi établi que les membres du GIEC font, pour une large part, partie d’une même clique qui auto-entretient ses propres conclusions (on est loin d’un groupe qui fait des analyses impartiales).
Le I de GIEC est pour "Intergouvernemental". Il s’agit donc d’une organisation politique.-
J’ajoute que plusieurs membres du GIEC font un sacré bizness avec le réchauffement. Pachauri lui-même (qui en est le président), mais d’autres aussi, comme notre Jouzel national (tapez "Climpact" sur Google et découvrez l’"essaimage" de l’institut Laplace, dont Jouzel est le directeur).
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Petite question, de quelqu’un qui se fout du réchauffement climatique, (n’etant pas climatologue) :
Que devient le trou ozone ?
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