e crois que M Badinter résume bien la situation d’un point de vue juridique. la rétention de sureté, telle que définie, est une double peine, strictement ARBITRAIRE, quel que soit la personne qui la prononce, car aucune infraction n’est commise.
Etre du coté des victimes c’est bien gentil, mais il vaut mieux être du coté de la justice, lorsque on est président ou parlementaire.
Il n’y a pas être partagé ou hésitant sur ce type de mesure : il faut se poser la question suivante : me plairait-il d’être privé de liberté pour un crime que je n’est pas commis, ou pire, ici, sans même de préjudice commis a l’encontre d’un tiers ? Ceux qui ne l’accepte pas pour eux-même doivent naturellement s’y opposer, les autres peuvent aller vivre a Cuba, ou en Corée du Nord, voire même au Etats-Unis.