Un nouveau système monétaire
Comme chacun d’entre nous je lutte dans un monde en peine et je constate que :
- Les hommes ont peur de ne pas être assez riches et forts face à autrui et à l’inconnu ;
- Des hommes meurent dans les rues et des pays entiers sont étouffés ou exploités ;
- La bataille est encore plus impitoyable lorsqu’ils souffrent.
- Aujourd’hui l’économie mondiale est en crise, et ni les budgets ni les monnaies ne sont maitrisées.
Pourtant :
- Les hommes connaissent aussi l’amour et la foi ;
- Il y a suffisamment de richesses pour contenter chacun et progresser ;
- La loi du peuple doit être un système souverain, juste et égalitaire.
- Il doit exister un moyen de redresser la situation.
Le système doit également :
- Redistribuer durablement les richesses en incitant au progrès général de l’humanité dans l’exploitation de ces richesses ;
- Permettre l’établissement d’un indicateur fiable et fonctionnel de santé économique et une politique démocratique viable ;
- Etre d’une constitution politiquement intégrable au niveau international et garantir la paix.
Mais êtes-vous réellement prêts à changer ?
> Comment fonctionne le système économique aujourd’hui ?
Le principe économique
La valeur et la monnaie
L’un trouve une ressource de la terre stockable, une pierre, et l’autre la transforme, la taille. Tous deux, s’ils échangent leur produit, réclament une récompense, relative au volume, au temps et l’information (sa vérité), de l’offre et de la demande (de bien et de pénibilité) identifiés par le sujet, c’est-à-dire, son accessibilité relative. Tout objet est à la fois offre et demande, seul la position du sujet diffère, celle de l’agent économique. Tout acteur définit ainsi le prix du bien, le produit de l’effort et la récompense marginale de manière élastique en fonction de ce qu’il observe et de ce qu’il désir, c’est-à-dire sa perception relative.


La banque et l’intérêt
Attention : il ne s’agît pas ici de l’analyse historique de l’orfèvre dont le vice est analysé plus loin.
L’un vend la ressource et veut aussi pouvoir acheter le produit fini. L’autre créé le produit fini de ses mains et le vend avec une marge pour continuer à acheter. Je créé la monnaie et la vend à l’autre puis à l’un de façon à ce que nous trois trouvions un intérêt, ici pour pouvoir acheter.
En pratique je me rends finalement compte qu’une fois la machine à monnaie lancée, l’économie ne doit que croître ou risque s’effondrer. Je me retrouve piégé avec la lourde responsabilité de déterminer la valeur de mes papiers de la façon la plus efficace. La constituer sous forme d’intérêts périodiques est une chose. Trouver le bon taux d’intérêt en est une autre.
Aussi, si je prête à l’autre je n’ai pas de certitude sur les fluctuations de prix de la ressource sans savoir le projet de l’un, et si je prête à l’un, inversement. De plus, ils peuvent aussi décider d’épargner, par précaution, projet, ou spéculation (monnaie, biens, taux d’intérêts). Et si nous avons tous des charges directes et indirectes, déterminant le point mort (lié à l’apport minimal nécessaire pour voir un retour à une date théorique), et des projets différents, l’apport optimal réel à long terme est impossible à déterminer dans un marché complexe.
Le risque et la complexité monétaire
La promesse de dette signée, je peux, au lieu d’attendre le revient, la vendre en transférant mon statut de créancier. Le débiteur peut aussi choisir d’hypothéquer ses biens pour rassurer la banque en signant un papier. Ces papiers devenant également une monnaie. Ainsi différents « agrégats » monétaires sont créés et pouvant avoir des dépréciations cachées ou des valeurs ajoutées cachées.
Si ces papiers ne suffisent pas à la demande, on créé ce que l’on appelle des réserves fractionnaires, qui constituent de la monnaie sans aucun bien derrière (cette pratique reste toutefois limitée).
Aussi, étant donné l’incertitude de l’activité du travailleur, pour le particulier, l’industriel tout comme pour le banquier, ont étés créés les assurances. Ces assurances sont rémunérées par des versements, et lorsque le papier est signé, elles peuvent aussi s’échanger comme une monnaie.
Lorsque l’Etat, la banque, l’assurance et l’industrie sont dissociés et échangent entre eux, l’économie devient incontrôlable.
L’emploi de la monnaie
Si on considère la transformation et l’épuisement des ressources naturelles comme de la production, en économie, ce qui compte, c’est le fonctionnement de l’outil productif et les comportements de consommation : l’emploi de la monnaie, dont nous allons relever ici 18 faits majeurs (sans réellement d’ordre précis) :
1. Les ressources et capacités, les forces concurrentielles, les effets d’expériences, les économies d’échelles et les régulations politiques sont les bases de toute stratégie d’entreprise. Et toute entreprise, subit une sélection économique qui ne garde que les mieux positionnées.
2. La réussite des projets repose sur l’intelligence des acteurs et souffre une loi importante, celle de représenter un apport supérieur de projets réussis que de projets échoués. Donc pour assurer la réussite globale au maximum il faut que le projet le plus petit soit le plus rentable, ou bien compter sur de nombreuses réussites qui perdurent et s’accumulent (tandis que les échecs, par définition, disparaissent).
3. La productivité marginale d’un actif a forte tendance à diminuer avec le temps. L’innovation est donc très importante (le moulin, la locomotion, l’électricité, l’ordinateur et Internet ont été les 5 innovations majeures).
4. Dans un business plan, qui met en relation un certain nombre de biens, le prix d'un produit est déterminée par les coûts et le marché (monnaie, bien, travail, taux d’intérêt) ainsi que les objectifs et disponibilités des actionnaires (accessibilité et élasticité).
5. Suivant les élasticités de besoin et d’offre, le marketing est ce qui permet de cibler le produit qui devra atteindre le client sur un terrain donné au niveau opérationnel de l’entreprise, permis par sa propriété, ses ressources et capacités (qui suivant son plan financier et son besoin de liquidité et le risque modulent la répartition en actifs permanents, circulants, ou trésorerie). Ainsi le marketing peut contenir beaucoup de valeur. Le but étant toujours l’accès à la monnaie (ou à la monnaie intérieure, celle de la satisfaction).
6. Lorsque la production ne suit pas la demande en monnaie pour consommer, il y a inflation des prix (c’est aussi valable lorsque l’on détaxe les importations très excédentaires par exemple), alors que lorsque l’offre en monnaie ne suit pas la demande de consommation, il y a déflation.
7. Pour réagir aux opportunités d’investissement ou de consommation il faut de la disponibilité et avoir comblé tous ses besoins relatifs (élasticité différente selon le sujet et l’objet), et aussi avoir une disponibilité de monnaie (liquidité).
8. Au niveau de l’entreprise, plus le revenu augmente dans le temps, plus c’est pour consommer dans des industries a coûts directs absolus décroissants, alors qu’au niveau du particulier, plus le revenu augmente dans le temps, plus c’est pour consommer dans des industries à coûts indirects relatifs croissants.
9. Lorsque le Monde importe depuis un pays, la monnaie du pays grimpe tandis que les autres baissent. Donc l’investissement se développe dans ce pays tandis que l’exportation des autres pays vers celui-ci se développe. Puis le premiers pays augmente ses importations et les autres pays développent le crédit. Lorsqu’il y a dettes internes, l’inflation réduit cette dette. Pour les dettes externes c’est la dévaluation.
10. La prévision dans les variations de l’efficacité marginale du capital et du travail (souhaités contre estimés), des taux d’intérêts (estimés contre réalisés) et les projets conditionnent l’emprunt des entreprises et des particuliers.
11. En investissant long terme on s’inquiète plus de la création de valeur sociale, mais on doit s’investir plus alors que l’on doit élargir le portefeuille pour réduire le risque alors qu’en investissant à court terme c’est l’inverse. Les forces s’opposent.
12. La rentabilité attire autant que la sécurité. L’investissement dépend du sentiment général de sécurité qui permet de prendre un risque important ou non.
13. Une entreprise peut répercuter les coûts futurs en changeant de fournisseur avec un autre rapport qualité prix ou négocier des prix ou des facilitées, cesser les paiements, diminuer la production, ou augmenter le stock. Et avec les salariés, soit, il gèle les salaires, soit il baisse, soit il licencie, soit il change les contrats, mais rarement en augmentant le nombre d’employés.
14. Il existe de nombreux types de chômage. L’important étant qu’il agit sur l’accessibilité et la productivité du travail dans des sens opposés.
15. Dans le système actuel, le taux d’intérêt devrait obéir à une loi telle que :
Taux d’intérêt = croissance + épargne/investissement + chômage/PIB + inflation.
Mais parce-que les choses évoluent et parce-que les acteurs ont besoins de prix stables, le taux d’intérêt optimal ne peut qu’être sans cesse approché ou non. Et quelque-soit le taux d’intérêt, mais surtout quel que soit la politique inflationniste, si le système social est inefficace, l’économie devient très instable.
16. L’homme repousse toujours les limites et parmi les opérations financières les plus importantes sont des OPA (prises de contrôle d’entreprises) permis par LBO (considérez ici un apport massif d’un acteur très majoritairement grâce à des prêteurs en amont, généralement après une surenchère), impliquant toujours des saignées drastiques dans les coûts pour rembourser le prêt, souvent avec augmentation des prix et liquidation des stocks et actifs. Ceci par des corporations de plus en plus puissantes et de plus en plus opaques, qui mélangent des obligations, d’entreprises, d’Etats, et les revendent même aux banques centrales (le dernier recours des Etats devient corrompu, par des acteurs qui provoquent crises à répétition – c’est la dernière grande idée des économistes : les politiques monétaires dites non-conventionnelles). Aujourd’hui la guerre se passe entre des puissants cachés derrière des structures complexes et contrôlent presque totalement les capitaux des grands industries mondiales.
De plus les assurances assurent ces obligations (CDS revendus fragmentés et recomposés et dont la valeur augmente avec le risque de faillite des sous-jacents, une fois revendus).
En fait, les outils de destructions que sont les LBO et les CDS sont les outils privilégiés par des cartels qui manipulent l’économie mondiale.
A savoir également que dans un contexte difficile les principaux acteurs des LBO sont les collecteurs de l’épargne, fonds de pension, OPSVM et assurances (les principaux créanciers de la dette mondiale, faisant des bénéfices à hauteur des déficits mondiaux, et n’étant même pas sûr de pouvoir financer nos retraites avec nos cotisations).
17. Une entreprise, qui va bien, se côte en bourse en passant par une banque qui a intérêt à faire savoir que l’entreprise est performante pour attirer le volume. Ensuite, un troisième peut faire savoir que l’entreprise va mal pour faire suffisamment baisser le cours pour racheter les parts et les revendre à la banque lorsqu’eux deux pensent que l’entreprise va bien. Et la banque fait savoir que l’entreprise va bien et ainsi de suite. Si l’entreprise se met à tourner réellement mal, l’appas de la rentabilité les pousse à continuer le jeu jusqu’à ce que le risque soit intolérable, tandis que lorsqu’elle va bien, le volume monte jusqu’à ce que la plus-value attendue soit la moins crédible.
18. Lorsqu’un bloc idéologique en crise côtoie un bloc idéologique prospère, quelque-soit la forme qu’elle prend, une guerre éclate. C’est l’économie de la guerre.
On peut conclure qu’une solution existe à moins de réaliser que :
> Chacune des formes de chômage structure le marché du travail et doit être intégré aux coûts du travail et être assumé par le peuple.
> Les plus gros salaires doivent assurer fortement un flux continu aux classent plus basses et les petits salaires, faiblement les classes plus hautes, de façon à ce qu’au final tout le monde soit assurer à même hauteur en absolu, pour créer un salaire universel.
> Si la banque est le client universel pour produire la monnaie alors la monnaie coûte sa valeur et le prix, le produit et le revenu sont directement liés au taux d’intérêt selon l’investissement et l’épargne voulus et selon l’inflation et le PIB prévus, en intégrant le chômage au coût de la monnaie.
> Si la pauvreté généralisée est impossible, dans un système qui n’accepte que la pauvreté généralisée, celle-ci ne se réalisera pas.
> L’analyse historique de la création des réserves monétaires nous explique que les orfèvres qui stockaient l’or ont échangé du papier (de valeur) contre des biens (or…) et que la valeur de ce papier était garantie par la présence du bien dans la réserve (le bien dû par l’orfèvre). La monnaie dite scripturale est née en monétisant la dette. Cette analyse révèle que la valeur de la monnaie est avant tout une promesse de dette de bien, alors qu’elle doit être pensée comme une promesse de dette de travail (comme dette de monnaie elle-même).
> Alors qu’après la dernière grande crise économique ont été créés le Fonds Monétaire International (FMI) et la Banque Mondiale comme réserves de dernier recours pour stabiliser l’économie, si on voit bien aujourd’hui que leur efficacité est plus que discutable, c’est parce que la solution est dans un tout nouveau système monétaire basé sur le travail lui-même et non sur un bien.
> L’existence des réserves fractionnaires sont la preuve que le système financier réel n’a pas besoin de réserve réelle (A condition d’adopter un système qui base la dette sur la promesse de travail).
> Si la croissance de l’économie est cruciale, indexer la valeur sur la dette de travail (dont la quantité de ressource primaire est connue et croissante) est plus sûre que sur la dette d’un bien (quantité de ressource primaire inconnue décroissante)
> Un échange économique n’implique pas que deux personnes mais l’ensemble de l’humanité et seule une révolution du système économique à travers les technologies de l’information moderne permettrait de respecter ce principe en mettant en place le système adéquat. Créer, après le « chacun pour soi », le « personne ne possède », et le « tout le monde aide tout le monde », « le tout le monde possède tout le monde ».
> Temps que les gens mourront dans la rue on ne peut pas dire que l’économie va bien (et ça ne va nulle part dans le monde).
> Vendre ne rend pas plus riche. Il s’agît simplement d’un échange de travail. Le travail est la seule richesse et la valeur. La liquidité est cette capacité à libérer la valeur qui dépend de la constitution de la monnaie. Et si la valeur de la monnaie est déconnectée de la valeur du travail, les richesses sont distribuées de façon injuste et globalement néfaste. Et c’est pourquoi l’enrichissement des banques et assurances est devenu inacceptable.
> Le système d’assurance chômage et retraite actuel est inefficace.
> Des compagnies d’assurances qui ne veulent pas nous verser nos retraites, et qui font de gros bénéfices, provoquent, par gros prêts (LBO), des licenciements massifs (les PDG eux-mêmes se retrouvent les pieds et poings liés – et les gouvernements font croire au peuple qu’ils peuvent négocier ou promettent des nationalisations qu’ils seraient incapables d’assumer et qui ne régleraient pas le problème au niveau international), et parient à côté sur la faillite de l’entreprise (CDS), et cela à travers différents instruments indirectement connectés, fondus dans la monnaie (! !!). La seule solution pour pouvoir maitriser les incidences d’un tel comportement (inévitable) sur l’économie mondial est de reconnecter directement l’industrie, la banque et l’assurance.
> Un système supranational solidaire est la clé.
La Centrale d’Emploi, Une solution simple.

La Nouvelle politique économique
C’est bien d’une monnaie non conventionnelle dont l’économie moderne a besoin et non de politiques monétaires non conventionnelles
Ce système permet de créer une assurance qui n’a pas à anticiper le futur ou à enrichir copieusement des tiers (si le chômage en termes de salaire minimal représente 1% du PIB, l’assurance chômage est de 1%, pour tous – autrement dit on créé un système de revenu universel qui coûte moins cher qu’un système où il n’y en a pas !)
En estimant la taxe nécessaire à 50% pour regrouper les besoins publics et sociaux (et aucune autre taxe genre TVA ou autre absurdité), 50% de la monnaie dans un système type Centrale d’Emploi devra être strictement nominative, 50% pourra être convertit en cash, non nominatif (A noter que le besoin en cash dans l’économie mondiale est inférieure à 50% du PIB et la part des autres agrégats augmente).
Pour garantir la viabilité d’un tel système il faut que l’on ne puisse qu’y rentrer sauf si sa croissance est au moins égale au taux d’intérêt. Mais la partie des devises convertit en monnaie tout numérique pourront être utilisées pour se développer dans le système extérieur dès que le système sera devenu suffisamment important pour se fermer définitivement (personne ne sort), s’il recouvre la zone euro par exemple. Et ainsi achever une domination mondiale.
L’indicateur de santé économique de la Centrale d’Emploi tient en quatre points (Les deux premiers devant être obligatoires, constitutionnellement) :
- l’accès aux vivres,
- l’accès aux soins,
- l’accès à l’enseignement,
- l’accès à la propriété,
Libéralisation De l’Outil Productif
Le niveau de libéralisation de l’économie évolue en trois niveaux en fonction de la participation de l’Etat.
- 100% > Banque et assurance (sauf les assurance de second ordre genre voiture…)
- 60% > Infrastructure, santé, énergie, acier
- 30% > Pierre, matière première, enseignement
- 0% > Biens d’utilité relative. Les seuls outils sur ce qui est totalement libéralisé sont l’outil règlementaire et sécuritaire, le temps de travail et le droit des contrats.
Aussi, le MRA se concentre sur 3 projets distincts :
- Nationalisation de systèmes de mobilité et de distribution d’énergie intégrés (hybrides électrique et air comprimé pour taxis et coursiers urbains).
- Nationalisation d’un système d’exploitation multi-supports, d’un navigateur web et d’un moteur de recherche.
- Création d’un centre public pour la recherche fondamentale pour unifier les sciences et les religions*
L’objectif
Unifier d’abord l’Europe puis le bloc Europe-Afrique avec la Centrale d’Emploi pour avoir la force nécessaire pour s’étendre au monde.
Citoyens du monde, c’est l’heure de la Révolution !
A méditer…
1.Convergence des systèmes thermodynamiques humains (économique, informatique et praxéologique – entrepreneuriat)

Ici l’interface est la Centrale d’Emploi
2. L’observation fondamentale * A propos de religion...
Scientifiquement parlant, le point commun à toute chose observée est qu'elle est observée. Donc le principe fondamental de toute chose, de tout point de vue et à toute échelle est l'observation. C'est en se focalisant sur la Chose que le concept de Dieu est né alors qu'il s'agît d'un fait. Le fait qu'un évènement dépend de l'évènement passé quand chaque évènement trouve son évidence dans l'évènement global futur, et que chaque pensée trouve sa raison dans la pensée globale passée quand une pensée dépend de la pensée future. Si le fait de l’existence de Dieu est encore discutée aujourd’hui c’est parce qu’il n’est pas tout à fait ce qu’il a été enseigné jusqu’ici (laissant la porte ouverte à de nombreuses démonstrations fallacieuses de son existence ou de sa non-inexistence car basées sur des acceptions totalement erronées). Le principe de Dieu n’a rien d’une religion, il est à la racine de toute science. Le principe que l’univers parle et écoute en même temps.
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