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AAVIVRE

AAVIVRE

Président de l'Association qui Accompagne la Volonté de l'Individu à Vivre dans le Respect de son Ethique, association crée en 2014 par un comité fondateur qui défend le respect de chacun de vivre selon sa volonté et dans le respect de l'autre sa fin de vie.
30 ans de militantisme pour que chacun puisse décider de son propre sort en fin de vie et non pas se faire imposer par la société via le monde médical une fin de vie non souhaitée.
Fils du fondateur de l'ADMD, association que j'ai aidé à fonder mais qui dans son fonctionnement ne correspond plus à l'esprit associatif, de transparence et pluri-penseurs des fondateurs.
 

Tableau de bord

  • Premier article le 18/08/2014
  • Modérateur depuis le 29/12/2014
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Derniers commentaires



  • AAVIVRE AAVIVRE 8 août 2016 19:01

    Vous pourriez au moins avoir mentionné le livre « Le fascicule de Sure-Vie » téléchargeable par tous sur le site www.aavivre.fr qui en 100 pages présente un accompagnement pour rédiger ses Directives Anticipées et désigner sa Personne de Confiance.

    Même quand je ne suis pas d’accord, je respecte l’autre et tente de présenter une vision qui montre que j’ai étudié et fais les recherches sur le sujet. 
    Merci de corriger votre article dans ce sens.




  • AAVIVRE AAVIVRE 2 novembre 2015 20:21

    Etonnant car votre analyse logique est clair mais vous êtes totalement aveugle sur deux choses :


    1/ le problème de fond est que ce n’est pas au soignant de DECIDER du soin, mais seulement de proposer le soin. C’est au soigné, éventuellement via sa personne de confiance qui est le seul interprète de ses Directives Anticipées, qui peut décider du soin. Tant que cela n’est pas compris par les soignants, les politiques et les communicants comme vous, nous irons dans une impasse.

    2/ les militants pour le « Droit de mourir dans la Dignité » ne veulent RIEN imposer à qui que ce soit. Ils veulent juste avoir EUX le choix de pouvoir choisir le plus tard possible l’heure de leur mort et être assurés qu’un soignant sera libre de leur prescrire, voir administrer si besoin un moyen d’une mort paisible. 

    Actuellement les gens qui veulent « mourir debout », c’est à dire en laissant une image d’eux-même qui leur convient, en étant lucide jusqu’au bout, en refusant de servir de cobaye, en refusant de vivre dans l’agonie et la douleur non contrôlée, ceux là aujourd’hui doivent anticiper leur mort car la société leur refuse la liberté d’arrêter en temps voulu. 

    Les plus de 90% de personnes qui veulent une législation adaptée, veulent ne plus être dans l’angoisse de la fin de vie. Et ce n’est pas les soins palliatifs, ni la loi Léonetti du « laisser mourir » qui atténuent cette angoisse. 

    Ayez au moins l’intégrité intellectuelle de lire nos propositions pour une législation de liberté tant pour le soignant que pour le soigné. Vous dites qu’il y a des dérapages dans les pays où une législation permet le suicide assisté, premièrement c’est FAUX et les rapports annuels de ces pays sont là pour le dire, mais en plus vous semblez ignorer les 30 000 décès estimés par l’Observatoire National de la Fin de Vie qui sont des actes volontaires de compassion par des médecins qui eux prennent des risques d’être, comme le Dr Bonnemaison soumis aléatoirement à une sanction disciplinaire. Le seul problème c’est que ce n’est pas le patient qui décide, il n’y a aucun moyen de contrôle, donc c’est inadmissible.

    Alors un peu d’humanité s’il vous plait ! Si vous voulez mourir avec vos croyances, croyez moi je serais le premier à vous défendre pour que vous viviez comme il vous plaît. Mais laissez nous vivre de notre façon en retour. Ou es-ce les milliards d’Euros que représente le marché de la fin de vie pour le monde médical qui sont en jeux ici ? A vous de juger.



  • AAVIVRE AAVIVRE 25 juillet 2015 20:48

    @Le421
    Amie 421

    La fin de vie est une période pleine de richesses pour celui qui conçoit ainsi sa vie. Ma mère m’a appris que la vie était TRES DIFFERENTE si l’on considérait que la bouteille est à moitié pleine plutôt qu’à moitié vide. La richesse après c’est une affaire d’intérieur car tout le monde sait que l’argent n’a pas de valeur.
    Vivons mes amis car la vie est courte et nous avons beaucoup à faire.

    Amicalement


  • AAVIVRE AAVIVRE 12 juin 2015 17:18

    Sylvain, vous faites une diatribes qui ne contribue en rien à clarifier le débat. Comme beaucoup vous confondez le principe de décision personnelle avec celui de la décision par la communauté. Il faut comprendre que la vie appartient à celui qui la vie, à vous pour vous, à moi pour moi. C’est un principe fondateur de la liberté. 


     Ceux qui veulent pouvoir décider du moment et de la manière de leur mort ne veulent RIEN imposer aux autres. Juste que l’on respecte leur droit de décider ce qui est pour eux une qualité de vie. Quand mon Ethique, ma perception personnelle de MA qualité de vie ne correspond plus à ce que je vis, que le pronostique n’est que dégradation jusqu’à la mort, alors nous souhaitons que nous puissions être accompagné par un professionnel qui utiliserait un cocktail permettant une sédation terminale.

    L’autre aspect de la question est le respect du professionnel de la médecine. Celui-ci à des devoirs et des droits. Le droit de « prescrire librement » comme le dit le code déontologique mais illégal en matière de sédation terminale (60% des généralistes pratiquerait ce geste s’il était légal). Le devoir de proposer l’éventail des soins adaptés à un diagnostique, de s’assurer de la compréhension de la personne de sa situation médicale et des options possibles, et enfin le devoir de documenter le diagnostique, le pronostique et la pratique.

    Je répond chaque semaine à des individus qui me demandent quels sont leurs choix en fin de vie dans le cadre de la législation actuelle. La réponse est qu’il peuvent agir eux-même s’ils en sont encore capables, ou sinon, ils sont à la merci de la profession médicale. On estime qu’il y a plus de 30 000 sédation terminales clandestines annuellement dans les services de santé. Souvent par compassion mais toujours illégales et réalisées dans la clandestinité, donc dans la peur. Ceci interdit une fin de vie sereine, entouré des siens. La loi Léonetti-Claeys en discussion ré-affirme que seul le médecin peut décider puisqu’il peut toujours déclarer inadapté la volonté écrite ou verbale du patient. Chaque mort étant unique et spécifique, tout écrit préalable peut être considéré caduque.

    Pourquoi cette hypocrisie sociale ? Par-ce-que la fin de vie est un marché lucratif pour le monde médical. On choisit politiquement de dépenser +60% de la totalité des frais médicaux d’une vie entière dans les 6 derniers mois de la vie (plus de 2 100 000€/personne en moyenne !). L’observatoire National de la Fin de Vie estime que 50% de ces soins sont inutiles, voir de l’acharnement thérapeutique. Le débat sur la loi Léonetti-Claeys à la chambre des députés était édifiant car il opposait le marché des soins palliatifs (maisons d’accueils et de soins) contre celui de la médecine spécialisée (chirurgie, médicaments, instrumentations ...). Jamais il n’a été question des droits et devoirs de chacun, ni de l’espace de confiance que requiert une médecine humaniste.
    La question n’est pas l’Euthanasie, mais le respect de la condition humaine. Nous allons tous mourir, alors pourquoi pas d’une manière qui nous convient et pas comme des cobayes de la médecine et de la finance.

    Je conclurais en soulignant que vos énoncés confus sur l’Europe et l’Euthanasie ne prennent pas en compte la décision de la Cour Européenne dans le cas de Vincent Lambert qui ré-ittere les notions de droit à la vie et donc à une mort douce pour chacun.



  • AAVIVRE AAVIVRE 27 août 2014 18:13

    On voit que vous ne savez pas de quoi vous parlez

    Les frais médicaux baissent de 30% quand on parle avec le patient de son cas et lui explique les options de soins
    Les frais médicaux dans les 6 derniers mois de la vie représentent plus de 60% des frais médicaux de toute une existence
    Alors réfléchissez un peu à ceux qui disent ne pas vouloir vivre plus longtemps et à qui on fait des interventions chirurgicales quelques jours avant leur mort, à ceux qui ne veulent plus de cette vie de misère et que l’on prolonge des mois, voir des années en les mettant dans une camisole chimique afin qu’ils ne s’expriment plus 
    Je sais que se renseigner, réfléchir et avoir de la compassion requiert que l’on ne pense pas qu’à sa petite personne, mais je vous prie de faire un effort pour au moins admettre que tout le monde n’est pas comme vous et chacun à le droit de mener sa vie comme il l’entend. 
    Quand aux questions de dérives, on notera que plus de 1500 cas de type Vincent Lambert existent chaque année, que 3000 personnes selon l’ordre des médecins sont dans la demande d’une mort à temps voulu et non pas mise sous tutelle de la médecine ou des proches. La loi Léonetti semble avoir augmenté les cas de misères en fin de vie au lieu de les réduire, et malgré qu’elle dise que le malade à le droit de refuser tous soins, elle se contredit en donnant au médecin pleins pouvoirs de décision sans pouvoir être contredit.
    Enfin, eh oui, les proches souvent exigent de la médecine qu’elle prolonge la vie afin que celui qui reste puisse toucher la retraite pleine ... ce sont des choses qui existent malheureusement.

    Si vous lisez attentivement nos propositions (www.aavivre.fr), si vous prenez la peine de comprendre notre démarche, alors vous y trouverez à la fois les garanties pour la personne, le respect de la profession médicale et le moyen pour que la justice puisse s’assurer qu’aucune dérive ne puisse rester impunie. Pas un monde parfait j’en conviens, mais un monde meilleur que celui qui existe. C’est déjà çà.
    Avec toute ma compréhension pour vos peurs.

    Sincèrement

    PS - « Chirugie avant la mort » non pas pour aider à survivre mais pour gagner des sous sur une personne condamnée à très court terme


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