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Les commentaires de LeMerou



  • LeMerou 24 novembre 07:21

    @LATOUILLE

    Bonjour,

    Je suis bien d’accord avec votre paragraphe d’introduction, qui hélas en dit long sur l’organisation tentaculaire de cette dernière. Eternel sujet de discussions.

    L’école, pour reprendre un terme générique, est un des fondements d’une société, , dont le but normalement est d’élever les connaissances et le savoir d’une population, permettant ainsi au Pays de pouvoir prospérer et tout ce qui est associé.

    Le discours de l’ex-Président n’est pas étonnant non plus, c’est un peu le reflet de ce beaucoup de citoyens pense globalement. Sentiment encore très fort dans une certaine génération, qui comparant ce qui est à ce qu’ils ont connus, les laisse perplexes. Mais qui disparaîtra de toute façon.

    « L’école doit s’adapter ! » ? Entend on très souvent, ce qui pour ma part n’a pas vraiment de sens, l’école du savoir et de la connaissance à schématiquement deux niveaux, celui de l’enseignement général, le socle le plus important, les élèves sortant de ce dernier devant avoir acquis et maîtrisé le « savoir » fondamental lui permettant d’évoluer dans la société d’y trouver sa place et de participer activement au fonctionnement du Pays.

    Le second niveau, quant à lui étant destiné à former des élèves ayant des capacités supérieures (ce qu’il faut accepter !), formant des élèves à d’autres métiers, plus « techniques » diront nous. 

    J’en reviens à « l’école doit s’adapter ! », Elle le doit, notamment géographiquement, ce qui ne semble pas le cas. Si l’on regarde les chiffres officiels, pris brutalement, le ratio nombre d’élèves/Enseignant ne reflète pas la réalité. A l’évidence, le nombre d’établissements et leur lieu d’implantation n’est plus tellement adapté à l’augmentation des populations en zone dites « urbaines ». « L’enseignement » dans le génie urbain, ne semblant pas être une des priorités, par sa non rentabilité au vu de la surface occupée.

    D’où les fameuses classes « surchargées », associées aussi dans certaines zones à un phénomène comportemental des élèves. Soit une sorte de poudrière ne produisant pas l’attendu. Poudrière qui est systématiquement mise en exergue pour tout.

    « On manque de moyens ! » C’est la rhétorique quasi incessante que nous entendons depuis bien trop longtemps par le monde enseignant. Cela ne veux rien dire selon moi.

    On manque de quoi ? d’enseignants ?, d’établissements ?, de salle de classe ?, d’argent ?, etc. Nombre de sujets sans réponses véritablement structurées, mais reflétant tout de même une méconnaissance de leur organisme et le malaise global.

    Vient ensuite, hélas devrais-je dire le coté « politique » de la chose et c’est sûrement le plus nocif, car n’en doutons pas ce dernier n’a pas de visée réelle du devenir de nos chères têtes blondes, mais plutôt la visée d’un électorat, le maintien de ce dernier dans son giron et tant qu’à faire, si « l’élève » pouvait avoir les mêmes « idées ».....

    Certains politiques promus au poste, sont de véritables émules de notre Vosgien « créateur », se sentant obligés de « révolutionner » l’enseignement par des réformes portant leur nom, marquant ainsi le Ministère (l’Histoire même, tant que nous y sommes) de leur pauvre empreinte. Contraints ensuite devant l’inefficacité (ou non-atteinte de leur espoirs) de leur mesures de faire évoluer certaines règles pour maintenir un niveau de « réussite » acceptable mondialement.

    Ministère ensuite impacté, par une transformation de la société, en exagérant volontairement le fait, qu’aujourd’hui les deux parents travaillent, n’ont plus réellement de temps à consacrer à la transmission envers leur progéniture, des principes de « vie » en société. Ce rôle étant progressivement dévolu à l’institution, l’éducation nationale endossant le rôle en plus de nounou presque.

    Associant à l’ensemble, le concept assez néfaste et pervers « d’adultisation » de plus en plus précoce et une « politisation » des constituants du Ministère.

    Alors pardonnez moi le terme, mais c’est un « merdier sans nom ».

    J’ai été assez « terrifié », un jour écoutant des propos tirés d’archives de jeunes étudiants justifiant les évènements de 1968 et ceux justifiant certaines actions d’aujourd’hui. Pourtant agnostique, je n’ai pu m’empêcher de penser « Mon Dieu ».


    Ah, oui le recrutement ! De moins en moins de candidats, la foi en l’oeuvre étant un peu relayée au second plan, mais c’est sûr que les conditions « d’insertion » des « jeunes enseignants » est quand même fantasque, voire déplorable. Beaucoup abandonnent, c’est compréhensible au regard des conditions de travail. Qui ne sont pas dues qu’au système éducatif mais plutôt à un problème sociétal. Mais « chut » le sujet est inconvenant, voir un non-sujet, 

    Bref, Je conclurai par le fait, que depuis trop longtemps, l’instruction réelle de nos têtes blondes est bien trop soumise ou assujettie à des idéologies politique de l’instant, ce qui ne peut engendrer à la finale que d’incessantes discussions sur ce qu’il conviendrait de faire. Oubliant que l’outil fonctionnait, produisait l’attendu aussi, mais ne soyons pas nostalgique, ne voyons que l’avenir et radieux si possible. Omettant que le « passé » fonde l’avenir.

    Mais heureusement l’I.A viendra au secours de nos chères têtes blondes une fois adulte. Même l’ignare des ignare grâce à son forfait illimité sera un puit de savoir, ne sachant rien mais connaissant tout.

    PS :

    Personnellement horrifié, devant la méthodologie d’enseignement prodigué à ma descendance à l’issue d’une énième réforme il y a un peu plus d’une trentaine d’années, sur les fondements initiaux du savoir, notre couple à consacré pas de temps, à judicieusement « compléter » ce dernier, déployant des trésors d’imaginations, pour ne pas mettre en contradiction l’enseignement scolaire, ce qui aurait été préjudiciable. 



  • LeMerou 21 novembre 14:09

    @ZenZoe

    « Personnellement, je pense que créer une nouvelle appellation ne changerait absolument rien aux comportements. Seule à mon avis importe la sanction ».
    Pas tout à fait d’accord.
    La sanction est en fait liée au chef d’inculpation et son « degré », regardez ce qui est demandé par l’initiateur dans l’homicide routier. Quant au comportement, à part les véritables malfrats, qui n’ont rien à faire des lois, cela pourrait peut être influer le comportement de certains. 

    « Sur l’appellation : le débat se situe entre homicide involontaire et homicide routier, pas entre homicide involontaire et volontaire. »
    Nous sommes bien d’accord.
     

    Il y existe une « loi » de la route, le fameux « code » les infractions à ces dernières ne sont majoritairement qu’un troupeau de sanctions administratives et financières, désormais je pense qu’il est grand de temps d’y adjoindre un coté pénal, plus fort.
    Et qu’au lieu que les médias ou le gouvernement nous fasse du tapage publicitaire pour telle ou telle maladie, qu’elle jouent leur rôle en martelant ces nouvelles règles. 
    Je trouve que dans l’affaire, M. Palmade s’en sort très très bien au lieu d’être condamné sur la base qui suit (extrait du CDR Article L.232.1)

    Les peines sont portées à sept ans d’emprisonnement et à 100 000 euros d’amende lorsque :

    1° Le conducteur a commis une violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement autre que celles mentionnées ci-après ;

    3° Il résulte d’une analyse sanguine ou salivaire que le conducteur avait fait usage de substances ou de plantes classées comme stupéfiants, ou a refusé de se soumettre aux vérifications prévues par le code de la route destinées à établir s’il conduisait en ayant fait usage de stupéfiants ;

    Les peines sont portées à dix ans d’emprisonnement et à 150 000 euros d’amende lorsque l’homicide involontaire a été commis avec deux ou plus des circonstances mentionnées aux 1° et suivants du présent article.

    Désolé pour votre soeur, qui hélas fait partis des nombreuses victimes à qui ont à trouvé peut être des circonstances atténuantes à l’auteur des faits, par des effets de manches et une sorte de « vide » législatif existant.)



  • LeMerou 21 novembre 11:51

    Bonjour, 

    « Par ailleurs, juger une personnalité célèbre n’est jamais facile pour un juge car il faut éviter toute pression »

    Nous y voilà, n’est pas jugé une « célébrité » mais un citoyen. Y voir quelque chose d’autre c’est déjà trouver des excuses.

    « il en reste cette idée impérieuse que chaque conducteur que nous sommes a la fragile responsabilité de faire attention à la vie des autres. Cette attention devrait être portée en permanence. »

    Ce qui est impérieux à mon sens, ce n’est pas de respecter les autres, car chacun peut avoir une sensibilité différente, mais plutôt en premier lieu de respecter les règles, qui elles font que la vie des autres est prise en considération par ces dernière. Je ne vois pas ce qu’il y a de fragile dans une responsabilité.

    Maintenant, la conduite automobile est devenue un acte banal (trop), certainement aussi cause d’un marketing sécuritaire du monde l’automobile, laissant croire que le danger vient des autres et non plus de soi.

    Après reste et restera toujours, les défauts et les faiblesses de l’humain, être attentionné tout le temps, en permanence, n’est pas une chose aisée, surtout en conduite de véhicule. En dehors des infractions caractérisées, personne n’est à l’abri d’une erreur, essentiellement d’inattention bénine au départ, pouvant hélas avoir de graves conséquences.

    C’est toute la difficulté de juger un accident.



  • LeMerou 21 novembre 11:32

    @ZenZoe

    Pour ma part, je n’ai aucune compassion pour cette personne, ne tenant pas compte de son métier, de sa « célébrité », rien. Cette personne est un citoyen comme vous et moi, assujettis aux mêmes règles.
    Maintenant quant à son devenir, certes il doit se poser des questions innombrables c’est certain, mais un jour nous avons tous à un moment ou un autre à assumer la conséquence de nos actes bénins ou graves.

    « Je le crois sincère quand il demande pardon »
    Je ne sais pas, c’est très difficile de savoir si la sincérité est liée à une espérance de réduction de peine ou bien réelle. 



  • LeMerou 21 novembre 11:23

    @ZenZoe

    Bonjour, 
    « Je ne crois pas tellement au changement d’appellation en homicide routier à la place d’homicide involontaire. D’abord parce que, même si le délinquant était au courant des risques, il n’avait évidemment pas l’intention ferme de tuer. »

    Je ne suis pas juriste loin de là, mais l’homicide routier me paraît être une solution, car à partir du moment ou l’on franchi les règles, les conséquences hélas peuvent aboutir à un homicide, certes l’intention de « tuer » volontaire n’est pas là, car cela s’appelle un « meurtre » mais le franchissement des règles est lui bien intentionnel ou volontaire selon, les conséquences étant connues.

    J’ai l’intention de franchir les règles alors que je sais pertinemment quelles peuvent « tuer », mais en fait, au début, je ne voulais pas tuer ! Ben voyons ! C’est tout le dilemme de la chose.

    L’homicide routier, tel qu’il est présenté, demandé à juste titre ne s’applique que si l’accident est mortel, pour ma part je trouve cela insuffisant. La personne n’est pas morte, mais handicapée à vie (c’est la société qui paiera) ou transformée en légume, c’est quand même ôter une partie très importante de la vie, la vie normale non ?.

    Le problème de toute règles, ou lois sont les tolérances associées, du fait même de leur existence, cela permet de s’en affranchir en se minimisant le risque.

    Je suis d’accord avec vous, les peines ne sont pas suffisamment appliquées, vérifiées, etc. peut être par manque de moyens, seulement le problème entre ceux qui font le constat (les forces de l’ordres) et ceux qui sanctionnent (la justice) il y a un écart notable, de surcroît la récidive n’est pas assez sanctionnée à mon sens.

    Le nombre de gens roulant sans permis, voire même sans assurance augmente d’années en années est tout simplement inadmissible, rien par le fait qu’il puissent le faire. Contrôler c’est bien, nécessaire même, mais face à un danger, ce qui est important c’est d’en supprimer l’origine, la possibilité qu’il arrive.



  • LeMerou 21 novembre 07:47

    @Demaretz Gérard

    Une précision, un remarque ?

    Bien sûr !

    Mais que dire, à propos de cet accident ? Comme souvent j’ai remarqué que les auteurs s’en tirent mieux que les victimes, sont ils sous la protection divine de Lucifer ou Machiavel ?

    Dans le ca de cet « humoriste » j’ai noté aussi après coup, le haro sur l’individu, par certains de ses ex-collègues ou frères et soeurs de la confrérie des intermittents, du monde du spectacle, peut être par colère d’avoir mis à jour des pratiques usuelles du milieu,

    Vient ensuite la traditionnelle « victimisation », le pauvre, ce métier infâme d’amuseur public, ma bonne Dame, est tellement horrible qu’il était obligé, rendez vous compte ce qu’il est obligé de faire à cause du succès, de la célébrité. Un peu comme récemment le député qui tape dans la caisse, pour s’acheter de la drogue, ce n’est pas de sa faute...

    Bref, la loi n’est absolument plus adaptée pour juger de tels comportements, qui sont criminel, n’ayons pas peur des mots. Addiction ou pas aux stupéfiants, règne avant la prise volontaire de ces produis, la pleine conscience de ses actes et des conséquences associées, notamment sur la conduite d’un véhicule, le déni, l’ignorance des dangers ne pouvant être évoqués.

    Nul ne pouvant ignorer les effets de ces produits sur le comportement encore moins celui qui les prends, connaissant parfaitement les effets qui sont recherchés ne l’oublions pas.

    Pour moi, tout personne sous l’effet d’un produit stupéfiant (quel qu’il soit, la notion de puissance du produit, y compris les phénomènes liés à une certaine « habitude » ne devant pas entrer en ligne de compte) conduisant un véhicule, se place volontairement et automatiquement dans un cas d’homicide volontaire en cas de problème.

    Que la personne soit un quidam, un politique, un acteur, un humoriste, journaliste ou quoi que ce soit.

    Est toujours évoqué par l’accusé, une sorte de non conscience de ses actes, l’éventuelle première fois, des regrets aussi, alors que l’issue fatale de ces derniers, est toujours d’origine volontaire par la consommation des dits produits, cela frôle l’hypocrisie pour attendrir le jugement, implorant une sorte de clémence, surtout quant l’accusé s’est déjà vu par le passé reprocher légalement l’usage de ces produits.

    Je ne connais pas la condamnation de l’humoriste, sera t-elle emprunte d’égards bienveillants envers sa « célébrité » je ne sais pas, c’est la vie, dans laquelle il faut assumer ses actes.

    Même si cette dernière détruit la vie, la carrière, de l’accusé, il ne faut jamais oublier que ce qui l’a conduit sur les bancs est à la base un acte exécuté volontairement, en pleine conscience. Rechercher toutes suggestions d’excuses est un affront envers les victimes, même si elle sont toujours en vie. Il existe des fautes inexcusables, et celle là en fait partie.



  • LeMerou 19 novembre 18:45

    @Olivier Cabanel

    Bonjour, 

    La disparition de nos fromages ! Tout un programme, il y a toujours eu des fromages à diffusion locale aussi, certainement plus nombreux que les connus du grand public (exclus, bien sûr le troupeau de fromage, n’ayant pas d’histoire, crées commercialement, genre le Cantadou en 1974)

    Puis l’Europe bienfaitrice, génératrice d’idéaux, du vivre ensemble, etc, etc. A contribué aussi à faire disparaître une partie de nos frometons. La grande distribution, la pub, s’est chargé en plus de fourguer progressivement aux consommateurs avec des propos fallacieux, des fromages sans goût réel (enfin loin de ce qu’il devrait être au vu de l’appellation), standardisé ce qui est appelé un « fromage » aujourd’hui est surtout produisable industriellement.

    Pour ma modeste part, je souris toujours lorsque je regarde les multiples appellations, nom d’une pipe en bois, les publicistes sont quand même très fort, ne manque pas d’idées non plus. Il faut dire qu’en face, une immense majorité des consommateurs ne sait plus ce qu’est un véritable fromage. 

    Il y a quelques temps déja, amateur de COMTE, j’étais à Poligny, à la maison Juraflore, Un COMTE avec 6 mois d’affinage, un bonheur absolu, je n’ai jamais retrouvé ce fromage, même avec les soit « disant » fromager des marchés.

    Maintenant que les Chinois en aient fait avant nous peut être, qu’il en face toujours n’est pas étonnant, le fromage c’est vieux comme le monde. Par contre que bientôt ils fassent des contrefaçons de nos fromages, c’est fort probable....

    Il leur suffit d’importer du lait de chez nous, et de nous le renvoyer sous forme de fromage avec la mention « Lait de France ».....

    Un peu comme pour le parquet, on coupe des chênes en France, ont envoie les billes chez les Jaunes et ils nous renvoient des lattes de parquets. Bah oui, pas d’investissements en France, le marché n’est pas porteur qui nous disent....



  • LeMerou 19 novembre 07:47

    @Patrice Bravo.

    Bonjour, 

    Tout de même, beaucoup de suppositions dans votre article, provenant d’analyses de soit disant confidences et supputations diverses et variées issues de discussions auxquelles n’ont participé aucun de ceux qui les rapportent.

    Certes l’autorisation du Président actuel des USA demande à être analysée, car d’un coté nous avons des intentions de mettre fin au conflit en 2025 par le Président Ukrainien, et de l’autre, une déclaration U.S. de mettre de l’huile sur le feu.

    Le tout évidemment, sans tenir compte de la réplique !

    Depuis le début de l’affaire Londres et Paris, malgré leur « participation », ne sont certainement pas des acteurs majeurs, sûrement des qu’ils font partis de la chaine logistique non pas alimentaire destinée à améliorer le sort des Ukrainien, mais militaire. L’acteur européen principal étant l’Allemagne, très fidèle serviteur des U.S.

    Depuis cette annonce, nous n’avons que cesse d’entendre une sorte de frénésie malsaine médiatique sur le coté technique de cette autorisation, nous revenons à grand pas vers les grandes déclarations du début de ce conflit, la technologie occidentale anéantissant le vieil ours Russe.

    Deux années après, force est de constater que malgré les grandes affirmations d’anéantissement économique, par des trains et des trains de mesures, des livraisons de technologies occidentales, l’ours griffe toujours....

    Il y a beaucoup à dire sur l’incompétence notoire de ceux qui évoque ce « conflit », frôlant l’affabulation par le croisement d’informations plus ou moins vérifiées, glanées ci ou là, entretenant uniquement leur notoriété. Sans évoquer non plus les « ex » généraux interrogés par les médias, de grand théoricien, n’ayant jamais mené d’autres batailles que celles destinées à orner leur poitrine.

    Fort heureusement comme au temps du Covid, nous ne manquons pas de « généraux », ou de « spécialistes » afin qu’ils soient régulièrement changés, pour qu’ils ne soient pas trop ridiculisés par leur affirmations/prédictions ne s’étant jamais réalisées.

    Bref, il est sidérant d’entendre, de lire tout ceci, sans que ne soit évoqué un instant la réplique, l’ours se laisserait tranquillement malmené par ses assaillants, se contentant de fuir en criant. 

    Pour ma modeste part, je crois que les U.S (du moins une partie) se moque totalement de l’Ukraine et du sort de sa population, menant une sorte de test grandeur nature envers son ancien ennemi juré qu’est la Russie, évaluant au passage la servilité de l’Europe, très forte en mots mais moins en actes. Cette « autorisations » démontrant une fois de plus que les U.S font fort peu de cas de l’Europe et de l’Ukraine. Les laissant dans leur mouise, leur permettant ainsi de se concentrer ailleurs.

    Mais je me trompe sûrement. n’étant pas dans le cercle des initiés.

    Toutefois, je pense, ou je me laisse à penser que la venue de M. TRUMP, pourrait changer les choses, la guerre est un commerce, ors il ne semble plus rentable, pour eux, qui ont en plus quelques léger soucis économique. Bon en face l’ours commence aussi à vider son escarcelle.

    Quant à nous Européens, nous sommes le cadet de leur souci, depuis toujours, comment accorder du crédit à des Pays infoutus de se débrouiller seul. 



  • LeMerou 18 novembre 18:59

    @Hamed

    Bonjour,

    « Selon Jacques Monod, le langage humain a joué un rôle essentiel dans le développement de l’homme à travers les âges »

    Comment osez vous tenir des propos hérétiques à ce point, y compris celui que vous citez. Dieu dans son infinie sagesse à de suite doté l’homme et la femme d’un langage, il y a un très vieux bouquin qui explique cela. Bon l’affaire s’étant un peu compliquée dans le temps, des questions posées, la tour de babel est née, d’où une multiplicité de langages apparus comme ça d’un coup.

    Affirmer que l’homme s’est développé créant un langage propre est digne du bûcher.

    « Et l’homme sait sans savoir, ce qui se justifie l’immensité de la question sur son être et sur le monde »

    Sait sans savoir, cest très fort je l’avoue... Mais oui l’humain ne sait rien, mais parce qu’il est doué de la parole, de la réflexion (ce qui permet tous les délires), je ne cite pas volontairement la raison, sinon « l’évolution » ne serait pas ce qu’elle est, peut être est-il doté d’intelligence, mais j’en doute à voir l’état de la planète. Il se sent tout puissant toutefois, Philosophant sur le « Suis-je seul » dans l’univers, cette immensité infinie. Bordel de moi-même ma grandeur m’effraie, pour paraphraser une célèbre marionnette.

    Nous vivons à peine sur un grain de sable, que dis-je une poussière (et encore c’est trop gros) rien que dans l’univers, que nous connaissons, mais il est vrai que la parole, la philosophie permet de voyager, sans que cela ne change grand chose.

    Si ailleurs, éventuellement, par le plus grand des hasards, d’autres civilisations nous regardent, elles se garde bien d’entrer en contact avec nous, vu comment nous nous comportons. L’espèce humaine étant la pire des espèces de cette planète, c’est incontestable, mais elle s’interroge.....



  • LeMerou 18 novembre 18:35

    @gnozd

    « contraste entre les bourges de Kaboul »
    Heu, il en reste, j’ai cru, mais ma mémoire me fait peut être défaut, que ce sont les premiers partis. Non ?

    Quant aux zones rurales, m’est avis qu’elles n’ont pas vraiment changées, 



  • LeMerou 18 novembre 18:32

    Croire que le retour des ayatollahs allait donner une société plus juste et libre, est une pensée, qui normalement ne se trouve que dans des services spéciaux de psychiatrie. Les personnes ayant ce genre de bouffées délirantes, ne devraient pas se trouver dans la société.



  • LeMerou 18 novembre 08:02

    @titi

    Bonjour,

    « Cet article est très largement orienté, dans la mesure où l’Allemagne a été factuellement l’allié de la Russie jusqu’en février 2022. »

    Nos chers amis Teutons, ont toujours été de fervents alliés avec ceux qui leur permettait de protéger et de développer leur intérêts.
    A l’inverse de nos politiques ne jurant qu’au développement de notre Pays par l’Europe, les politiciens Allemands largement plus nationaliste et avisés, se servent depuis le début de l’Europe pour assoir leur domination,

    Mais comme il est aisé pour eux de manipuler tout ces « députés » européens, notamment les nôtres, n’ayant jamais eu de chevillé au corps, la défense des intérêts de notre Pays. Evidemment ne connaissant pas véritablement les autres, seulement qu’aux travers de rapports, de tweets, d’articles médiatiques, ils ont effectivement bien du mal à les rallier à leur cause.

    Nous sommes le deuxième Pays de l’Europe, et le plus facilement manipulable. Le Président Macron s’insurge du « Mercosur », pas de problème, la Présidente Allemande de l’Europe, euh pardon, la Présidente du conseil, va l’avoir et légalement en plus.. 
    Ainsi nous entendrons dans peu

    J’ai essayé, mais n’est pas pu, mais ne vous inquiétez pas , nous préserverons nos intérêts et dans un second temps, finalement le « Mercosur » ce n’est pas si mal, puis dans un troisième temps, naîtra le scandale des anti-mercosur, des anti-européens, des complotistes traîtres à la patrie ne voyant que leur petits intérets.



  • LeMerou 17 novembre 16:41

    @JPCiron

    « Ont-ils adhéré ? Ou ont-ils initialement été comptés comme adhérents ?
    Les colonisations ont été accompagnées par les évangélisateurs de tout poil.
     »

    Oui et la grande force de la « religion » ou des « religions », croyances, etc, la non-connaissance, le non-savoir, bon disons le franchement l’ignorance leur permettant de s’établir, c’est le creuset parfait. Titillant aussi l’imaginaire. Et puis à l’époque l’adhésion était comment dire, un peu forcée non ?

    Toutefois mes propos sont à modérer, car même de nos jours, ou pourtant « l’humain » est en théorie beaucoup moins « ignorant » que par le passé, des « religions » appelées « sectes » par le faible nombre d’adhérents arrivent à convertir. C’est assez incroyable tout de même, qu’est ce qui fait que l’humain peut encore basculer dans de telles choses.

    L’espèce humaine à t-elle véritablement évoluée de ce coté là, je ne pense pas. Le progrès, la technologie ne sont pas à mon sens une véritable évolution de l’espèce, ce sont tout au plus une amélioration des conditions de vie.

    Les religions sont elles nécessaire à l’espèce humaine ? Et bien force est de constater que hélas oui. Sans que l’on ne sache véritablement pourquoi, il n’a pas d’explications rationnelles à ce sujet, ça reste du domaine du mystère. Pour les « croyants » c’est du domaine du divin bien sûr.
    Je pense que tant que ne sera pas élucidé la grande question sur « l’origine » de tout elles perdureront. 



  • LeMerou 17 novembre 07:11

    @LeMerou (suite)

    Ce qui m’afflige aussi, c’est la véhémence avec laquelle elles s’affrontent depuis leur origine pourtant « commune ». Certes elles mènent des actions ou « guerres » « commerciales » ailleurs sur la planète, mais sans trop de réussite.
    Elles n’ont de cesse que de prospérer à la manière d’une maladie connue, dont il est impossible de se défaire, c’est assez effroyable à notre époque.



  • LeMerou 17 novembre 06:48

    @JPCiron.

    Historiquement et avec un certain humour, je dirais que tout est parti d’une traduction imprécise d’un recueil de contes et légendes et quelques autres basés sur l’oralité au début devenant écrits au fil de l’évolution.

    Nous savons tous ce que l’oralité peut engendrer au fil de la transmission, profitant de l’incrédulité générale, cause d’un manque de savoir ou de connaissances ou de curiosité. Il est tellement plus aisé de croire en une intervention divine, une chose étrange menant l’existence.

    L’histoire des trois religions monothéistes est fantastique si l’on regarde bien l’affaire, Comment cela fût-il rendu possible ? Comment une partie des êtres de la planète a pu, « adhérer » ? Cela restera un mystère pour moi. Outre peut être le fait qu’à l’origine cela servait à apaiser les esprits, fournissant éventuellement une « explication » aux choses de la vie les entourant, s’établissant au fil du temps comme une sorte de pouvoir, d’emprise fédératrice, un danger hélas. Car quiconque ne pense pas comme est.....

    Bref, elles sont là, perdurant depuis des siècles et des siècles, entretenue tant par une sorte de ferveur distillée des « spécialistes » que par le cercle familial, le groupe. Elles se sont très fortement implantées en nous inconsciemment presque, chez leur les adhérents ou ceux vivants sous leur coupe.

    Même chez les « non-adhérents », subsiste par une sorte de transmission génétique des préceptes. j’en veux pour preuve que les interjections employées devant un émoi, les termes ont tous une connotation « religieuse ». En effet, face à un imprévu, un phénomène, un évènement, etc, le premier réflexe est une évocation religieuse, la cause étant inconnue dans ’immédiat. Certes c’est de moins en moins vrai, mais perdure tout de même.

    « Comment rabibocher la Science, la Foi, la Bible, et le Dieu d’Amour ? (6) La dislocation des idées ayant été accomplie, il faut un effort de recomposition »

    Je suis assez d’accord avec la réponse de @rogal. Cela me semble impossible et à mon sens le restera, je pense.

    La « science » fait obligatoirement fi de la pensée « religieuse », elle cherche l’origine, la signification rationnelle des choses, grâce au savoir, à la connaissance que l’être humain acquiers au fil du temps. Reste toujours certains mystères non élucidés, mais que la science refuse d’attribuer à un « être suprême ».

    La recomposition me semble impossible aussi, face à un inconnu non explicable à l’instant « T », le scientifique n’attribut pas la présence de ce dernier à Dieu, mais à un manque de connaissance de sa part ou global permettant de l’analyser.

    La « science » n’a pas pour but initial de remettre en cause les religions, ce sont ses découvertes, ses explications, qui effectivement portent progressivement atteintes à certains fondements. Elle est incompatible avec les « croyances », sans vraiment les remettre en cause, sans remettre en cause non plus la Foi en quelques textes, dont les fondements sont autres que scientifiques.

    Mais alors pourquoi perdurent elles encore ? Perdant des « fidèles » et en regagnant d’autres, est la bonne question à se poser ! 

    Religion et politique ! Tout « politicien » est inconsciemment ou non envieux de la religion, par son pouvoir de fascination sur les « foules », d’adhésion de ces dernières. Ils sont tous comme les Apôtres, à une petite différence quand même ils/elles ne prêchent plus pour un but unique, pour un bien commun, mais pour leur paroisse. Etant parfois (souvent ?) plus affiliés à des conteurs de village, que des Apôtres.

    Notons tout de même que cela fonctionne, puisque l’oralité est toujours de mise aussi, je dirais même qu’elle aussi forte qu’au début des « croyances », car malgré l’évolution, l’éducation, la présence d’un certain savoir ou de connaissances, le manque de mémoire immense et cruel des « foules » permet son développement.

    Oui à bien des égards, la « politique » d’hier et d’aujourd’hui peut s’apparenter à une religion, il y beaucoup de similarités structurelles. Conduisant à une manipulation des masses avec des desseins plus sombres par contre, empreint selon moi de domination et puis surtout elle à fait resusciter son « Dieu » son « veau d’Or ».

    Celui qui désormais commande tout, la « rationalité » exigeant quand même une certaine matérialité, c’est peut être la seule différence entre la/les religions et a « politique ».



  • LeMerou 17 novembre 05:20

    @amiaplacidus

    Bonjour, 
    C’est sûr qu’à la suite de l’effraction, il fait irruption dans le domicile, à moins que ce dernier ne soit pas fermé à clé, auquel cas, c’est bien une irruption.



  • LeMerou 16 novembre 19:08

    @JPCiron

    Bonjour,

    « ….. (15) – Cit. (Nb 33 : 51-56) & (Deut. 20 : 10-16) »

    Cet est criant de vérité sur ce qui passe actuellement dans une partie du monde.

    J’ai hâte de lire la suite.



  • LeMerou 16 novembre 19:00

    @mmbbb
    Bonjour, 

    « La CGT elle , s enchante du barrage contre l extrême droite et feint de comprendre que l’électorat populaire ne reporte plus sa voix sur les partis de gauche »

    La CGT, les syndicats, riches des prélèvements fait peu partout pour les financer, sinon ils seraient inexistants. Ce qui en dit long sur le fondé de leur action, bien loin de ce qu’il devrait être. Les syndicats sont payés par l’état (et par nous au travers des taxes et prélèvements). Mais pour le gouvernement ça fait « bien » vis à vis des « travailleurs », pas tellement ceux du privé, qui ne bénéficient presque jamais des actions incessantes des syndicats, mais ceux du publique.

    « Syndicat » est un mot employé par les « travailleurs », le Gouvernement les appelles « partenaires sociaux » c’est bien la moindre des choses au vu de ce qu’il leur donne comme sonnant et trébuchant. Ca va très bien avec le « cirque ». Le syndicat ne mord pas la main nourricière, parfois il grogne, hop une petite caresse, un ch’ti nonos et il est content.

    « les partis de gauche » Pour moi, il n’y en eu toujours qu’un seul le P.C.F. qui a très largement perdu de sa constance, de son aura, menant des combats stupides par moment, le discréditant, menant aussi des associations étranges, comme actuellement.
    Le « Socialiste » n’est pas de gauche, il ne l’à jamais été, congloméra de petits bourgeois, bobo, surnommé à bon escient « gauche caviar » . Quant à LFI, ont ne peut pas qualifier ce « parti » comme étant de gauche, d’extrême gauche -« anarcho-révolutionnaire » sûrement, les autres convolant avec le NFP itou.

    J’exclus évidemment les « verts » bande d’hurluberlus immatures, vivant entre deux mondes, se reproduisant entre eux. Absolument pas représentatif des véritables écologistes qui oeuvrent vraiment. Mais ceux là ne vivent pas dans la ville lumière. Leur actions bêtement récupérées par les « verts » qui s’enorgueillissent.



  • LeMerou 16 novembre 18:37

    @Eric F

    Bonjour, 
    « Alors pourquoi une telle focalisation ? eh bien parce que ça se place dans le cadre plus large du ’’minoritarisme’’ (wokisme), une survalorisation des minorités, un progressisme de moeurs qui prend le contrepied de la tradition »,

    En plus, vous avez raison, j’avais oublié cela, ça en devient gênant, presque inconvenant même. C’est vrai que le coup des J.O, plus la visite Marocaine en dit long.



  • LeMerou 16 novembre 07:39

    @Serge Charbonneau

    Bonjour, 

    « Ce n’est pas Trump qui a été élu, mais c’est le peuple qui a gagné. Le peuple qui s’est affirmé. Depuis des lustres il n’y a plus du journalisme, Il n’y a que de la propagande. »

     C’est surtout je pense une démonstration de la fracture sociétale régnant dans ce Pays, tout comme le notre aussi.

    Schématiquement, nous avons d’une coté, une catégorie vivant, profitant des « bienfaits », vivant tous ensemble dans des centres urbains avec un certain mode de vie, les dits centres concentrant en plus, le pouvoir, les médias, la « société » comme ils l’expriment. Faisant fi du restant de la population, des « red-necks », de l’Amérique profonde dit-on avec condescendance.

    Qui pour une fois, a exprimé un peu plus fortement sa voix. Alors bien sûr c’est le grand étonnement, pour ces gens qui ont tellement l’habitude de vivre entre eux, qu’ils sont intiment convaincu que tout les autres sont identiques. Ils ne sont même pas dans le déni, leur mode de vie contraint ou non rendant l’affaire possible.

    Désolé, je ne retrouve plus le lien d’un démographe, ayant analysé avec circonspection la chose. Discours d’une impartialité parfaite, sans aucune connotation politique.

    Nous avons un exemple de la « constitution » de notre société, actuellement à l’assemblée nationale, faisant fi des « blocs » aux comportements du roseau, voire pire du mouton. Bref trois blocs, de représentation des citoyens Français. Force est de constater aussi que c’est toujours le même qui arrive à diriger. 

    Il en est de même chez nous, Paris tousse la France est enrhumée, pour les autres grandes métropoles de notre Pays l’extension est plus modeste, elle s’arrête à la région, Marseille tousse, c’est la PACA qui tousse, ils n’ont pas le statut divin de Capitale, l’Aura, place du savoir, de la connaissance, etc.. Ils sont de « Province », alors pour les autres, pour le restant du territoire, dont l’existence n’est connue que pendant les périodes de vacances scolaires, ou par les faits divers « accrocheurs », imaginez.

    Pour le modeste que je suis, sachant regarder autour de moi, sans subir de pression, n’étant point émotif aussi, l’élection de M. TRUMP ne m’a pas étonné du tout. C’est le modèle de fonctionnement sociétal qui veut ça, c’est applicable à de très nombreux Pays, l’ignorer est peut être un danger, car il arrive un moment ou la lassitude, l’oubli, peut se transformer en une chose non désirable. 

    Pour conclure, reprenant les derniers mots du texte que j’ai cité, le « journalisme », le vrai à vraiment disparu, vecteur de propagande, oui je suis assez d’accord, le terme est fort, mais très proche de la réalité.