Claude Allègre, hérétique ?
Courageux Claude Allègre qui ose élever sa voix contre la pensée dominante... L’hérétique va sans doute être conduit au bûcher par les adeptes du terrorisme intellectuel...
Et si notre comportement d’hyper-consommateur inconscient n’avait qu’un impact minime sur la planète ? Cela changerait-il quelque chose au fait qu’il faut essayer de sortir de notre comportement égoïste et destructeur (l’émission de CO2, la consommation à outrance, les produits chimiques... bref, tout ce qu’on dénonce actuellement et qui est incontestablement source de cancers et autres maladies graves, en plus d’être une insulte aux pays les plus pauvres). Donc, vive « l’éco-citoyen » : tout le monde civilisé ou presque en convient.
Et si on essayait d’échapper à la pensée unique et culpabilisatrice... N’est-ce pas notre égocentrisme qui nous pousse à penser que nous sommes capables d’agir sur notre planète ? Nous nous comportons comme des enfants-rois, et nous ne pouvons accepter que le climat puisse être régi selon des cycles totalement indépendants de notre volonté ? La planète vit sa vie depuis des millions d’années, avec ou sans l’humanité sur son dos... (Après tout, nous ne sommes qu’un « accident » : nous ne devrions même pas être là, si on en croit la théorie du big-bang !).
Ainsi, on peut se comporter en « éco-citoyen » (jouir de la vie et consommer sans pour autant gaspiller outrageusement, mépriser les plus plus pauvres et les générations futures, respecter son prochain, donc), c’est-à-dire adopter une attitude plus respectueuse vis-à-vis l’environnement et des autres (cercle familial ou étrangers), pour des raisons personnelles, par compassion, par humanisme, par devoir ou charité chrétienne, que sais-je... Mais, pour autant, doit-on se soumettre à la dictature de la pensée dominante qui sévit actuellement et qui, véritable religion, a fini par remplacer Dieu -ou les dieux- et s’est imposée aujourd’hui comme unique voie de salut (les cassandre le disent assez : on va tous crever !) ?
Doit-on croire aux explications simplistes comme nos ancêtres ont cru que la vierge Marie avait enfanté Jésus par l’opération du Saint-Esprit ? La foi fervente, sous peine d’être conduits au bûcher ! Inutile de chercher très loin les nouveaux inquisiteurs...
Religion du souci des générations futures, religion hypocrite puisque la plupart des gens s’y conforment ou s’y conformeront bientôt par crainte des représailles (peur de disparaître, du jugement des autres, d’être rejeté du groupe...) plutôt que par réel souci de son prochain.
Ainsi, tout le monde doit répondre amen sans broncher et surtout sans chercher d’autres explications scientifiques au réchauffement climatique et à la probable disparition de la Terre « si on continue comme ça »...
Il suffit de lire les réactions à la chronique de Claude Allègre dans L’Express pour s’en convaincre. Pourquoi une grande partie des experts refusent-ils d’explorer de nouvelles voies (ce n’est pas le cas de toute la communauté scientifique, heureusement) ? Pourquoi ne pas chercher à connaître les causes réelles du réchauffement, si d’autres causes existent ? En quoi cela empêche-t-il les citoyens d’adopter un comportement plus respectueux de la nature et des autres ?
A-t-on encore le droit d’émettre des idées contre-cycliques ? Toute la question est là... Ceux qui refusent la pensée dominante seront désignés comme hérétiques. La théorie du bouc émissaire et du meurtre fondateur, chère à René Girard, a de beaux jours devant elle. Elle se décline et se répète à l’infini, ne cessant de trouver de nouveaux champs d’application dans nos sociétés, paraît-il, éclairées et pseudo modernes.
Si vous jouissez trop de la vie, vous serez puni ! Le plaisir n’est-il pas un péché mortel ? D’accord, plus de doryphores sur les pommes de terre... (faut pas pousser : nous sommes une société évoluée, et l’obscurantisme n’a plus cours chez nous !), mais le sida (punition divine pour avoir « décoincé » la société), et maintenant le réchauffement climatique, pour avoir trop consommé, pollué, fumé, roulé en gros 4x4, et j’en passe... A punition divine, sacrifice obligatoire, puis rédemption. Expions nos péchés par le sacrifice. Depuis le Christ en croix, on est fort pour désigner un bouc émissaire. Et hop, on repart sur des bases « saines », si j’ose dire !
Cette vision de la punition divine est aussi ancrée dans les esprits les plus instruits : n’est-ce pas « l’élite » qui écrit pour se plaindre à l’Académie des sciences que Claude Allègre n’est qu’un provocateur ?
N’est-ce pas à cause de notre tradition judéo-chrétienne que nous nous culpabilisons en permanence, en particulier quand tout va bien depuis trop longtemps... On a trop profité, on a trop joui de la vie et des ressources de la planète. Il est grand temps de faire pénitence...
Autrement dit, on s’est gavé en toute impunité depuis des années (je parle de nos sociétés nanties, évidemment). La guerre est loin... elle touche « les autres », les « infidèles » ou ces pauvres gens, là-bas, au Darfour ou en Tchétchénie, dont l’opinion publique se fiche pas mal, tout en affichant ses grandes et belles idées... Elle touche plus rarement l’Occident (et on ne s’en plaindra pas !).
Décryptage : fatalement, il faudra payer le prix de nos excès... Le bon Dieu ou les dieux nous demanderont des comptes un jour ; ça ne peut être autrement... Ce raisonnement, plus ou moins conscient, est ancré dans l’imaginaire collectif judéo-chrétien.
A qui profite cette religion ? Besoin de contrôler les foules, leurs actes, leurs distractions, leurs plaisirs ? Nous vivons une période de régression : le retour de la crainte d’une « Eglise » de substitution et de la foi obligatoire... Faut-il craindre un retour à l’obscurantisme ? Finalement, depuis l’Inquisition, rien n’a vraiment changé dans l’esprit humain.. Et toutes les avancées scientifiques n’y pourront rien.
Et ça ne risque pas de changer, il suffit de voir dans quel esprit de soumission et de « peur » (on pourrait en parler, de la société de la peur) on éduque les élèves et comme l’esprit critique est peu valorisé, ça, ça fait peur, justement !
Les similitudes avec la tyrannie de la religion sont troublantes. Elles ne pouvaient que sauter aux yeux du libre penseur que je suis... dussé-je finir sur le bûcher !
147 réactions à cet article
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article peu conventionnel et interessant,certes, mais où trouver les propos d’Allégre auxquels vous faites reference ?
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Dans L’Express du 21 septembre. Le Monde a publié un article dans son édition d’hier : « Claude Allègre, scientifiquement incorrect » (pour les abonnés à l’édition en ligne http://abonnes.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3228,36-819374@51-816848,0.html). C’est d’ailleurs ce qui a attiré mon attention sur sa chronique de l’Express... et provoqué mon « coup de gueule ».
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C’est bien gentil de nous parler d’un article PAYANT mais j’aurais bien voulu le lire aussi moi !
On ne sais meme pas quel est la base de votre reflexion !
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Hum ! Encore un débat qui tourne à l’aigre...
Moi, je suis un privilégié : j’ai survolé allègrement l’article dans Le Monde.
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Nul besoin de décroissance alors ? Ou du moins de régime trop dur ? Et « Allez les gros ! » (le patronyme de l’auteur de cette nouvelle thèse est une contraction de ce slogan)
Maigrissons pour aider le Tiers-Monde, si ce n’est pour la planète !
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Heureusement que Claude Allegre assene quelques verités dans ses articles,Il faut bien reveiller les français endormis dolents et depressifs, Quand au rechauffement climatique il faurdrait bien peut etre se pencher un peu sur les choses naturelles du phenomene,J’entendu il y a quelque temps que Le Pol Nord s’est déplacé de quelques Km de ce fait Equateur a du se déplacer également, Il faudra dont calculer les consequances climatiques de ce déplacement, Dans les vielles livres Indou on parle que le Pol et l’équateur changent de position tous les X milliers d’année, Dernierement un sientifique a dit que la croute terrestre pouvait tourner sur elle meme « comme une peau d’orange » Les sientifiques devraient calculer les resultats de ces déplacement du Pol et par la d’equateur peut etre que le changement climatique pourra etre interpreté autrement que par les émissions des gaz par activitée humaine,ce qui bien sur n’empechera pas qu’il faut aider la Nature par notre comportement ; Cordialement à Vous Aleksa
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J’ai beaucoup apprécié le passage suivant dans l’article de Mr Allegre : Doit on se soumettre à la dictature de la pensée dominante qui sévit actuellement et qui,veritable religion a fini par remplacer Dieu ou les dieux et s’est imposée aujourd’hui comme unique voie de salut" J’aimerais que Mr Allegre réfléchisse et tous les internautes en même temps sur une phrase prononcée au XVI siècle par un Saint,dont j’ai oublié le nom,mais qui ne fut pas excommunié par l’église, voici la Phrase : « La Pensée est sortie de la tête de Dieu, a regardé Dieu, et dit ;Maintenant c’est moi DIEU » Une phrase très profonde il faut vraiment Réfléchir dessus Bien cordialement Aleksa
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Le pole nord s’est toujours déplacé. Il y a même des époques ou le pole nord se trouvait qu pole sud. Mais cela n’a seulement qu’une influence magnétique. l’axe de la terre, lui n’a pas changé. S’il suivait les poles, il y aurait alors une période durant laquelle l’axe serait parallele a l’axe terre/soleil, ce qui fait qu’il y aurait le jour éternel d’un coté de la terre et l’inverse de l’autre, et celle-ci serat invivable.
Et puis, si l’axe changeait, les changements de températures seraient locaux - vu que la ou les températures monteraient, elles baisseraient à d’autre endroits - alors que c’est la moyenne mondiale qui monte.
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Selons Bruno Tramblay de l’université McGill de Montreal si Arctique se rechauffe on mesures des refroidissement dans certaines zones d’equateur,dont on voit bien que les changement climatiques se produisent au niveau de la planette,et selons ce scientifique on pourrait bien se trouver au debut d’une periode interglaciaire appelé « stand isotopique 11 » et toujour selon MrTramblay cela peut etre du au changement d’emplacement du pol magnetique de la terre provocant changement du axe terrestre et pouvant de ce fait changer le positionement de la terre et du soleil a son egerd, Cela rejoint bien ma pensée precedante dont parlent les vieux livres esotherique Indou, Selons les mesures scientifiques les sédiments marins montre bien des episodes datant de plus de 35O millions d’années montrant bien que l’atmosphere teresstre était aaussi riche en dioxide de carbone qu’aujourduit,pourtant dans ces temps lointaines cette acumulation n’était pas du à l’activitée industrielle humaine, Mais comme j’ai déjà dis nous devons respecter et meme aider la Nature par notre comportement, Aimer et planter des arbres,respecter les annimeaux, D’ou proviennent elle toutes ces incendies ? Ne sont elle pas souvent de responsabilitée humaine ? Souvent quand je vois ces immages des forets qui brulent je me demande si ce n’est pas souvent faute des hommes et les incedies provoques « en guerre du feu » « par le feu et le glaive »L’amour de la Nature dont l’homme dépend, Cordialement à Vous Aleksa
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Oui, peut-être !
Mais, Monsieur Allègre est sans doute le scientifique qui apparaît le plus dans les médias et particulièrment dans les médias de masse, alors pourquoi est’il si désagréable et tyranique ?
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Sur la polémique entre M. Allègre et les climatologues au sujet de son article dans l’express, voici le dernier paragraphe d’un article du Monde de ce jour de Stéphane Foucart qui pourrait vous laisser perplexe ;
A la fin des années 1980, pour faire pièce aux antinucléaires, il n’hésitait pas à tirer la sonnette d’alarme sur le réchauffement climatique en mettant en garde contre l’accumulation de CO2 dans l’atmosphère."
« Et de citer un livre d’entretiens (12 Clés pour la géologie, éd. Belin/France Culture), dans lequel Claude Allègre expliquait, en 1987 : »En brûlant des combustibles fossiles, l’homme a augmenté le taux de gaz carbonique dans l’atmosphère, ce qui fait, par exemple, que depuis un siècle la température moyenne du globe a augmenté d’un demi-degré."
M. Allègre pourrait donc être un peu plus modeste. Ce qui n’enlèverait rien à l’intérêt de ses intérrogations.
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Son égo est tellement sur-dimensionné que cela lui fait dire tout et n’importe quoi, y compris son contraire.
Il devrait faire comme son ami Jospin...
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@candidat007
Vous parlez des propos de C.Allègre en 87 sur l’influence du CO2 sur le réchauffement climatique. Vous oubliez, ce faisant, qu’on ne peut pas reprocher à un individu d’avoir exprimé son sentiment dans l’état des connaissances de l’époque. Vous pourriez tout aussi bien « critiqué » Einstein et sa théorie d’univers stagnant. Ou les physiciens et l’indestructibilité de l’atome.
En 87, on découvrait la nocivité des CFC. Mais on ignorait le danger des gaz stockés dans les fonds marins (le potentiel de ces hydrocarbures en terme d’effet de serre est très supérieur au CO2). Il semble donc un peu facile « d’accuser » de mauvaise foi des scientifiques d’il y a 20 ans en jouant sur des connaissances plus récentes.
C. Allègre, de ce point de vue, est un peu moins « bête » qu’à l’époque. Il se demande justement si nous ne nous alarmons pas trop concernant des phénomènes dont on se rend de plus en plus compte qu’on ne les comprend pas vraiment. Du coup, il fustige les tenants du catastrophisme et leur modèle climatique « supposé parfait ». En ce sens,il demande qu’on ne sombre pas dans le terrorisme intellectuel qui consiste à dire que nous sommes les seuls et uniques responsables, qu’aucun phénomène naturel n’explique tout ou partie du réchauffement actuel (qui n’est pas le premier de l’histoire), ce qui ne l’empeche pas de dire que nous devons nous montrer responsables en ce domaine (il ne prone nullement la production de CO2 à tout va).
A titre de comparaison, on pourrait penser à Tazieff concernant les CFC et la destruction de la couche d’ozone. Tout en demandant l’arret de l’utilisation des CFC, il a rappelé qu’une éruption volcanique relachait autant de composé chloré (destructeur de l’ozone) dans l’atmosphère que l’utilisation des CFC depuis leur apparition. On pourrait aussi rappeler que le méthane est plus destructeur de cette même couche d’ozone que les CFC, et que du coup nos agriculteurs favorisent le trou de la couche d’ozone.
On pourrait rappeler encore, toujours sur les modèles climatiques, que, bien que la version dominante concernant le climat tempéré dont nous disposons repose sur le Gulf Stream, des américains ont remis en cause cette version en étudiant les vents dominants (ouest-est dans l’atlantique) qui emmenerait la chaleur de surface de l’océan (issu directement de l’ensoleillement). Par reproduction en laboratoire de la géographie est américaine, de l’atlantique, des vents et de l’ensoleillement, ils ont abouti à la conclusion que ces vents favorisaient un climat froid sur la cote est américaine et un climat tempéré en europe de l’ouest. En simulant un courant chaud et son arret, il ont aussi conclut que l’arrêt du Gulf Stream, s’il n’est pas négligeable, ne ferait que peu baisser la température de l’europe de l’ouest. Remettant ainsi en cause le principe voulant que l’arrêt du Gulf Stream nous plongerait dans une « période glaciaire ».
Allègre défend un point de vue simple : « ne nous alarmons pas, cherchons à rectifier le tir ». Contre les tenants du « nous sommes responsables, nous allons payer (mais nous ne faisons rien) ».
Bref il demande un peu de calme et de réflexion sur le sujet, et des mesures plutôt que des congrès.
Pour ceux qui veulent lire sa réponse à « l’opprobe » dont il fait l’objet : http://www.lexpress.fr/idees/tribunes/dossier/allegre/dossier.asp
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Un peu hors sujet mais tout de même : En 1973 contre l’avis de tous les vulcanologues ( dont tazieff), M Allegre avait demandé qu’on évacue toute une partie de la Guadeloupe ( j’y étais et j’y suis né)car la soufrière allait dévasté l’île. M Allègre heureusement n’avait pas été entendu. A bon entendeur, bon CO2...
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La réponse de Claude Allègre dans l’Express est fort intéressante, mais il y a 2 problèmes selon moi :
- il distingue l’écologie dénonciatrice (qu’il réprouve) de l’écologie réparatrice (dont il se réclame). Il reproche aux premiers un « fanatisme de l’effet de serre », en bref, une approche basée sur une croyance, une foi. Or, il n’a à opposer à cette croyance qu’une autre croyance : la capacité de l’homme à résoudre les défis. Il remplace une foi par une autre.
- un des leviers principaux pour réduire les émissions de CO2 (ce qu’il semble vouloir, tout en remettant en cause le rôle du CO2 dans le changement climatique...) est le comportement individuel des gens, par exemple choisir d’organiser sa vie de manière à se passer de la voiture. C’est un levier potentiellement bien plus efficace selon moi que d’inciter les gens à rouler en voiture hybride. Or, pour inciter les gens à faire de tels changements, il faut qu’ils soient conscients du danger, qu’ils soient informés. C’est pourquoi l’écologie dénonciatrice est en quelque sorte nécessaire. Il lui reproche de se contenter de « préparer des protocoles qui restent lettre morte », mais s’ils restent lettre morte, c’est bien parce que les gouvernements ne jouent pas le jeu... à cause du scepticisme auquel il participe !Un troisième reproche est qu’il ne prend pas en compte les dernières découvertes de la science (amnésie volontaire ou ignorance ?), par exemple quand il dit : « Divers paramètres nous paraissent plus importants que le CO2. (...) [Par exemple,] les fluctuations de l’intensité du rayonnement solaire à l’échelle du siècle et de l’année, qui semblent mieux corrélés avec les effets thermiques que les variations de teneur en CO2. » alors qu’il est montré dans Nature du 14 septembre dernier (Foukal et al.) que les variations de luminosité du soleil ont joué un rôle négligeable dans le réchauffement global accéléré des 30 dernières années.
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Il ne s’agit pas de dire qu’Allegre a raison, ni qu’il a la science infuse. Il peut se tromper, comme il l’a fait selon vous sur la Guadeloupe (je n’étais pas né, donc je n’en sais rien).
Mais il faut reconnaitre que reprocher un discours qui était valide selon les connaissances des années 80 en se basant sur des connaissances plus récentes est malhonnête, non scientifique. On pourrait l’attaquer plus facilement sur son manque de recul, à l’époque, concernant ce modèle climatique basé exclusivement sur le CO2.
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On pourrait l’attaquer plus facilement sur son manque de recul, à l’époque....
C’est exactement ce que je fais dans mon post que vous avez critiqué, en lui demandant d’être plus modeste et moins péremptoire. Mais cela paraît quasiment impossible à Monsieur Allègre.
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Claude Allégre est un chaud partisan de la recherche financée par les groupes privés. Et ceux-ci combattent avec la derniére virulence l’idée du réchauffement climatique attribué à l’activité humaine. Claude Allégre ? Juste un Lobbyiste. De Gauche ?
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Article plus qu’ambigü...
Le Mammouth terrassé par le poids de sa propre bêtise. Paix à son âme...
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Je commence à bien connaître Allègre. Comme scientifique, rien à dire,j’ai lu avec passion son « De la pierre à la lune » .Mais il devrait rester dans son laboratoire.Il est versatile (voir le Monde d’hier) et un brin caractèriel...
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Le citoyen moyen que je suis ne peut qu’approuver ce discours.
Mais moi je critique Monsieur Allègre quand il affirme : « ceux qui aujourd’hui sont contre les OGM sont des rétrogrades et sont contre le Progrès de la Science ».
Ceci dit, il à le droit de l’affirmer, mais moi, j’ai le droit d’être un peu sceptique quand j’assiste aux contorsions des hommes politiques qui cherchent à nous les enfiler en catimini, alors que d’autres scientifiques crient : « attention, casse-cou, faisont d’abord des essais en laboratoire, utilisons les données existantes... » et qu’en fin de compte le vrai débat qui devrai éclairer le citoyen lamda sur la dangerosité du produit n’arrive toujours pas...
Je suis d’autant plus sceptique quand j’apprends avec quelle débauche de moyens les firmes fabricantes de ces produits investissent dans le « lobbying » auprès de tout ceux qui ont accès aux médias, aux centres de pouvoir et de dedécisions...
En fin de compte : j’aime beaucoup Monsieur Allègres, sauf quand quand il affirme comme un dogme que les OGM c’est bien et que ceux qui ne pensent pas comme lui sont des nuls !
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Sur les OGM C. Allègre a demandé à ce que les essais soient possibles, sous controle, via des organismes de recherche (INRIA, Inserm).
Il a comparé l’attitude « anti OGM primaire » aux personnes qui se sont opposés à Pasteur et d’autres scientifiques ayant permis les progrès médicaux dont on ne pourrait pas se passer maintenant. Il a aussi fustigé les industriels dont le seul but est de fabriquer des OGM resistants aux pesticides, donnant des plantes gavées de ces mêmes pesticides.
Les OGM pourraint présenter des avantages, en tant que source de molécules par exemple ou de diminution de la pollution. Sans recherche, impossible de savoir. Aussi s’opposer « bêtement » aux OGM est une attitude anti progrès.
Il convient plutôt de lutter très fortement contre les cultures d’OGM à destination de la filière alimentaire (il serait par contre intéressant de pouvoir nourrir des animaux « de tests » pendant 15 à 20 ans pour voir les effets à long terme des OGM), contre les cultures en milieu ouvert sans périmètre de sécurité très très large (du genre, on teste du mais OGM dans une région sans culture de mais ou de plante de la même famille, une région pas une zone de 4 km), et de « taper » si vous me passez l’expression sur les breveteurs industriels qui veulent, et peuvent via la contamination croisée, imposer à un agriculteur le paiement d’une « taxe » OGM alors même que cet agriculteur réutilise les semailles de ses cultures précédantes.
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On ne devrait pas oublier qu’une grande partie de la chaleur terrestre provient de l’interieur de la planette soit de son noyeau de fer liquide du quel se forment les volcans et autres chaleurs geothermiques, Toujours selons les siences occultes ce noyeau tourne pendant X milions d’années dans un sens,et puis avant de « semballer » il se produit renversement du sens de la rotation de ce noyeau, ce sont de regulations naturelles des tous les systhemes d’univers qui depassent de loin nos siences humaines, Mais on peut comprendre aisement que lors de ce changement du sens de la rotation de notre noyeaux cetrale il se produisent des perturbations climatique et meme comme j’ai indiqué dans mon commentaire premier des changements des pols magnetiques et autres deplacement divers qui s’en suivent,Toutes ces choses s’arrangeront toute seules avec le temps,mais probablement à une echelles assez longue avec la autoregulation de la rotation du noyeau, mais pendant un certain temps nous en supporterons des grands changements,car au début le noyeau embalé dans un sens provoque des grandes chaleurs et au moment de renversement du sens de la rotation une periode de froid-chaleur chaleur-froid jusqu’à la regulation de la rotation du noyeau, car c’est bien de la rotation interne de notre noyeau que vient la rotation de la terre sur elle meme ainsi que toutes les possibilitées que nous avons de tirer de la terre « la chaleur géothermique, » On pourra aller très loin si on voulait étudier plus serieusement tous les sieces occultes datant des plusieurs millenaires, Mais imbut que nous sommes de « notre sience moderne » nous tenons tous ce savoir occulte pour des « abberrations »
cordialement à vous Aleksa
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Si la plus grande partie de la chaleur provient du coeur de la terre, elle est un élément parmis d’autre. Et il ne faut pas sous-estimer l’influence du soleil. Ce n’est pas à cause du noyau planetaire qu’il y a de tels écarts de température entre le pole et l’equateur, et qu’il y a des saisons sur terre. Surtout que la distance entre la surface et le noyau est plus petite au pole qu’à l’équateur.
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J’ai desiré simplement donner mon opinion sur les OGM, Je pense simplement que manipulation génétique des vegeteaux en leurs ajoutant « des insecticides » pour les preserver d’etre mangé par des insectes,ou de leurs adjoindre molecules pour resister aux herbicides,c’est dangeureux pour la santée humaine et celle des annimeaux, Cordialement Aleksa
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Personnellement je pense que les OGM sont dangereux pour les humain et les annimeaux,Ajouter un gene d’insecticide ou une autre "salopperie"à une plante, afin qu’elle ne se fasse pas "bouffer" par les vers ou autre parasites,c’est dempoisonner ces parasites,mais aussi empoisonner les abeilles et autres annimeaux mangant ces plantes, meme les humains à longcours, Mais les interets des producteurs tels que Mansanto c’est sont les grands interets finnaciers, alors que pouvons nous ?pas grande chose,car ils nous disent toujours le contraire,
Bien à vous Aleksa
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Je ne conteste pas qu’une grande part de la chaleur provient du soleil,
Cela n’est meme pas necessaire de dire,tout le monde le sait,
Merci de votre commentaire Aleksa
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Il y a effectivement une pensée unique écolo-compatible enjoignant de consommer moins, et j’apprécie cet article qui ose faire état d’une autre pensée. Cependant, quelle attitude adopter (car c’est là le vrai problème à résoudre) ?
Même si nous ne sommes pas responsables (ou si peu) du réchauffement climatique :
- premièrement, nous épuisons nos réserves fossiles, et il vaut mieux se calmer là-dessus, donc moins consommer de pétrole etc.
- deuxièmement, si la planète se réchauffe sans nous, comme pour une célèbre marque de café soluble, ce n’est pas la peine d’en rajouter, et autant adopter dès maintenant un mode de vie moins « calorigène », ne serait-ce que pour habituer nos enfants à vivre dans les nouvelles conditions...
En gros, que ce soit de notre faute ou non, il faut quand même retrousser ses manches. L’inconvénient de la position de M. Allègre, c’est qu’à se pencher sur les causes, elle en omet les effets, qui, eux, sont bien là.
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Vous devriez relire l’article d’Allègre. Il défend justement cette position : peu importe qu’on soit ou non responsable, il faut agir. Plus simplement, il prone la recherche d’un solution, que la recherche d’un coupable.
Citation de l’article d’Allègre : « Les archives glaciaires ou historiques nous indiquent que le climat est un phénomène capricieux. Les théories météorologiques mathématiques le confirment. Donc, prudence. Mais la dénonciation de la responsabilité de l’homme quant au réchauffement de la planète permet de ne rien faire »
Il dit bien que la dénonciation, la culpabilisation permet surtout de ne rien faire. Que la recherche du coupable n’a pas d’intérêt.
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« la recherche du coupable n’a pas d’intérêt. »
La recherche du « coupable » n’a pas pour but de culpabiliser mais d’identifier les CAUSES et d’y apporter des réponses adéquates, ce qu’il fait d’ailleurs en préconisant de réduire les émissions de CO2 !
Je ne comprends décidément pas sa position, d’un point de vue stratégique. Pourquoi insiste-t-il autant sur le fait qu’on n’est pas sûr à 100% que ce sont les émissions humaines qui sont la cause principale, est-ce par seul amour de la vérité ? Parce que ça conforte surtout les gens dans l’idée que, si nous ne jouons pas de rôle, à quoi bon chercher des solutions !
Je ne comprend pas non plus son assertion : « La dénonciation de la responsabilité de l’homme quant au réchauffement de la planète permet de ne rien faire ». Je regarde autour de moi et je vois que ce n’est pas vrai (c’est même une contre-vérité) : cela entraîne une prise de conscience au sujet de notre responsabilité et de notre rôle dans le réchauffement, qui permet de rendre possible l’action réparatrice.
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Il y a une différence entre chercher les causes et le discours continu du « nous sommes responsables ». C’est ça, le propos d’Allègre.
La quantité de CO2 dans l’atmosphère ? Nous sommes au courant, pourquoi donc continuer à chercher à prouver que ce CO2 est d’origine humaine ?
De plus, si vous regardez « autour de vous », vous constaterez, justement, que les études continuent de porter sur la responsabilité de l’homme, sa culpabilité, en négligeant les autres facteurs éventuels.
— Le fermafrost et la libération du méthane contenu dans celui-ci ? Quasiment pas d’études d’impact. Pourtant le méthane présente un effet de serre plus grave que le CO2.
— Les rayonnements cosmiques ? Nature a publié une étude sur la luminosité présentant la luminosité solaire comme sans effets. Quid des rayonnements non visibles ? Quid de l’étude publiée par Science concernant la corrélation entre poussée de température et les taches et eruptions solaires ?
— Inertie thermique , peut-il y avoir un effet retard ?
— Pourquoi avant la dernière période glacière, la Terre a-t-elle connue une brusque augmentation de sa température ? Le même scénario est-il possible (ie : le réchauffement est-il un prélude à une période beaucoup plus froide) ?Peu de solutions étudiées complètement sont proposées : pas d’études complètes sur les piles à combustibles chères à certains, sur le cout environnemental de la production de bioéthanol, sur la conversion des usines à dégagement de CO2 au tout électrique (et le report du problème sur la production d’électricité), sur la captation de CO2 pour contre balancer la production, ...
Dans ce sens, « la culpabilisation permet de ne rien faire ». On passe beaucoup trop de temps à chercher le coupable, et bien trop peu à trouver une solution.
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« On passe beaucoup trop de temps à chercher le coupable, et bien trop peu à trouver une solution. »
Encore une fois, la science ne cherche pas le coupable mais le responsable : si l’on ne comprend pas comment et pourquoi le réchauffement a lieu, inutile d’espérer le contrer, et c’est loin d’être du temps perdu. La culpabilisation est dans les yeux de ceux qui ont envie de la voir (pour la rejeter).
Et encore une fois, si c’est le point de vue d’Allègre, pourquoi relance-t-il la polémique, à part pour faire parler de lui ?
Que pensez du fait qu’il déclare dans la même chronique
- que « le réchauffement global n’est pas le phénomène essentiel »
- qu’il lutte pour défendre « l’idée des voitures hybrides ou électriques dans les villes et les recherches sur la séquestration du CO2 »?
En d’autres termes, a-t-on affaire ici au scientifique ou au politicien ?
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Je ne suis pas d’accord sur la « recherche du responsable ».
Nous savons depuis des années que le CO2 est un gaz a effet de serre, nous savons que depuis 150 l’humanité rejette massivement du CO2, nous savons que la températue moyenne du globe a augmentée sur les dernières décennies. Les études en cours sur ces 3 sujets visent elles à chercher à montrer ce que l’on sait déjà ? Au mieux, certaines cherchent à invalider l’assertion « CO2 responsable de l’effet de serre », la plupart cherchent à en remettre une couche.
La question des autres études est, à mon avis, plus importante. Puisqu’on sait, on a prouvé, que le CO2 est au minimum un des responsables de cet effet de serre, il serait judicieux de chercher son cycle atmosphérique (or peu d’études sur la capacité de « recyclage » de l’océan, la comparaison des phénomènes d’accroissement du CO2 et de diminution des capteurs de carbone par déforestation). Par ailleurs, si nous cherchons effectivement le ou les responsables, pourquoi n’étudie-t-on pas les problèmes liés aux autres gaz à effets de serre, méthane en tête.
Dans le propos d’Allègre, c’est le seul point où je le rejoins : on continue à faire des études, des colloques, des conférences sur la responsabiité du C02 et sur la production de CO2 par l’homme. On fait quelques colloques sur comment réduire notre production. On fait peu de recherche sur l’inversion du problème comme « comment capter le CO2 ? » et on néglige les autres causes.
Par exemple, meme si allègre semble pousser vers les véhicules hybrides ou non polluants, qui peut présenter une étude complète, scientifique, sur l’impact de la filière ? Il est facile pour un politique ou un écologiste de dire que le bioéthanol diminue la production de CO2, en oubliant de compter la production de CO2 nécessaire pour fabriquer ce bioéthanol.... Les piles à combustibles posent aussi le problème de la production d’hydrogène. On manque de moyens de recherche sur ces domaines.
Il cherche à faire parler de lui ? Peut etre. Mais n’est il pas possible, après tout, qu’il puisse utiliser son coté médiatique pour dire quelque chose que personne d’autre ne pourrait dire ? Allègre peut donner son avis à « la face du monde », quand un chercheur plus qualifié sur le domaine, mais pas « dans la ligne » serait seulement entendu dans le cercle restreint de son domaine d’activité au sein du CNRS.
Ca ne m’intéresse pas de savoir si c’est le politique ou le scientifique qui parle. Sa « notoriété » lui donne accès au gand public, ce qui permet de lancer le débat. Et la science c’est aussi ça, pouvoir apporter une contradiction.
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Votre commentaire soulève des points très intéressants, notamment sur le rôle comparé de la science (pourvoyeuses d’informations pour les décideurs) et de la politique (les décideurs).
Vous avez cependant, je crois, des a priori erronés au sujet des thèmes de recherche en vogue en ce moment. Il y a relativement peu d’études actuelles sur les 3 sujets que vous mentionnez, car ce sont des choses assez bien connues maintenant il me semble.
Ce qui est étudié actuellement est principalement l’impact de ce réchauffement, sur les écosystèmes notamment, ainsi que le rôle de tous les autres facteurs (aujourd’hui et dans le futur, c’est-à-dire une fois impactés par le réchauffement) : le rôle des forêts dans la séquestration du carbone (qui est finalement très mal connu quantitativement), le rôle des océans, et surtout, le méthane et dans une moindre mesure les autres gaz à effet de serre. Il existe également de nombreuses recherches sur les procédés de captation du CO2, mais plutôt dans un cadre plus industriel.
Le problème précisément ne vient pas de la communauté scientifique, qui alerte les décideurs depuis de nombreuses années, mais des décideurs eux-mêmes : politiques, grandes entreprises,..., qui ne passent pas à l’action.
Et s’ils ne passent pas à l’action, c’est parce que cela va contre leurs intérêts directs. Si cela va contre leurs intérêts, c’est parce qu’ils ne font que répondre à une demande, celle de leurs marchés et celle de leur électorat, c’est à dire de nous tous. Et si nous n’exprimons pas les « bonnes » demandes, c’est parce que nous sommes trop peu informés du rôle de l’homme dans le réchauffement, notamment parce que certains croient bon de remettre en cause ce rôle (notamment Allègre)... d’où la nécessité de prouver celui-ci avec des certitudes accrues afin d’augmenter les chances que la société civile passe à l’action. Allègre (et consort), par ses déclarations, est à la source même du non-passage à l’écologie réparatrice.
Car le levier du changement tient dans l’opinion publique, qui reste vacillante.
Et ça devrait vous intéresser de savoir si c’est le politique ou le scientifique qui parle, si vous êtes en recherche de vérité. Car vous confondez politique et médiatique, ce qui n’était pas mon propos.
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pourquoi avant la deniere glaciation la terre a elle conu une periode des grandes chaleurs ? on peut expliquer cela justement par le changement du sens de la rotation du noyeau central de la terre, l’embalement du noyeau dans un sens produisant grande chaleur thermique dont grande chaleur climatique,renversement du sens de la rotation dont arret de la rotation et de la production de la chaleur et la progressive reprise de la rotation dans l’autre sens ce qui pendant un certain temps crée une periode sans chaleur pouvant aller jusqu’au glaciation, bien à vous Aleksa
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Mais, pour autant, doit-on se soumettre à la dictature de la pensée dominante...(les cassandre le disent assez : on va tous crever !).
On aurait aimé que l’auteur, avant de Donquichotte sur les traces de l’Ex, explique bien et la « pensée unique » (venant d’Allègre c’est aussi savoureux qu’un Charasse déclarant sa flamme à Rocard) et la « pansée » de l’hédoniste aux brousailleux sourcils....
Je crois qu’il y a quand même un paquet de rapports scientifiques, de plus en plus précis et alarmistes sur l’état du climat, ce depuis plusieurs années.
Allègre est en poste à l’Institut de Physique du Globe, après s’être fait jeter quasiment à coups de pieds au cul, tellement il était arrogant, méprisant, autoritaire, et vis-à-vis de ses collaborateurs et vis-à-vis des hommes et femmes d’un terrain d’un territoire en feu : l’Education Nationale.
Donc, un gars qui foulait aux pieds la moindre tentative de discussion de ses diktats, le plus infime élément de contestation du rejet et de la flicaille.
Tout cet autoritarisme trèèès « citoyen » pour une politque qui n’était que l’expression de ses lubies, et de ses coups de com machiavéliques, comme l’expression « le Mammouth », qu’un ministre de droite n’aurait pu égaler, tant elle révèle de mauvaise foi, de vision des enseignants comme archaïques et repliés dans leurs privilèges.
Bref, Allègre est un vrai représentant...d’une élite libérale mondialisée à la pensée simplificatrice, menue et menteuse.
Elite dans laquelle il nage bien, puisque ce brave et modeste scientifique enseigne aux Etats-Unis de temps en temps, des piges sans doutes confortables.
Donc, il faut prendre les propos du faux-nez avec des pincettes, d’abord parce qu’ils contiennent sans doute leur dose d’exagération manipulatoire.
De plus, parce que la grande bouche d’Allègre lui permet, comme on vient de le voir, au socialiste « toulousain », d’affirmer les contre-vérités et les aneries les plus évidentes avec l’aplomb d’un..Coppé, ou Devedjian, ou Dray, enfin tous ces types qui font du bruit avec leur bouche, pour faire croire qu’ils parlent, et de manière sensée.
Enfin, parce qu’il nous semble bien que le développement de la civilisation humaine démolit le climat, au vu de notre perception d’homme - perception de bon sens qu’on s’entend « là-haut » à faire taire et à décrier avec la constance d’une « volonté unique », véritable celle-là -, et des études de différents pays et scientifiques.
Qui n’ont pas une aussi haute idée de leur suffisance, ni une intelligence aussi supérieure ou un talent aussi magistral pour jouer les indignés qu’Allègre. Mais, franchement, on ne s’en formalisera pas.
De toute façon, la trace boueuse qu’a laissé Allègre, le range dans la case des hommes qui ont renié leurs engagements politiques à gauche, quand il s’est agit de les réaliser, et si maltraités leurs compatriotes que ceux-ci les ont foutu dehors promptement.
Alors, pour aussi fort que s’époumone ce petit grand homme, personne n’en a rien à cirer.
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Très bon billet... Et 100 pour 100 d’accord avec l’inévitable « A punition divine, sacrifice obligatoire puis rédemption. »
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Etrange défense d’Allègre qui ne présente aucun argument scientifique et se place sur un autre plan, évaporé (aller à contre-courant pour le plaisir d’aller à contre-courant... en y mettant une dose de « religion »...). Autant dire que ce n’est pas du tout convaincant !
Am.
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Article aussi creux que les propos d’Allègre.
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Lorsque Claude Allègre déclare que l’anglais ne doit plus être considéré comme une langue étrangère, on ne peut pas dire qu’il s’élève contre la pensée dominante... mais plutôt qu’il se vautre dans la soumission à l’hégémonie anglosaxonne sur les publications scientifiques.
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Les propos d’Allègre n’ont rien à voir avec votre commentaire philosophico-religieux. Il est surtout malhonnête dans sa démarche scientifique. Il s’appuie sur des études en modifiant les conclusions de leurs auteurs. Il est vrai qu’on n’a pas besoin du réchauffement pour justifier un changement des comportements, mais ça ne doit pas nous empêcher de condamner les propos d’un scientifique, ancien ministre, qui réinvente un domaine auquel il ne connaît rien, juste pour provoquer, se faire mousser ou je ne sais quelle autre raison.
Il y a quelques années, comme le cite l’article du Monde, il dénonçait le réchauffement climatique pour s’opposer aux anti-nucléaires... Joli retournement, et toujours appuyé par des prétendus arguments scientifiques !
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Il ne s’agit pas de commenter, mais d’apporter quelques données :
- c’est la première fois depuis qu’Homo sapiens est sur Terre, qu’un réchauffement est présenté comme une Apocalypse. On avait toujours parlé, instruits par l’expérience de nos ancêtres, de ’radoucissement’ ou d’’amélioration’, les pires catastrophes (famines, pestilences) ayant été toujours liées à des périodes de refroidissement (’détérioration’). L’agriculture s’est développée à partir d’il y a à peu près 10 000 ans, grâce au réchauffement qui a suivi la dernière époque glaciaire, et on a toujours qualifié l’Atlantique (-9000 à -6000) d’« optimum climatique », alors qu’un climat plus chaud que l’actuel avait permis à la taïga de s’étendre jusqu’à l’Océan Arctique, à la forêt de remplacer la toundra qui couvrait la France jusqu’à la Méditerranée, et aux grands lacs à faune de crocodiles de s’installer au Sahara. Tout ceci sont des faits. Que des modélisateurs viennent maintenant nous prédire le désert s’avançant jusque dans nos régions à cause du réchauffement prouve que leurs modèles sont bancals.
- les réactions violentes de chapelles qui n’ont de scientifique que l’étiquette, à voir leur dogmatisme, sont atterrantes. Elles prouvent en autre une méconnaissance totale et de l’histoire et des autres sciences de la Terre. Histoire : qui a lu lers travaux d’E.Le Roy Ladurie ? ou P.Alexandre (Le climat en Europe au Moyen-Age : contribution à l’histoire des variations climatiques de 1000 à 1425, d’après les sources narratives d’Europe occidentale. Editions de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, Paris, 827 p., 1987). R.Vivian, qui connaît comme personne l’histoire des glaciers alpins et vient d’écrire un livre là-dessus, raconte comment le Bernina, aujourd’hui grandiose, n’était qu’un petit rien au Moyen-äge, lors du réchauffement qui a permis aux populations germaniques du Nord des Alpes d’aller s’installer dans le Val d’Aoste et en Haut-Adige, où elles sont restées ensuite, coupées de leurs régions d’origine à cause du ’petit âge glaciaire’. On sait que le réchauffement à commencé à la fin du XVIIIème, mais de le mettre sur le compte de la ’révolution industrielle est une sublime c... : pendant plus d’un siècle, l’industrialisation n’a concerné qu’une infime partie de l’hemisphère nord !
- lors de l’expédition danoise des années 1926-1927 au Groënland, dont le nom « terre verte » montre bien qu’Eric le Rouge au Xème siècle n’avait pas trouvé une terre couverte de glaces...) on a trouvé des cimetières, qui ont par ailleurs fourni de très belles pièces de vêtements du Moyen Âge, ce qui prouve bien qu’à l’époque le pergélisol (sol perpétuellement gelé) avait fondu. Actuellement, il serait impossible d’enterrer qui que ce soit, même à l’aide d’un marteau piqueur...
- une augmentation d’une rapidité jamais vue... Il y a 14.500 ans, la température moyenne a augmenté de 5° en 20 ans. (Berner O., Streif N.J. (eds) (2000). Klimafakten, der Rückblick- ein Schlüssel für die Zukunft. Schweizerbart, Stuttgart, 230 p.)
Une accélération significative de réchauffement global avec le début de la révolution industrielle n’est pas trouvée dans la série. (Datsenko N.M., Sonechkin D.M., Shabalova M.V. (2000). Seasonal differences in long series of European surface air temperature. Russian Meteorology and Hydrology, 7 (22-27)
Je pourrais vous indiquer des dizaines d’articles qui montrent que les variations climatiques sont un fait naturel, totalement indépendant de la mégalomanie des hommes, qui se sont toujours imaginé qu’ils pouvaient faire la pluie et le beau temps : depuis le Déluge Universel, qui a été de leur faute, puis les shamanes, les sorciers, les Druides, les prêtres de toute obédience, qui ont inventé rites et processions pour faire pleuvoir ou arrêter la pluie, jusqu’aux lamentations des années 1950, qui attribuaient le ’il n’y a plus de saisons’ à la bombe atomique, puis les pluies acides (elles sont passées de mode, il n’y a plus de subventions à grappiller...), le trou de l’ozone, dont on ne sait pas ce qu’il en était avant qu’il ne soit découvert il y a quelques décennies, et maintenant le réchauffement global... (combien d’argent derrière pour les labos en pointe ?). Et la Grande Croisade pour « sauver la Planète » : elle est là depuis 4,5 milliards d’années, en a vu d’autres et en verra d’autres pendant les quelques milliards qu’elle sera là, bien après que l’humanité aura disparu... Sans parler des « dérèglements » du climat, dont on ne sait pas quelles règles il devrait suivre... En 1984, le célèbre MIT prévoyait qu’en 2000 New York, les Pays Bas, Venise, seraient sous les eaux... Tout ceci à partir de modèles non vérifiés parce qu’invérifiables. Mais on a recours à l’« argument d’autorité », comme pour le Pape : M.Untel, du Laboratoire X a dit... M.Telautre, expert international a dit... Ne pensez pas, braves gens, laissez-nous vous dire ce que vous devez penser. Et si, plus honnêtement, on se contentait de nous conseiller d’éviter de polluer, de gaspiller, car il en va de notre santé et de notre bien-être ? et de nous préoccuper un peu plus des milliards d’être humains qui crèvent la faim ?
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dommage que le spip déconne, ça nuit à la lisibilité.
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@Thea Vogt
Merci pour toutes ces précisions qui remettent les pendules à l’heure.
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La Terre a connu des variations par le passé, même des variations rapides, soit. Il n’en reste pas moins que l’on mesure un réchauffement sur les dernières décennies (quelle qu’en soit la cause) et que les activités actuelles de l’homme, les émissions de CO2 notamment, vont créer du réchauffement également.
Lisez-donc cette page de l’excellent site de Jean-Marc Jancovici.
Citation « percutante » :
« Pour prendre un exemple que d’aucuns trouveront peut-être un peu simpliste, imaginons que nous entrions dans une cuisine où une casserole d’eau tiède se trouve sur le feu. L’eau peut être tiède parce que le feu l’a déjà chauffée, ou parce que quelqu’un l’a mise tiède dans la casserole, ou »un peu des deux mon général". Mais, même si personne n’est capable de déterminer précisément l’origine de la tiédeur déjà visible, on peut prédire sans se tromper que l’eau va continuer à chauffer si on la laisse sur le feu.
De même pour notre climat, il est désormais considéré comme très vraisemblable que c’est notre espèce qui est à l’origine d’une partie du réchauffement du 20è siècle, notamment à cause de ce qui est exposé dans le paragraphe qui suit, mais à la limite cette question peut rester sans réponse précise sans que cela ne remette en cause la validité de la prédiction d’un réchauffement futur. Il y a en effet une conclusion robuste, qui est que tant que la proportion de CO2 augmente dans l’atmosphère la température augmentera ensuite. La question qui se pose pour le passé est de savoir si cette règle a déjà trouvé un début d’application significatif dans le passé ou si ce n’est pas encore le cas.
Et pour finir sur ce point, si l’élévation de température passée a surtout résulté de la variabilité naturelle, c’est plutôt une mauvaise nouvelle : cela signifie que la variabilité naturelle nous pousse actuellement vers le haut, et que, en plus, nous allons « prendre » une élévation de température (et une modification climatique associée) liée à nos émissions de gaz à effet de serre."
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@IP:xxx.x49.107.66
L’exemple de la casserole est justement le propos d’Allègre, n’en déplaise à ceux qui n’ont pas lu son article.
Il fustige la position consistant à nous accuser de tous les maux, nous autoflageller. Il prone justement le discours « qu’on soit en partie ou totalement responsable du problème, la question est de sortir la casserole du feu, pas de chercher qui est coupable ».
C’est quand même très différent de certains commentaires qui ont compris qu’Allègre défendait l’absence de réchauffement climatique.
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« la question est de sortir la casserole du feu, pas de chercher qui est coupable. »
Dans ce cas, alors qu’il y a quasi-consensus scientifique sur la question, pourquoi vient-il jeter son grain de sel sur le « qui est coupable » ???
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« Les archives glaciaires ou historiques nous indiquent que le climat est un phénomène capricieux. Les théories météorologiques mathématiques le confirment. Donc, prudence. Mais la dénonciation de la responsabilité de l’homme quant au réchauffement de la planète permet de ne rien faire »
Allègre défend une position consistant à dire que passer tout son temps à se dire qu’on est responsable n’est pas le meilleur moyen pour trouver une solution. Son « grain de sel » consiste donc à arreter cette recherche du coupable.
Je vous redonne le lien sur son article. Lisez le bien avant de « traduire » son discours. http://www.lexpress.fr/idees/tribunes/dossier/allegre/dossier.asp
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Il faut changer ton spip de temps en temps !
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Mr Claude Allègre est sauf erreur, le scientifique qui s’est fichu de la gueule des chercheurs,employés et étudiants qui travaillaient à JUSSIEU, dans une atmosphère saturée d’amiante.No comment.
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Pendant que l’ensemble des médias se préocupent du trou d’ozone stratosphérique de l’Antarctique qui vient de battre tous les records, voilà que l’ozone stratosphérique de l’arctique ne se porte vraiment pas mieux.
Ici le trou d’ozone au Canada...
L’Expérience sur la chimie atmosphérique (ACE) menée à bord du nouveau satellite scientifique canadien SCISAT prendra des mesures de la couche d’ozone au Canada, et plus particulièrement dans l’Arctique. Les scientifiques s’inquiètent de l’appauvrissement de l’ozone dans l’Arctique canadien où d’importantes pertes de l’ordre de 45 % ont été observées à la fin des années 90.
Un rapport* publié récemment par Environnement Canada et faisant état des dernières constatations des scientifiques canadiens révèle que les phénomènes d’appauvrissement de l’ozone de l’Arctique pourraient s’aggraver au cours des dix à vingt prochaines années malgré les mesures prises à l’échelle internationale pour réduire les quantités de substances chimiques qui détruisent l’ozone. Des études préliminaires indiquent que le changement climatique peut influer sur l’atmosphère arctique et la rendre plus sujette aux pertes d’ozone. Les substances chimiques industrielles destructrices restent malgré tout la cause principale de l’appauvrissement de l’ozone.
Les pertes de plus en plus importantes d’ozone dans l’Arctique pourraient être néfastes pour les organismes fragiles du Nord. Elles pourraient aussi entraîner un amincissement de la couche d’ozone au-dessus de la partie méridionale du Canada étant donné que l’ozone est redistribué de manière à compenser les pertes dans le Grand Nord.
Au cours des dix à vingt prochaines années, les phénomènes d’appauvrissement pourraient même devenir aussi fréquents et aussi graves que dans l’Antarctique. Le trou d’ozone dans l’Antarctique a grandi chaque année depuis 1979 et il atteint maintenant des proportions encore jamais atteintes. Il couvrait près de 25 millions de km2 avec des pertes pouvant aller jusqu’à 70 %. Dans l’Arctique toutefois, les conditions météorologiques sont plus variables que dans l’Antarctique, et il ne devrait pas se former un énorme « trou » fixe dans la couche d’ozone chaque printemps.
Autres résultats récents
L’appauvrissement de l’ozone se poursuit au-dessus du reste du Canada où les valeurs ont diminué d’environ 6 % en moyenne depuis la fin des années 70, avec des pertes plus importantes de l’ordre de 8 à 10 % au printemps. Le phénomène de l’appauvrissement de l’ozone est encore mal compris. Seule la moitié des pertes observées dans l’atmosphère peuvent être attribuées sans conteste à des substances connues pour être destructrices de l’ozone. En raison des incertitudes qui entourent la question, les changements dans la couche d’ozone doivent être suivis avec minutie si l’on veut évaluer l’efficacité des mesures prises pour réduire l’utilisation des substances destructrices. Le nouveau satellite scientifique canadien contribuera à prendre des mesures de la couche d’ozone depuis l’espace. À cause de l’appauvrissement de la couche d’ozone, les UV à l’origine des coups de soleil ont augmenté de 7 % en moyenne au Canada, avec des crêtes atteignant entre 10 et 12 % au printemps. Ces niveaux accrus, qui devraient rester plus élevés que la normale au cours des trente à quarante prochaines années, auront des répercussions sur la santé des êtres humains, les cultures, les forêts ainsi que les écosystèmes marins et d’eau douce. Vérification des mesures prises par le satellite dans l’Arctique
En 1987, le Canada est devenu le premier pays à se pencher sur la question de l’ozone dans l’Arctique, après la découverte du « trou » au-dessus de l’Antarctique. L’appauvrissement de l’ozone arctique est le plus marqué en hiver, période au cours de laquelle les recherches doivent être menées dans l’obscurité permanente et par des températures qui tombent régulièrement à -40 degrés Celsius. Pour aider les scientifiques à travailler dans un milieu aussi hostile, Environnement Canada a construit un laboratoire scientifique de l’ozone à Eureka, sur l’île d’Ellesmere, station météorologique reculée située à moins de 1 000 km du pôle Nord. Inauguré en 1993, le laboratoire a permis aux chercheurs de procéder à des recherches intensives sur l’ozone au-dessus de l’Arctique, et il est maintenant devenu un centre de recherche international.
Au passage du nouveau satellite canadien, les scientifiques d’Environnement Canada prendront des mesures de la haute atmosphère à partir de l’observatoire d’Eureka. Ils enregistreront les niveaux d’ozone de même que ceux d’autres substances chimiques ainsi que la présence de nuages polaires stratosphériques, une forme de nuages de glace en altitude qui accélèrent le processus de destruction de l’ozone. Ces mesures seront ensuite comparées à des données satellitaires et permettront de vérifier la précision des observations spatiales.
Recherche canadienne sur l’ozone
Le Canada a fait une importante contribution à l’étude sur l’ozone à l’échelle planétaire, tant en surveillant les niveaux d’ozone qu’en menant des travaux de recherche sur les causes et les répercussions de la destruction de cette couche de l’atmosphère. Les travaux canadiens à cet égard ont commencé dans les années 30 et ont été approfondis dans les années 80 lorsqu’on a observé pour la première fois une diminution dans les niveaux de l’ozone.
En 1993, les scientifiques d’Environnement Canada ont réalisé la première étude à long terme montrant de manière déterminante que l’amincissement de la couche d’ozone stratosphérique avait entraîné une augmentation des niveaux des rayons ultraviolets à la surface de la Terre. Les scientifiques d’Environnement Canada ont également mis au point le spectrophotomètre Brewer, un instrument d’étude de l’ozone à la fine pointe de la technologie. Reconnu comme étant l’instrument le plus précis au monde pour mesurer l’ozone, il est maintenant utilisé dans plus de 35 pays.
Environnement Canada exploite un réseau pancanadien de stations de surveillance qui n’ont cessé d’observer la couche d’ozone depuis plus de trente ans. Les premiers enregistrements, pris avant que des activités humaines n’aient eu une influence notable sur la couche d’ozone, sont essentiels à la compréhension des changements qui s’opèrent aujourd’hui.
Les scientifiques canadiens font appel à toute une série d’instruments pour étudier la couche d’ozone, notamment des ballons de recherche à haute altitude, des satellites ainsi que des instruments de mesure au sol. Deux astronautes canadiens, Marc Garneau et Steve MacLean, ont même utilisé des instruments canadiens pour prendre des mesures de la couche d’ozone depuis l’intérieur de la navette.
Pourquoi la couche d’ozone ne se regénère-t-elle pas ?
On a déjà pris des mesures considérables pour réduire les substances chimiques qui détruisent la couche d’ozone. Le Canada a joué un rôle important dans l’élaboration du Protocole de Montréal, entente internationale visant à protéger la couche d’ozone, qui a été signé en 1987. L’accumulation des principaux CFC dans la basse atmosphère a été ralentie et parfois même enrayée. On peut observer, par exemple, une diminution d’une des principales substances chimiques nocives (CFC-11). Il reste toutefois d’importantes concentrations de substances destructrices dans l’atmosphère, et on ne s’attend pas à ce qu’elles disparaissent avant plusieurs années.
Pour autant que tous les pays respectent le Protocole de Montréal, les scientifiques s’attendent à des améliorations et à une régénération de la couche d’ozone autour de l’an 2050. Ils ne savent toutefois pas dans quelle mesure les augmentations des niveaux de gaz à effet de serre et d’autres substances polluantes peuvent influer sur les pertes d’ozone, surtout dans l’Arctique. La situation au-dessus des pôles pourrait fort bien s’aggraver avant de commencer à s’améliorer.
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L’humanité doit se mobiliser contre le réchauffement climatique et on entend encore des gens qui ne connaisent pas le problème et qui s’exprime ...
Non les scientifiques ne font pas l’impasse sur les autres causes de réchauffement : Les cycles solaires, les varitions orbitales de la terre et du soleil ne correspondent pas aux variations observées !!!!!
Le réchauffement est bien mesurable et n’est pas lié à des erreurs de mesure...
Oui il y a déjà eu des variations climatiques dans le passé de la terre mais jamais elles n’ont été aussi rapides !!!
Il n’y a pas de pensée unique !!! Mais il y a bcp de gens qui ont intêret à nier le réchauffement et qui distillent des contres vérités
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@ l’auteur
merci pour l’article.
il est vrai que la politiquement correct a tout d’une religion, qui cloue au pilori celui dont la pensée est estimée « déviante ».
Claude Allègre est quelqu’un de franc et direct qui déplaît aux gens bien-pensants.
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L’auteur a raison, il y a aujourd’hui un « scientifiquement correct » comme un « politiquement correct ».
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Pensée Unique ? Pourtant Claude Allegre est le scientifique le plus écouté en France. Franchement...
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« N’est-ce pas à cause de notre tradition judéo-chrétienne que nous nous culpabilisons en permanence, en particulier quand tout va bien depuis trop longtemps »
Dans ma jeunesse, il y a 50 ans on se contentait de réduire notre consomation 4 semaines par an pendant Carème. Maintenant on pleure, la bouche pleine toute l’année...
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Mr Allègre dans son domaine scientifique, est reconnu et médaillé !
Le problème est qu’il se veut aussi « homme politique », comme tout bon politicien il est près à dire tout et son contraire, pour revenir sur le devant de la scène, pour exister, et qui sait pour un prochain poste ministériel !
Le problème est qu’il utilise sa notoriété scientifique sur le plan de l’expression politicienne, l’environnement doit être un thème de campagne puisque Mr Hulot le veut(et peut-être mr Chirac)... !
98% des spécialistes en climatologie et en glaciologie sont d’accords sur les risques et modifications des climats pour ce siècle, les modèles utilisés divergent sur l’ampleur des phénomènes, pas sur les causes ni sur les effets !
Mr Allègre ne serait pas contesté sur son champs de connaissance ; sur le climat et en politique, il doit être critiqué pour sa légèreté son opportunisme et le danger que cela représente !Doit-on rappeler la finesse dont il a fait preuve dans sa volonté réformarice du « mamouth » ! Comme le rappelle un commentaire préccedant, il a déjà dit tout et son contraire sur le climat dans des interventions et des tribunes de presse !
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C’est sur que la géologie n’est pas un paramètre en terme de climatologie. Il est bien connu que les couches géologiques sont athermiques, isolantes, neutre vis à vis des rayonnements solaires. D’ailleurs les « pompes à chaleur » ne peuvent pas retirer de la chaleur du sol...
Par ailleurs, « on connait les causes » selon vous du réchauffement. J’ai beau lire les études, il reste du flou dans les modèles. A ce titre, on est pas plus sûr qu’en 80, de la fiabilité de nos modèles. Or ceux de 80 se sont montrés inefficaces.
Allègre défend surtout le fait qu’on est pas sûr, et qu’on ne doit pas s’autoflageller, mais plutôt chercher des solutions. Relisez son article et celui qu’il a publié pour répondre, et revenez ensuite.
Sur les causes, le CO2 est le seul responsables, parait-il. Mais les études portent surtout sur l’influence du CO2. On n’a que peu d’études sur le cycle du CO2 et les océans, sur le phénomène d’inertie thermique. On ne connait pas vraiment le cycle de la chaleur dans l’atmosphère. On sait aussi que le Groenland était non gelé il y a 1000 ans, ce qui n’est pas complètement compatible avec le thème « jamais la température n’a été aussi élevée depuis que l’homme est née ». Par ailleurs, des études laissent supposer un possible effet boomerang (les glaciologues ont trouvé, justement, qu’une brusque augmentation du CO2 et de la température moyenne du globe avaient précédé la dernière période glacière).
Vu le nombre d’incertitudes, il faut surtout calmer le jeu, arreter de s’autoflageller, et chercher des solutions pour limiter la production de CO2, se passer d’énergies fossiles, bref appliquer le principe de précaution (certitude de notre responsabilité ou doute doivent de toute facon nous conduire à faire attention).
Par ailleurs, en quoi son manque de diplomatie concernant le mammouth est-il incompatible avec des compétences scientifiques ? Turing critiquait les militaires et leur gout de la paperasse, et de nombreux chercheurs francais commencent à critiquer le fonctionnement du « mammouth » et l’inertie inhérente à une administration trop centralisé, trop hiérarchisée, où des chercheurs peuvent être payés à plein temps à faire de la « recherche de financement d’Etat » (ie : faire des dossiers pour obtenir le budget de recherche), l’administratif et de la sauvegarde de financement qu’à faire de la recherche (ce qui doit en énerver beaucoup).
Finalement, si vous cherchez un peu, le discours sur le mammouth (trop d’étages, trop d’administratif, trop peu de liberté pour ceux qui font le taf réel (chercheurs, enseignants, ...)) qui a valut le renvoi d’Allègre du ministère, c’est quand même très proche de ce qu’on dit ses successeurs. Bien qu’ils l’aient fait de manière plus polie, moins directe.
Et ce « manque de diplomatie » est aussi ce que vous lui reprochez dans son article : avoir un désaccord avec la version catastrophique (et pas sur le besoin de faire attention), et le dire sans les circonlocutions diplomatiques d’usage.
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Allègre, de son propre aveu n’a jamais travaillé sur cette question du climat. A la fin des années 1990, il a défendu l’hypothèse d’un réchauffement du à l’homme pour fustiger les verts et leur opposition au nucléaire. Ce qu’il a fait relève de la posture et de la volonté obsessionnelle de faire parler de lui. Quand au terme « terrorisme médiatique », il n’engage que l’auteur de ce (très mauvais) papier.
« Pourquoi ne pas chercher à connaître les causes réelles du réchauffement, si d’autres causes existent ? »
???? merci pour cette perle ! ) lol
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Toujours la meme litanie, bien-pensant, politiquement correct. Offrir des contres theses c’est bien beau encore faut il qu’elles soient proprement etoffes, or Allegre ne le fait pas. C’est etre contre pour etre contre Y’a comme le dis un monsieur au dessus il y a peut-etre eu rechauffement climatique de 5 degres en 20 ans y’a 14 000 ans mais a l’epoque on etait loin d’etre 6 milliards sur terre. Et puis en fait on s’en fous on va tous crever :D
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La science se contente d’apporter des informations neutres, brutes : le climat se réchauffe, et l’homme y est probablement pour beaucoup, à cause notamment de la combustion des énergies fossiles qui libèrent des gaz à effet de serre qui, comme leur nom l’indique, créent de l’effet de serre et donc tendent à réchauffer le climat.
Après, c’est vous qui interprétez ça du point de vue judéo-chrétien (« On a trop profité, on a trop joui de la vie et des ressources de la planète. Il est grand temps de faire pénitence... »), mais personne ne vous force à le faire ! Donc pas de procès d’intention envers la communauté scientifique svp. Celle-ci s’efforce de nous donner les informations nécessaires pour que nous puissions choisir ce que l’on doit faire en toute connaissance de cause et en toute rationalité. Vous êtes vous-même d’accord pour dire qu’il nous faut « essayer de sortir de notre comportement égoïste et destructeur », alors pourquoi semblez-vous défendre la percée de Claude Allègre qui n’a pour effet que de semer le doute dans l’esprit des gens (en profitant de sa crédibilité relative et usurpée en ce domaine), ce qui leur donne une bonne raison de surtout ne rien faire pour changer ? (C’est d’ailleurs la même chose lorsque le gouvernement actuel présente les biocarburants comme LA solution.)
Qui plus est, vous parlez de pensée unique, mais dans l’esprit des gens, la pensée unique est toujours la pensée contraire à la sienne. Il n’y a pas de pensée unique. Par exemple, selon mon ressenti, je pourrais vous dire que la pensée unique, actuellement, c’est la dénégation du réchauffement. Ca l’a du moins été pendant bien longtemps. De même qu’il y a une pensée unique ultra-libérale et une pensée unique gauchiste-angéliste en même temps !
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Veronique, oui, nous sommes restes sous le joug des traditions judeo-chretiennes. Mais, non, nous n’avons pas joui des ressources de la planete. Non, cette energie colossale sortie de la terre (petrole, nucleaire, matieres premieres) n’a pas servi a nous emanciper et preparer les generations futures. C’est en ce sens que le gachis est incommensurable...
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Article inintéressant, vous n’apportez aucun élément scientifique, ni même une théorie qui pourrait fonder la position d’Allegre.
Faire du verbiage sur la pensée unique et « le long sanglot de l’homme blanc », d’autres l’ont dejà fait, avec plus de réussite.
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Ce n’est pas ce que l’article prétend, et nous sommes d’accord... Ce qui m’intrigue, c’est pourquoi ceux qui posent des questions dérangeantes (je ne cherche pas à savoir d’ailleurs qui a raison ou tort d’ailleurs) ou émettent des explications tout autant scientifiques mais aboutissant à un résultat différent se font lyncher... J’avais déjà mis cette question sur le tapis en interviewant la paléoanthropologue Anne Dambricourt et en essayant de comprendre pourquoi elle suscitait tant de réactions irrationnelles dans la communauté scientifique... Je ne tranchais pas en affirmant qu’elle avait raison ou tort. La question n’est même pas là... Pour C. Allègre c’est la même chose ; je ne prétends pas avoir la légitimité pour porter un jugement scientifique, mais je m’inquiète que les voix dissidentes ne puissent se faire entendre. Ensuite, à chacun de donner des arguments pour ou contre, de débattre comme on peut le faire dans un pays démocratique. Et non pas de se jeter sur l’élément perturbateur pour le faire taire ou le discréditer. Quant au parallèle avec la religion (au sens large) il me semble évident.
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Ce qui dérange (les climatologues entre autres), je crois, c’est que Claude Allègre utilise son étiquette de « Scientifique » pour faire croire au grand public qu’il a une légitimité à s’exprimer sur ce sujet qu’il connaît mal (il est géologue).
Quand de plus il se trouve que l’une des objections les plus fréquentes dans la bouche de ceux qui estiment que le changement climatique n’est pas un danger est précisément que « de toute façon, les scientifiques ne sont pas d’accord entre eux », et que l’intervention d’Allègre, assez inutile au fond selon son propre aveu (en gros, « la recherche du coupable n’est pas importante »), ne fait que conforter ces gens qui sont autant d’obstacles à une lutte efficace, forcément ça énerve et ça peut fait intervenir des comportement un peu moins rationnels et mesurés que ce que l’on pourrait espérer.
C’est mon explication pour ce « lynchage ».
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Bonjour,
Je trouve complètement anti-scientifique ce déchainement unilatéral. Le fondement de la pensée scientifique c’est de prouver. Hors, jusqu’a aujourdhui personne n’a apporté la preuve d’un réel réchauffement climatique d’origine humaine. Effectivement, on peut observer de nombreux phénomènes représentatifs d’un réchauffement. Mais rien ne prouve qu’il soit d’origine humaine (pourtant le soleil tourne bien autour de la terre !!). Quant au CO2, le coupable idéal du réchauffement climatique : Combien de personnes ont déjà étudié son spectre de réfléxion et sa concentration dans l’atmosphère ? Et bien pas grand monde.... Par contre tout le monde a son avis sur le sujet (certains sont même près a crucifier les hérétiques). Pourtant la communauté scientifique est assez divisées sur ce sujet... Le CO2 a un effet de serre ok, par contre lié le CO2 au réchauffement climatique actuel n’est pas si simple...
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Tu te fous du monde, pipo2000 !
« Combien de personnes ont déjà étudié son spectre de réflexion et sa concentration dans l’atmosphère ? »
Mais enfin, la concentration du CO2 dans l’atmosphère est très largement étudiée ! (voir par exemple ici). Tu débarques ou quoi ?
« Jusqu’à aujourd’hui personne n’a apporté la preuve d’un réel réchauffement climatique d’origine humaine. »
Question : qu’est-ce qui constituerait pour toi une preuve « irréfutable » que le réchauffement soit d’origine humaine ? On a un faisceau d’indices qui tendent à indiquer que l’homme joue un rôle énorme, on a écarté certaines autres causes qui ont été invoquées (variations de la luminosité du soleil notamment), cependant, tu pourras toujours dire « Mais il y a peut-être une autre cause que l’on ne connaît pas ». Le problème c’est qu’on n’a pas 40 planètes Terre sous la main pour faire des expériences et vérifier la reproductibilité du truc et tout le tralala... Arrête d’attendre Godot !
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non non, je ne me fout pas du monde. Par contre, vous em semblez bien borné avec ce type de remarque.
Ce qu’il faut savoir, c’est que 100% du rayonnement terrestre conçerné par le spectre d’absportion-reflexion du CO2 (qui est recouvert par celui de l’eau...) est déjà absorbé-réfléchit. Traduction : même en augementant la concentretion en CO2 on augementera pas la quantité de rayonnement capté.... dans la mesure ou elle l’est déjà complètement.... Je ne conteste pas le réchauffement climatique, je dit juste qu’il faut se méfier des raccourcis rapides. Je vous signalerais au passage que de nombreux scientifiques renommés s’insurge contre cette pensée unique : « réchauffement=CO2 ». Personne ne conteste le réchauffement par contre c’est son orginie et ces conséquences qui font débats. Alors s’il vous plait vous qui semblez si certains de vos conclusions : « ouvrez votre esprit a d’autre explications ».
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« Ce qu’il faut savoir, c’est que 100% du rayonnement terrestre conçerné par le spectre d’absportion-reflexion du CO2 (qui est recouvert par celui de l’eau...) est déjà absorbé-réfléchit. Traduction : même en augementant la concentretion en CO2 on augementera pas la quantité de rayonnement capté.... dans la mesure ou elle l’est déjà complètement.... »
Quand vous nous dites ce qu’il faut savoir, pourriez-vous nous citer vos sources ? Ou sommes-nous censés vous croire sur parole ? Il semble quand même curieux que des gens qui passent leur vie à étudier le phénomène de l’effet de serre en sachent moins que vous sur ce sujet.
Et je réitère ma question : qu’est-ce qui, pour vous, constituerait une preuve de l’origine humaine (en grande partie) du réchauffement, puisque le faisceau d’indices qui existe actuellement ne vous suffit pas ?
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« Quand vous nous dites ce qu’il faut savoir, pourriez-vous nous citer vos sources ? Ou sommes-nous censés vous croire sur parole ? »
croire sur parole, n’est ce pas ce que vous faite déjà ?
« Il semble quand même curieux que des gens qui passent leur vie à étudier le phénomène de l’effet de serre en sachent moins que vous sur ce sujet. »
effectivement cela peut paraitre curieux. Mais surement tout aussi curieux que la rotation de la terre autour du soleil pour un habitant du moyen âge. Quant aux gens qui passent leur vie a étudier le phénomène, dont je fais partit en tant que chercheur à l’agence spatiale européenne, vous seriez étonné de savoir a quel point ils sont divisés sur l’impact réel d’un augmentation de la concentration en C02 dans l’atmopshère.
« Et je réitère ma question : qu’est-ce qui, pour vous, constituerait une preuve de l’origine humaine (en grande partie) du réchauffement, puisque le faisceau d’indices qui existe actuellement ne vous suffit pas ? »
je vais vous poser une autre question : « pensez vous qu’il soit possible de répondre a cette question ? ». Voila plutôt ma démarche : on me dit « le CO2 est responsable du rechauffement climatique ». Dans ce cas, je regarde les mécanismes de l’effet de serre (absorption et reflexion du rayonnement terrestre par le CO2). J’ouvre alors mes livres, me renseigne auprès de mes collègues. Et là, surprise : 100% du rayonnement est déjà absorbé-réfléchit. Conclusion : l’augmentation de la concentration en CO2 ne provoque pas une augmentation de l’effet de serre...
Ce qui ne veut pas dire que l’homme n’est pas responsable d’un eventuel réchauffement climatique. Cela veut juste dire : si réchauffement il y a, ce n’est surement pas du aux mécanismes que certains défendent avec hardeur.
tout cela pour vous dire de faire attention. La science ce n’est pas la démocratie, 1 chercheur contre 1000 membres de l’académie des sciences peut avori raison. Mais de toute façon, ce débat sur le CO2 dont je vous donne un aperçut sera étudié trés sérieusement à l’académie des sciences en début d’année prochaine.
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Quand je demande des sources, il est évident que je n’ai pas l’intention de me contenter de ce que vous dites : « Je suis chercheur à l’ESA (quel établissement, d’ailleurs ? ESRIN ? ESTEC ?), j’ouvre des livres et j’interroge des collègues ».
Quels livres ? Quels collègues ? Ont-il publié ces résultats ? Dans quels articles ? Je veux des références s’il vous plaît. C’est comme ça que ça marche, la science, vous devriez le savoir, en tant que chercheur.
Merci d’avance.
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Mais l’effet de serre, c’est comme ajouter un pull. Le pull en lui même ne génère pas de chaleur, n’en absorbe pas mais ne fait que garder et accumuler ta chaleur corporelle. Pourtant, tu a plus chaud en mettant un pull que lorsque tu n’en porte pas. C’est pareil pour l’effet de serre.
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Les propos de Claude Allègre, « violents, définitifs et faux » : http://www.liberation.fr/actualite/terre/208679.FR.php
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Quelle déception de voir un grand scientifique comme Claude Allègre tenter de falsifier les travaux de ses collègues. Vraiment très décevant.
Les propos de Claude Allègre, « violents, définitifs et faux » http://www.liberation.fr/actualite/terre/208679.FR.php
Claude Allègre, scientifiquement incorrect http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3228,36-819374@51-816848,0.html
On retrouve dans l’attitude d’Allègre celle de quelques énergumènes qui trainent sur les forums et qui excellent dans l’art de désinformer et de lancer des polémiques malsaines.
L’homme est responsable du réchauffement climatique. Il devient coupable quand il a conscience des enjeux et qu’il ne fait rien pour que cela change. Cessons de jouer aux autruches. Notre responsabilité est diluée parmi celle des 6,5 millards d’êtres humains sur Terre. Mais elle ne disparait pas, elle demeure intacte, là, dans la masse.
Certes, il n’est pas facile de remettre en cause nos modes de vies. Mais nous n’avons pas le choix entre plusieurs options. Il y en a qu’une seule, que cela plaise ou non : réduire drastiquement et rapidement nos émissions de gaz à effet de serre.
Pour les réduire, il nous faut effectivement réunir nos énergies, agir ensemble pour trouver des alternatives (c’est l« écologie réparatrice » dont parle Allègre). Et d’ailleurs, l’énergie la plus facile à remplacer, c’est celle que l’on ne consomme pas.
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J’ai une question à poser à Véronique Anger-de Friberg, auteur de l’article « Claude Allègre, hérétique ? »
D’après vous, pourquoi l’humanité doit exister ?
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Véronique Anger-de Friberg : « Et si on essayait d’échapper à la pensée unique et culpabilisatrice... »
La pensée unique actuelle est malheureusement encore celle qui consiste à nous déresponsabiliser des enjeux énergétiques et climatiques. Nous sommes encore sous le règne de l’idéologie de la terre plate. Il est vraiment temps d’en sortir.
Jean-Pierre Dupuy « Remettre en question nos modes de vie »
Il est frappant que l’incertitude qui touche à l’augmentation future des températures soit pour moitié due à l’incertitude quant aux politiques qui seront menées. Cette incertitude a un effet paralysant : puisqu’on ne sait pas ce qui va arriver, pourquoi s’embêter ? Nous sommes pris dans une boucle : ce qui va se passer dépend de ce qu’on fait, et ce qu’on fait dépend de notre capacité à anticiper ce qui va se passer. Nous savons que le réchauffement est une réalité, qu’il est dû pour l’essentiel aux activités humaines, et que ses conséquences seront vraisemblablement désastreuses. Si on ne remet pas radicalement en question notre mode de vie, et ce à l’échelle planétaire, la catastrophe est inéluctable. Or, bien que nous sachions cela, nous ne le croyons pas.
C’est un phénomène psychologique qui nous fait chasser de notre esprit ces informations, parce que nous ne voyons pas ce que nous pourrions faire pour y remédier. La catastrophe ne nous paraît alors possible qu’une fois arrivée, c’est-à-dire trop tard. Et, si on parvenait à la prévenir, on prétendrait qu’il n’y avait pas lieu de s’affoler, comme au moment du bug de l’an 2000. La catastrophe n’est évitable, paradoxalement, que si nous sommes persuadés qu’elle est devant nous. Pour empêcher le climat de changer, il faut changer le climat de l’opinion. Faire en sorte que le savoir devienne croyance.
Source : http://www.lexpress.fr/info/sciences/dossier/climat/dossier.asp?ida=430615
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" Claude Allègre met en cause la compétence du jury du Prix Nobel de médecine
Le prix Nobel de médecine a été attribué à Craig Mello et Andrew Fire pour leurs travaux sur l’interférence ARN. D’après Claude Allègre, conseiller scientifique de Lionel Jospin, le jury du fameux prix s’est trompé, car les mécanismes décrits par les deux lauréats seraient faux.
En effet, Claude Allègre a montré qu’un article des professeurs Ketchup et McDonald, paru dans « Science » en avril 2002, invaliderait les conclusions de Mello et Fire, si on y ajoutait quelques raisonnements de bon sens : certes les ARNi sont bicaténaires (ce que n’infirme pas l’article de « Science ») mais selon le scientifique français, ils ne peuvent pas bloquer l’expression d’un gène, comme l’affirment Mello et Fire, parce qu’ils ne sont pas si petit que le disent les lauréats du prix Nobel.
Selon Allègre, le jury Nobel n’en est pas à sa première erreur. Allègre propose, afin d’éviter que de telles erreurs se reproduisent, une refonte du mode de fonctionnement du comité Nobel et l’adoption de nouveaux statuts qu’il publiera dans la rubrique « Point de vue » dans les colonnes de nos confrères du « Monde ». Selon des sources bien désinformées, l’article serait sous presse, mais le manuscrit circulerait déjà au sein du comité Nobel, soulevant un très grand intérêt.
Rappelons qu’en 1998, avant la coupe du monde de football, Claude Allègre avait proposé d’en modifier les règles du jeu afin que plus de buts soient marqués. Des sources bien désinformées affirment également que l’ex-ministre de la recherche aurait prédit plusieurs jours à l’avance le fameux coup de boule de Zidane en finale 2006. "
Source : http://www.desinformations.com/article.php?_a_id=944
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" Claude Allègre met en cause la compétence du jury du Prix Nobel de médecine
Le prix Nobel de médecine a été attribué à Craig Mello et Andrew Fire pour leurs travaux sur l’interférence ARN. D’après Claude Allègre, conseiller scientifique de Lionel Jospin, le jury du fameux prix s’est trompé, car les mécanismes décrits par les deux lauréats seraient faux.
En effet, Claude Allègre a montré qu’un article des professeurs Ketchup et McDonald, paru dans « Science » en avril 2002, invaliderait les conclusions de Mello et Fire, si on y ajoutait quelques raisonnements de bon sens : certes les ARNi sont bicaténaires (ce que n’infirme pas l’article de « Science ») mais selon le scientifique français, ils ne peuvent pas bloquer l’expression d’un gène, comme l’affirment Mello et Fire, parce qu’ils ne sont pas si petit que le disent les lauréats du prix Nobel.
Selon Allègre, le jury Nobel n’en est pas à sa première erreur. Allègre propose, afin d’éviter que de telles erreurs se reproduisent, une refonte du mode de fonctionnement du comité Nobel et l’adoption de nouveaux statuts qu’il publiera dans la rubrique « Point de vue » dans les colonnes de nos confrères du « Monde ». Selon des sources bien désinformées, l’article serait sous presse, mais le manuscrit circulerait déjà au sein du comité Nobel, soulevant un très grand intérêt.
Rappelons qu’en 1998, avant la coupe du monde de football, Claude Allègre avait proposé d’en modifier les règles du jeu afin que plus de buts soient marqués. Des sources bien désinformées affirment également que l’ex-ministre de la recherche aurait prédit plusieurs jours à l’avance le fameux coup de boule de Zidane en finale 2006. "
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Réchauffement climatique : les scientifiques s’attaquent à Exxon Source : Agence Science-Presse
" Quand des scientifiques contestent, ça passe souvent inaperçu, mais pas quand ça provient de la Royal Society de Londres. La plus vieille association scientifique du monde (346 ans) s’attaque à la plus riche compagnie du monde, la pétrolière ExxonMobil.
Et le crime d’Exxon n’est pas banal : avoir volontairement trompé les gens sur la question du réchauffement planétaire. La multinationale a notamment donné de l’argent à au moins 39 organisations qui, accuse la Société royale, « ont désinformé le public sur la science des changements climatiques » et ont fait la promotion de « points de vue inexacts et trompeurs », c’est-à-dire les points de vue de la petite poignée de scientifiques qui nient l’existence d’un lien entre l’activité humaine et le réchauffement. La compagnie a notamment versé 25 000 $ au Centre pour l’étude du dioxyde de carbone et des changements planétaires, qui proclame sur son site Web qu’il n’y a aucune raison solide de croire que la hausse des températures a été causée par la hausse de CO2.
Exxon est également attaqué sur deux documents, son Corporate Citizensyhip Report et un plan stratégique appelé Tomorrow’s Energy, où, entre autres choses, le méga-rapport du Panel intergouvernemental sur les changements climatiques (IPCC), le plus gros et le plus solide de tous les états de la situation scientifiques sur la question, est décrété être basé sur des jugements d’experts plutôt que des méthodes statistiques.
Le porte-parole d’Exxon a répliqué en qualifiant la lettre d’inexacte et injuste. Des groupes financés par Exxon, dont l’Institut George C. Marshall de Washington, critique avoué de l’IPCC, ont à leur tour attaqué la Société royale, l’accusant de vouloir museler les sceptiques."
http://www.cyberpresse.ca/article/20061011/CPSCIENCES/61011053/5527/CPSCIEN CES
Commentaire : ce sont des criminels
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Claude Allègre a montré à maintes reprises qu’il était foncièrement et jouissivement malhonnête, entre autre lors de son « passage » à l’éducation nationale (mensonges énormes sur les chiffres de l’absentéisme des enseignants, etc ...). Ce type ment avec un aplomb exceptionnel. Le mieux serait de ne plus parler de lui, il n’y a rien à en attendre (en dehors de sa spécialité, mais il a l’air de s’y sentir bien à l’étroit ...).
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le problème c’est surtout qu’allègre a falsifié ces informations, repris des articlles en leur faisant dire tout et le reste. bon, un peu absurde votre article je trouve.
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Ce qui est ennuyeux, c’est la récupération de cette réalité à des fins politiques. Parce que derrière le catastrophisme de bon ton devant le dérèglement climatique se profile les adeptes de la décroissance, et derrière eux les ennemis de la « société de consommation », puis fort logiquement les révolutionnaires de tout poils, les anti-libéraux, anti-capitalistes... bref, la clique d’allumés habituels, les Sans Programme Fixe, les décapsulés de la Révolution... Tout, sauf des écolos.
Lorsqu’on y regarde de plus près, la catastrophe n’est plus aussi immédiate qu’il n’y paraît, les avis sont un peu plus tranchés... Alors certes, il faut observer et se préocupper du problème. Mais aussi regarder qui se cache derrière ce catastrophisme, et qui a intérêt à l’entretenir.
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Ah oui, c’est moi, le commentaire ci-dessus...
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Je suis d’accord avec vous : l’écologie politique a besoin d’un sérieux assainissement en France. « L’écologie n’appartient pas à la gauche de la gauche » - C. Le Page.
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J’ai la conviction que la stratégie californienne est la bonne pour nous sortir de l’impasse énergético-climatique : la sortie du pétrole et la lutte contre le réchauffement climatique (réduction des émissions de GES) devraient être perçues comme une opportunité pour développer l’emploi et stimuler l’économie (éolien, solaire, géothermie, biomasse etc.), pas comme un processus anti-croissance, de régression (la croissance du bien être humain). Il ne s’agit pas d’un processus de « décroissance » (ce mot provocateur me gène profondément) mais au contraire d’éco-croissance.
Plus d’infos : http://www.energy.ca.gov/index.html
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@ Olivier : ce qui a de bien avec toi c’est que tu fais les questions et les réponses:un peu comme le petit Nicolas.C’est reposant.......................
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Je n’ai pas l’impression d’avoir répondu aux questions posées.
Pourquoi doit-on protèger l’homme ?
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Allegre ne sait que faire de la provocation. Faux homme de gauche et pas même de droite, il incarne la figure du bouffon.
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« Après tout, nous ne sommes qu’un « accident » : nous ne devrions même pas être là, si on en croit la théorie du big-bang ! » : je ne voit pas en quoi la théorie du big bang implique que nous ne devrions pas être là.
Ca n’a juste absolument rien à voir !
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@ veridian:avoue que ce serait dommage !
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Article long et verbeux, avec de nombreuses redites. Il nous parle plus des obsessions de l’auteur, que d’élémenst réels de l’article cité. Quand à claude allègre il est peut être provocateur, mais ils s’est si souvent trompé, et ses provocations vont si souvent dans le sens de la démagogie, que l’on peut se demander comment on peut encore lui accorder de la crédibilité.
Bien sur que l’homme est en train d’agir sur le climat. c’est largement démontré par de nombreuses publications. Nos émissions de CO2 augmentent trop rapidement l’effet de serre, par ailleur nécessaire à la vie. cette trop brusque variation peut ensuite provoquer la libération d’autres gaz à effet de serre comme le méthane. ne confondont pas causes et effets.
Cette catastrophe climatique est fortement susceptible, sur une planète surpeuplée, de provoquer des difficultés agricoles immenses, donc des famines, et par ce simple phénomène de tuer plus que les 2 guerres mondiales.
Donc oui il faut agir, et vite, et radicalement. Moins consommer, ne pas rouler en 4X4, interdire la clim dans les voitures, développer les énergies renouvelables, par ailleur parfaitement au point techniquement, est à notre porté collective et individuelle.
Le problème est que nous ne voulons pas faire de choix technologique, et acceptons ce qui vient parceque « c’est pratique » ou parceque la pub nous l’a enseigné.
J’ai un chauffe eau solaire, une chaudière à bois, et j’ai acheté des panneaux photovoltaïques que je vais installer bientôt. J’ai un petit potager et je roule avec une voiture sans clim.
je n’ai pas attendu Claude allègre pour réfléchir et agir et je préfère me passer de sa mauvaise foi pour le faire.
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« La planète vit sa vie depuis des millions d’années, avec ou sans l’humanité sur son dos... (Après tout, nous ne sommes qu’un « accident » : nous ne devrions même pas être là, si on en croit la théorie du big-bang !). »
Hélas, c’est ce que vous croyez. Tout le problème est là. Si il n’y avait pas l’humanité pour en prendre conscience y aurait-il ces millions d’années et le Big-bang ? L’univers est sûrement là pour nous puisque c’est nous qui en prenons conscience.
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Les propos de M. Allegre vont à l’encontre des études de la quasi totalité des météorologues. Comme c’est parfaitement bien expliqué dans Libération d’hier, M. Allègre n’a aucune qualité particulière pour s’exprimer sur le sujet du réchauffement climatique. Il a notamment cité un article de la revue qui aurait été sorti par la revue « Nature », qui en réalité était sorti dans la revue « Science », article qui a lu tellement en diagonale qu’il ne s’est pas aperçu qu’il traitait du climat africain il y a ... 2 millions d’années ! Entre autres erreurs... J’ai eu l’occasion de rencontrer ce monsieur lorsqu’il était ministre. Il a eu sans doute quelques bonnes idées, mais son égo « surdimensionné » comme le dit parfaitement un internaute ainsi que sa personnalité très particulière ont fait qu’il s’est coupé de tous les enseignants, y compris de ceux qui au départ, voulaient aller dans son sens.
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On avance...
Il y a encore peu de temps, le réchauffement climatique était nié. Maintenant, on l’admet.
La défense des économistes traditionnels, sans doute payés par les grands capitalistes, s’est adaptée : les comportements humains n’ont pas ou vraiment très peu de responsabilités ; ce réchauffement n’est que le Nème d’une longue série ; donc nous pouvons continuer sur notre lancée.
Je n’ai pas lu l’article d’Allègre mais, si j’ai bien compris ses défenseurs, il aurait dit en résumé qu’il ne servait à rien de chercher les coupables mais par contre de chercher les moyens de limiter ce réchauffement. Il me semble étrange de pouvoir trouver lesdits moyens si l’on ne connait pas les raisons.
C’est une évidence que la Terre a connu de multiples successions réchauffements-refroidissements dont l’espèce humaine n’était en rien responsable. Que l’on ne connaisse pas exactement le pourquoi de ces modifications climatiques est une autre évidence. Les modèles imaginés se révèlent très incomplets ? D’accord !
Il y a quand même un facteur supplémentaire à intégrer à ces modèles : le nombre d’humains a considérablement augmenté, ne serait-ce que depuis l’époque d’Erik le Rouge, et les modes de vie ont radicalement changé, du moins dans de nombreuses parties du globe. Ne pas en tenir compte, ne serait pas « scientifique ».
Maintenant, étant donné que la climatologie est une science encore dans l’enfance, je suis persuadé qu’il faut garder son sang-froid et ne pas céder au sensationnalisme. Certaines « vérités » du passé s’étant révélées fausses, il faudrait avoir plus de retenue.
Un fait semble certain pourtant. Le réchauffement en cours, quelle que soit son origine, modifiera, que nous le souhaitions ou non, nos modes de vie. Quelles modifications sommes-nous prêts à accepter ?
Que certains reviennent au mode de vie d’avant le « progrès » technique, et qu’ils en soient très heureux, tant mieux pour eux ! Mais ils ne peuvent pas exiger que tous les humains en fassent autant. Un « coup de frein » brutal, autoritaire, provoquerait plus que des troubles sociaux et politiques et mettrait en péril l’espèce humaine bien plus rapidement que le réchauffement ! L’Humain peut s’adapter mais, comme tous les êtres vivants, en douceur ! Et puis, les comportements du passé ont provoqué eux aussi des accidents écologiques et économiques comme le prouvent certaines recherches archéologiques sur des sites gallo-romains.
Cela n’empêche pas de faire des recherches dans plusieurs directions : quels autres gaz que le CO2 ou le méthane ou les CFC peuvent être responsables, ne serait-ce qu’en partie ! Le fait que les sources d’énergie fossiles sont épuisables à quelques dizaines d’années devrait inciter à rechercher d’autres sources d’énergie... N’en déplaise aux économistes pour qui la croissance du XXème siècle est un modèle à amplifier, je pense qu’ils doivent remettre en cause leurs convictions.
Un point me tient particulièrement à coeur. Baser toute l’économie sur la croissance de la population me semble une énorme erreur. Lors de la première élection présidentielle, un certain René Dumont je crois, avait fait campagne sur les risques de surpopulation. Je crois qu’il avait raison en grande partie. Il me semble que des politiques menant vers une maitrise bien plus grande de la population mondiale seraient les bienvenues.
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L’Inquisition était un progrès par rapport au paganisme ( dont se réclame l’auteur du premier article de cet page ) : l’Inquisition = c’est la Loi qui décide et non la foule en furie.
Comment peut-on comparer l’Inquisition à la Terreur des « bons sauvages » de 1789, aux guerres Napoléoniennes, aux « camps de la mort », aux goulags,...
L’Inquisition était une abérration puisque le message de la Croix du Christ est : pour ne pas sacrifier l’Autre, il faut prendre le risque d’être sacrifié.
Allègre est victime du célèbre « choc en retour » de la sorcellerie
<< Toute maison divisée contre elle-même s’effondrera >> : Jésus Christ.
Remarque : la divinité du Christ ne repose pas sur la virginité de Marie mais sur la Resurrection.
L’obscurantisme moderne c’est la rationalisme borné : athée.
http://www.suaire-science.com/
Upinsky (A. A.), 1993. La démonstration scientifique de l’authenticité : le statut scientifique, la reconnaissance, l’identification. Actes du symposium scientifique international du CIELT, Rome.
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@Michel
« L’Inquisition était une aberration puisque le message de la Croix du Christ est : pour ne pas sacrifier l’Autre, il faut prendre le risque d’être sacrifié. »
L’inquisition devait protéger avant toutes choses, toutes tentatives d’interprétation du message religieux et de sa base ésotérique. Car c’est à cette époque où le point de vu Traditionnel c’est dénaturé et où la véritable Connaissance à commencé à se perdre. La confusion qui allait naître du développement de la science et des pensées modernes justifiait cette réaction sans concession que l’inquisition avait le devoir d’imposer à tous ceux qui donnaient des signes de dégénérescence.
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Je sais que je suis hors sujet, mais pour ce qui est des changements des modes de vie à venir, si vous ne croyez pas au réchauffement climatique, regardez un peu du côté des sources d’énergie fossiles. Il resterait 40 ans de pétrole au rythme de consommation actuel, ça fait 20 ans ou moins si on prend en compte l’évolution du rythme de la consommation mondial. Nos modes de vie dispendieux (qui ne sont vieux que de 150 ans maxi) d’hommes riches vont de toute manière devoir se modifier drastiquement. Si ce n’est à cause du climat, ce sera faute d’énergie. Et les renouvelables et autres utopies énergétiques sont loin de pouvoir prendre la relève à un même niveau.
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C’est (malheureusement) faux : il reste encore pas mal de charbon qui permettrait de supplanter en grande partie le pétrole, pendant au moins une bonne centaine d’années, ce qui serait bien entendu plus que catastrophique d’un point de vue climatique. (source Manicore)
C’est une tentation à laquelle l’humanité devra savoir résister...
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Un article paraoïaque pitoyable fait par quelqu’un qui n’a aucune idée du raisonnement scientifique.
Les idées de Mr allègre (qui n’est même pas climatologue soit dit en passant) ont été loyalement démonté non pas par un « clergé » mais par des « preuves » qui montrent qu’il a tort. Il n’a même pas été capable de faire une analyse correcte des publications qu’il a utilisé pour son argumentation. A sa place, je me cacherais pendant un long moment pour ne pas être la risée du monde scientifique...
Il y sans doute moyen d’expliciter la thèse « le réchauffement climatique actuelle n’est pas la cause de l’homme » de façon beaucoup plus scientifique et avec des arguments moins ridicules.
Quand à votre fameux terme « la pensée dominante », il est valable en politique c’est-à-dire un domaine où le raisonnement scientifique ne s’applique pas. Une pensée dominante dans les sciences apparait toujours lorsqu’il y a des preuves à l’appui. Je vous imagine bien à l’époque ou Newton a posé sa théorie de la gravitation et qu’elle s’est propagée dans le monde dire : « Les idées de Newton sont dominantes, on se fait spolier, ce qu’il dit est faux, à qui est-ce que cela profite ? »
eh, oui c’est vous qui faites de l’obscuratisme... Laissez les scientifiques faire leur travail, si ils découvrent des preuves accréditant la thèse de Claude Allègre, ils ne pourront être passés au silence.
Mais bon, il y a toujours eu des obscurantistes, le principal est qu’ils ne soient pas majoritaires...
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Pas hérétique,non mais le roi des cons certainement. Ce type se prend pour un esprit supérieur regardant avec mépris tout le monde,du style vous n’avez rien compris à rien heureusement que je suis là pour remettre un peu d’ordre dans ce bordel de fausse croyances.Ah oui il est très fort, surtout pour planter la gauche et Jospin en 2002,s’ayant mis à dos les enseignants (réservoir de votes de la gauche) apres ses déclarations stupides,toujours le même truc (vous n’avez pas encore compris que je suis le meilleur bande de cons !) Comment se fait-il que quelqun puisse encore discuter sur le bien fondé des inepties de ce type ,il y a des sujets plus intéressants tout de même ? Boycott... !!!
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Quelle grande naïveté que de croire à UNE vérité scientifique, qui s’exprime de façon claire et sans équivoque à travers toutes les études.
D’abord, sur plein de sujets, il y a des études contradictoires. Ensuite, avant de dire que la Terre était ronde, une grande majorité de scientifiques ont dit qu’elle était plate. Il y a plein de raisons qui font qu’il y a une vérité au delà des résultats d’une étude (il suffit pour avoir les bons résultats de choisir son sujet, ou encore de « masser » les données, de choisir le lieu, le périmètre ou les époques d’étude, de publier les études seulement quand elles sont intéressantes pour le public ...) La vérité scientifique n’est ni unique ni figée. Elle est liée à un moment, à une démarche. C’est ce qui la distingue d’une vérité religieuse. Cette démarche a besoin de contradiction, pas de censeurs.
Et aujourd’hui le débat sur l’écologie est trop émotionnel, trop lourd, pour être constructif. Allègre est aujourd’hui une sorcière comme l’étaient les présumés communismes sous McCarthy. Aujourd’hui encore, l’avenir de l’humanité est en danger et justifie tous les lynchages.
Il faut croire que nos racines judéo-chrétiennes, cette bonne vieille culpabilité face au plaisir n’ont plus besoin d’un Dieu pour trouver les moyens de s’exprimer.
Après un débilissime principe de précaution dans notre constitution, voté par nos chers politiques (si on l’avait eu plus tôt, on n’aurait pas de voiture, pas de vaccins, pas de téléphone ...) et accepté de tous avec une hypocrisie remarquable, voilà que la nouvelle religion se trouve assez forte pour montrer du doigt les non-croyants, sous couvert scientifique.
Moi, j’ai beau être polytechnicien, je veux bien être excommunié ; :)
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BOYCOTT ! @elizabeth. Oui ! je suis d’accord, 100%, complètement, ce type c’est n’importe quoi comme connerie. je l’ai toujours appelé monsieur « moi je » (tiens, comme Sarko, finalement, ils devraient se rejoindre). Un malade. Il se fait passer pour scientifique auprès des non scientifiques : fastoche ! car c’est un vieux ringard, dépassé, qui se permet de parler, et de façon malhonnête, sur des domaines qu’il ne connaît absolument pas !!!
Quant à l’auteur, oser parler de « pensée unique », elle se trompe de champ ! Quand je dis, et que tout le monde dit : la terre est ronde, c’est de la pensée unique ? si l’auteur dit : la terre est plate, c’est donc qu’elle est rebelle ? n’importe quoi...
Pardon de me répéter (voir un autre fil), mais pour se faire plaisir :
"Appartenant à cette race d’hommes qui se croient originaux et rebelles quand ils ne sont qu’arrogants et balourds, il ne manquera pas d’être utilisé. A l’insu de son plein gré ou presque. Politis, par Fabrice Nicolino, 12 septembre 2002, p. 25."
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Ou l’influence de l’homme est significativement importante ou elle ne l’est pas.
- si elle l’est 2 questions fondamentales doivent être posées : -quel nombre d’hommes peuvent existe simultanément sur cette terre ? -quel niveau de vie veux-t’on(qui ?) leur attribuer ?
Ces questions ne sont jamais posées par les tenants du réchauffement anthropoïde !
- Si elle ne l’est pas, une seule chose à faire s’adapter à la nouvelle situation, ce qu’à toujours fait l’homme depuis qu’il existe( c’est la position de l’Inde qui déjà envisage de protéger les villes menacées)
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Comme vous ne communiquez pas l’aricle dont vous faites mention.......Je n’irai pas payer pour voir un truc sur Allègre.
Il faut quand même reconnaître que celui qui a déversé son mépris sur un corps dont il se prétend issu ne mérite pas mieux que la volée de bois vert qu’il reçoit maintenant.
Ce qui est nouveau, ce ne sont pas les opinions du monsieur...Il choisit ce créneau à l’occasion...La nouveauté est qu’il ne soit pas du côté du manche . Ses gémissements me sont douce musique.
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Cet article est aussi malhonnête que celui de Allègre, ou alors son auteure s’y connait autant que lui en climatologie, c’est à dire pas du tout. Allègre a depuis longtemps fait la preuve de sa totale incompétence dans les autres sciences que la sienne, et de sa capacité à mentir.
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Le Prométhée définitivement déchaîné, auquel la science confère des forces jamais encore connues et l’économie son impulsion effrénée, réclame une éthique qui, par des entraves librement consenties, empêche le pouvoir de l’homme de devenir une malédiction pour lui.
La thèse liminaire de ce livre est que la promesse de la technique moderne s’est inversée en menace, ou bien que celle-ci s’est indissolublement liée à celle-là. Elle va au-delà du constat d’une menace physique. La soumission de la nature destinée au bonheur humain a entraîné par la démesure de son succès, qui s’étend maintenant également à la nature de l’homme lui-même, le plus grand défi pour l’être humain que son faire ait jamais entraîné. Tout en lui est inédit, sans comparaison possible avec ce qui précède, tant du point de vue de la modalité que du point de vue de l’ordre de grandeur : ce que l’homme peut faire aujourd’hui et ce que par la suite il sera contraint de continuer à faire, dans l’exercice irrésistible de ce pouvoir, n’a pas son équivalent dans l’expérience passée. Toute sagesse héritée, relative au comportement juste, était taillée en vue de cette expérience. Nulle éthique traditionnelle ne nous instruit donc sur les normes du « bien » et du « mal » auxquelles doivent être soumises les modalités entièrement nouvelles du pouvoir et de ses créations possibles.
La terre nouvelle de la pratique collective, dans laquelle nous sommes entrés avec la technologie de pointe, est encore une terre vierge de la théorie éthique.
Dans ce vide (qui est en même temps le vide de l’actuel relativisme des valeurs) s’établit la recherche présentée ici. Qu’est-ce qui peut servir de boussole ? L’anticipation de la menace elle-même ! C’est seulement dans les premières lueurs de son orage qui nous vient du futur, dans l’aurore de son ampleur planétaire et dans la profondeur de ses enjeux humains, que peuvent être découverts les principes éthiques, desquels se laissent déduire les nouvelles obligations correspondant au pouvoir nouveau. [...]
« Agis de façon que les effets de ton action soient compatibles avec la permanence d’une vie authentiquement humaine sur terre. »
Hans Jonas, Le Principe responsabilité : une éthique pour la civilisation technologique (1979), trad. J. Greisch, Éd. du Cerf, 1990, Préface, pp. 13 et 30.
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Il faut arrêter un peu avec Allègre !
Ce type est complètement mégalomane et il est dangereux. Il a fait suffisamment de dégâts quand il était ministre de la Recherche en se mettant à dos l’intégralité des chercheurs, y compris ses camarades socialistes, pour qu’on n’ait plus envie de lui accorder la moindre considération. Quand on développé dans un ministère des méthodes aussi minables que les siennes, on devrait avoir la décense de se taire !
Pour ce qui est du réchauffement climatique, remettre en cause les conclusions du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC) afin de satisfaire son ego démesuré relève de la démence. Pire, vu les enjeux, c’est criminel !
Pour ceux qui souhaitent lire un commentaire argumenté, il n’y a pas grand chose à ajouter à l’article : http://liberation.fr/actualite/terre/208772.FR.php
Qu’on arrête de nous gonfler avec ce dingue !
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Quel est ce grand scientifique qui a pondu la mémoire de l’eau,ce qui a bien fait plaisir aux homéopathes ?
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Benveniste, au pif ???
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@ Furtif:merci,je l’avais sur le bout de la langue,benhur,benbasculante et benveniste...Bien sûr !
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mouais bof, pas trouvé top l’article. beacoup de lignes pour dire pas énormement. Culapbilité exagéré ? les allemands aussi en 1945 ils avaient une culpabilité exacerbée ? lol
les faits sont la mesurables et tenaces.
finalement tu dis la même chose’ que allègre : « ecoutez-moi, pensez pas comme tout le monde, vive l’ultra individualisme qui interdit que penser comme la majorité »
massacrer des gens c’est pas bien massacrer la planète c’est pas bien non plus. point.
ta morale du siècle dernier n’est plus morale en 2006. u’re old school.
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Certains Ecolos seraient-ils des fanatiques ?
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Que l’on ait une tendance à l’auto culpabilisation et à la pensée unique, soit... De là à nier l’action destructrice de l’homme sur la planète, il ya un gouffre. L’auteur devrait se renseigner un petit peu car hormis le débat sur le réchauffement climatique, certaines préoccupations écologiques ne sont pas contestables ! (pollution des eaux, pollution de l’air, extinction des espèces...) Il ne faut pas se flageller mais il faut aussi s’enlever les peaux de saucisson qu’on a devant les yeux.
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Oui,mais pas avec un opinel !
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Je cherche en vain l’intérêt de cet article, et surtout les informations qu’il véhicule. Réponse à cette dernière interrogation : aucune. « Pauvre Monsieur Allègre, villipendé pour avoir osé élever la voix contre tous ces bien-pensant culpabilisateurs... » etc, etc. Mais de démonstration scientifique - le coeur même du débat qui nous occupe ici - aucune. Contrairement à l’article récent de Liberation qui s’attachait à démontrer par A + B que le sieur Allègre avait allegrement mélangé désinformation et égarements, ce qui ne peut qu’induire le doute sur les motivations d’un scientifique de haut niveau que l’on imagine mal produire involontairement une bévue de collegien.
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J’aurais aimé trouver des bases scientifiques du genre :" Le mamouth pourrait être une cause du réchauffement climatique" Bon, j’ai lu tout ce qui peut se lire sur le sujet, mais je pense qu’il faut raison garder et ne pas s’enflammer dans une cuve de Co²
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Bravo pour votre article courageux dans le contexte actuel de pensée unique. Ce n’est pas nouveau, même en matière scientifique, mais c’est bien de réagir.
D’autant plus, qu’en ce domaine, c’est probablement Claude Allègre qui a raison de douter des vérités un peu simplistes que colportent nombre de gens peu informés - et formés- contre les avis beaucoup plus prudents et circonstanciés d’un grand nombre de scientifiques qui ne sont pas des médiateurs.
Vous avez raison aussi, il me semble, de relier tout cela à une propension à la culpabilité qu’exploite depuis toujours toutes les religions et les pouvoirs. Ce catastrophisme médiatique s’inscrit dans la droite ligne de cette éternelle manipulation de l’homme par l’homme.
A cet égard, un gros bouquin est à lire : « L’ecologiste septique » de Bjorn Lomborg. Il remet vertement et factuellement quelques pendules à l’heure et l’on en sort plus optimiste et plus serein aussi.
Bravo encore
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allegre a un prix crafoord l’equivalent d’un nobel pour les geologues !C’est pas la moitié d’une truffe !
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Claude Allègre dans “Clés pour la géologie", (éd. Belin/France Culture) :
« En brûlant des combustibles fossiles, l’homme a augmenté le taux de gaz carbonique dans l’atmosphère, ce qui fait, par exemple, que depuis un siècle la température moyenne du globe a augmenté d’un demi-degré. »
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« L’air est fait d’oxygène CO2 » JC VanDamme
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Claude Allègre, ou l’art d’avoir une position publique en porte-à-faux avec son activité « privée » - Par Jean Marc Jancovici, le 27 octobre 2006
http://www.manicore.com/documentation/serre/ouvrages/allegre.html
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Chère collègue rédactrice,
La danse du scalp autour de Claude Allègre est significative : la police de la pensée se rue sur l’homme le plus écologiquement incorrect de France.
J’ai écrit sur mon blog Vent d’Auvergne un article à ce sujet. Sans beaucoup de ménagement. Mais pourquoi ménager des gens dangereux qui ne respectent pas la liberté ?
Votre article est excellent car c’est un article de... résistance. Continuez
S Weidmann
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L’étude que vous allez lire vous sortira-elle du climat d’angoisse et de repentance qui vous accable ? L’écologie, c’est nécessaire pour tenter d’amener les vandales a un peu plus de respect de la planète bleue. Mais lorsque l’écologie utilise et exploite les peurs ancestrales pour provoquer la réflexion elle ne conduit qu’au pessimisme qui gâche la vie des humains.
Une lectrice écrit ce commentaire depuis sa forêt de MEUDON : « Nous baignons dans une ambiance alarmante. Nous devrions toujours craindre et avoir peur. Cela crée un climat dans lequel les gens deviennent paranos et finalement, c’est bien pratique ; avec la peur, les hommes sont de vrais moutons. Merci pour toutes ces informations tant scientifiques que logiques et comme cela fait du bien ; la terre vit avec ses cycles, mais dans notre bas monde, tout ce qui est différent est anormal et doit être annulé »
Un lecteur, certainement écologiste, prend feu : « Vos thèses sont pleines d’intérêt et s’adressent plutôt a des lecteurs avertis .Malheureusement, je n’appartiens pas a cette catégorie. Par contre, je pense que les gens en souffrance qui appartiennent au peuple d’en bas, se foutent pas mal d’apprendre que le soleil frappe la terre équatoriale à un moment qui se situe légèrement au Nord de l’Equateur géographique : 5 degrés. » Mais si Monsieur, l’Antarctique n’est-elle pas plus froide et massive que l’Arctique pour cette raison ? Face au chaos équilibré, réfléchissons !
L’EFFET de SERRE
A l’époque du carbonifère, disons 300 millions d’années, les forêts furent enserrées sous des sables consolidés : les grès. Ils se transformèrent en absence d’oxygène en carbone, non en CHARBON. D’autres plantes coincées sous des schistes anciens du permien, et autres périodes se transformèrent en poches liquides de PETROLE Actuellement, toujours en absence d’oxygène, des forestiers fabriquent du CHARBON DE BOIS qui fait la joie de vos grillades. Quelle honte, mais c’est le même processus. !
A ces époques géologiques, il n’y avait pas de bagnoles pour enrichir la planète en CO2. La nature y suffisait, avec les secousses volcaniques et telluriques d’une tectonique affolée. Le CO2 était déjà là massivement.
Comment, va objecter Nicolas, on extrait d’un coup tous ces minéraux fossiles riches en carbone, on les brûle et nos civilisations gloutonnes les relâchent impudemment dans l’atmosphère ! La catastrophe de l’effet de serre est annoncée, et relance les peurs ancestrales qui ont toujours influées sur la pensée humaine.
Doucement, voulez-vous !
La terre est un monde équilibré par défaut. Comme on cherche qui a commencé : la poule où l’œuf, on devrait chercher entre l’arbre et le carbone quels échanges se produisent et qui a commencé ? C’est l’écosystème. L’apprend-on encore a vos enfants ?
L’arbre a besoin de gaz carbonique pour naître et croître, son feuillage servant de poumon et il le rendra en oxygène libéré et en humus, en tourbe puis en lignite. Ce n’est pas un échange négligeable ; il se compte en centaine de millions de tonnes dit-on. Voyez les immenses forêts françaises : des Ardennes à l’ Alsace, de Fontainebleau à Tronçais, du Forez aux Landes, on ne peut toutes les citer, mais elles occupent près de 30% du territoire national. De plus si les alizés poussent vers l’Afrique, (qui nous renvoie quelquefois des sables) c’est 3 fois la surface de la France en forets que le CO2 rencontrera parmi la ceinture mondiale de l’équateur thermique. Les océans et les mers seraient aussi demandeurs de gaz carbonique qui acidifie les eaux parait-il ( ?)
On sait bien que les écologistes nient l’équilibre des échanges et affectent au CO2 un excès non utilisé par les plantes. Cet excès nous menace. Laissons-les a leurs calculs savants qui donnent près de 18 milliards de tonnes de carbone rejetés en 2004 sur la planète. Sourions doucement ; ils pondèrent l’impondérable avec une virgule pour faire plus sérieux, et leur unité « tonne » a quelle densité ? Notez que le Co2 est plus lourd que l’air ; faute d’une légère brise il stagne, problème bien connu partout : villes, cuves, puits, grottes......
Ce n’est pas tout.
« C’est bien GALILEE qui a dit le premier « et pourtant, elle tourne ». Et oui, la terre est une toupie, tournant sur l’équateur a 1.700 km/heure et axée sur les pôles, et toute toupie OCILLE. Ce phénomène cyclique s’appelle l’oscillation des pôles et la nutation que des physiciens calculent.
Le soleil frappe la terre équatoriale a une normale qui se situe légèrement au Nord de l’équateur géographique : 5°. Elle est luxuriante par son ensoleillement maximum tempéré par une humidité lourde.
On peut concevoir que le soleil est dans cet alignement, où les jours sont toute l’année de durée égale aux nuits : 12 heures.
Sous notre latitude 45°, les rayons solaires sont déjà tangentiels et bien plus bas l’hiver que l’été. Toute variation cyclique déplace de quelque centaine de kilomètres la zone concernée et affecte le climat. Exemple actuel dans le sens sud Nord : le climat du Maghreb remplace celui du midi, celui du midi rejoint par ses excès le centre ; l’humidité du centre gagne le nord, etc...... N’ayez aucune crainte : le climat catalan n’affectera pas le climat anglais, car le phénomène s’inversera a temps.
Nous nous défendons dans ces explications de toute connaissance scientifique. La recherche de sources compétentes s’est montrée décevante. Les polémiques entre savants prennent des détours inattendus.
Nous n’allons pas conclure sans quelques exemples :
1) lu dans « le petit français illustré » a 10 centimes du 27 Juillet 1891 :
« Les savants n’ont pu jusqu’à ce jour se mettre d’accord sur la question de savoir, si oui où non les climats de l’Europe se refroidissent progressivement. D’ailleurs, la science météorologique n’existe vraiment que depuis un siècle, de telle sorte que les renseignements font défaut sur les périodes antérieures, qu’il importerait de connaître pour trancher la question. On peut toutefois affirmer que depuis 4 ans un refroidissement général a lieu sur l’Europe Occidentale. La température moyenne de 1880 a 1886 a dépassé 14° tandis que de 1886 à 1890 elle n’a jamais atteint ce chiffre. On a remarqué que cette diminution de chaleur a influé sur la végétation de certaines plantes exotiques, tant la floraison a été retardée d’une manière sensible ».
2) Les années 1943 et 1944 où l’INGÉNU vécut au grand air sont connues pour leurs étés torrides suivis d’hivers glaciaires. Il n’a pas vécu la suite.
3) La désinformation télévisée devient inquiétante :
Lorsqu’on nous montre un glacier nordique aboutissant en mer et s’y effondrant de façon naturelle comme une preuve du réchauffement de la planète, il y a manquement à la déontologie. Lorsque des enfants faméliques malades, voire des bovins morts de soif illustrent des problèmes de climat au Sahel, c’est un manque de scrupules pour susciter la pitié. Si le troupeau dans son ensemble subsiste, même efflanqué, le peul survit sans ce problème, ce qui ne nie pas ses autres difficultés. Lorsque des séquences illustrent des effondrements d’îles imaginaires trafiquées par le numérique comme démonstration de l’effet de serre, qui manipule la bêtise de l’auditeur et l’innocence de l’enfant, et qui finance cela ?
L’INGENU QUI ROULA termine fâché sa diatribe.
(a suivre)
Raoul l’ingénu est content. Comme Monsieur JOURDAIN faisait de la prose sans le savoir, imaginer la terre comme une toupie entraînée dans une oscillation au Nord est confirmé par les PARAMETRES de MILANKOVIC sur lesquels tous les scientifiques s’appuient. Evidemment, il ne s’agit pas de précession de trop longue durée, mais de nutation issue de l’attraction lune -soleil dont le cycle serait de 18,6 années. L’obliquité changeante de l’axe de la terre par rapport au soleil joue aussi dans la variation des saisons. On ne nie pas non plus l’influence des taches solaires sur le climat. On connaît mal la relation entre nord géographique et nord magnétique. Ils sont actuellement à 1.900 kilomètres de distance et se rapprochent de 40 Km par an. Beau sujet de réflexion ! Les besoins en énergie depuis la seconde partie du 19e siècle, début du machinisme, sont allées croissants : le charbon (fossile) en fut la première source. Notons quelques chiffres affolants : -en 1845 production mondiale : 170 millions de tonnes. -en 1913 : I.200 millions de tonnes -et actuellement : 3.800 millions de tonnes, dit-on.
Dans les décennies proches de 1960, la France extrayait un peu moins de 60 millions de tonnes de charbon par an. Les français furent donc « modestes » par rapport au monde et la production a décliné jusqu’à la fin du 20e siècle en achevant sa totale suppression.. Les besoins d’énergie persistant en France, en particulier dans les centrales thermiques et autres chaufferies, on importe du charbon pour les alimenter, souvent en Australie qui possède des gisements collinaires faciles à exploiter Le charbon est un minéral sale tant par ses difficultés d’extraction qu’à sa combustion. La présence de dioxyde de carbone n’est donc pas récente et imputable à la seule automobile, comme on le laisse croire. En abandonnant sa production en France c’était la fin des chaumières, des locomotives, des machines à vapeur et des usines lançant en toute innocence leurs fumées de Co2 vers le ciel, ce qui fut un progrès mal suivi dans le reste du monde qui continue à polluer inconsciemment où par facilité industrielle. . Les principaux producteurs et consommateurs de charbon sont :
- la Chine, les U.S.A., la Russie, l’Inde, L’Australie. De nombreux observateurs omettent la Russie parmi les pays pollueurs, c’est pourtant l’un des pires, leurs installations étant obsolètes. Cette mansuétude envers l’URSS discrédite la validité de leurs études. Les U.S.A. plus sérieux sont critiqués acerbement. Ainsi joue la désinformation orientée.Les centrales nucléaires, si propres lorsqu’on ne ferme pas la soupape de sûreté de ces cocotes minutes géantes (Tchernobyl), sont encore en nombre insuffisant. Les écologistes se trompent de cible
Changeons de sujet ! A ces chiffres on peut opposer la production globale de produits pétroliers dans le monde : -en 1973 : 2.860 millions de tonnes -en 2000 : 3.450 millions de tonnes Répondant au formidable développement de l’automobile et de l’aviation.
La valeur calorique du pétrole de 11.000 Kcal/Kg est meilleure que celle du charbon : 8.000 Kcal, et le pétrole émet des fumées moins sales.
On compte moins de 27 millions de voitures légères en France. Faisons une estimation : un retraité parcourt 10.000 Km par an Un actif 50.000 Un camionneur 250.000 Dans ce fourre-tout estimons que ces véhicules indifférenciés parcourent 100.000 Km/an, et que leur nombre soit 30 millions. A 60 Km/heure de moyenne, (embouteillages inclus) on passerait 1700 heures, soit 70 journées par an au volant. Beaucoup trouveront cette unité temps trop généreuse. Reste donc : 30.000.000 : 360 x 70 = 600.000 véhicules en roulage permanent.
Etudions maintenant la végétation forestière. Elle occupe 28% de la surface de la France, et les arbres erratiques portent ce pourcentage à 1/3 du territoire national, soit 80.000Km2. Chaque véhicule circulant dispose ainsi de 30 hectares de forêt pour absorber son Co2. C’est important, et qui peut prétendre que c’est insuffisant ? Et sur quelles bases ?
Changeons de sujet tout en restant dans le domaine des peurs ancestrales.
L’Ingénu est curieux. Dans le delta du Bas Rhône certains creusements anciens de canaux (les roubines) n’ont pu être effectués qu’au dessus du niveau de la mer. Elle était donc plus basse voilà un siècle de quelques décimètres. Et voilà une explication simpliste : la température s’élève, les glaciers fondent. On est menacés !
N’allez pas si vite
L’eau monte parce que la masse océanique occupe les 70% de la surface terrestre, soit 362 millions de Km2 et dit on 1,37 milliard de mètres cubes. Cette masse n’est pas inerte se dilate où se contracte. Actuellement elle se dilate d’environ 2 mm. par an, et dans un siècle si le cycle ne se renverse pas, ce que nous ignorons, elle aura monté encore de 10 à 20 cm.
Les grandes accumulations glaciaires sont aux pôles. L’ANTARCTIQUE est un continent émergé de 30 millions de Km2. L’épaisseur de glace est d’environ 2.000m. avec des pointes a 5.000m. Ce manteau n’a pas fondu depuis son origine, voilà 60 millions d’années même en périodes chaudes. En hiver, l’anneau auréolaire de glace s’étend a la vitesse de 75.000 Km2/jour. Cette auréole fond en été. Les températures toujours négatives ont atteint -89° lus à VOSTOK, la base russe, record de froid lu Prudence, lecteur, les pingouins se sont déplacés sur la banquise, et un énorme iceberg s’est cassé. Les medias diffusent des scoops qui deviennent évidences d’un prétendu réchauffement. L’ARCTIQUE du Groenland est aussi une île avec des sommets élevés et une calotte glaciaire de l’ordre de 1.000 m. d’épaisseur. Elle est plus vulnérable sur ses bords du fait de l’Alaska, mais ceci est sans conséquence pratique, les glaciers en fondant sur quelque période ne faisant que pour une fraction infinitésimale, varier le niveau marin dans lequel ils flottent. L’INGENU se rappelle avec émotion de ces mineurs de charbon du SPITSBERG (où SWALBALD) que le dernier bateau (dit de pommes de terre) rejoignait en Septembre avant d’être coupés du monde pendant le long hiver de la nuit polaire. Croyaient-ils à l’effet de serre ? La conclusion de cette recherche incite à l’humilité. La terre est bien vivante. Pendant toute sa genèse et même maintenant elle est soumise a de fortes décharges de carbone. Les volcans et les incendies sont les premiers pourvoyeurs. Elle a vécu et vivra des périodes chaudes, et de redoutables glaciations.
La planète bleue a permis la vie grâce au soleil et à l’eau. L’eau, froide, devient solide par manque de soleil sous forme de glace. Elle forme les pôles. L’eau, chaude, bout par excès de soleil, mais l’évaporation modère ce risque par effet de serre.
- Dites-moi, Saint Nicolas, quelle est la température de l’eau tiède dans nos pays tempérés ? « Elle dépend de la pureté de l’eau et de la température ambiante ! » - Merci, vous vous moquez ! - Et quelle est la plus grande pollution de la planète bleue ? « C’est l’Homme, mon frère. Il l’envahit, alors que je sais à peine comment en réduire le nombre »
Henri Brilet
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La France ayant une surface de 540.000 Km2, et la forêt en couvrant le tiers, le réceptacle à CO2 est donc 180.000 Km2 ( et non 80.000 comme écrit ). L’Ingénu pense que la distance séparant Claude Allègre le géoloque des chasseurs de p.p.m. est considérable. La planète bleue a subie des périodes glaciaires intenses qui ont chargé les pôles, mais où étaient-ils ? Ne reste à l’Ingénu qu’un aphorisme épicurien pour terminer cette défense ( sic ) : Dans le mammouth, comme dans le cochon, TOUT EST BON.
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Enfin un articloe très interessant, bravo l’Ingenu
On nous abreuve de politiquement correct et des mensonges "bla bla bla, !!
Bravo pour votre articole Aleksa
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LA VOUTE DE LA SERRE
Madame Michu tendit l’oreille. Une RUMEUR lui parvenait. En s’approchant, la rumeur s’amplifia, puis déboucha la fanfare. La RUMEUR était devenue la VERITE palpable. En tête, le CHEF METEO dirigeait ses musiciens de main de maître. Cette musique contemporaine ne plaisait pas du tout à Madame MICHU !
- Quel était donc ce compositeur célèbre, dont les artistes suivaient si bien les partitions ?
- Mais c’est le Professeur CLIMAT lui répondit-on. Il est bien connu a la télé !
- Et, comment s’appelle ce morceau ? demanda- t-elle
- Les FEES DE SERRE, lui expliqua t’on. Non, elle ne connaissait pas ces fées là. Alors elle leva les yeux vers le Ciel bleu où l’attendait son défunt mari, et poussa un cri : Un voile..... Un suaire..... Une serre.... lui cachait le soleil, crut-elle. Elle courut chez L’INGÉNU qui resta bouche bée, puis expliqua comme il le put.L’EFFET DE SERRE est bien connu sur l’Equateur thermique La température est si lourde que l’eau s’évapore, et forme une épaisse couverture nuageuse qui masque complètement le soleil pendant presque toute l’année. Sans cet équilibre naturel l’Homme ne tiendrait pas. Les explorateurs portaient de lourds casques en liège et cette protection perdura pendant plusieurs générations. Ce soleil, qu’on ne voit presque jamais, chauffe pourtant fortement la tête. Les infrarouges et les U.V. seuls arrivent jusqu’au au sol et sont brûlants. Sous nos climats tempérés, cet effet de serre la, n’existe pas, le soleil étant plus doux.
Cherchons donc une autre cause en allant voir ce qui se passe ! La troposphère s’étale entre 8 et 15 Km. Elle commence au niveau de l’Everest. La stratosphère se situe entre 15 et 80 Km. Elle est plus froide. La mésosphère est entre 80 et 90 Km. La température est entre -80 et -100°. La thermosphère chaude va de 90 à 1.300 Km . C’est le vide spatial des astronautes. L’exosphère a une température allant de + 300 a + 1.600°. C’est sans importance, cette chaleur ne se transmettant pas, faute d’atmosphère. Sans filtrage des rayons solaires comme a cette altitude, l’homme ne pourrait exister.
Où se situerait donc la voûte de la serre ?
Les cumulus nuageux montant quelquefois a 18.000 mètres, et le Co2 passant à l’état solide à - 78,5°, ce serait donc dans la stratosphère que se placerait la clé de voûte ? Petite surprise : le CO2 est un fluide très, très anodin pour l’effet de serre, et sa densité l’empêche de monter si haut. Si on lui applique une valeur 1, le fluide CFC a un indice de 1.300. Voilà l’ennemi.
Examinons les CFC. C’est un fluide a l’état liquide qu’on fait monter à l’état gazeux pour produire du froid, où du chaud. Les pompes a chaleur thermiques où électriques font passer un liquide a sa détente gazeuse, soit en le chauffant, soit en le compressant. A contrario, en arrivant dans les zones bien froides de la stratosphère les CFC se liquéfieraient nécessairement. Ils ne montent pas si haut. Ces gaz s’ils arrivaient a une telle altitude sous forme imprécise seraient ensuite repris par les vents stratosphériques qui les emporteraient on ne sait où.
J’ai presque compris, s’écria Madame Michu. Evelyne nous montre cela tous les jours à la télé. Les nuages avec ces gaz arrivent de l’Atlantique donc de l’Amérique, de la gauche vers la droite de l’écran, et ils sont chauds. Quand ils arrivent de Russie du haut de l’écran vers le bas, ils sont froids.
L’INGENU parut défait par cette explication politique pleine de bon sens. L’Effet de serre perturbateur du climat avec ses pollutions gazeuses n’existe pas. Tous ces vents au sol et en altitude le dispersent dans l’espace.
Ce mélange batifole d’abord dans les forêts où il perd son CO2 et reprend de l’oxygène. S’il reste du CO2 excédentaire ( ?) il erre sous l’effet de la moindre brise et des ascendances comme les parapentes, puisqu’il est beaucoup plus léger qu’un papillon. Les précipitations pluvieuses peuvent le rabattre en milieu aquatique. Seuls, en l’absence momentanée de vent, les gaz plus lourds que l’air stagnent un instant dans les grandes villes, au grand dommage de la respiration des citadins asthmatiques.
Quel dogme a fait classer le CO2 et imaginer le concentrer en altitude pour constituer un diaphragme laissant passer la chaleur du soleil et l’emprisonnant ensuite pour augmenter la température au sol ? Fantasme d’intellectuels repris par des medias en chasse aux scoops ? En tout état de cause l’explication virtuelle plait aux foules, affligées par leurs peurs ancestrales.
Ouvrons une parenthèse. Les guerres sont a la source du grand développement des techniques. La climatologie est l’un des fruits de la seconde guerre mondiale. En 1958 on effectua les premières mesures suivies de concentration du gaz carbonique dans l’atmosphère propre. C’était à HAWAI, lieu non pollué, idyllique, à 4.200m d’altitude, mais en pleine zone sismique et volcanique très actives. C’est de là que les scientifiques lancèrent la certitude de la responsabilité de l’homme dans le dégagement du CO2 et ses conséquences climatiques. C’était dans les années 1970 et la RUMEUR était lancée. La base scientifique était bien contestable. Depuis, le laboratoire s’est déplacé en IRLANDE. C’est plus prudent, et encore !
Madame Michu n’était qu’à moitié satisfaite. Si elle allait pouvoir franchir sans encombre la membrane mythique de l’Effet de serre pour retrouver son défunt mari, elle souffrait de la chaleur ambiante. On n’avait jamais connu cela ! Et tous les vieux qui étaient morts pendant la canicule de 2003 ? C’est bien une réalité, et a notre âge... !
Qui vous fait croire, ma bonne dame, que c’est du jamais vu ?
En 1741, le physicien suédois Anders CELSIUS invente le thermomètre premier instrument à lecture précise. En 1815, le chimiste GAY-LUSSAC explique le paramètre du thermomètre mouillé. En 1824 le mathématicien Joseph FOURNIER découvre l’Effet de serre nuageux.
Le temps de vulgariser ce matériel de précision et nous voilà à la fin du 19e siècle.
Rappelez-vous d’une étude où L’INGÉNU citait la presse d’antan :
" Les savants n’ont pu jusqu’à ce jour se mettre d’accord sur la question de savoir, si oui où non les climats d’Europe se refroidissent progressivement. D’ailleurs, la science météorologique n’existe vraiment que depuis un siècle, de telle sorte que les renseignements font défaut sur les périodes antérieures qu’il importerait de connaître pour trancher la question. On peut toutefois affirmer que depuis 4 ans un refroidissement général a lieu sur l’Europe Occidentale. La température moyenne de 1880 à 1886 a dépassé 14° tandis que de 1886 a 1890 elle n’a jamais atteint ce chiffre. "
Savez-vous comment on qualifia la période allant de 1600 à 2000 : « Le PETIT AGE GLACIAIRE. » La période de « réchauffement » actuelle vous fait économiser du charbon. Vous devriez en être ravis.
La recherche des climats dans des périodes antérieures au 19e siècle est du domaine approximatif des PALEOCLIMATOLOGUES. Ils ont peu de sources d’étude. Les cernes des arbres anciens où fossiles comme les chênes où les hêtres, les blocs de moraines, les fossiles de la faune où des végétaux, la littérature, etc.....
Exemple : Une mission de forage dans l’Arctique a fait pendant l’été 2004 une observation étonnante : la découverte dans les carottes de glace de plantes et de microfossiles, montrant un climat subtropical vieux de 55 millions d’années ; le carbone était 10 fois plus important qu’aujourd’hui. En tournant la tête ces chercheurs auraient pu voir les mines de charbon du SPITZBERG. C’est au Nord du cercle polaire et pourtant, le charbon est issu des bois et fougères enserrées à l’abri de l’air. Comment une telle végétation a-t-elle pu se développer sinon en période TRES chaude ?
Depuis l’Antiquité romaine, plus chaude que l’actuelle, les périodes glaciales le disputèrent aux périodes chaudes et très chaudes. On peut compter environ 13 périodes chaudes et 21 périodes froides. 34 lourdes variations climatiques en 2.500 ans.
Nous ne pesons pas lourd avec quelques années seulement de recul.
Qui plus est, l’histogramme de METEO FRANCE montre de 1950 a 1988 des températures moyennes de 11,5° et de 12,5° pour la période 1989 à 2005. Où diable est donc GLOBALEMENT le réchauffement climatique ?
Nous allons maintenant suivre un peu Paul Emile Victor dans ses expéditions polaires qu’il poursuivit jusqu’en 1975. N’allons qu’au GROENLAND (la Terre Verte) .L’INLANDSIS (en Danois) signifie glaces de l’intérieur. C’est un plateau de 2.700 Km de long et 1.700 Km de large. Son altitude atteint plus de 3.000 mètres et l’épaisseur de glace 3.100 mètres ! Evidemment, cette Ile est entourée d’une auréole de transition, le PACK GLACIAIRE qui débouche sur la BANQUISE large souvent de 750 Km. Les explorateurs préfèrent l’hiver pour circuler, les neiges fraîches nivelant les irrégularités de surface de la glace. Les marins, pêcheurs et chasseurs préfèrent l’été où la banquise est morcelée. Le risque est grand, les vents violents provoquant des changements de temps très rapides, et des déplacements où fonte des icebergs. Les navigateurs n’en mènent pas large et sont toujours prêts à fuir. Les interprétations météorologiques subissent les mêmes variations de résultats selon les lieux où on les lit. On peut donc tirer n’ importe quelle conclusion.
Alors, Madame Michu, heureuse ?
Vous avez un compte dans une bonne banque, un réfrigérateur et un congélateur qui vous permettent de moduler la température de vos esquimaux ; les terriens des pays chauds et ceux des pays froids vous envient d’être au tiède et vous avez l’assurance de retrouver votre mari Joseph sans obstacle, le plus tard possible, n’est-ce pas ? Que faut-il faire de plus pour vous tranquilliser ?
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Science sans conscience n’est que ruine de l’âme/ (RABELAIS, voilà 5 siècles.)
Lettre ouverte d’un contempteur de l’Effet de Serre à un scientifique.
Votre profession de climatologue est fort honorable, et certainement consécutive a de très bonnes études, mais a notre époque surmédiatisée, si un clochard de Belfort peut-être autant pinardisé que frigorifié succombe, toute la France est informée et pleure ; Il convient donc d’être prudents dans toute argumentation saisissable par les medias. Après la canicule de 2003, vos connaissances sont particulièrement exposées.
-A France Météo, Evelyne (la plus pulpeuse, que j’apprécie visuellement) fait de doctes prévisions a quelques jours. Si elle se trompe on rectifie le lendemain. Ce n’est pas grave, on avait déjà oublié. Mais dans l’ensemble, c’est bon. -Les paléoclimatologues prennent un peu plus de risque. Découvrir le climat d’une époque passée a partir d’un tableau de Bruegel l’ancien, où d’un tronc d’arbre, c’est fort. Cependant, nous avons depuis Gutenberg un tel capital littéraire que l’on peut séparer dans l’histoire les périodes froides excessives, des périodes chaudes tout aussi excessives, et l’on y constate que la nature fut toujours pleine d’excès. C’est ce qui fait son charme. -Prévoir le futur fait prendre de plus gros risques, comme la roulette russe, et vous ne manquez pas d’assurance : l’Effet de serre est celui qui est le plus hallucinant -Dans l’Histoire grecque, la Pythie planquée dans sa microfaille à Delphes était l’Oracle. On se pressait devant ce petit oued où elle se cachait et on écoutait religieusement ses prévisions. Elle jouait de son anormalité un peu folle. Qui ne rêve d’être reconnu ainsi ? Mais c’est difficile. Le Python (mâle de la Pythie) qui a sorti un article canon dans un grand hebdomadaire passe les bornes et je vous serai reconnaissant de lui en faire compliment. Qu’après moins de 10 ans seulement où la température a augmenté globalement de UN degré Celsius, donc sans aucun recul, on décrète que la planète est menacée est audacieux ! C’est fou ! Les neiges du Kilimandjaro et des glaciers andins disparaîtront. Les ours du pôle Nord et les pingouins du pôle sud sont condamnés, les glaciers des pôles qui ont 60 millions d’années et des milliers de mètres d’épaisseur en fondant vont noyer les terres habitées... Arrêtez, Arrêtez ! Les français si souvent ignares par défaut d’enseignement intelligent vont vous croire au mot et brûler leur saleté de bagnole qui crache son CO2. (On sait faire). Enfin, on va respirer l’air pur du bon millier de volcans actifs qui ne polluent pas la planète parce qu’ils émettent du gaz carbonique et de l’anhydride sulfureux NATURELS et SAINS. Pourtant, dans l’histoire de la terre, ces volcans ont aussi tiré le climat vers le FROID qui a tant et tant frigorifié l’espèce humaine. La terre ne pourrait plus réagir dites-vous ! Elle chauffe irrémédiablement dans une serre enveloppante créée par l’Homme coupable et la situation ne peut que s’aggraver ! Quelle prétention, mais n’est-ce pas l’aube d’une nouvelle religion ?
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LE CLIMAT DEPUIS HENRI IV (Où l’Effet de Serre répétitif)
L’INGENU se penche sur une banque de données historique issue d’un dossier généalogique. Il est étonné de la masse d’informations trouvées sur le CLIMAT des temps passés qui en ressort et trouve intéressant de l’expliquer. A notre époque où l’on se plaint d’un climat trop clément et où l’on s’invente une responsabilité humaine par un EFFET de SERRE affirmé, le confort moderne est devenu une nouvelle source de culpabilisation qui serait provoquée, dit-on, depuis peu, par notre surconsommation excessive des sources d’énergies surtout fossiles : le charbon et le pétrole.
Cette récapitulation donnée depuis le 17e siècle, soit 400 ans, montre les importantes variations du climat constatées dans les régions du Nord, Centre, Est et Ouest proches de PARIS, où résidaient sans doute un plus grand nombre de lettrés.
A ces époques, CELSIUS n’avait pas encore inventé (1741) et vulgarisé cet instrument de mesure infaillible : le thermomètre. Les Hommes qui subissaient le CLIMAT jugé rude, en étaient mal protégés. Ils ne connaissaient que le brûlage du bois de chauffe, pauvre en CO2, dans leurs chaumières où leurs vastes cheminées de châteaux aux salles transies de froid ; c’est donc le constat du CLIMAT NORMAL de ces temps passés, marqués en plus par de lourdes périodes de famines et d’épidémies, qui est soumis à votre réflexion
En rapprochant les années d’étés CANICULAIRES citées, suivis d’hivers GLACIAIRES, on se rend compte des importantes variations de climat subies dan nos régions tempérées, entre périodes EXCESSIVES chaudes où froides, complétées d’inondations souvent répétitives. Nature et Climat n’étaient guère charitables et les gens souffraient selon notre appréciation moderne, mais comme c’était leur milieu de vie ordinaire, ils n’avaient aucune raison de se plaindre. Puisqu’ils ont jugé utile de consigner leurs observations physiques d’anomalies de tous ordres, ON PEUT LES CROIRE.
Commençons par citer les années excessives qui sont souvent groupées en rafales encadrant une période de plusieurs années consécutives.
ETE CANICULAIRE (terme employé)
- Au 17e siècle :1628-1636-1637-1645-1652-1653-1654-1684-1685-1691-1692-1693-1694
- Au 18* siècle : 1707-1717-1718-1723-1726-1729-1731-1736-1741-1742-1743-1751- 1757-1759-1760-1761-1762-1764-1765-1766-1773- 1778-1779-1783-1784-1785-1788-1790-1793-1795-1798-1799-
- Au 19* siècle : 1803-1805-1811-1822-1825-1826-1835-1842-1848-1857-1858-1864- 1874-1876-1881-1892-1893-1895-1899- -Au 20* siècle : 1900-1904-1906-1921-1924-1928-1932-1933-1945-1947-1949-1950- 1952-1959-1962-1971-1976-1983-1990-HIVER GLACIAL (terme employé)
- Au 17e siècle : 1628-1638-1639-1640-1655-1657-1659-1662-1669-1676-1692-1693 1694-1698-
- Au 18* siècle : 1710-1713-1715-1716-1717-1728-1739-1741-1775-1783-1788-1794-
- Au 19* siècle :1819-1822-1829-1837-1840-1844-1870-1879-1890-1892-1894-
- Au 20* siècle : 1916-1917-1928-1938-1939-1941-1944-1946-1956-1962-1970-1978
- 1984-1985-1987-1991-GELS des VIGNES et INTEMPERIES
1629-1630-1639-1640-1642-1687-1691-1692-1695-1697-1698-1702-1703-1704-1705-1706-1708-1709-1710-1713-1717-1719-1897-
INONDATIONS :
-1683(Nord)-1689(Seine et Loire)-1693(centre)-1697(nord)-1698(Seine et Loire)-1707(Seine et Loire)-1711+ 1712(partout)-1713(Seine,Loire,Nord)-1740’Seine et Marne)-1764(Seine,Marne)-1770(Loing)-1801+1802(Ile de France)-1820(Melun)-1830(Seine et Marne)-1876(Paris)-1910(Paris)-1955(Seine)-1999(tempête)
FAMINES :
1521(Ile de France)-1529(céréales hors de prix)-1565+1582(disette royaume France) 1586(Ile de France,Normandie,Val de Loire,Lyonnais)-1621-1628(famine et épidémie) 1709-1710(famine hiver rigoureux)-1725(Normandie)-1726-1729(Touraine)-1740(Atlantique)-1747(générale)-1750-1752-1770-1775-1782-1785-1788.
EPIDEMIES :
Peste et peste noire en : 1 500-1531-1544-1562-1563-1564-1571-1580-1582-1600-1636-1644-1651-1664(Londres)-1679(Vienne et Prague)1720-1721- Typhus : 1628(Lyon et Limoges) Dysenterie : 1719(Val de Loire)-1779(Nord) Pneumonie infectieuse : 1781(Ouest) Variole grippe typhoïde : 1772 Cholera : 1832+1853(Paris) Grippe espagnole : 1918
Nota : L’invention de l’eau de javel en 1791 semble avoir jugulé les grandes épidémies.
L’INGENU a exposé des chiffres lus tel quel. On peut cependant différencier les périodes de RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Nous prenons pour cela au moins 4 lectures consécutives d’ÉTÉS CANICULAIRES. Voici le résultat :
- période 1645-1655 soit 10 ans se termine par 4 hivers glaciaires
- période 1719-1736 soit 17 ans se termine par les crues de la Seine et de la Marne
- période 1741-1764 soit 23 ans se termine par les crues de la Seine et de la Marne
- période 1783-1811 soit 28 ans se termine par des crues à Melun
- période 1822-1829 soit 7 ans se termine par les crues de la Seine
- période 1835-1876 soit 41ans se termine par les inondations de Paris en 1876
- période 1895-1906 soit 11 ans intercaler les inondations de 1910 à PARIS.
- période 1921-1933 soit 12 ans se termine par 4 hivers glaciaires
- période 1947-1952 soit 8 ans se termine par une crue de la SeineQue s’est-il passé avant, dans les périodes antérieures et au Moyen Age ? La mémoire en est-elle perdue ?
Qu’en est-il des cycles de réchauffement climatique actuels après ces périodes reconnues ?
Selon les données moyennes données par METEO France, une nouvelle période chaude s’est ouverte en 1998 et perdure. Nous sommes dans les temps !
Quelle surprise ! On attribuait jusqu’à ce jour le réchauffement climatique à ce fameux EFFET DE SERRE provoqué par les Hommes modernes et connaissez vous le DIAFOIRUS de la climatique qui a lancé cette hypothèse mythique avec un si franc succès ? Ses disciples attaquent tous azimuts pour nous effrayer. Rappelez vous ! Toute une grande nation hypnotisée par un seul gourou, c’était facile et ce fut le début de la seconde guerre mondiale. Sans aller jusque la, c’est le risque de la pensée unique et nous y courons toutes voiles dehors dans la chasse au dioxyde de carbone. La voila bien cette pensée unique cultivée par des médias sous influence des pseudo scientifiques et relayée maintenant par certains hommes politiques
Evidemment, par les moyens d’information télévisée actuels, on souffre pendant les inondations de JAKARTA où de NEW ORLEANS, on s’inquiète de la fonte des neiges au KILIMANDJARO, on pleure sur la noyade des GRIZZLYS du GROENLAND et EL NINO peut exploser pendant que le GULF STREAM risque l’asphyxie. Les Français sont dans l’angoisse. Beaucoup, à la lecture d’abaques savants où ils croient savoir trouver une explication a leur malheur fictif, prennent fait et cause pour l’Effet de serre. Non, amis lecteurs, l’oasis de LILLE ne verra pas pousser les palmiers et les chameaux ne seront pas les futures bêtes de SOMME. Le climat s’assagira avant, avec ses froids et chauds qui se compensent, comme d’habitude.
Examinez avec un esprit critique les prévisions météorologiques sur la télévision : la France toute seule est déjà un patchwork en 3D : latitude, longitude et altitude. Lorsque des centaines de chercheurs viennent en congrès à PARIS, chacun d’eux est une petite pièce de l’immense puzzle disparate du monde, et expose ses problèmes particuliers differents en espérant ainsi assurer son avenir et obtenir des subventions pour lui et son pays dans une organisation internationale. Le monde moderne fonctionne comme cela !
L’INGENU ne conclut pas sur les risques d’inondations qui terminent généralement les périodes caniculaires. Il ne fait pas partie des divinatoires et des cassandres ; comme nos ancêtres, il est prêt à supporter le climat qui passe avec ses calmes et ses excès.
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Bonjour,
Ayant moi-même commit un article intitulé « de la pomme (d’Adam) au CO2 », je suis ravis de constater n’être pas le seul à pouvoir avancer de tels points de vue. Professionnel dans l’environnement, je « souffre » au quotidien du développement de cette pensée unique, quant à l’époque mon éditeur avait joyeusement censuré cet article.
Sur le sujet mon opinion est que, sans préjugé de la bonne foi des acteurs de l’environnement, ceux-ci s’empressent majoritairement de se rattacher à la mono question climatique, une fois observé que le grand public semble y adhérer ou plutôt s’y enchaîner (comme une nouvelle occasion de discrimination négative).
Ce faisant, mes « paires » font le parie de l’efficacité de la communication d’urgence : « si nous avons une prise ici, et Dieu sait que c’est difficile, autant ne plus lâcher et en profiter ». Alors plus besoin de campagnes de communication onéreuses et inefficaces quand un simple coup de vent, une hausse du thermomètre en octobre et toutes les autres formes de « communications » naturelles viennent avantageusement s’y substituer.
Sur la polémique, on pourra certes reprocher à Allègre son technocentrisme, mais ce dernier est bien l’un des rare à préserver dans l’espace public un minimum de la complexité de la question environnementale. Car à mon sens le danger de cette « communication d’urgence » est triple :
- d’une part la question climatique, occupant tout le terrain, vient masquer toutes les autres, au premier rang desquelles se trouvent la gestion de la ressource en eau et la préservation de la biodiversité.
- d’autre part le réductionnisme, voir le simplisme qu’elle met en avant n’invite aucunement son auditoire à une approche nouvelle du monde vivant, n’aboutissant au final qu’à la promulgation de comportements jugés aujourd’hui « moralement juste », mais tout aussi mécaniques que les précédents.
- enfin, en ce qu’elle ne laisse à voir qu’une écologie « négative » construite sur la base de « ne faite pas ci » « il faut moins de ». Or une écologie positive et créative est possible, cependant qu’elle requière un véritable changement de point de vue dans nos relations au monde, ainsi qu’une réflexion globale conséquente. Ce à quoi il sera sans doute répondu que le temps presse, ce à quoi nous répondrons que le matériel existe (http://utime.unblog.fr) à condition de lui faire un peu de place dans les débats.
Alors si devant les certitudes des uns, les chiffres des autres, il est bien difficile de prendre des positions claires, tout du moins autres que théologique (c’est bien, c’est mal) et comme il est bien laborieux d’avoir une vue d’ensemble (croyant régler ceci, je déséquilibre cela), nous pourrions néanmoins nous attarder sur des points de méthodes tels que : « la bêtise est de conclure. » G. Flaubert. Mais surtout, surtout, devant le développement de l’expression mass-médiatique d’un point de vue « standardisé » sur la question écologique, n’oublions pas de voir que celui-ci se fabrique à partir d’une pensée qui ne fait plus que dupliquer un réel déjà préconstitué, et duquel « nous » ne reconnaissons plus que les effets de ce que nous y avons déjà mis nous-mêmes !
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Pourquoi n’aurait-on pas le droit d’exprimer des idées qui en sont pas encore admisent par tout le monde et pourquoi derait-on dire amen à ce que répète la majorité ?
Exemple :
Tout le monde pense que si la planète se réchauffe c’est à cause des émissions de co2... Il serait plus juste de dire à cause de l’effet de serre car l’échauffement a d’autres facteurs. Si on dit que c’est le co2 qui modifie le climat cela arrange les pronucléaires... Il ne faut pas oublier non plus que toute énergie finit en chaleur qui chauffe l’atmosphère. Par contre on oublie d’apporter l’attention sur l’activité humaine qui modifie le cycle de l’eau . Le déficit de recharge et la surexploitation des réserves souterraines ont pour résultat de chauffer les sols et de réduire la croissance végétale. La décroissance végétale , en s’ajoutant au déboisement , est une cause de la croissance du CO2 par nonrecyclage. L’échauffement des sols chauffe l’air de l’atmosphère et s’ajoute à l’échauffement de l’effet de serre. Lorsqu’on admettra sans chercher à le minimiser ce phénomène de nonrecyclage du co2 et de suréchauffement de l’atmosphère par asséchement direct des sols par des activités humaines indépendantes des émissions de co2 , on pourra mettre en place la gestion globale de l’eau pour réhydrater la planète et afin de réduire le co2 et redonner un climat plus tempéré par le dévéloppement de la végétation. vidéo : http://www.dailymotion.com/jeandb/video/x15f8f_reportage-biefs-du-pilat site : http://perso.wanadoo.fr/biefs.dupilat
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Pointu votre article ! L’INGENU reste toujours admiratif devant des explications emphatiques. De braves gens se sentent coupables par exemple du risque de manque d’eau et veulent souffrir à l’unisson des malheureux. Le Rhone débite 6.000 m3 seconde à l’étiage et 11.000 en crue et le Niger autant. Le Congo débite 75.000 m3 seconde.Au tropique le lac Tchad s’ asseche, mais quand il pleut,les orages sont spectaculaires. .Nous sommes dans un cycle chaud sans aucun doute, mais la corrélation avec le dioxyde de carbone n’a jamais été démontrée sauf l’expression nébuleuse d’effet de serre. Au prochain cycle glaciaire qui ne peut manquer on va encore trouver des explications ambigues. Cela fait peut-être partie du charme de la recherche hypothétique, mais cela nous fait perdre le bénéfice des rares bons instants qui passent.
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Claude Allègre, futur ministre de la recherche chez Sarkozy ?
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J’ai lu le livre de Claude Allègre et je trouve ses remarques bien fondées. J’ai appris beaucoup de chose grâce à ce bouquin.
Il ne faut pas avoir l’esprit obtu et toujours avoir un autre point de vue. Celui de Claude Allègre a le mérite d’être à la portée de tous et nous rapelle des vérités premières sans tomber dans des débats trop pauvres.
En effet il faut tenir compte de la complexité de la planète pour fournir des informations cohérentes, et celles de Mrs Gore et Hulot paraissent plus médiatiques qu’utiles.
Mais jouer sur la Peur est une stratégie payante pour le business, malheureusement on perd vite de vue les réels problèmes posés par l’évolution de la planète.
Pour cela Mr Alègre propose des solutions concrètes, argumente avec des références précises, et établit un constat équilibré, en admettant les parts d’incertitude sur certains points.
C’est une lecture que je conseille vivement pour avoir un point de vue + élaboré que certains messages laissés ici.
P.S Pour l’amiante de Jussieu ça a couté 1,4 Milliards d’euros. Le matériau de remplacement de l’amiante étant aussi toxique, et le risque de toxicité était mesuré avant les travaux et évalué a 100 fois moins la dose au-dessus de laquelle l’amiante était toxique.. De plus les cas de contaminations concernent les ouvriers qui ont été en contact direct ave l’amiante brut lors de la construction il y a des dizaines d’années. Cette panique de l’amiante est venue des USA et a généré des gâchis financiers considérables..
Il faut donc faire très attention à ce que dise les médias, et aux rivalités dans le milieu de la science.. Certains scientifiques sont je pense aigris de travailler à des fins au combien utiles pour le développement et le progrès sur la planète, sans être forcément reconnu, ou en ne bénéficiant pas de l’écho médiatique et financier espéré...
A l’avenir je pense qu’il faudrait revaloriser la Recherche et le Développement pour enfin avoir des esprits saints et solidaires, sans rivalités malsaines qui mènent à des lutte d’influence inutiles et qui font perdre un temps précieux pour trouver des solutions à la préservation de l’environnement.
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Voyageant régulièrement autour de notre planète, suivant des cours de paléontologie et climatologie, Je m’aperçois que la vérité dérange toujours les français.
Effectivemment, Mr ALLEGRE confirme tout ce qui à de plus normal.
l’homme à un impact de petit volume sur les mouvements climatiques.
De ce fait, pour éviter que nous continuons à accélerer nos dégats, les gouvernements ont instauré des bases de réflexions pour limiter les problèmes.
Car sans celà nous allons développer notre propre destruction. c’est un peu comme le proverbe, qui vole un oeuf vole un boeuf. le probleme ce n’est pas l’objet mais l’intention.
En france nous parlons beaucoup, c’est génial, agir c’est formidable.
Mr Allègre n’est pas fou, c’est tout simplement quelqu’un qui réfléchi................
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« (...) des personnes insupportables comme le sont tous les ministres disgraciés et toutes les majestés déchues. Incommodes par leurs prétentions fanées, ces flatteurs du passé savent tout, médisent de tout (...) » (Balzac, « L’interdiction »)
Le bouffi consternant [Claude Allègre]
http://antennerelais.canalblog.com/archives/2007/05/28/5104602.html
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Bravo l’Ingenu,enfin les commentaires raisonnables, Cordialement Aleksandra
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Je ne comprend toujours pas comment peut-on mettre sur un pied d’égalité les déclarations d’un géophysicien « people », bon orateur, avec le travail de climatologues réputés.
Son travail à C.A. consiste à glaner les avis des uns et des autres, de peser le pour et le contre et de se faire une opinion sur le sujet. Cette démarche n’est en rien scientifique. C’est celle d’un people qui cherche à se faire remarquer.
Et puis parler de religion, de pensée unique effet-de-serriste, j’ai beaucoup de mal à y croire. Exemple, lorsque Channel 4 a diffusé la fameuse émission de l’arnaque du réchauffement climatique, document présentant des preuves qui ont été par la suite reconnue comme étant falsifiées, interview détournés, la chaine a reçu un certain nombre de reations par courriel et téléphone. Et bien, le rapport des félicitation contre les protestations étaient de 6 contre 1.
C’est marrant de parler de pensée unique, de dogme ou de diktat lorsque seulement 1/7eme de la population partage cette opinion.
Le simplisme dans cette affaire est de croire que les scientifiques ne cherchent pas d’autre causes que l’homme.
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Si la plus grande partie de la chaleur provient du coeur de la terre, elle est un élément parmis d’autre. Et il ne faut pas sous-estimer l’influence du soleil. Ce n’est pas à cause du noyau planetaire qu’il y a de tels écarts de température entre le pole et l’equateur, et qu’il y a des saisons sur terre. Surtout que la distance entre la surface et le noyau est plus petite au pole qu’à l’équateur.
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Bonjour, Réveillez vous ! En effet, votre article est digne de l’obscurantisme que vous décriez ! Courageux ! C’est le mot, Mr Allègre l’est tellement qu’il ose donner des informations sans véritable source scientifique, d’ailleurs il n’est pas un spécialiste sur le sujet. Ho oui qu’il est courageux de dire qu’il ne faut rien faire aujourd’hui car Mr le ministre doute ? C’est étrange mais la notion de « pensé unique » est souvent utilisé par les conservateurs. Donc ne changer rien ! Polluer, consommer, et ne culpabiliser pas ! Vous le dites si bien qu’on pourrait ne pas comprendre que vous dites des aberrations ! Et cela pour une seule raison que vous avez vous-même décrit : « La peur », oui, vous avez peur, car le monde tel que vous l’avez connu va changer, votre monde s’effrite ! Il est plus simple de croire les hypothèses hasardeuses de Mr Allègre car elle vous rassure, alors mener votre vie comme vous le voulez car rien ne va changer ! Anthony
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Awatcha : CQFD... Vous illustrez parfaitement l’intégrisme quasi religieux dont il est question dans l’article. En plus, vous ne savez pas lire... Il n’est pas question de polluer plus etc. Mais de réflexion sur le fait qu’il n’est plus possible aujourd’hui de penser autrement et d’exposer un avis contraire. Au Moyen-Age on brûlait sur les bûchers ceux qui ne croyaient pas en dieu. Cette fois, ce sera ceux qui ne sont pas d’accord et le disent. Allègre a le droit de s’exprimer ; à ma connaissance, il n’est pas un nazi et ses idées ont le droit d’être débattues. C’est tout. Ce qui est inquiétant et que je dénonce c’est la disparition du débat contradictoire. Ah, j’oubliais, en principe, je ne réponds qu’aux contributeurs qui ont le courage d’exprimer des opinions aussi violentes à visage découvert et non sous pseudo... Trop facile de s’exprimer sans laisser de trace... En ce qui me concerne, j’ai choisi d’assumer mes opinions sous ma véritable identité. Il y aurait un article à écrire sur ce sujet tiens !
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J’ai beaucoup apprecier emission de Mr Allegre à la télévision,c’était passionant,
avoir son opinion sur le rechauffement de la terre,envers et contre tout le monde,c’est formidable, et il a raison,
Quand au promenades "geostrategiques de l’article au quel je repond,je trouve cela très ludique,
les poles se promenent,quelle merveuilleuse situation,cordialement Aleksa
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En réfléchissant sur la Comète Haley je me suis posée la question suivante : « pourquoi les scientifiques qui ont envoyé la sonde afin de photographier la comète, le projet dont on a tant parlé, non plus rien communiqué sur les résultats de cette opération ? »
Cette sonde qui fut repoussée par la comète si fort, que cela a provoqué des dégâts sur ladite sonde.
A partir de ce moment là, on n’a plus rien appris sur cette expédition, après tant de tapage et de bruit, un silence total.
Il m’est venu à l’idée que les comètes pouvaient être elles- mêmes de petits vaisseaux de surveillance de la galaxie.
Voyager sur certaines orbites qui sont comme des routes de l’univers, routes sur lesquelles la circulation à une grande vitesse est possible et sans danger important.
Il faut simplement connaître ces routes universelles démagnétisées.
« Ces routes se trouvent probablement dans les espaces situés sur les endroits où les forces des corps célestes s’annulent sous l’effet d’attractions inverses, où tout se passe comme si les corps y voyageant seraient attirés nulle part. » (idée émise suite à un rêve de Kepler)
Le départ d’une telle route doit se trouver probablement sur chaque planète et le départ de ces endroits doit être très facile et ne demander que peu de force de propulsion.
Tout le contraire des actuels lancements de fusées, qui sont basés uniquement sur les forces de propulsion pure et non sur la recherche des lieux de départs, de façon que nos fusées demandent beaucoup de carburant pour pouvoir se projeter à travers les forces magnétiques contraires.
Si on peut dire ainsi « prendre à travers les champs, au lieu de prendre la route directement. »
Il faut donc rechercher le point de départ d’une telle route sur notre planète et faire partir nos engins sur les endroits où l’arrivée sur ces routes est plus facile.
Ces idées me sont venues après les réflexions sur la comète Halley, car la théorie des savants qui disent (supposent) que la comète Halley, comme toutes les autres comètes est composée d’un aggloméra de matières glacées d’assez petites dimensions, qui à chaque passage devant le soleil « dégaze », soit fait fondre les glaces qui la composent et qui forment derrière elle cette fameuse « queue » de comète.
Or, cette chose me parait irréelle, car depuis tant de milliers d’années que passe la comète Halley devant (simplement) notre soleil, elle ne devrait même plus exister à force de fondre et de dégazer.
Il m’est donc apparu évident lors du violent rejet par la comète de la sonde photographique envoyée à sa rencontre, qu’en fait la Comète avait autour d’elle un magnétisme de protection auquel a dû se heurter
la sonde photographique et qui de ce fait, fut déviée de sa trajectoire par cette zone de protection, si fort d’ailleurs qu’elle en fût endommagée.
La sonde photographique a d’ailleurs été assez près de la Comète pour apercevoir que la Comète était entourée d’un « halo » de lumière bleutée.
Mais peut être, les scientifiques, sans rien nous dire, se sont aperçus que cette lueur bleutée autour de la Comète n’est en fait qu’un « bouclier » antigravitation protégeant la comète de tout impact au cours de son parcours, lui permettant sa grande vitesse sans risquer d’être percutée par un engin quelconque.
C’est probablement guidé par cette découverte, qu’ils essayent aujourd’hui de créer un tel bouclier antigravitation pour nos futurs voyages spatiaux. (voir Sciences et Avenir aout O6)
En somme, ont-ils découvert sans nous le dire, que la Comète Haley est un Vaisseau Spatial de surveillance Galactique ? et sa fameuse queue rien d’autre que les rejets de son combustible brûlé ?
Nous n’avons eu aucune explication à ce sujet de la part des institutions qui ont envoyé toutes ces sondes pour photographier la Comète Haley soi-disant pour savoir ce qu’EST en fait une Comète.
Après tout ce tapage un silence total !
Ont-ils peur de nous dire la vérité sur La Comète ?
Mon idée est peut-être bonne. En tous cas elle n’est pas plus mauvaise que les idées des autres scientifiques, car il est un dogme qui dit :
CELUI QUI REFUTE LES THEORIES « EN PLACE » EST PLUS SCIENTIFIQUE QUE CELUI QUI LES ADMET.
Au mois de juin 2005, j’ai lu dans la revue Sciences et Vie, qu’un missile a été dirigé vers une comète et qu’il a percuté ladite Comète en provoquant un GRAND ECLAIR, sans beaucoup l’endommager.
Un morceau de Glace ? qui n’a pas été mis en poussière par l’explosion d’un missile ?
25/03/08
A 8 h 55 heure de Washington la Nasa a observé une explosion cosmique, qui selon l’article en question, on peut voir même à l’œil nu. Cette explosion cosmique s’est passée selon ce journaliste il y a 7,5 milliards d’années. Si vraiment on pouvait voir maintenant, à notre époque, quelque chose qui s’est passé il y a tant de milliards d’années avant notre ère, c’est que « le temps » n’existerait pas.
Mais en principe pour faire « bien » le journaliste qui a écrit l’article a omis de préciser » on peut voir à l’œil nu une explosion cosmique qui s’est passée « à 7,5 milliards d’années lumières de distance « les années lumières en tant que mesure d’éloignement d’événement en astronomie. Quand on se veut journaliste scientifique, on n’induit pas les lecteurs profanes en erreur, en leur disant n’importe quoi.
Toujours, selon l’article c’est une « étoile massive » qui a explosée et que cette matière d’explosion peut devenir « un trou noir ».
TROU NOIR :
Au milieu de chaque galaxie se trouve « un trou noir ».
Il est provoqué par la rotation de la galaxie, c’est en somme « un effondrement » du centre de la galaxie provoqué par la vitesse du mouvement centrifuge. C’est d’ailleurs pour cela que l’on trouve un « trou noir » au centre de toutes les galaxies.
Dans ce mouvement centrifuge, tombent toutes les matières du bord central de ladite galaxie, comme dans un entonnoir, où ils restent confinés et « ré atomisés » comme dans une « centrifugeuse » à produire les matières nucléaires pour les centrales ou d’autres « bombes ».
Dans cette « centrifugeuse « la matière périmée de la galaxie, tombe et se ré atomise ainsi pendant de longs millénaires jusqu’à ce que toute la galaxie soit dévorée par son « trou noir ». La matière ainsi confinée dans sa « centrifugeuse » tourne encore pendant des millénaires, devenant de plus en plus dense comme une « bombe nucléaire ». Ce corps céleste compact, les astrophysiciens nomment « étoile massive » ou « naine noire », à un moment donné « cette bombe » explose en « super Nova » lâchant toutes les matières ainsi « ré atomisées et renouvelées dans l’espace pour la formation de nouvelles formes dans le cosmos.
Ainsi RIEN NE SE PERD dans l’Univers TOUT SE RECYCLE.
Bonne lecture et cordialement à vous Aleksa
auteur Aleksandra Miarczynski
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Je suis absolument d’accord avec vous !
Surement que beaucoup d’argent est en jeu, et que l’on nous fait beaucoup de cinema,par contre la terre est surement la depuis bien plus longtemps que les 4.5 milliard d’année,mais c’est une bagatelle de savoir depuis combien de temps elle existe,par contre vous avez raison et je l’ai déjà dit à plusieurs reprises,respecton la nature et surtout nos forets,car ce sont des bons puis pour le CO
cordialement Aleksa
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Je suis absolument d’accord avec vous.
Tous cela doit apporter aux quelques un,pas mal d’argent,
Ce n’est pas étonnant car aujourd’hui tout est basé sur l’argent,
omme j’ai déjà dit vous avez raison respectons la NATURE, et on vivra mieux, cordialement Aleksa
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Bravo ,je bien aimé "toute une grande nation hypnotisé par un seul gourou"
et des "gourou" il y a èun "tas" on nous abreuve des "certitudes"
Encore bravo Aleksa
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Il est grave que des politiques de ce niveau comme M. Allègre viennent réfuter ce que les VRAIS scientifiques (pas comme Allègre) ont observé.
Sans parler de ce que nous observons tous les jours, autant par nos expériences passées et que présentes.
Il est clair que l’activité humaine a modifié grandement depuis ces 200 dernières années le climat. Plus nous avançons et plus nous allons droit dans le mur car nous avons choisi des voies de développement en contradiction avec celles de la Nature.
Il est vrai que prédire l’avenir sur 100 ans n’est pas une mince affaire mais se jouer de cela en parlant d’une météo hebdomadaire n’est qu’hypocrisie.
M. Allègre a peur de ne plus pouvoir manger de côte de boeuf bien saignante et de garder sa ligne ventripotente.Les verts (les écologues et pas les écologistes embourgeoisés, les « néobobo » qui ne voient pas plus loin que devant leur pas de porte) ne sont pas contre le progrès, mais justement l’inverse car c’est avec le progrès technologique et les efforts de tous que nous pourrons éviter (adoucir plutôt) ce qui se profile devant notre nez ; futur qui pour mon avis arrivera bien plus rapidement que les estimations scientifiques les plus pessimistes ; il suffit de regarder autour de soi pour le comprendre.
Il est temps que l’humanité change avant qu’elle ne récolte les graines de ce qu’elle a semé.
Une personne avait déjà compris cela il y a bien des années avant toute notre ère d’industrialisation galopante, c’était François Rabelais avec sa célèbre maxime : « Sciences sans conscience n’est que ruine de l’âme ».
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