L’Homéopathie : Histoire et Mode d’action
Homéopathie. Le mot lui-même engendre
toujours la passion, et laisse rarement indifférent. Des passionnés qui
lui voient toutes les vertus aux « anti » qui la renvoient à la
superstition et au charlatanisme au nom de la science la plus pure, il
paraît difficile pour tous les « curieux de nature » de se faire une
opinion loin de toute polémique.
Pour essayer d’y voir clair, avant de se pencher sur les circonstances
de la naissance de l’homéopathie, sur sa pratique et avant d’envisager
une explication à son mode d’action, il convient de se plonger,
brièvement, dans l’histoire de la médecine.
1 Histoire de la médecine
Aussi loin que remontent les connaissances de l’histoire de l’Humanité, l’être humain a souffert dans son corps, et vraisemblablement aussi dans son affectivité.
L’examen des squelettes et momies, à l’aide des techniques modernes, montre de façon indiscutable l’existence de pathologies qui ont sévi depuis la plus haute antiquité : traumatismes, infections, affections dégénératives, cancer, parasitoses, maladies carentielles, etc… . Sans parler des famines, des sécheresses et des épidémies qui décimaient des populations entières.
De tout temps aussi, certaines personnes ont tenté, avec les moyens à leur disposition, de soulager les souffrances des autres. Les ethnomédecines, qui plongent leurs racines dans les traditions souvent les plus anciennes, sont à ce titre fort instructives. Des documents parfois très détaillés témoignent des conceptions concernant la vie, la signification attribuée à la maladie et les soins qu’il convenait d’y apporter. Sur la base d’un diagnostic correct, des pronostics étaient émis permettant de déterminer l’opportunité des soins à donner, et des traitements étaient établis.
Forte de ces prémisses, c’est dans deux directions de compréhension distinctes, au début totalement interpénétrées et qui se sont radicalement opposées au fil des siècles avec le développement de la science analytique, que va se développer la pensée médicale et se structurer la médecine depuis l’Antiquité la plus lointaine jusqu’à l’époque moderne.
Le premier aspect représente le pôle irrationnel, où interviennent les sorciers et les prêtres, qui sont souvent les mêmes, intermédiaires entre les divinités et les humains qui les auraient outragés. La maladie est comprise comme une punition, justifiant des rites conjuratoires, des exorcismes et des sacrifices propitiatoires. C’est l’aspect mystique de la notion maladie-punition par non respect de règles universelles. Actuellement cette conception se retrouve surtout dans le chamanisme, le chamane étant celui qui peut, par la pratique de transes, provoquées soit par des plantes hallucinogènes soit par des rythmes musicaux, se mettre en relation avec les esprits de la nature et proposer un traitement. Mais il existe aussi un aspect négatif qui se retrouve dans certaines pratiques de gourous en tous genre, de marchands de remèdes et de thérapeutiques les plus étranges, exploitant les souffrances morales que la science officielle est incapable de prendre en charge.
L’autre aspect de la pratique thérapeutique représente le pôle rationnel, scientifique. A la suite d’observations objectives, d’investigations puis de vérifications répétées, un raisonnement est institué conduisant à des déductions logiques et à des traitements techniques. Les traitements consistent soit en des gestes chirurgicaux, tels que extraction de corps étrangers, immobilisation de fractures ou incision d’abcès, soit en l’administration de « médicaments » provenant aussi bien des règnes minéral que végétal et animal. La pharmacopée varie considérablement d’une culture à une autre, d’une époque à une autre. Elle est fonction des moyens à disposition et des connaissances acquises. Si, aux débuts de l’humanité, le choix des substances utilisées repose sur des considérations mêlant superstition et croyances magiques, il n’en reste pas moins que certaines préparations étaient dotées d’une réelle efficacité, tout à fait justifiées à la mesure de la science moderne.
C’est entre ces deux pôles que va évoluer la médecine tout au long de l’histoire de l’humanité, avec une prédominance de l’un ou l’autre suivant les époques, les cultures et les moyens économiques et les politiques.
1- Pôle mystique, irrationnel : croyances ancestrales, mythes, superstitions, religions, rituels conjuratoires, célébrations.
2 – Pôle scientifique, rationnel : observations objectives, déductions logiques, investigations, vérifications, traitements techniques.
De nombreux ouvrages exposent en détail l’histoire de la médecine, depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours et permettent de suivre siècles après siècles l’évolution des concepts et des soins en rapport avec les situations économiques, géographiques, politiques et scientifiques. Les théories les plus diverses se sont succédées, et depuis, les connaissances générales s’accumulent, la compréhension des maladies, leur signification, leur interprétation aboutissant aux prodigieux progrès de ce XXème siècle. Pourtant nul ne peut dire que l’homme maitrise totalement la santé et la maladie. Des pans entiers du fonctionnement du corps humain sont encore inconnus, des maladies apparaissent régulièrement, en relation avec de nouveaux modes de vie et continuent à mettre en échec le mythe de la médecine toute puissante. L’homme a cru qu’en disséquant jusqu’à l’infiniment petit, qu’en manipulant les gènes et les chromosomes il allait comprendre la vie, qu’il serait aisé de la modifier et de la corriger, que la science triomphante allait dominer le monde et l’univers, la maladie et la mort. Et si la science avec un grand « S » avait oublié la part impalpable de l’être humain non accessible aux analyses scientifiques, « le mental », cette bête noire des scientifiques, ce paramètre humain si variable d’un individu à l’autre qu’il ne peut intégrer une équation « bien léchée », rejeté depuis plus de 200 ans dans un domaine où se retrouvent les poètes, les rêveurs, les mystiques et les psychologues !
2 Naissance de l’homéopathie
Fin du XVIIIème et début du XIXème siècle, les théories vont bon train, alimentant discussions et passions, mais sans grands résultats thérapeutiques : vitalistes, mécanistes, dualistes, animistes, positivistes et autres défendent des spéculations parfois audacieuses, mais les traitements en sont encore à « purgare », « saignare » avec l’administration de quelques drogues peu efficaces voire toxiques. Toutes les tentatives visant à combattre les maladies restent sans résultats significatifs.
Rien d’étonnant donc à ce que certains médecins, déçus des moyens à leur disposition, mènent des recherches personnelles, éventuellement hors des sentiers battus, ce qui généralement leur attirait les foudres de l’institution médicale officielle. Comme quoi rien n’a vraiment changé sur cette bonne vieille terre !
C’est le cas de Samuel Hahnemann (1755-1843). Médecin, esprit curieux, érudit et chercheur infatigable, il a le mérite de remettre en cause les dogmes reconnus à son époque pour se poser des questions fondamentales.
1- Il réalise que parmi des personnes affectées de la même maladie, certaines guérissent et d’autres non. Il conclue qu’elles disposent de « potentialités » de guérison spontanées particulières, ce qu’il appelle « terrain ». Pourquoi, dans le traitement, ne pas chercher à renforcer et stimuler ce terrain, autrement dit les défenses endogènes de l’organisme, plutôt que combattre les effets morbides ?
2- Par ses travaux et ses recherches, il s’aperçoit que des substances toxiques déclenchent sur des individus sains des tableaux analogues à ceux de certaines maladies. D’où l’idée de traiter ces malades par les produits qui ont provoqué des symptômes identiques chez des individus sains. C’est la loi de similitude, fondement de l’homéopathie : « les semblables sont guéris par les semblables ».
3- Hahnemann met cette idée en application et les succès dépassent toutes ses espérances, assurant sa notoriété. Malheureusement les réactions provoquées par les produits, souvent toxiques, sont parfois excessives. Il lui suffit de les atténuer en diluant successivement au 10ème puis au 100ème, jusqu’au minimum efficace. C’est le principe de dilution qui permet de diminuer l’effet toxique du produit. Mais l’effet thérapeutique se perd et le malade ne guérit pas.
4- C’est là qu’intervient le génie d’Hahnemann … ou le hasard … voire une « illumination ». Nul ne saura jamais. Il a l’idée d’agiter très violemment les fioles qu’il prépare à chaque opération. C’est le procédé de la succussion dont la signification ne sera comprise que 200 ans plus tard. Les remèdes ainsi dilués et dynamisés manifestent des propriétés thérapeutiques de plus en plus intenses et totalement dénuées de toxicité.
5- Hahnemann sait parfaitement, parce que c’est un scientifique au courant des connaissances chimiques de son époque, qu’aux niveaux de dilutions utilisées il n’y a plus de molécules du produit original dans ses remèdes. Pourtant les faits sont là : le mélange eau et alcool, préparé selon ses procédés, guérit ses malades. Il en postule l’existence d’un principe immatériel de nature inconnue, mais doté d’un réel pouvoir curatif.
Son ouvrage principal, « l’Organon ou l’art de guérir », renferme son enseignement, fondé sur un raisonnement rigoureux et des observations minutieuses, et garde actuellement toute sa valeur.
Il multiplie les expérimentations, d’abord sur lui-même et ses proches. Il forme de nombreux élèves et sa pratique se répand en Europe et dans le monde entier, puisque à sa mort un médecin sur huit est homéopathe aux Etats-Unis. Actuellement encore, en Indes et en Amérique du Sud des milliers de médecins pratiquent cette médecine bon marché et efficace. Même dans notre monde occidental l’homéopathie garde ses adeptes et les guérisons et soulagements qu’elle procure dans nombre de pathologies qui échappent aux thérapeutiques allopathiques sont indéniables et appréciés.
Mais le fait que sa pratique soit peu lucrative, et que son principe soit peu ou mal compris ne suscite guère d’engouement pour une recherche scientifique vraie.
3 La pratique homéopathique
L’homéopathie, telle qu’elle a été élaborée, pratiquée et enseignée par Hahnemann, répond à une méthodologie très précise et astreignante. La consignation rigoureuse des symptômes présentés par les sujets sains sur lesquels il pratique ses expérimentations, comprend des réactions dans tous les systèmes et appareils de l’organisme humain, mais aussi des manifestations mentales et psychiques souvent marquées. Il est donc évident que cette approche concerne tous les niveaux de l’organisme, du plus matériel au plus immatériel, du physique au psychique, intégrant ainsi toutes les composantes de l’individu. En effet, dans la conception homéopathique, l’individu n’est pas formé uniquement de molécules, de cellules, de tissus et d’organes régis par une physiologie, mais il est indissociable de ses passions, de ses désirs et de ses croyances. En outre, il vit dans un monde avec lequel il est en inter-réaction permanente. Enfin, il est un « système ouvert » qui puise dans son environnement ce dont il a besoin (air, eau et aliments), dont il tire les éléments nécessaires à son développement et à son fonctionnement.
Dans cette conception, toutes les substances expérimentées, qu’elles proviennent des règnes minéral, végétal ou animal, sont en conséquence représentées par des tableaux cliniques très détaillés.
Il est concevable alors que la détermination du remède homéopathique et de sa dynamisation, pour chaque cas examiné, soit difficile, car elle doit tenir compte autant que possible de la totalité des symptômes présentés par le patient, qu’ils soient physiques, émotionnels et psychiques. A l’expérience, les symptômes locaux et courants, caractérisant les manifestations temporaires de la maladie, sont relativement banaux. Par contre, les symptômes généraux et psychiques sont représentatifs de l’individu qui souffre et de la manière dont il vit son affection. La consultation homéopathique est alors fouillée car elle doit déterminer aussi bien les signes courants de la maladie que la réactivité du patient. Ainsi la prescription du remède homéopathique représente la globalité de la personne et sa capacité réactionnelle. Non seulement le thérapeute doit faire un diagnostic de la maladie, mais en plus il doit faire un diagnostic du patient. L’homéopathie ne soigne pas uniquement une maladie, mais une personne qui manifeste une perturbation sous la forme d’une maladie. Le but de la consultation étant de déterminer LE remède indiqué par l’histoire du patient au temps donné de l’examen. Ce que l’on appelle le simillimum.
Il est facile de comprendre que la pratique homéopathique pure soit longue, astreignante,voire fastidieuse. Mais les résultats, parfois spectaculaires là où la médecine allopathique a échoué, sont le gage de sa valeur.
Devant ces difficultés et la nécessité de traiter un nombre important de patients dans un laps de temps restreint, certaines écoles ont entrepris de simplifier la pratique homéopathique et de la « moderniser ». Il s’en est suivi l’apparition de toutes sortes de pratiques utilisant des remèdes multiples pour traiter des affections courantes. Sont ainsi apparus les homéopathes pluralistes et complexistes, qui prescrivent sur un mode allopathique de nombreux remèdes faiblement dynamisés, à absorber quotidiennement sur de plus ou moins longues périodes, en fonction des troubles apparents, mais en fait secondaires, qu’ils ont identifiés. Les résultats sont, il est vrai, souvent intéressant, pour des pathologies mineures, car une telle pratique est dite « suppressive », dans le sens où elle se contente de faire disparaître le ou les symptômes apparents sans atteindre sur le fond de la problématique présentée par le patient. Ce qui fait dire aux détracteurs de l’homéopathie qu’elle ne soigne que des biens portants, car pour eux c’est en général de cette pratique qu’il est question lorsque on l’évoque.
4 Mode d’action
C’est là que réside la grande pierre d’achoppement entre les tenants et les opposants de l’homéopathie. Il est vrai que aucune étude sérieuse n’a été diligentée par la recherche officielle. Les raisons en sont multiples et il est curieux d’entendre le discours suivant : « je ne connais rien à l’homéopathie, mais je suis viscéralement opposé à cette pratique charlatanesque au nom de la science ». Discours entendu à maintes reprises, sous le prétexte que, « vu les dilutions il n’y a aucune molécule dans le remède qui n’est que de l’eau et du sucre ». Comment se fait il que cette pratique n’intéresse pas le monde des chercheurs alors que depuis 200 ans elle est toujours intacte et que les résultats sont là ?
Hahnemann savait parfaitement, et l’enseignait, que ses remèdes n’agissaient pas par un mode chimique, mais bien par des propriétés particulières du solvant, conférées par leur mode de production. Mais les connaissances de son époque ne lui permettaient pas de les préciser, et c’est pourquoi il avait postulé un principe immatériel de nature inconnue.
En 1920, le physicien Georges Lakhovsky, prix Nobel, conceptualise la théorie de l’oscillation cellulaire caractérisant toute cellule vivante : « Dans la nature, tout est vibration, en particulier la vie cellulaire qui est menacée en cas de déséquilibre oscillatoire. Chaque cellule vivante est un minuscule circuit oscillant qui joue le rôle d’un émetteur-récepteur d’ondes. Les vibrations de ces circuits oscillants doivent être régulés en cas de maladie ».
Le circuit oscillant propre à chaque cellule fonctionne comme un poste de radio, qui est un récepteur d’ondes : pour recevoir correctement l’émission radio, il est nécessaire de mettre en résonance émetteur et récepteur, sinon l’émission est inaudible. Tout passe par le solvant des dilutions homéopathiques qui est mélange eau-alcool. Actuellement, si la structure de l’eau est toujours un mystère pour les physiciens, tous s’accordent pour la considérer comme un cristal. Cristal à l’état liquide, à la température ambiante, mais cristal sur un plan chimique. Or le corps humain est fait environ de 70% à 80% d’eau. Il semblerait que le mode d’action des remèdes homéopathiques soit lié à une mise en résonance des informations portées par le remède avec l’eau du corps humain. Ces mêmes informations entreraient elles-mêmes en résonance avec les molécules d’ADN formant les noyaux cellulaires, à partir desquels tout le fonctionnement des cellules est contrôlé, l’ADN étant lui-même un cristalloïde, dont la structure hélicoïdale est analogue à un condensateur électrique. Avec presque un siècle d’avance, Lakhovsky montre la voie de la théorie des cordes.
Linus Pauling, prix Nobel de chimie en 1954 et de la paix en 1962, démontre l’organisation bipolaire des molécules d’eau, et le Britannique Bernal en révèle les structures, les « groupements de Pauling ».
Les molécules d’eau sont constituées chacune d’1 atome d’oxygène et de 2 atomes d’hydrogène, chacun de ces atomes occupant une situation très précise et constante les uns par rapport aux autres. La disposition spatiale de ces atomes implique que des forces spécifiques en assurent la cohésion. En conséquence, toutes les molécules d’eau reçoivent de l’énergie de leur environnement, et en émettent également. De ce fait, elles se comportent comme des dipôles orientés, chargés électriquement, s’attirant et se repoussant mutuellement. Dotées de charges positives et négatives, elles se disposent les unes par rapport aux autres sous forme de réseaux, ou « clusters ». Ces réseaux, semblables à des structures cristallines, sont remarquablement stables dans des situations données de température et d’environnement électromagnétiques, en outre, ils sont constants et spécifiques de la substance diluée. La disposition spatiale de ces structures atomiques est conditionnée par les spectres d’émission et les forces électromagnétiques des substances avec lesquelles l’eau a été en contact. Plus le nombre de molécules du produit en solution dans le solvant diminue, plus ces structures se développent et stabilisent. Lorsque, sur un plan strictement chimique, une solution ne contient plus aucune molécule du produit en dissolution, ce qui correspond à une 12CH, les clusters occupent la totalité du solvant.
Tous ces informations sont le résultat des travaux de certains chercheurs, malheureusement trop peu nombreux et surtout très peu aidés et surtout non médiatisés ! Les plus remarquables sont ceux du Pr Dang Vinh Luu et son épouse, chercheurs à l’Université de Montpellier, qui travaillent depuis des années sur les propriétés de l’eau, ceux du Dr Yves Lasne et collaborateurs, qui, dans « Théorie des hautes dilutions, applications au vivant », démontrent de façon magistrale l’action de l’eau diluée marquée par les substances qu’elle a contenues, et ceux du Pr Popp, qui dans « Biologie de la lumière », rend compte de ses découvertes en matière de « communications cellulaires » par l’intermédiaire d’une émission et d’une réception de biophotons.
Les réseaux de cristallisation, apparents à température ambiante, peuvent être manifestés par la congélation à très basse température d’une eau pure, préalablement mise en contact de substances particulières. Ils prennent des formes parfois surprenantes mais toujours spécifiques de la substance de base. Voir les travaux du chimiste Japonais Masaru Emoto.
Le solvant ainsi traité agit biologiquement sur l’organisme vivant par résonance. L’action se fait par introduction d’une information de type électromagnétique dans un système organisé et influence son fonctionnement sur un mode électrophysique et secondairement biologique.
Toutes les réactions chimiques et biochimiques impliquent de multiples échanges d’électrons, et en conséquence, l’absorption ou l’émission d’énergie électromagnétique. Ainsi, l’ensemble du métabolisme cellulaire provoque, par addition de ces radiations, un spectre d’émission caractéristique. C’est donc bien d’un échange continu d’informations qu’il s’agit, et la preuve qu’il existe, simultanément au métabolisme biochimique, un métabolisme électromagnétique. C’est probablement là, au regard des connaissances scientifiques actuelles, que réside le mode d’action de l’homéopathie, loin de toutes les explication ésotériques ou autres. Il s’agit d’un champ de recherches immense ouvert à ceux qui, sans dogmatisme, osent envisager l’aspect quantique de la biologie.
Conclusion
« En réalité, la santé est un phénomène multidimensionnel impliquant des aspects physiques, psychologiques et sociaux interdépendants. Elle est essentiellement dynamique et se caractérise par des fluctuations continues, multiples.(Fritjof Capra, in « Le temps du changement, 1983).
Dr Pierre Chambaud
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