Pourquoi les végétaliens et véganes reviennent à la viande ?
Selon une étude, publiée en anglais sur https://www.psychologytoday.com/blog/animals-and-us/201412/84-vegetarians-and-vegans-return-meat-why, laquelle a porté sur 11 399 adultes représentatifs de la population américaine, avec divers régimes alimentaires, il apparaitrait que : seuls 2% des interrogés ne consomment aucune viande, 1.5% sont végétariens, 0.5% sont veganes. Et surtout, 5 personnes sur 6 ont abandonné leur régime végétarien/végétalien… 86% des végétariens et 70% des vegans reviennent à la viande. Outre atlantique, c’est la santé qui dicte en premier la décision d’abandonner la viande en faveur d’une alimentation exclusivement végétale.
L’étude porte évidement sur des sujets américains. Autres pays autres mœurs.
Mais qu’est ce qui peut amener un végétalien voire un vegane à revenir à l’alimentation tant honnie ?
Il y a diverses raisons…
Un changement de vie ou dans la vie
Oui, un changement de vie...On grandit, on n'éprouve plus le besoin de contester et de faire ch*er ses parents. On a passé sa crise d’ado. On a cessé d'identifier tous les cerfs à Bambi et les cochons à Babe. Vous commencez même à comprendre pourquoi vos parents ont dit non à votre proposition de sauver un cochon de l’abattoir pour l’adopter et le faire vivre dans l’appartement. Vous comprenez que le Monde s’est pas celui des Bisounours et que la Nature à ses dures lois. Vous n’avez plus besoin de vous démarquer des autres par une cause, un mode alimentaire, vous apprenez à devenir vous-même et à acquérir votre propre personnalité.
Ou on se met en couple et le nouvel élu (enfin un mec potable après tant de désillusions !) est parfait sauf que le tofu, il ne peut pas, même qu’il tient à son steak, allez…, au moins une fois par semaine. Bon prince, il accepte deux jours sans viande, il devient flexitarien même, mais là, faut pas pousser bobonne ! Il vous rappelle que pour lui, Brigitte Bardot c’est juste qu’une vieille raciste devenue moche et mal peignée, et qu’il n’aimerait pas que vous tourniez à l’aigre de la même façon. Il rappelle aussi que rien n’est plus convivial que de partager un repas….le même repas. Petit détail que ne manqueront pas vous rappeler maman et belle-maman d’ailleurs. Alors de deux choses l’une, soit on accepte, soit le mec se barre à force de nous entendre parler « de cadavres » et de nous voir avaler nos faux mages trafiqués et nos graines germées. Et là, c’est Trafalgar, car on risque vraiment de finir sa vie seule avec les 6 chats et 7 chiens que l’on aura adoptés pour chauffer le lit à la place rendue vacante.
La situation se complique encore lorsque l’enfant paraît : non seulement il devient en principe le centre de préoccupation et de votre vie, et on commence à s’en fiche un peu de penser qu’avaler un poisson c’est tuer l’océan, et deuxio on hésite quand même, en tant que maman, à proposer un régime de vie évictif et plutôt controversé par la science à un petit mammifère qui vient tout juste de naître et qui réclame votre lait à grand cri. Si vous êtes déjà endoctrinée jusqu’à la racine, il est possible que le père s’en mêle, voire le restant de la famille, voire pire : les services sociaux et même les flics si le petit bout doit être mis sous perf à l’hôpital…dans l’étude en question, une certaine pression familiale exercée par un non-végé est le motif de retour à la viande pour la moitié des végés.
Le poids des traditions, inscrit jusqu’au cœur de nos cellules même
Homo Sapiens n’a pas évolué comme un herbivore et donc, même avec une analyse alimentaire minutieuse et les compléments nécessaires pour tenter de rester en bonne santé, ce n’est pas gagné en 2018 dans un monde capitaliste.
Pour rappel, notre système digestif n’a pas suivi l’évolution de notre cerveau : il est resté le même que celui des grands singes. Et pour mémoire, les grands primates sont omnivores car ils mangent des insectes. Ils sont en outre coprophages et ne nettoient pas leurs légumes. C’est ainsi qu’ils se fournissent en B12. Le chimpanzé par exemple plante un bâton dans une termitière pour que les habitants montent dessus, avant de l’enfourner goulument dans la bouche...
Un supplément d’éducation
Ou l’envie soudaine de s’instruire et de sortir des schémas militantistes… on comprend alors que l’humain est omnivore et on apprend que la nature n’est pas le monde de Disney. On observe les animaux sauvages et leur mode de vie, et non plus seulement les sempiternelles vidéos sur les élevages et abattages porcins en Chine…on observe les choses sur le terrain, la Nature, on la découvre, on la vit et on ne l’adapte plus à des concepts bobo-végé. Ahlala, le nombre de copines très actives dans la protection animale à qui je dois expliquer que le gros oiseau au bord de l’étang – oui le vilain qui tue les pauvres petits poissons avec son long méchant bec – c’est un héron…On comprend que le monde « sans cadavres » dont parlent certains militants extasiés est une illusion juste pas possible vu que tout être vivant est mortel et donc appelé un jour ou l’autre à devenir un cadavre. On se bouge de son F4 de Chantilly et on visite des fermes écoresponsables sans traiter le paysan de tous les noms (violeur de vache, assassin, etc…). D’ailleurs, ces paisibles ruminants broutent tranquillement dans le pré et ne semblent pas outrageusement maltraités. Soit, on va les abattre, et donc raccourcir leur durée de vie, mais on n’a jamais vu une vache décompter les années sur le calendrier de son smartphone et voir ses amis sur Facebook lui souhaiter un joyeux anniversaire. On se met même à regarder des documentaires de la chaîne National Géographic sans chercher à arracher les dents au lion qui se chope une fragile gazelle. On apprend que les bons légumes sont aspergés au glyphosate et que ce n’est peut-être pas le meilleur pour la santé. On comprend que ce qui tue les abeilles ce n’est pas le fait de les élever pour leur prendre leur miel mais la pollution généralisée et les pesticides que l’on vaporise sur les fleurs, source principale de leur alimentation…bref, on devient plus éduqué, moins con et donc moins radical. On cesse de se construire un monde avec ses petits copains agités et on arrête surtout de vouloir l’imposer à tous.
Il faut du pognon...
Et ce n’est pas pour rien que grand nombre de végétaliens et véganes se situent dans la tranche privilégiée. Parce que si on veut s’alimenter de façon pas trop insipide, variée, de qualité et se procurer les compléments indispensables, il faut quand même avoir un peu de marge financière.
L’aspect social
Parce que vous en avez marre d’être seul. A force de critiquer tous vos (ex) amis sur leur façon de vivre et de bouffer, vous avez fait le vide autour de vous. Vous avez bien 2 ou 3 « amis » véganes qui vous suivent de loin, sur Facebook, mais ça ne remplace pas la vraie chaleur de vos anciens bons chouettes potes datant du lycée. Alors, vous renouez enfin, et vous participez à nouveau au prochain repas raclette, et cette fois vous mangez et n’ouvrez votre bouche que pour avaler tout ce bon fromage chaud et dégoulinant ! Ah oui, mmmh ce fromage ! parlons-en car…
Le goût
-…on y revient aussi, pour une question de goût. Pas forcément à la viande rouge, directement. ..mais au fromage, aux œufs, au poisson issu de la pêche équitable ou d’élevage bio , à la volaille bio élevée en plein air…c’est quand même tellement plus goutu que le tofu et les mix fades et gras qu’on vous propose. Et quand on vous parle encore de sauver la planète, vous estimez faire un effort déjà, et vous parlez du nombre d’avions qui survolent le ciel et de tous ces végés qui se goinfrent de produits à base d’huile de palme et de compléments alimentaires dont la culture des produits de base à l’autre bout du globe squattent des parcelles entières qui pourraient nourrir les enfants des pays en voie de développement. Comme vous êtes redevenu social, désectarisé même, vos amis vous accueillent à bras ouverts, et vous êtes plus heureux que jamais. Comme c’est le cas de 58% d'anciens végés dans l’étude, vous ne voyez pas le régime comme faisant partie de votre identité mais plutôt comme une croix à porter, qui vous stigmatise.
La santé
Vous vous apercevez que vous commencez à accumuler de solides carences, ou votre toubib vous le signale. Vous lisez aussi les appels au secours de divers comme vous sur les réseaux sociaux « au secours, mes cheveux tombent, tout tombe d’ailleurs, je suis ultra carencée, comment faire ? ». De toute façon, en général, il suffit de voir votre aspect, maigrichon, hâve…vous comprenez que soit vous devez avaler impérativement des gélules, soit vous nourrir à nouveau normalement. Vu que les gélules, c’est rébarbatif, fabriqué en laboratoire donc antinaturel et cher, vous réintégrez un peu de protéines d’origine animale dans vos menus. Et vous vous trouvez mieux.
Un effet de mode éphémère
Parce que vous s’était un phénomène de mode, et après une saison ça passe. Vous aviez suivi le régime d’une star du X, autoproclamée papesse du véganisme. Celle-là même qui s’enfile en douce, hors caméra, du caviar et des huitres…ca a eu du bon car vous avez perdu 5 kg….en masse musculaire, mais maintenant c’est bon…
On déteste cuisiner…ou on n’a franchement pas le temps
Vous n’aimez pas cuisiner, ou vous n’avez franchement pas le temps, mais vous êtes soucieux de votre de santé et vu le manque de produits transformés véganes sur le marché, et le prix de tous ces « faux-machins », vous revenez à une alimentation normale. Ou vous devez systématiquement cuisiner en double, une fois pour vous et une fois pour votre homme qui est bêtement omnivore. Revenant tout juste d’une réunion après une heure d’embouteillages, entre les gosses qui demandent de l’attention et votre série TV préférée qui démarre, votre cœur a balancé vers la facilité : vous êtes redevenue ce que vous étiez hier et avant-hier. Et vous éprouvez même un vif soulagement. Le gigot d’agneau c’est quand même plus facile que les 5 heures passée à composer un truc qui ne goûtera finalement que le seitan et les céréales qui le compose, c’est-à-dire pas grand-chose…
Pour des raisons de santé encore : des végétaux difficiles à avaler !
Vous avez compris que dans les céréales, il y a du gluten, et que même si vous n’y êtes pas sensible, c’est pas top pour vos intestins….hors, le blé est partout dans les produits transformés, encore plus dans les produits végés et vous ne pouvez plus vous bourrer de tartines à la margarine trempées dans votre soupe aux carottes pour tromper votre fin. Bref, végétalien, bio et sans gluten, ça commence à faire court dans l’assiette…d’ailleurs, toutes ces graisses trans pour composer les produits végés, ça aussi, ça commence à peser ! Et si en prime, vous êtes affligé un intestin irritable, plus de légumineuses, de crucifères, de crudités, d’aliments trop acides…là on frise l’alimentation par voie parentérale ou l’anorexie pure et simple !
D’ailleurs, il est intéressant de se pencher sur l’état des intestins de ceux qui ont été livrés par leur légitime propriétaire à des dizaines d’années aux légumineuses et céréales complètes…Le résultat est plutôt interpellant….
On vit en collectivité
Et souvent on mange en collectivité. Même si on amène sa bouffe, forcément à un moment donné on parle de resto entre collègues. Dans certains cas, il est difficile d’échapper à la cantine. Vu que par exemple, dans toutes les sauces, ils mettent systématiquement du fond de bœuf ou de volaille…
Le végétalien ou végane n’a pas le monopole du cœur
Vous comprenez que monopoliser le marché de la compassion, c’est tout un business. Vous avez envie de militer pour d’autres causes, par exemple plus proche de votre propre espèce. Vous avez par exemple des enfants, et du coup, vous vous préoccupez de leur bien être futur et donc du devenir de la société humaine avant tout. Et, non, on ne peut pas se consacrer pleinement à plusieurs causes à la fois. Il faut choisir.
Parce que vous virez extrémiste
Vous vous sentez devenir un terroriste de la bouffe, pire qu’un extrémiste islamiste en quête d’un atome de porc. Bref, lire la composition des étiquettes commence à vous gaver gravement ! Vous ne vivez plus que la loupe à la main pour traquer le sigle végane. Au restaurant on vous renverse « accidentellement » la sauce sur les genoux lorsque vous renvoyez votre assiette de légumes après avoir vu le commis utiliser la même cuillère qui a servi pour le gratin dauphinois. On se fout ouvertement de votre tête lorsque vous traînez fièrement avec votre veste et chaussures en cuir synthétiques et qu’on vous demande dans quelle usine, située où et avec quelle main d’œuvre ils ont été fabriqués, et combien de temps, une fois devenus des déchets, ils vont mettre à se biodégrader comparativement à leurs belles chaussures en cuir et leur pull en laine à eux. Piqué au vif vous répondez réprouver formellement de porter la peau de vos « frères et amis les animaux ». Là, les autres sont carrément pliés en deux, et charitablement vous rappellent que tous vos amis vont de toute façon y passer, même si c’est de mort naturelle, et que leur peau disparaîtra sans servir à rien dans les équarrissages ou les incinérateurs. Vous commencez tout doucement à perdre pied.
C’est carrément Trafalgar quand vous relisez certains de vos posts ou lorsque vous vous entendez parler…ainsi vous nommez les abus sur des non-humains avec une sémantique propre à l’être humain vu qu’elle implique une conscience ! Ça vous fait tout d’un coup tout drôle de parler de viol, d’esclavage ou d’Holocauste lorsque vous parlez d’une génisse. On pourrait en rire, si ce n’est qu’il arrive que votre interlocuteur humain a lui vraiment subi un viol avec les conséquences psychologiques humaines que cela comporte, ses grands –parents ont disparu en fumée dans les cheminées d’Auschwitz et qu’il considère que se lever chaque matin aux petites aurores pour se taper deux heures de route dans les embouteillages aller-retour pour aller bosser pour un salaire de misère, ce n’est pas loin d’être de l’exploitation…
Et si vous n’aviez pas versé totalement dans l’extrême-droite du végétal, les remarques de certains extrémistes « végétarien, c’est rien, Vegane seulement c’est bien » n’arrangent pas les choses. Au contraire, cela vous pousse au crime et à dévorer une grosse entrecôte, de filmer en direct, et d’envoyer ensuite sur leurs réseaux.
Une erreur de casting
Vous doutez du fondement même de l’éthique que vous vous êtes construite à grand renfort de propagande. Vous restez ferme sur la maltraitance animale, la vivisection, les élevages intensifs ou en batterie, la fourrure, … mais vous ne considérez plus que l’animal est votre égal, vous comprenez que vous êtes résolument spéciste, comme tous les animaux qui naturellement privilégient leur espèce et au besoin bouffent les autres, et finalement vous parvenez à le manger même si c’est du cadavre. Forcément, on ne va pas mordre la cuisse d’un bœuf sur ses pattes, même si ça, c’est de l’ultra-frais.
Après avoir récupéré un peu de votre capacité de réflexion et de jugement (justement en ayant avalé une petite poignée de délicieuses crevettes), vous comprenez que pour pouvoir avoir des droits, il faut avant tout pouvoir comprendre ce qu’est un droit ou, à défaut, il faut au moins avoir la possibilité, un jour ou l’autre, d’être capable de comprendre ce qu’est un droit. Comment donc peut-on dire que les animaux ont les mêmes droits que nous ? Vous recommencez à considérer le corps d’un animal comme une ressource dont vous pouvez disposer à votre guise. C’est-à-dire en faisant preuve de discernement. L’éthique dont vous entendez si souvent parler dans certains groupes, et dont vous avez-vous-même abondement parlé autour de vous, vous paraît de plus en plus être des tics compulsifs.
Une dérive suivie d’une prise de conscience soudaine provoquant un retournement de situation
Vous avez réussi à faire crever votre chat – un petit carnivore – en lui imposant un régime exclusivement végétalien, donc aux antipodes de ses besoins naturels et fonctionnels. La mort du pauvre minet, décharné et déplumé, assortie de la menace du vétérinaire de vous dénoncer à un organisme de défense animale vous incite à cesser d’imposer le contre nature aux autres, et comme charité bien ordonnée commence par soi-même…
Chacun son organisme
Chaque organisme est différent, et tolère plus ou moins bien le végétalisme. Considérer par exemple la théorie sur les groupes sanguins qui veut qu’en fonction de son groupe sanguin on tolère plus ou moins bien la viande, voire on en a un réel besoin ! - Selon le docteur D'Adamo, notre groupe sanguin nous prédestine à une alimentation particulière, avec des aliments dits bénéfiques, neutres ou à éviter. Cette théorie du régime selon son groupe sanguin part du postulat que les groupes sanguins sont intimement liés à l'évolution de l'espèce humaine, ...On aura donc toujours des gens qui vivront mal leur végétalisme et une fois revenus à un peu de protéines animales, se sentent soudainement mieux. Cela n’a rien avoir avec une propagande des industries agro-alimentaire, lesquelles – ce que les décérébrés extrémistes n’ont pas compris – ont plutôt tout avantage à s’engouffrer dans le créneau végane, pour pouvoir leur vendre cher et vilain des produits transformés à base des céréales OGM et pulvérisés généreusement au glyphosate dont ils ont déjà tendance à nous gaver, parce qu’elles ne leur coûtent rien ! Pour citer un seul exemple, voyons la composition idyllique des fausses saucisses knacki Herta. Ne parlons pas du goût…
La santé encore une fois
Votre changement alimentaire était dû dés le départ à des raisons de santé. Et justement, au niveau hygiène de vie, vous avez obtenu ce que vous souhaitez : manger plus de légumes et diminuer fortement la viande. Vous comprenez que ça suffit amplement à votre bonheur…
A.Zeletzki v.Potschenitz
(Janvier 2019)
Pour aller plus loin…
https://www.contrepoints.org/2015/03/16/200733-4-derives-des-environnementalistes-contemporains Il est actuellement de bon ton de penser d’une certaine façon ? Est-ce la bonne ?
https://www.unmondevegan.com/index.cfm pour se fournir en produits…de substitution, en compléments, etc….
https://www.authentico.fr/alimentation-et-groupe-sanguin/ Chaque organisme est particulier, notre ADN est unique…mais déjà, notre espèce dispose de plusieurs groupes sanguins. Pour quelle raison et quelles sont les incidences au niveau de l’alimentaire ? Tenez, en fait il y a aussi ceci : https://mythevegetarien.wordpress.com/2016/11/16/4-raisons-qui-expliquent-que-certains-vegans-se-portent-comme-un-charme-la-ou-dautres-se-ramassent-lamentablement/
https://mythevegetarien.wordpress.com/2017/12/11/a-tout-le-monde-desole-davoir-ete-un-tel-vegan/ Un témoignage d’un militant végane.
http://worldnewstrust.com/what-if-plants-have-feelings-too-mickey-z les végétaux aussi sont des aliments vivants. Leur incapacité à hurler leur douleur leur prive-t-elle des mêmes droits que celui qu’on veut octroyer aux animaux ? Mais une moule ne crie pas non plus, d’ailleurs…jusqu’à quelles limites doit-on porter une éthique ?
https://www.federationvegane.fr/documentation/pourquoi-etre-vegane/specisme-antispecisme-et-carnisme/ Site de la fédération végane.
582 réactions à cet article
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Merci pour cet article et ces liens utiles.
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@Claire
Je croyais que c’était la cause animale qui vous motivait ?
ps. Les végétariens n’ont pas de petit venventre ? -
@Claire
il n’y a pas que la viande qui menace le bonheur de notre petit venventre :
Vous êtes fous d’avaler ça ! -
@Claire
Le cancer du colon est plus fréquent chez les fumeurs que les non-fumeurs, les passifs que les actifs, les obèses que les minces.Comme le conclut l’auteur à la fin de son excellent article : il faut manger plus de légumes et moins de viande que ce que font la moyenne de la population et surtout éliminer autant que possible les aliments carnés très transformés comme le saucisson ou ceux qui sont constitués de déchets contaminées par les bactéries comme les merguez.
Éviter aussi les restaurants asiatiques où l’hygiène n’est pas toujours respectée et où l’on abuse du glutamate pour « éblouir le goût ». -
Ça m’épate les gens qui balaient 400.000 ans d’habitude alimentaire en un commentaire.
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@Claire pas de risque accru de cancer si l’on ne s’enfile pas un steak tous les jours. En revanche, je ne vous rassurerais pas sur cette manie d’engloutir des substituts pleins de gluten, OGM et autres crasses, sans compter le pain, qui en plus...fait un petit venventre... La meilleure solution — à mon idée — est en pensée d’être welferiste et en alimentation, être fléxitarien. Les extrêmes n’ont jamais été bons en quoi que ce soit. Le véganisme n’est qu’une forme d’extrémisme parmi tant d’autre, qui n’hésite pas à user de tous les moyens plus ou moins honnêtes de propagande, avec toute la manipulation que cela implique.
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@oncle archibald Le poisson est excellent...en fait une bonne gestion des mers permettrait de nourrir le monde entier, aussi bien en végétaux (culture d’algues) qu’en produits animaux. Mais pour cela, il faudrait cesser de polluer les eaux. Pour l’instant, privilégier les espèces sauvages des mers froides comme le colin d’Alaska et les petites espèces (sardines, anchois). En revanche, on a toutes les chances de se choper le cancer en avalant des légumes vaporisés au glyphosate (merciiii l’Europe !) et on manque singulièrement de recul quant aux effets sur l’organisme des cultures OGM. Or, les substituts veganes en sont truffés...
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@Claire
Et toi, ma vieille, tu ne penses pas que les gens qui consomment trop de la viande de vache épuisée par les vêlages et les médicaments vétérinaires (car le vrai bœuf charolais de trois ans est hors de prix et réservé aux restaurants de grand luxe) ne sont pas aussi des mangeurs de saucisson, de merguez, de produits industriels et pas assez de fibres végétales, de fruits et légumes ni d’activité physiques ? Qu’ils ont un « profil » ?
C’est le biais statistique classique que de ne retenir qu’un critère quand d’autres lui sont associés. Mais cette erreur à éviter relève de la science et non du parti-pris.
On commence à mesurer scientifiquement le bénéfice pour la santé des plaisirs que l’on peut avoir dans la vie. Celui de consommer une nourriture savoureuse en fait partie.
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@JL
moi je trouve que cet article est juste plein de clichés débiles... personnellement j’ai comblé mes carrences, détoxifié mon corps, pris du poids et des muscles en bouffant végétarien de fait...
je dis « de fait », car ce n’est pas idéologique.... c’est juste que quand tu te mets à cuisiner (à 2 !!) et à prendre soin de toi et de ton corps, ben sans faire exprès, tu n’achètes plus de viande... c’est un peu comme la clope : tu arrêtes parce-que tu n’as plus besoin (de contester des parents et de fumer pour avoir l’air libre, comme dirait l’auteur)... de toutes façons, à part le cochon -et un peu le mouton-, je dois dire que les autres viandes n’ont pas bon gout.
Mais je dois dire que je ne suis pas prosélyte pour un sou... si les gens sont contents avec leur bidoche, bien leur en fasse... moi je suis content comme je suis, et depuis des années... ça m’a redonné de la vigueur... et ça me fait sourire quand je vois des viandards essayer de me faire des réflexions suposément tip-top... je les laisse avec ça
mais une chose est sûre : la question c’est pas de passer végétarien, mais de prendre (enfin) le temps de son corps ...
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@Claire
Pourquoi faîtes vous une fixation sur la viande rouge ? Il existe d’autres viandes, bien grasses, comme le mouton ou le porc.
L’être humain est « équipé » pour manger de la viande. Il a des canines pour ça. Pendant plus de 2 millions d’années nos ancêtres ont mangé de la viande. Nous en avons encore les traces grâce aux peintures pariétales. Nous sommes devenus ce que nous sommes grâce à leur alimentation. Notre cerveau s’est développé grâce à cette nourriture, beaucoup plus que celui de toutes les autres espèces. De la viande, des abats, des baies et quelques végétaux. Voilà la base de leur « régime ».
Le système enzymatique de l’être humain est fait pour digérer les protéines animales pour les transformer en acides animés. En revanche, notre système enzymatique n’a pas adapté à toutes les plantes, et loin s’en faut.
Les plantes contiennent des antinutriments, des phytates, des inhibiteurs enzymatiques, des lectines, des saponines, des gliadines. Les plantes n’ont pas vocation, sur la terre à être mangées. Elles sont là pour perpétuer l’espèce. Et, pour ce faire, elles se défendent de leurs prédateurs en mettant en place leurs antinutriments.
Dans notre alimentation « moderne », née de l’agriculture et de l’élevage, les grands « ennemis » sont les « glucides » (tous), le gluten et la caséine. La viande rouge, c’est de la gnognote à côté du trio gagnant qui nous entraîne vers toutes les maladies métaboliques, le cancer, l’obésité, le diabète de type 2, les maladies cardiovasculaires, etc.Et non, la viande n’est pas du tout nocive à l’être humain. Les céréales oui ! Le gluten = protéines des céréales. Le soja est chargé de phytoestrogène beaucoup moins s’il est fermenté.
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Xenozoid 22 janvier 2019 13:34@Legestr glaz
ah le panda est aussi « équipé » pour manger de la viande...et poutant
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@Xenozoid
Il a des canines le Panda ? Le panda est principalement herbivore et consomme 99% de végétaux plus quelques insectes. Il possède un système enzymatique qui lui permet de digérer les végétaux ce que n’ont pas les être humains. CQFD -
Xenozoid 22 janvier 2019 16:07@Legestr glaz
Le panda géant est habituellement représenté mangeant paisiblement du bambouplutôt que chassant, ce qui ajoute à son image de l’innocence. En effet, bien que classé parmi les carnivores10, cet animal se nourrit principalement de végétaux. Même s’il a été rapporté qu’il mange à l’occasion des œufs et des insectes, son régime alimentaire est constitué à 99 % de végétaux (quasi uniquement de bambous : jusqu’à 20 kg par jour)10, mais peut inclure ponctuellement d’autres végétaux, voire un peu de viande (par exemple des carcasses abandonnées). Son origine de carnivore explique d’ailleurs qu’il dispose d’un système digestif capable de digérer de la viande13. Son microbiote serait plus proche de celui de ses homologues carnivores ou omnivores que des herbivores14. Il possède peu de bactéries que l’on retrouve chez les herbivores tels que les ruminants qui décomposent la cellulose, composant principal du bambou.
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Xenozoid 22 janvier 2019 16:09@Xenozoid
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@Xenozoid
Mais cela ne change rien de présenter la dentition du panda. Avec 99% de végétaux il possède un système enzymatique adapté à la digestion des plantes. L’être humain ne le possède pas. Je ne vois pas où vous venez en venir avec le panda ? Les vaches ont aussi des dents !
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Xenozoid 22 janvier 2019 17:23@Legestr glaz
c’est pas grave,je ne t’en veux pas
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@Claire
Comme vous, pendant longtemps, j’ai été séduit par le végétarisme. et puis patatras.L’homme pendant 2 millions d’années n’a jamais été végétarien. Le végétarisme est une mode toute récente. Les anthropologues n’ont jamais découvert de peuplades végétariennes. Cela n’existe pas ! Les être humains ont toujours mangé de la viande.
Vous me servez les sempiternels arguments des végétariens sans prêter strictement aucune attention à ce que j’ai écrit concernant les anti-nutriments des plantes. Par ailleurs, le système enzymatique de l’être humain n’est pas du tout adapté à la digestion de nombreuses plantes, dont le blé et le soja.J’ai une simple question. Que consomment les plantes ? D’où vient aujourd’hui l’azote qui leur est absolument nécessaire ? D’où venait-il avant, cet azote ?
Si vous voulez avoir une « vraie » idée du végétarisme je ne peux que vous conseiller le livre de Lierre Keith « le mythe végétarien ». Voilà, voila.
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@Claire
Nous sommes dans un échange. Je ne prends pas offense du tout. Je remarque qu’il y a des aspects du végétarisme que vous n’avez jamais explorés. Je ne vous blâme pas. J’étais comme vous il y a à peine une année en arrière. J’ai consulté, depuis, une vaste documentation et même, j’ai repris mes cours de chimie et de biologie. Ne me croyez pas concernant les plantes mais allez vérifier, quand même, ce que j’écris. Prenez simplement en compte que, concernant les plantes, il existe des « allergies » alimentaires, des « intolérances » alimentaires, des « maladies » relatives aux plantes (la maladie coeliaque, par exemple).
La viande c’est aussi le gras, c’est à dire les lipides. C’est aussi les abats. L’aspect cancérigène de la viande vient de la réaction de Maillard. Si vous mangez la viande crue, il n’y a pas d’effet cancérigène. En revanche, la viande contient de l’acide arachidonique qui se transforme, sous l’action de la D5D en « mauvais » eicosanoïdes. Mais il se trouve que les huiles végétales sont pleines d’AA (huile de tournesol, de pépins de raisin). Ces huiles sont bien plus toxiques qu’un bout de bidoche.
Les antinutriments des plantes attaquent l’organisme de toutes parts, c’est très lent comme processus et insidieux. Pour votre santé, je vous conseille très vivement de prendre des renseignements. Lisez le livre de Lierre Keith, végane durant plus de 25 ans.Et puisque vous partez de loin concernant les antinutriments, je vous mets en lien un article.
https://www.acteur-nature.com/articles-divers-sur-le-monde-du-bio-et-du-naturel/les-anti-nutriments-ou-la-face-cachee-des-aliments-dorigine-vegetale.html -
@Claire
la présence d’antinutriments dans les plantes est confirmée de toutes parts. La nocivité du gluten ou de la caséine a été démontrée depuis longtemps.Si j’ai le temps j’écrirai un article sur le végétarisme politique. Vous êtes vous renseignée sur l’azote ? ce n’est pas de l’ordre du détail.
Vous êtes le plus à même de prendre vos renseignements. C’est votre santé qui est en jeu. Le livre de l’Américaine Lierre Keith est bourré de références et de publications scientifiques. Alors, si vous voulez savoir.....
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@Legestr glaz « La nocivité du gluten [...] a été démontrée depuis longtemps. »
Nocivité pour moins de 1% de la population.
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@pemile
Vous parlez de la maladie coeliaque. Mais il reste les allergies et toutes les intolérances cachées. Votre 1% n’est pas sérieux.
Le gluten entraine des maladies auto-immunes. Mais vous pouvez vous fier à votre chiffre, à celui de 1%. C’est votre santé qui est en jeu, pas la mienne. Surtout ne vous renseignez pas. Que les gens continuent de détruire leur corps de l’intérieur en suivant les conseils « avisés » de big Pharma et de big agri, sans vouloir se poser quelques questions, la détérioration de leur santé est à la clé.
Toute maladie nait d’une inflammation. A quoi le corps réagit-il lorsqu’il provoque une inflammation ? Empoisonnez votre corps et il vous le rendra sous forme d’inflammation. L’arthrose c’est quoi ? Et les rhumatismes ? C’est l’alimentation humaine d’aujourd’hui qui est au coeur de ces dysfonctionnements, rien d’autre. Et le diabète de type 2 il sort d’où ? Il se répand sur la terre mais quelle est sa cause ?
Je répète, les ennemis de l’organisme sont : les glucides, le gluten, la caséine.
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@Legestr glaz
c’est bien 1% et pas plus sauf pour un khmer vert et sa sience infuse sans preuve.
tu as besoin de glucides pour vivre sinon ton foie en fabriquera à partir du gras. -
@Legestr glaz « Le gluten entraine des maladies auto-immunes »
C’est pas plutôt l’inverse, un maladie auto-immune augmente le risque de maladie coeliaque ?
Sinon, sourcez votre affirmation ?
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@foufouille
Non, l’organisme n’a pas besoin de « glucides » pour vivre ! Il a besoin de « glucose », ce qui n’est pas du tout la même chose. Pourquoi ? Parce que l’organisme humain sait fabriquer du « glucose » (et non des glucides) à partir de substrats non glucidiques ! Par exemple, à partir des lipides et des protéines (dont la majorité des acides aminés sont glucoformateurs) ?
Si vous voulez être rigoureux, faites bien la différence entre « glucides », qui seront transformés en « glucose » par l’organisme, et « glucose ».
L’organisme ne sait pas fabriquer les lipides et les protéines. Il doit donc les prendre dans l’alimentation. En revanche, l’organisme n’a nul besoin d’ingérer des « glucides » parce qu’il sait synthétiser le glucose à partir de substrats non glucides (comme dit plus haut). CQFD.
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@pemile
Je ne vais pas développer plus avant parce qu’ici ce n’est ni le lieu ni l’espace.
Renseignez vous. Intéressez-vous au mimétisme moléculaire. En gros, pour faire bref, le corps identifie des agents pathogènes et développe son immunité. Il se trouve que ces agents pathogènes ont une structure très similaire avec certaines molécules du corps. Nos « soldats » chargés d’assurer notre immunité de de repousser les agents pathogènes vont identifier nos propres molécules comme étant des agents agresseurs et vont se mettre à les combattre. Voilà l’origine de l’auto-immunité.
Ainsi, des chaînes de protéines (des céréales par exemple), non complètement digérées par le système enzymatique de l’organisme, parce qu’il n’est pas équipé par ça, passe à travers la paroi intestinale. Ces chaînes de molécules sont identifiées comme étant des agents pathogènes par notre corps qui se met à les combattre. Seulement voilà, le mimétisme moléculaire fait que notre corps attaque ses propres molécules’ qui ressemblent à s’y méprendre avec la forme des agents pathogènes. . C’est l’origine de nombreuses maladies auto-immunes comme l’arthrose, les rhumatismes, la sclérose en plaques, mais pas que !N’importe quel moteur de recherche vous renseignera sur le mimétisme moléculaire. Mais bien sur, big Pharma et big agri ne sont pas prêts à dévoiler le pot aux roses. L’agriculture se doit d’être « productiviste » et les médicaments sont là pour nous « sauver ». Rien que des bénéfices à en tirer. Les médicaments vont annihiler le rôle des eicosanoïdes, les bons comme les mauvais, et les effets secondaires des médicaments de big Pharma vont se faire ressentir.
Si votre corps produit de l’inflammation c’est parce qu’il est attaqué. Et par quoi est-il attaqué ?
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@Legestr glaz
’’ L’organisme n’a pas besoin de « glucides » pour vivre ! Il a besoin de « glucose », ce qui n’est pas du tout la même chose. Pourquoi ? Parce que l’organisme humain sait fabriquer du « glucose » (et non des glucides) à partir de substrats non glucidiques ! ’’
Plus simplement, la bonne formule : L’organisme n’a pas besoin de glucides pour vivre puisqu’il sait fabriquer le glucose dont il a besoin à partir de substrats non glucidiques !
Pendant des décennies, l’industrie sucrière a fait croire à des générations entières que les glucides c’était bon et les lipides mauvais. Résultat : à partir de cette campagne mensongère permise par les Pouvoirs publics (FDA aux US) on a assisté à une explosion des surpoids et des malades cardio-vasvulaires. Le lobby du sucre a tué prématurément des millions de personnes et gâché la vie de touts ceux qui y ont cru. -
@Legestr glaz
si tu as une couille, elle aura besoin de fructose donc tu as besoin de glucides qui seront moins fatiguant que de les fabriquer. tu auras juste un problème de foie sans glucide. -
@foufouille
Quel est le métabolisme du fructose dans l’organisme foufouille ? Votre couille n’a absolument pas besoin de fructose !
Je consomme très très peu de fructose, je ne mange pas de fruits hormis des fraises des framboises et des myrtilles et en très petite quantité.
Les glucides représentent un nutriment non essentiel pour le corps humain puisque l’organisme sait le synthétiser à partir de substrats non glucides. Vous avez toute une éducation à refaire. Mais vous pouvez vous améliorer en cessant de confondre « glucides » et « glucose ».
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@JL
Je pense exactement comme vous. Big agri et big Pharma dans leurs oeuvres ! -
@Legestr glaz
http://www.uvt.rnu.tn/resources-uvt/cours/Biochimie-metabolique/ch7/Chapitre-3/Section-3-4.html
c’est évident que ce sont des menteurs car pas khmer vert avec science infuse.
ton foie n’est pas conçu pour bosser sans cesse à produire des glucides. -
@foufouille
Il ne bosse pas sans cesse pour fournir du « ’glucose ». Foufouille ne fait toujours pas la différence entre « glucose » et « glucides ». Mauvais. élève ?
Le foie n’a pas besoin de fournir du glucose en permanence à l’organisme. Il lui en. faut, en fait, très peu. En l’absence d’alimentation glucidique, l’énergie provient des lipides. en produisant des corps cétogènes que le cerveau adore ! En ce qui concerne le « glucose » (pas les glucides, hein foufouille) le glucagon fait les remises à niveau. Cherchez régime cétogène et vous comprendrez foufouille !
Et pour le foie, si l’organisme ne consomme pas de fructose, il n’y a aucune surcharge, n’est-ce pas foufouille !
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@Legestr glaz
il t’en faut 200g par jour minimum et disponible immédiatement, stocké dans le muscle.
ton organisme consomme du fructose comme tout le monde et c’est obligatoire sinon big problème comme écrit dans mon lien. -
@foufouille
Je ne consomme pas de fructose. Je vais très bien.Prenez vos renseignements, vous écrivez des bêtises peu communes !
https://www.chuv.ch/fileadmin/sites/cms/documents/le_re__769_gime_ce__769_to ge__768_ne_final.pdf
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@Legestr glaz
j’ai mes renseignement dans des liens non vert et non vendeur de régime magique donc sans de très grosses conneries. -
@Legestr glaz Beaucoup d’approximations dans ce que vous dites ! Premièrement si les lions, carnivores, peuvent produire de la vitamine C, et que les êtres humains eux ne produisent pas de vitamine C et donc sont obligés de manger des plantes pour vivre, c’est bien que les êtres humains ne sont pas carnivores.
Ensuite, l’omnivorité de l’être humain n’est pas l’omnivorisme idéologique que prône la société chrétienne. L’omnivorité est un mécanisme de survie, car nos ancêtres se sont mis à voyager dans les régions non équatoriales et ont donc dû faire face à des conditions climatiques, particulièrement l’hiver, nécessitant de consommer des produits animaux. Mais en temps d’abondance végétal, nul besoin de consommer ces produits animaux qui, s’ils permettaient à nos ancêtres de survivre jusqu’à l’âge d’accouplement, ne les permettait pas d’optimiser leur longévité...
Les phytates sont très bons pour lutter contre le cancer notamment. Et non, l’ennemi moderne de l’être humain sont les produits raffinés et industrialisés, c’est-à-dire les glucides simples, la farine blanche, le pain et les pâtes blanches, etc, qui produisent un pic de glucose, comme un shot de glucose pour l’organisme... qui dérègle le métabolisme et posent des problèmes avec l’insuline. Au contraire, les glucides complexes, comme les grains entiers sont digérés différemment à cause des fibres nécesssaires à la bonne santé intestinale. Bien sûr, certaines personnes sont sensible au gluten, mais cela reste marginal. Les grains entiers, les légumineuses sont associés à des risques moins élevés de mortalité de morbidité toute cause confondue, comme l’ensemble des aliments végétaux. -
@foufouille
Je fournis des renseignements qui ne peuvent être mis en doute.
Les végétaux contiennent des antinutriments néfastes à lhomme. Les céréales, le soja, diverses graminées, etc.
Alors, lorsque vous parlez de « liens non verts » je crois bien que vous n’avez rien compris du tout. Je critique la nature inflammatoire de nombreux végétaux. Ce genre de critique est absente des« liens verts » dont vous faîtes état !
Je ne parle pas de « régime ». Je dis qu’il fait éloigner les végétaux toxiques de l’alimentation humaine parce que notre système enzymatique ne peut pas digérer certaines plantes. Vous comprenez ça ? Tout l’organisme, comme le cerveau par exemple, a des besoins absolument indispensables en lipides, en bonnes graisses et en cholestérol.
Il vous suffit de vous renseigner, si vous en avez envie. Le bon sens est ce qu’il y a de mieux partagé. Aussi, vous devriez en faire preuve. (je ne consulte pas des liens vert mais des données scientifiques en relation avec la chimie et la biologie).
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@Legestr glaz
on a pas les mêmes et pour moi ton charabia est similaire au grand machin vert. mis à part les cas spéciaux ou manger des patates crues, ça n’a rien de bon sens qui n’est pas scientifique. -
@foufouille
C’st bien ce que j’écrivais, sans volonté de comprendre on ne peut pas comprendre. Je ne vous en veux pas pour autant.
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@Legestr glaz
C’est tout de même étrange ce que vous racontez. Tous les végétaux (légumes, fruits, légumineuses, céréales complètes, noix, etc) sont associés à une diminution des risques de mortalité et de morbidité toute cause confondue dans la littérature scientifique.Vous parlez de phytooestrogène du soja, mais pas des oestrogènes du lait de vache ! Or il a été démontré en long en large et en travers que les phytooestrogènes du soja ne dérèglent pas le métabolisme humain, contrairement aux oestrogènes du lait de vache... car ceux du soja sont captés par un différent récepteur, et en fait ils permettent de réduire les risques de cancer du sein, par exemple, contrairement aux oestrogènes du lait de vache qui sont un facteur de croissance des tumeurs !
Les seuls antinutriments qui existent sont les nutriments présents dans les produits animaux : le cholestérol alimentaire (notre corps produit déjà tout le cholestérol dont nous avons besoin), les graisses saturées, les produits cancérigènes de cuisson des produits animaux, les déchets toxiques bactériens, les pesticides et autres métaux lourds qui s’accumulent dans les tissus animaux (beaucoup plus que dans les végétaux), et j’en passe...
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@Abolab
Ne fuyez pas la réalité. Les plantes contiennent des antinutriments et toute la littérature scientifique commente largement ce fait.
https://www.acteur-nature.com/articles-divers-sur-le-monde-du-bio-et-du-naturel/les-anti-nutriments-ou-la-face-cachee-des-aliments-dorigine-vegetale.htmlTapez « antinutriments » sur n’importe quel moteur de recherche, ce que vous n’avez pas fait compte tenu de la teneur de votre réponse. Les plantes incriminées sont principalement les céréales et le soja (c’est une véritable saloperie mais le « marketing » à son endroit est très efficace !).
Je suis d’accord avec vous ,en revanche, sur le fait que le corps produit 80% de notre cholestérol parce qu’il en a rudement besoin.
C’est de la contre-information que vous faîtes passer en évoquant la dangerosité de la viande et de la graisse animale en regard des antinutriments des céréales et du soja. Je mettrai dans le même panier les glucides, tous les glucides, simples ou complexes, que l’industrie alimentaire nous fait avaler à longueur de journée.
Concernant les graisses trans, une différence importante est faite par la science entre celles d’origine « naturelle » et celles d’origine industrielle. Documentez vous.
https://www.anses.fr/fr/content/les-acides-gras-trans
Contrairement à une légende qui circule, les lipides de la graisse animale ne sont pas mauvais pour la santé, bien au contraire. Un ami inuit me le rappelait justement.
Pour le soja, c’est juste dessous.
http://infoalternative.over-blog.fr/article-le-soja-pas-tres-recommandable-60401753.html
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@Legestr glaz,
Vous répétez, de source peu sérieuse, votre propagande scientifiquement infondée contre les phytoestrogènes, alors que le vrai danger, ce sont les oestrogènes animaux comme ceux présents dans le lait de vache.
Aucune étude scientifique sérieuse ne vient étayer votre théorie selon laquelle des anti-nutriments présents dans les végétaux couramment cultivés et consommés de manière raisonnée, sous leur forme intacte et non transformée, seraient dangereux pour la santé.
C’est une théorie dont l’unique objectif est de faire peur aux gens : « les méchants végétaux naturels sont dangereux, manger des produits industriels raffinés, carnés et lactés ! »
Bien au contraire, toutes les études épidémiologiques montrent que la consommation de fruits, légumes, légumineuses, noix, céréales complètes,etc. sont bénéfiques en terme de longévité et de protection contre les maladies.
Et on trouve la corrélation opposée avec tous les produits animaux : la consommation de ces derniers augmentent les risques des principales causes de morbidité et de mortalité (cancers, maladies cardiaques, AVC, etc), et diminuent l’espérance de vie.
Aucun « nutriment » présent dans les produits animaux ne peut se trouver sous une forme plus saine dans le domaine végétal, excepté la vitamine B12, qui n’est pas de source animale, mais créée par des micro-organismes du sol et la vitamine D3, produite par notre peau grâce à l’exposition modérée au soleil.
Nous n’avons ainsi aucune dépendance physiologique naturelle aux produits animaux, et ces derniers ne sont pas nécessaires à notre alimentation. Etant nous-mêmes des animaux, nous produisons tout notre cholestérol, carnitine, etc., et autres composés que l’on trouve chez les autres animaux également (à moins d’avoir une maladie génétique rare, mais même dans ce cas, des suppléments, par exemple de carnitine, existent).
Pas besoin de manger des animaux pour ingurgiter ce que votre corps produit déjà... car le surplus de ces composés, comme le cholestérol, dérègle en fait notre métabolisme ainsi que l’expression des gènes nécessaires à son bon fonctionnement...
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@pemile
le moins de 1%, c’est la maladie coeliaque. En revanche, bien plus de gens sont intolérants (et non allergiques) au gluten. Si peu d’études ont été faites et surtout publiées, un médecin naturopathe ou un nutritionniste sérieux constatera de visu, comme j’en ai moi-même fait l’expérience, l’amélioration sensible de l’état des patients affligés de diverses maladies. Il est intéressant aussi de suivre le physique des populations qui traditionnellement ne consomment pas de blé et de comparer notamment avec leur progéniture qui elle s’adonne au régime US et européen. Les véritables preuves se font par empirisme, sur cas réels en situation réelles et non sur des rats en laboratoire. Cela s’est vu aussi sur la performance des sportifs. Il est scientifiquement prouvé qu’il y a un lien entre les états dépressifs (et autres désordres mentaux) et le gluten. Un intestin abîmé et rendu perméable est la porte ouverte à toute les complications. Mais c’est difficile à faire admettre à des populations qui culturellement consomment du pain en quantité et encore moins aux industries céréalières qui préfèrent continuer à vendre leurs farines et produits dérivés et transformés bourrés d’OGM et de pesticides... Je publierai un article sur le gluten avec différents liens menant à des études scientifiques.. -
@Abolab
Les hommes du paléo étaient végétariens et ils dessinaient des scènes de cultures maraichères sur les murs de leurs grottes. Ces dessins de carottes et de poireaux restent encore vivaces dans nos esprits. C’est évident n’est-ce pas ! Les Inuits se régalaient de brocolis et de laitues. C’est aussi pour leur plus grand plaisir que les Maasaïs dérobent la nourriture, les navets et les courges, qu’ils disputent aux lions !
https://www.maxisciences.com/lion/quand-des-maasai-tentent-de-voler-la-nourriture-des-lions_art34246.htmlJe vous signale une seule chose, la « fameuse » étude des « Seven countries » d’Ancel Keys sur laquelle repose la répartition des macro nutriments de l’alimentation occidentale à savoir environ 50% de glucides. C’était une étude totalement biaisée. D’ailleurs, des chercheurs ont depuis, de nombreuses fois, démontré le biais méthodologique de cette étude. Les glucides sont mauvais, même très mauvais, pour l’organisme humain. Les céréales sont mauvaises pour l’organisme humain puisqu’il ne possède pas le système enzymatique adapté pour les digérer. En revanche, pour la graisse et la viande animale, l’être humain est bien équipé. C’est sa nature !
Et non, les lipides ne conduisent pas l’être humain aux maladies cardio-vasculaires. Ce sont les « glucides » qui sont la source de toutes les maladies métaboliques. Actuellement toutes les populations du globe vivent une épidémie, voire une pandémie, d’obésité et de diabète de type 2. Et se sont le lipides qui seraient en cause ? Tous les produits allégés de nos braves supermarchés n’arrivent pas à changer cette donne désastreuse.
Nous avons évidemment une dépendance naturelle aux animaux. Il y a des vitamines que l’être humain n’arrive pas à trouver en quantité dans l’alimentation végétale. Le problème n’est pas de consommer des animaux mais de les respecter, de respecter leur nature ! Pour les vaches c’est de manger du foin dans les prés et pas du maïs dans des stalags !
Mais évidemment, il faut manger des légumes, tous les légumes verts, en priorité ceux qui poussent au dessus du sol. Les légumes verts apportent les vitamines et les oligo-éléments à l’organisme humain. Pas besoin de fruit. Ces derniers ont été sélectionnés, de décennies en décennies, pour contenir de plus en plus de sucre.
Je vous renvoie au livre de Lierre Keith « le mythe végétarien ».
D’où vient l’azote nécessaire aux cultures végétales ? Vous le savez ? Réfléchir à cette simple question c’est prendre le problème par le bon bout. Les monocultures des céréales et du soja ne vous posent pas de problèmes ?
https://fr.sott.net/article/26592-Ancel-Keys-graisses-cholesterol-et-60-ans-de-propagande-mensongere
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@Alex Plus que le gluten, c’est le raffinement de la céréale (farine blanche, pain blanc, etc) qui est source de complication. L’intolérance au gluten a d’ailleurs peut-être sa source au départ dans la consommation de céréales raffinées, et non dans la consommation de céréales intactes et entières en soi.
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@Legestr glaz, les dessins d’animaux dans les grottes préhistoriques sont aujourd’hui interprétées dans la littérature scientifique comme étant des cartes célestes des constellations, et non des peintures primitives de chasse. C’est rendre nos ancêtres moins intelligents qu’ils ne l’étaient vraiment que de croire qu’ils vouaient un culte à la chasse des animaux. Au contraire, ils avaient beaucoup de respect pour les animaux et pour la nature dans son ensemble, chose qui s’est perdue aujourd’hui. C’est pourquoi, ils prêtaient aux constellations des formes animales, ce qui a survécu encore aujourd’hui.
Ensuite concernant votre remarque sur les glucides, vous mélangez tout et n’importe quoi. Les glucides simples et raffinés sont effectivement problématiques pour la santé, mais les glucides complexes, tels que présents dans les féculents, tubercules ou céréales complètes, sont très bénéfiques pour la santé et notre source principale d’énergie depuis que nous avons commencé à évoluer et nous différencier des grands primates. Ces glucides complexes sont la raison de l’accroissement spectaculaire de notre cerveau, et une modification génétique de notre patrimoine en atteste : nous avons commencé à produire plus d’amylase salivaire, ce qui nous a permis de commencer le travail de digestion des féculents lors de la mastication. Preuve évolutionniste de plus que les glucides complexes étaient notre ressource énergétique principale.
Concernant les maladies cardio-vasculaires, de multiples théories et chemins explicatifs existent et peuvent s’additionner les uns aux autres, mais leur point commun est qu’ils sont tous liés à la consommation de produits animaux, riche en cholestérol et en graisses affectant la santé de l’endothélium, et perturbant également notre flore intestinale, ce qui amène à la production de composés dérivés toxiques pour l’organisme, comme le TMAO.
Finalement, le fructose des fruits n’est pas le fructose de certains produits transformés industriels. Le fructose des fruits est lié aux fibres alimentaires, et dans sa forme naturelle, le fructose des fruits n’est pas nocif, au contraire, la sous-consommation de fruits étant généralement considérée comme une première cause de mortalité précoce au niveau mondial.
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@Claire
Les légumes verts, dont la liste est très longue, apportent les antioxydants naturels à l’organisme. Pas besoin des fruits sélectionnés par l’industrie agro-alimentaire pour devenir des puits de sucre.Maintenant je ne vais pas me « battre » sur Agoravox pour démontrer que les glucides sont mauvais pour la santé humaine. Les lobbies sont à l’oeuvre pour faire avaler ces « bons » glucides« et ces »Bonnes céréales« à l’être humain.
En ce qui me concerne, je ne mange que des légumes verts, ceux qui poussent au dessus du sol, quelques légumes racines que je sélectionne avec attention en considérant leur teneur en glucides. 60% des calories journalière de mon alimentation proviennent des lipides (huile d’olive et graisse animale en abondance), 30% des protéines (viande animale, surtout des viandes grasses) et 5% des glucides. Ceci veut dire : pas de céréales, pas de farine, pas de riz, pas de pommes de terre, pas de pâtes, pas de pain, pas de féculents. Je mange beaucoup de poissons »bleus« (maquereaux et sardines), de la morue et je consomme tous les jours, soit de l’huile de Krills soit de l’huile de foie de morue.
Et alors, avec tous ces lipides et ces graisses animales, ma santé devrait chanceler. Et bien, figurez vous que je suis dans une forme extraordinaire, que tous mes bilans sanguins sont ceux d’un homme de 20ans et, à ce qu’il paraît, je fais 15 ans de moins que mon âge. Et vous savez quoi ? tous mes amis et toutes les personnes que je rencontre, compte tenu de ma vitalité, se pressent pour se nourrir de la même manière que moi. Et si saviez le nombre de personne qui ont guéri de dysfonctionnements qu’elles trainaient depuis des années en changeant leur alimentation, vous réfléchiriez plus avant sur le rôle néfaste des glucides dans l’alimentation. En résumé, je me porte beaucoup mieux que ces personnes qui consomment 50% du glucides et qui en deviennent tout bedonnant, avec de la graisse viscérale qui envahit leur corps.
J’ai, quant à moi, passé la cinquantaine, et j’ai un corps d’un homme de 20 ans.L’actrice Halle Berry a plus de 50 ans. Ecoutez là parler de son alimentation ! Il n’y a pas de »secret", les glucides sont à écarter au profit des lipides !
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@Abolab
et les restes d’os animaux sont venus par magie dans la grotte ......
ton régime t’a rendu totalement fou. -
@foufouille, Cela ne vous ai jamais venu à l’idée que les restes d’os d’animaux trouvés dans des grottes puissent être le reste du repas des animaux vivant dans ces grottes ? Ours, fauves, etc... Clairement, ces grottes, comme la grotte de Lascaux, n’étaient pas des lieux d’habitation pour nos ancêtres.
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@Legestr glaz Nous en reparlerons dans 20 ans, si vous êtes toujours de ce monde.
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@Abolab
Il y a des notions qui vous échappent. Les glucides « complexes » ont la même destinée dans l’organisme humain que les simples. Les glucides complexes finissent leur vie en glucose ! C’est ballot n’est-ce pas ? Et je ne parle pas ici des fibres, solubles et non solubles.
La consommation de glucides, simples et complexes, fait intervenir puissamment l’insuline. L’insuline c’est l’hormone régulatrice des graisses. C’est elle qui décide du stockage des graisses. Le glucagon, en revanche, décide du déstocke des graisses. Intéressez-vous à lipoprotéine lipase et à lipase hormone sensible pour comprendre le fonctionnement de l’insuline et du glucagon dans nos cellules graisseuses.
Je vais être bon prince et vous conseiller la lecture du livre du docteur Jason Fung « code obésité ». Vous y apprendrez comment fonctionnent les glucides complexes, puisque, visiblement, vous l’ignorez ! Le fructose des fruits est très mauvais. Sachez le ! Un petit cours sur le métabolisme du glucose. C’est du sérieux.
http://calamar.univ-ag.fr/deugsv/Documents/Cours/Bioch-Zinsou/Fructose.pdf
https://www.amazon.fr/Code-Obesite-Savez-Perte-Poids/dp/2895687072/ref=sr_1_1 ?ie=UTF8&qid=1548582255&sr=8-1&keywords=code+obésité
Concernant les peintures pariétales, vous avez vraiment la tête dans les étoiles. On voit bien sur les murs des grottes des mammouths attaqués par des étoiles filantes ! Vous avez raison, il ne s’agit que d’une affaire d’interprétation !
https://www.alamyimages.fr/photo-image-peinture-de-replique-de-la-grotte-daltamira-cueva-de-altamir-situe-pres-de-la-ville-historique-de-santillana-del-mar-en-cantabrie-espagne-est-repute-pour-ses-nombreuses-peintures-parietales-avec-des-dessins-au-fusain-et-peintures-polychromes-de-la-faune-locale-et-la-main-de-lhomme-cree-entre-18-500-et-14-000-ans-pendant-le-paleolithique-superieur-par-paleo-colons-humains-les-premieres-peintures-rupestres-de-la-grotte-ont-ete-executes-autour-de-35-600-ans-166080239.html -
@Abolab
Vous êtes en pleine dissonance cognitive ma parole !
Peut être avez vous entendu parler du docteur Weston Price ? Vous devriez vous intéresser à ses recherches.
Je vous signale qu’il n’existe dans le monde aucune civilisation, aucun groupe humain, qui fut végétarien. Cela n’existe pas ! Le végétarisme est une mode récente, une idéologie nouvelle.
Vous niez la réalité humaine, vous niez la constitution chimique humaine qui est adaptée à la consommation de viande et de graisses animales. L’homme est devenu ce qu’il est, avec un « gros » cerveau qui le distingue de toutes les autres créatures, grâce à son alimentation ! La découverte de l’agriculture et de l’élevage c’était il y a entre 10.000 et 8000 ans, une minuscule période si l’on doit considérer les 2 millions d’années durant lesquelles l’être humain s’est passé de céréales ! CQFD, mais vous pouvez aussi le nier !
https://www.westonaprice.org/fr/health-topics/principes-de-regimes-alimentaires-sains/
https://www.rebelle-sante.com/rebelle-santé-n°-148/alimentation-santé/les-travaux-du-dr-weston-price
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@Legestr glaz, sauf que les glucides simples sont directement absorbés dans le sang, créant un pic de glucose dérèglant le métabolisme et la production d’insuline, contrairement aux glucides complexes, dont seule une partie est absorbée, le reste finissant dans vos toilettes avec les fibres excrétées. Pas de pics de glucose avec les glucides complexes. Et l’effet protecteur contre les pics de glucose peuvent même s’étaler à plusieurs repas : si vous mangez des légumineuses lors d’un repas, les repas suivants, vous diminuez l’absorption des glucides simples potentiellement présent dans votre alimentation, c’est ce qui est appelé l« ’effet du deuxième repas » ("second-meal effect) associé par exemple aux légumineuses, dans la littérature scientifique.
Non, l’insuline est l’hormone régulatrice du sucre, pas des graisses. C’est pour cela qu’il y a production d’insuline après absorption de sucres simples : pour en réguler la quantité. L’insuline s’attache à un récepteur dans les cellules qui produit une enzyme qui enclenche à son tour une réaction enzymatique en chaîne responsable du transport du glucose vers la cellule. Mais si vous mangez trop gras, vous saturez les cellules de dérivés toxiques et de radiaux libres qui bloquent le transport du glucose, et le sucre s’accumule alors dans le sang... C’est la résistance à l’insuline du diabète de type 2.
Les fruits sont très bons pour la santé !
Enfin, vous n’avez aucune preuve que ces peintures rupestres soient faites par des homo sapiens... elles datent du paléolithique...
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@foufouille
Les silex taillés, les lances et les flèches, devaient servir, selon Abolab, à éplucher les légumes !
Et ötzi avait un équipement qui comprenait une binette, un sarcloir et un râteau !
« Des études ont tout récemment révélé que sa garde-robe, soigneusement travaillée, comprenait des cuirs de cinq races animales différentes, dont de l’ours, du chevreuil et du mouton. Ötzi a également été retrouvé porteur d’un équipement complet comprenant notamment une hache en cuivre - sans doute l’un des objets les plus convoités de son temps -, un poignard à lame de pierre, un carquois, une pierre à aiguiser, de l’amadou pour allumer le feu et un nécessaire médical. »
https://fr.wikipedia.org/wiki/ÖtziAinsi donc, pour Abolab, les peintures pariétales sont une représentation de l’univers, les restes animaliers dans les cavernes ont été apportés par les animaux, et les outils des hommes du paléo étaient des outils agraires ! Mais il faut croire à la version d’Abolab !
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@Legestr glaz, je ne connais pas le dentiste Weston Price... sur sa page wikipedia en anglais il ne dit pas autre chose que la farine, le sucre et les huiles végétales causent une mauvaise santé dentaire. Donc des sucres simples et de la graisse, bien évidemment cela ne peut être que mauvais pour la santé.
Toutes les populations humaines, dans l’histoire connue et relatée, qui ont réussi basaient leur alimentation sur les glucides complexes et les féculents : que ce soit le quinoa des incas, le sarrasin ou le riz en Asie, le blé en Europe, le maïs en Amérique du Sud, et même les gladiateurs romains se nourrissaient principalement d’orge.
L’homme n’est pas du tout adapté à la consommation de produits animaux, et les populations d’hominidés qui s’y sont aventurées ont aujourd’hui disparu.
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@Abolab
Lisez et complétez votre information. Vous écrivez des contrevérités.
Concernant les hommes du paléo, comme mentionné dans un précédent post, vous niez la réalité pour faire coïncider votre idéologie avec votre « vision » des choses. Cela s’appelle de la dissonance cognitive. Les silex taillés, les couteaux et les flèches servaient à quoi au paléo ?
Mais comme vous me répondez sans même prendre le temps de lire les documents que je mets à votre disposition, vous continuez sur votre ligne de pensée sans tenir compte de la réalité scientifique. Il suffit de vous lire concernant les glucides simples et les glucides complexes pour comprendre que vous êtes totalement à côté de la plaque. Vous ramez pour donner du sens à ce que vous pensez.
Vous confondez allègrement glucides complexes et fibres (solubles et insolubles, ces dernières finissant, effectivement, dans les toilettes). Mais la destinée des glucides complexes n’est pas celle des fibres insolubles !
Juste pour votre information : "
Les glucides assimilablesCe sont des glucides que nos enzymes digestives sont capable de digérer. On parle ici de glucides simples ou de glucides complexes.
Les « glucides simples » sont des molécules de glucose rapidement assimilables.
les « glucides complexes » sont des molécules de glucose liées entre elle et qui demandent un certain temps de digestion pour être métabolisées.https://www.toutelanutrition.com/wikifit/guide-nutrition/nutrition-sportive/apports-energie
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@Legestr glaz, Si votre modèle alimentaire, comme celui d’une grande partie de l’Occident et maintenant de la planète, est celui de l’homme de Néanderthal, mais en pire, avec le raffinement des végétaux, libre à vous, mais n’oubliez pas ce qui lui est arrivé, à ce lointain cousin.
Vous remettez au goût du jour la théorie des glucides lents et des glucides rapides, aujourd’hui abandonnées. Ce n’est pas comme cela que la digestion fonctionne. Les glucides simples sont plus facilement assimilés, tandis que les glucides complexes le sont moins.
C’est tout simple, ne compliquez pas plus les choses...
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@Legestr glaz, les silex taillés servaient à nos ancêtres à couper le bois afin de confectionner leurs huttes et abris. Les lances servaient à se défendre contre les animaux sauvages et les attaques d’autres hominidés.
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@Legestr glaz Vos sources ne sont aucunement scientifiques... Vous ne faites que conforter votre croyance dans le fait que l’alimentation idéale est celle de l’homme de Néandhertal, c’est-à-dire l’omnivorisme chrétien tel que prôné par l’industrie agro-alimentaire et le gouvernement.
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@Abolab
Je ne ramène pas au goût du jour la théorie des glucides lents et des glucides rapides. Vous écrivez n’importe quoi, vous interprétez selon ce que vous voulez me faire dire. La notion de glucides lents et rapides est totalement obsolète ! Il faut davantage examiner la situation du point de vue de l’augmentation de la glycémie, par conséquent de considérer l’index glycémique et, plus encore, la charge glycémique des aliments. Vous voyez que nous sommes à mille lieues des sucres lents et rapides !
Figurez vous que le pain est considéré, de part sa composition en farine, comme un glucide complexe. Pourtant, il réagit dans le corps pratiquement à la vitesse du glucose. Je pense que l’état de vos connaissances n’est pas satisfaisant pour comprendre le devenir des glucides, des lipides et des protéines dans l’organisme. Vous pêchez par manque d’informations et par idéologie. En réfutant l’idée que les hommes du paléo étaient des « viandards » vous essayez de défendre votre opinion mais vous faites face à la réalité !
Seriez vous un représentant de l’industrie agro-industrielle ?
Et la simple question de « l’azote », vous n’y avez même pas répondu. Alors vous séchez ? Je vous repose la question, vous qui défendez les céréales et autres cultures comme celle du soja. Que mangent ces plantes ? D’où vient l’azote nécessaire à leur croissance dans les monocultures actuelles ? Vous le savez ?
Encore une fois, je vais venir vous éclairer :L’activité agricole vient puiser dans les réserves d’azote réactif contenues dans le sol. Au cours de sa croissance, la culture absorbe de l’azote qui sera exporté hors du sol au moment de la récolte. Il doit donc être restitué à l’aide de sources d’azote organique ou minéral. Le recours aux engrais de ferme ou minéraux, est un élément essentiel d’une agriculture durable. Un manque d’azote se traduit par un affaiblissement de la fertilité du sol, une baisse des rendements et de la qualité des récoltes. Appliqué en excès sur le sol, l’azote peut en revanche s’infiltrer dans les eaux souterraines, causer une eutrophisation des eaux de surface ou s’échapper dans l’atmosphère, contribuant ainsi à la pollution et au réchauffement climatique
Les engrais minérauxLes principaux types d’engrais minéraux azotés utilisés en Europe sont :
- l’ammonitrate 33.5% (AN) contient l’azote sous forme d’ion ammonium (NH4+) et d’ions nitrates(NO3-) à part égale. L’ammonitrate 27% (CAN) contient en plus de la dolomie ou du carbonate de calcium
- l’urée se compose d’azote sous forme uréique (ou amide) (NH2). .
- La solution azotée (UAN) est un mélange liquide d’urée et de nitrate d’ammoniaque.
D’où vient l’azote dans les monocultures qui sont la règle aujourd’hui ? Des engrais de ferme ou de la chimie ? Quelle est l’empreinte carbone de la production d’azote ?
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@Abolab
ils vivaient dans des grottes et s’habillaient avec des peaux d’animaux. -
@Abolab
L’industrie agro-alimentaire fait le forcing sur la consommation de céréales, de soja et de produits dit « allégés » en graisse. Ce n’est absolument pas la vision de l’alimentation que je préconise. Je vous en prie, ne parlez pas pour moi. Vous n’arrivez pas à faire les liens les plus évidents entre surcharge en glucides et maladies de civilisation, comme on appelle aujourd’hui les maladies métaboliques, sans parler des maladies dégénératives dues à une alimentation trop glucidiques ! Les céréales sont pleines de glucides et font monter, toujours, la glycémie, ne vous en déplaise !
Vous savez que vous pouvez faire des progrès dans le domaine de la compréhension du fonctionnement de l’organisme humain. A condition de le vouloir !
Vous me dîtes que mes sources ne sont pas scientifiques alors que vous ne les avez même pas consultées ! Vous n’êtes pas vraiment sérieux. Mais je n’oublie pas que chez vous, la tête dans les étoiles, c’est votre idéologie qui est à l’oeuvre et la dissonance cognitive suit son chemin.
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@Legestr glaz. « empreinte carbone » ? Encore assez infantile pour gober le matraquage de propagande ?
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@JC_Lavau
Je parle de l’empreinte carbone parce que c’est l’argument avancé par les végétarien, souvent, sans prendre en considération l’énergie qu’il faut déployer pour produire l’azote nécessaire aujourd’hui à l’agriculture productiviste et aux immenses exploitations dédiées à la monoculture. L’azote est produite dans des usines qui utilisent l’énergie fossile. Voilà ce que je voulais au précédent intervenant.
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@Legestr glaz. Autrement dit c’est un problème minier.
Les problèmes miniers sont très réels, eux.
Il est certain que la houille est fossile.
C’est bien moins certain pour le pétrole et le gaz. Voire le bitume dont il existe quelques étranges mines dans le Massif central. -
@Legestr glaz, je ne suis un représentant de personne, sinon de l’humanité, ne développez pas des signes de paranoïa.
Vous confondez le concept de « biais de confirmation », propre à la pseudoscience, et celui de « dissonance cognitive », qui témoigne d’un état mental contradictoire, par exemple entre ce que l’on dit et ce que l’on fait, entre ce que l’on pense et ce que l’on voit.
Même l’inventeur de l’index glycémique, David J.A. Jenkins contredit vos propos et affirme que nos ancêtres se sont développés à partir d’une alimentation essentiellement végétale, pauvre en cholestérol, riche en fibres, et avec des glucides complexes, c’est-à-dire sous forme diluée (contrairement aux glucides simples issus des céréales raffinées et/ou transformées). Il recommande même une alimentation végétale.
Oui, les hommes du « Paléo », comme vous les appelez, comme l’homme de Néanderthal, mangeaient de la viande, mais ce n’est pas l’alimentation de l’Homo Sapiens, à grande prédominance végétale.
Vous ne semblez pas bien connaître les mécanismes agricoles et l’écologie des sols. Les engrais, particulièrement chimiques, sont terribles pour la chaîne trophique du sol, et sont de véritables drogues chimiques pour les plantes. Nul besoin d’engrais azotés quand la rotation de cultures appropriées peut rétablir les carences en azote d’un sol, ce que l’on appelle les « engrais verts ».
Nos terres agricoles sont issues de la déforestation, et c’est le sol forestier que nous épuisons aujourd’hui avec de mauvaises pratiques agricoles, comme les amendements animaux ou les engrais chimiques.
Ces engrais chimiques peuvent de plus contenir, selon leur origine d’extraction, des résidus radioactifs comme le polonium pour les engrais phosphatés, qui contaminent les sols et les cultures.
Les seuls mécanismes de pédogénèse capables de rendre une terre fertile dans la durée, sont ceux à l’oeuvre dans les forêts, qui sont très différents des engrais chimiques ou des engrais biologiques animaux, comme l’a démontré Gilles Lemieux avec le Bois Raméal Fragmenté.
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@Abolab
C’est très exactement le contraire de ce que vous dites. L’homme est totalement adapté à l’alimentation animale, son système enzymatique le prouve. La culture des céréales dont vous faîtes était constitue l’alimentation de l’homme depuis moins de 10000 ans. Ceci n’est absolument rien en rapport aux 2 millions d’années de présence de l’homme sur la planète. Durant 2 millions d’années nos ancêtres se sont passés de céréales. Mais diable, comment ont-ils survécu ?La nourriture à base de glucides, qui est celle de l’alimentation moderne, dont les céréales et le soja forment le fer de lance, conduit aux maladies métaboliques. Je vous souhaite simplement d’y échapper. Tous les peuples étudiés par le docteur Price étaient omnivores. Ils mangeaient tous de la viande ou du poisson ! Il n’y a strictement aucun exemple inverse. Si vous en trouvez un, je suis preneur. Des peuples végétariens, cela n’existent pas. Comment ont survécu les Inuits à votre avis ? En mangeant des salades ?
Mais vous restez bloqué dans votre idéologie refusant de voir la nature exacte de l’être humain. Jamais, au grand jamais, l’homme ne s’est nourri simplement de végétaux. Ni en Polynésie, ni en Afrique, ni en Europe, ni en Arctique, ni en Mélanésie, nulle part, les peuplades traditionnelles se sont nourris exclusivement de végétaux ! Si vous avez la preuve du contraire vous pouvez l’apporter !
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@foufouille, Etes-vous Néandhertalienne ? A titre personnel, mes ancêtres vivaient dans des huttes en bois, végétales.
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@Legestr glaz, en effet notre système enzymatique le prouve : en utilisant les glucides complexes comme première source énergétique, nous avons muté génétiquement et développé la capacité de produire beaucoup d’amylase salivaire afin de digérer ces glucides, présents dans les tubercules, céréales et autres féculents. C’est ce qui a permis à notre cerveau de se développer.
C’est d’ailleurs pourquoi le gène de l’amylase salivaire est aussi lié à l’obésité : une alimentation grasse, raffinée et riche en produits animaux, pauvres en fibres et glucides complexes est caractéristique de l’obésité et dérégule l’expression du gène de production de l’amylase salivaire.
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@Abolab
Sans blague, nous avons « muté » génétiquement ? Vous dîtes n’importe quoi. Savez vous combien d’années il faut à l’être humain pour muter génétiquement ?
Je vais vous dire votre problème. Lorsque j’écris que les glucides, simples et complexes, sont mauvais pour l’organisme humain, vous êtes très mal. En effet, la source principale des végétariens pour leur alimentation est constituée de glucides. l’ATP des végétariens est fourni principalement par les sources de glucides. Les végétariens, contraints et forcés, ne peuvent pas faire autrement que de consommer des glucides. Glucides qui font monter la glycémie et sollicitent en permanence le pancréas pour la production d’insuline. Et ainsi naissent les maladies métaboliques, les maladies dégénératives et les cancers, parce que les cellules cancéreuses se nourrissent de glucides !
Je vais vous faire 2 cadeaux. Le premier concerne les index glycémiques et les charges glycémiques des aliments. Ainsi vous aurez l’occasion de vérifier comment fonctionne les glucides complexes, ce que visiblement vous n’avez jamais fait !
http://paleo-regime.fr/wp-content/uploads/2015/01/tableau-charge-glycemique-comparatif.pdfLe deuxième cadeau, si dans vos connaissances vous avez, malheureusement des personnes atteintes du cancer, sera dédié à cette maladie dégénérative.
https://www.amazon.fr/Régime-cétogène-contre-cancer/dp/2365490964/ref=sr_1_1 ?ie=UTF8&qid=1548603357&sr=8-1&keywords=le+régime+cétogène+contre+le+cancerPour l’obésité je vous ramène à l’excellent livre du docteur Jason Fung « code obésité ». Vous y découvrez comment l’insuline est l’hormone à l’origine de l’obésité et du diabète de type 2.
Bonne lecture et sortez de votre idéologie ! Je vous ai fourni suffisamment de liens pour que vous puissiez vous faire votre propre idée, à condition de le vouloir naturellement. Lorsque je lis, sous votre plume « une alimentation grasse, raffinée et riche en produits animaux, pauvres en fibres et glucides complexes est caractéristique de l’obésité et dérégule l’expression du gène de production de l’amylase salivaire », vous me faîtes penser aux recommandations appliquées par la majorité de la population occidentale, mais pas que, recommandations provenant des lobbies agro-industriels, et l’on voit le résultat. Rien que des gens en bonne santé grâce aux produits allégés en graisses ! Un recul phénoménal des maladies cardiovasculaires, des cancers, de l’obésité, du diabète de type 2, des maladies dégénératives, des maladies métaboliques. Sans doute, ces personnes qui suivent les recommandations, mangent encore trop de graisse et pas assez de glucides ! Avec ce genre de réflexion, vous êtes un vrai danger et ignorant de la réalité alimentaire, totalement ignorant.
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@Legestr glaz, les concentrations géographiques de population avec la plus grande longévité (centenaires et plus) présentent toutes la même caractéristique : une alimentation quasi-exclusivement végétale avec seulement 1 à 2% des calories provenant de produits animaux, comme le poisson. Tout le reste vient de végétaux, et principalement de glucides complexes comme les tubercules ou les céréales. Par exemple, les centenaires d’Okinawa basaient leur alimentation sur la patate douce, accompagnée de céréales complètes et autres légumes, ce qui est le cas aussi pour des populations de Papouasie Nouvelle-Guinée. Des indiens du Nouveau-Mexique, des populations d’Afrique Centrale ou de Chine rurale aussi ont été documentées manger quasi-exclusivement végétal (+ 98% de leur calories) et avec des données médicales indiquant l’absence de maladies cardiaques propres au régime « paléo » que vous défendez, et qui n’est ni plus ni moins que la première cause de mortalité dans le monde aujourd’hui.
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@Legestr glaz, c’est très simple, montrez-moi les faits :
-Est-ce que votre régime « paléo » est prouvé réduire les risque des maladies cardiaques, première cause mondiale de mortalité ? NON
-Est-ce que votre régime « paléo » est prouvé améliorer la longévité humaine ? NON
-Est-ce que votre régimes « paléo » est prouvé réduire les risques de cancer ? NONVous avez manifestement été intoxiqué par cette mode alimentaire « paléo » en provenance des Etats-Unis et qui n’est pas fondé sur des données scientifiques solides : c’est du domaine de la croyance, rien d’autres.
Le régime cétogène a été un régime inventé pour imiter les effets du jeûne afin de soigner les personnes épileptiques, mais les effets au long terme sont dévastateurs pour la santé. Le jeûne est favorable à la santé de manière temporaire, mais le régime cétogène permanent est dangereux.
A l’inverse, une alimentation végétale non raffinée est cliniquement prouvée (Ornish et al., Esseltyn et al.) non seulement prévenir, mais traiter et inverser l’athérosclérose et la maladie coronarienne (responsable des crises cardiaques) et inverser nombre de maladies métaboliques, comme le diabète de type 2, tout en augmentant la longévité, ce qui est confirmé par les études épidémiologiques et celles sur les populations centenaires. Et elle est également prouvé réduire les risques de cancer, et les risques de rechute après rémission d’un cancer.
Donc, vous ne me ferez pas gober que votre régime « paléo », qui est défavorable pour la santé au long terme, et vole les avantages associés au jeûne à court terme, ce qui représente une forme de malhonnêteté intellectuelle de la part des pro-paléo, est l’alimentation naturelle de l’humanité.
Enfin, oui, nous avons acquis une mutation il y a à peu près 1 million d’années nous permettant de produire plus d’amylase salivaire, qui est liée à l’apparition de la cuisson dans notre alimentation : la cuisson de glucides complexes, comme les tubercules et autres végétaux riches en féculents.
Cela explique que nous avons 6 copies de ce gène comparé à seulement 2 copies pour les grands primates qui eux n’ont pas évolué et acquis la maîtrise du feu et la cuisson des aliments.
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@Abolab
comme la plupart des européens j’ai du sang néanderthalien qui dormait dans une grotte vu la température extérieure et l’époque.
une hutte est assez récente. -
@Claire
Je n’évoque pas la viande rouge parce que je n’en mange que très peu. Et je la mange plutôt en « tartare ». Puisque ma consommation de protéines est limitée je cherche donc à consommer des viandes plutôt grasses comme celle du porc ou de l’agneau. Le boeuf, pour moi, c’est très occasionnel, hormis les abats comme le foie de veau ou les pieds de veau riches en collagène (bon pour la peau et les articulations).Je vous fournis des informations que vous pouvez aller vérifier. Détrompez-vous, les « bons » eicosanoïdes sont d’un effet presque miraculeux sur le peau des personnes originaire d’Europe.
Maintenant, je ne veux convaincre personne de quoi que se soit. Chacun est libre d’aller chercher ce qu’il ignore si la porte de l’information lui est ouverte. J’ai attendu longtemps, dommage d’ailleurs, pour découvrir ce genre d’informations sur les eicosanoïdes. Mieux vaut tard que jamais.
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@foufouille Rien n’est moins sûr, les Homo Sapiens sont remontés en Europe quand le climat était plus propice, et leur maîtrise du feu était suffisante pour les nuits froides et chauffer leur campement.
D’ailleurs si nous avons perdu nos poils de primates, c’est bien que nous avons pris l’habitude de nous mettre prêt du feu, et particuli_rement les femmes, qui faisaient la cuisine végétale, pensant les hommes s’amusaient à chasser. En effet, il n’y a pas d’avantages évolutionnaires d’avoir des poils quand on utilise le feu, à moins de vouloir se transformer en torche vivante.
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@D’ailleurs si nous avons perdu nos poils de primates, c’est bien que nous avons pris l’habitude de nous mettre prêt du feu, et particulièrement les femmes, qui faisaient la cuisine végétale, pendant les hommes s’amusaient à chasser. En effet, il n’y a pas d’avantages évolutionnaires à avoir des poils quand on utilise le feu, à moins de vouloir se transformer en torche vivante.
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@Abolab
Je ne vous ai jamais parlé du régime « paléo ». Je ne pratique pas le régime paléo. Il faut suivre quand même ! Je mange une variété considérable de légumes que j’agrémente de bonne crème épaisse, de beurre, d’huile d’olive ou d’huile de coco.
Le régime cétogène se résume à une alimentation pauvre en glucides et ne présente strictement aucun danger comme vous l’écrivez. Tous les lipides sont présents dans l’alimentation cétogène, toutes les protéines, toutes les vitamines et tous les oligoéléments également. Je pense que vous n’y connaissez rien à cette diète ! La dangerosité dont vous faîtes état vient juste de votre esprit qui manque considérablement d’éclairage sur le sujet !
Je vous ai communiqué un tableau regroupant les index glycémiques et les charges glycémiques des aliments. Vous aurez pu constater que les glucides « complexes » ont des charges glycémiques élevées et que ces glucides ne sont pas rejetés dans les urines comme vous avez, par erreur, pu l’écrire. Vous niez la réalité, c’est votre problème. Evidemment chacun comprend pourquoi : il s’agit ni plus ni moins que de dissonance cognitive. Accepter la réalité serait trop coûteux pour vous.
Savez vous que la digestion des aliments ne se réduit pas à l’amylase salivaire ? Savez vous que d’autres processus sont à l’oeuvre ! Le Vidal vous renseigne
https://eurekasante.vidal.fr/nutrition/corps-aliments/digestion-aliments.htmlJe le répète donc encore une fois : les glucides, simples et complexes, sont très mauvais pour l’organisme humain. Que vous le vouliez ou non. Ces glucides sont à l’origine de « nos maladies » de civilisation !
L’alimentation riche en glucides est à l’origine des maladies métaboliques, des crises cardiaques, des maladies dégénératives etc. Et comme l’alimentation « moderne » est de plus en plus « sucrée » nous assistons au développement insensé de ces maladies. Ne vous en déplaise.
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@Legestr glaz,
Le régime cétogène est une mode nouvelle et n’est pas une alimentation sûre, avec des antécédents documentés, comme peut l’être l’alimentation végétale dont les résultats bénéfiques sur la santé et la longévité sont prouvés de manière clinique et épidémiologique.
Evidemment, comme toute mode basée sur les produits animaux, elle est très populaire en occident, particulièrement aux Etats-Unis. Mais elle est du domaine de la croyance pure et simple et basée sur le slogan : « les glucides sont mauvais ».
Notre cerveau se nourrit de glucose et uniquement de corps cétoniques en cas de jeûne. Vous cherchez à imiter un des aspects du jeûne avec ce régime mais notre alimentation naturelle est basée sur les glucides végétaux que cela vous plaise ou non.
Une alimentation végétale est cliniquement prouvée inverser la première cause de mortalité dans le monde. Donc ce que vous dites ne tiens pas la route d’un point de vue purement logique et rationnel.
Tout montre que les glucides complexes sont le moteur principal de notre évolution en tant qu’hominidés : sans glucides complexes, pas d’accroissement du cerveau, et donc nous resterions au niveau de simples primates.
Ce ne sont pas tant les composés des aliments qui sont importants, mais bien la nature de l’aliment : soit végétal soit animal. Les aliments animaux ont un paquet nutritionnel négatif, contrairement au paquet nutritionnel positif global des végétaux.
Le sens de satiété est génétiquement déterminé par la consommation de fibres végétales, dont les produits animaux et raffinés industriels sont totalement dépourvus. Voilà pourquoi il y a une épidémie de surpoids et d’obésité en occident.
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@Abolab
faut te faire soigner, la fin de la glaciation remonte à 12000 ans et sapiens à 40000, etc.
https://www.hominides.com/html/exposition/les-premiers-habitants-de-l-europe.php -
@foufouille C’est bien cela le problème, vous croyez que nous sommes nés de toute pièce il y a 40000 ans ? C’est bien l’idée du clergé : Et Dieu créa l’homme et la femme et les posa sur Terre dans leur jardin d’Eden
Non, soyons plus rationnel que cela, nous sommes beaucoup plus vieux que 40000 ans : notre espèce a plusieurs millions d’années lorsque nous n’étions que de grands primates mangeurs de feuilles et de fruits dans la jungle équatoriale dans ce qui est aujourd’hui devenu l’Afrique, mais qui n’était qu’un seul grand contient au départ : la Pangée.
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@Abolab
tu as internet ????
aucun singe n’existait sur la pangée. de plus on a évolué depuis lucy. -
@foufouille, Qu’en savez-vous qu’il n’y avait pas de singe sur la Pangée ? Y étiez-vous ? Si vous y étiez c’est qu’il y en avait. S’il n’y en avait pas, vous ne pouvez le savoir, puisque vous n’y étiez pas.
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@Abolab
suffit de chercher pangée. -290 000 000 d’années. pas de mammifères, bouffon. -
@foufouille Une forêt luxuriante et pas de mammifères ? Que des lézards ? Etrange...
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@foufouille Une forêt luxuriante et pas de mammifères ? Que des lézards ? Etrange...
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@foufouille s’il n’y avait pas de mammifères... où est-ce que nous étions ? Nous ne sommes pas descendus du ciel sur un beau cheval blanc quand même
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@Abolab
c’est l’évolution. des insectes géants et quelques ovipares. -
@foufouille wow des insectes géants... Je viens de lire que l’ancêtre des primates était un insectivore... Nous étions donc des lézards ? Pas très végan tout ça.
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@Abolab
nous étions rien du tout puisque nous n’existions pas. -
@Abolab
Ne me donnez pas le sens de l’alimentation cétogène. Je la pratique depuis plusieurs années. Mon expérience est donc supérieure à la vôtre dans ce domaine et vos élucubrations sur le sujet n’ont aucun sens.Je vous fais encore un petit cadeau : « ces glucides qui menacent notre cerveau » écrit par un éminent neurologue. Vos glucides complexes sont une arme de destruction massive. Si vous voulez tout savoir, reportez vous sur les nombreuses pages de documentation scientifique que comporte ce livre.
https://itunes.apple.com/fr/book/ces-glucides-qui-menacent-notre-cerveau/id998849119?mt=11
Vous êtes dans le déni, et je le comprends, parce que votre position est intenable.
Dans vos nombreuses approximations vous parlez de la satiété et des fibres. Je vous invite, par conséquent, à vous intéresser à la « Leptine » dont vous ignorez l’existence et le fonctionnement. Wikipédia sera suffisant. Ce sont les graisses qui lancent les signaux de satiété dans les intestins, même sans fibre. Etonnant non ? Et savez vous que l’insuline, produite par la consommation de glucides, inhibe l’action de la leptine ? C’est ballot quand même non ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Leptine -
@Claire
Je pratique l’alimentation cétogène depuis plusieurs années à la suite d’un cancer de ma femme. Elle est en rémission, nous nous portons parfaitement bien, bien mieux que nos amis du même âge.Pourquoi parlez vous d’absence de fibres ? Je mange à chaque repas des légumes et en quantité. C’est d’ailleurs la base de cette alimentation cétogène : beaucoup de légumes, surtout ceux qui poussent au dessus du sol, et ils sont nombreux.
Je pense que vous ne connaissez pas les règles de l’alimentation cétogène. Aucune des pathologies que vous citez n’est au rendez vous en régime cétogène. C’est même très exactement le contraire. Ce type d’alimentation est bénéfique à la santé et guérit bien des maladies métaboliques. Vous péchez par manque d’informations, de toute évidence. C’est un sujet que je connais sur le bout des doigts.
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@Legestr glaz, La vraie alimentation cétogène, que je pratique à titre personnel depuis plusieurs années, est celle qui est faite avec de bonnes graisses.
Et quelles sont ces bonnes graisses ? Les acides gras volatils. Ces acides gras volatils ne proviennent pas des produits animaux, ils proviennent de la digestion des fibres végétales par notre microbiome intestinal.
Ce sont donc les fibres qui procurent à notre organisme ces bonnes graisses, via la digestion, et ces bonnes graisses participent à la réduction de l’inflammation dans l’organisme, incluant le cerveau, car elles peuvent passer la frontière sang-cerveau par des récepteurs spécifiques.
Quelle est la preuve que cette alimentation cétogène dont je vous parle est la vraie alimentation cétogène naturelle ? Et bien, une telle alimentation, végétale donc riche en fibres, est la seule alimentation démontrée allonger la longueur des télomères (Ornish et al.) tels que découverts par le prix Nobel de Médecine Elizabeth Backburn, télomères qui sont des indicateurs de longévité et de protection contre les maladies dégénératives.
L’alimentation cétogène dont vous parlez est une sorte de hack alimentaire associé à une phobie des glucides, qui ne fait pas dans la finesse : c’est comme vouloir mettre un fil dans une aiguille à coudre avec un marteau.
Vous forcez en effet votre organisme à produire des corps cétoniques à partir de graisses animales. Mais les produits animaux modifient votre microbiome qui n’est ainsi plus assez spécialisé dans la digestion des fibres, ce qui réduit la création d’acides gras volatils.
Les acides gras volatils sont directement utilisés par l’organisme, tandis que les graisses animales sont stockées, à moins que vous ne réduisiez votre consommation de glucides, faisant croire à votre organisme qu’il jeûne, ce qui fait que ces graisses seront plus prioritairement utilisées comme énergie.
Mais c’est une diversion : manger des graisses animales, c’est comme créer un état temporaire d’obésité dans votre sang, ce qui à la longue, peut abîmer votre endothélium et créer de l’athérosclérose, et en tout cas, augmenter vos risques de maladies cardio-vasculaires ou d’AVC.
Même si votre métabolisme arrive à convertir rapidement toutes ces graisses (particulièrement lorsque l’on est jeune), en vieillissant ou lorsque que vous aurez un rhume ou une infection, ce métabolisme de transformation des graisses fonctionnera moins bien, et donc les graisses, inévitablement, créeront des dommages intracellulaires et au niveau de votre endothélium.
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@Correction : le prix Nobel de Médecine Elizabeth Blackburn.
Par ailleurs, bien sûr, les lectines en grande quantité sont toxiques, et c’est pourquoi il ne faut pas manger d’haricots rouges secs, mais bien les cuire. Mais il a également été suggéré dans la littérature scientifique que de petites quantités de lectines, telle que présentes dans les végétaux et certaines légumineuses, donc, cuites ont un effet protecteur contre le cancer.
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@Abolab
Prenez connaissance des livres dont je vous ai fourni les références, examinez toutes les références scientifiques que citent ces livres, et revenez commenter.
Si vous êtes végétarien, cela vous concerne. Je constate simplement que vous êtes dans le déni. Il n’y a d’ailleurs pas d’autre manière de vous rassurer. Notre échange n’a plus aucun sens puisque vous êtes dans le déni. Bonne journée.
https://www.amazon.fr/Ces-glucides-menacent-notre-cerveau/dp/2501114922/ref=sr_1_1 ?ie=UTF8&qid=1548669590&sr=8-1&keywords=dr+perlmutter
Oui le gluten et les sucres, liés à de nombreuses pathologies, sont aussi un danger pour notre cerveau. Comment faire pour le protéger et pour favoriser le développement de nouveau neurones, quel que soit son âge ? L’ouvrage du Dr Permutter propose : Une synthèse des études scientifiques !
L’angle d’attaque de l’auteur (qui résulte en fait du travail d’une vie) est original : se concentrer sur les aliments spécifiquement bénéfiques/nuisibles au fonctionnement du cerveau, organe clé s’il en est.
Son exposé est implacable, étayé par une foultitude d’études effectuées aux 4 coins de la planète, et il nous met face à un choix difficile : réduire à portion congrue la part de glucides dans notre alimentation quotidienne. Je dis difficile car nous sommes bien sûr depuis notre plus jeune âge abreuvés de sucres sous diverses formes, et la dépendance que cela génère est plus insidieuse que la plupart d’entre nous ne l’admettons (à ce sujet, voir le passionnant documentaire ’Fed Up’, qui décrit l’action des lobbies de l’industrie agro-alimentaire pour initier et entretenir cette dépendance).
L’objet, vous l’avez compris, n’est pas de perdre du poids, mais bien de préserver/restaurer une santé menacée voire sabordée par les effets délétères des glucides au quotidien sur notre bien être, nos humeurs et notre moral , la clarté de nos idées ; et à plus long terme sur les affections neuro dégénératives dont on ne peut plus nier la connexion étroite avec nos modes de vie alimentaires. -
@Legestr glaz
David Perlmutter fait une révélation qui donne froid dans le dos : les glucides peuvent détruire le cerveau et être à l’origine de nombre de troubles et de pathologies : Alzheimer, trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH), épilepsie, anxiété, maux de tête chroniques, dépression, baisse de la libido...
Preuves scientifiques à l’appui, il nous démontre que la destinée de notre cerveau ne dépend pas de nos gènes mais de ce que nous mettons dans notre assiette. Les maladies dégénératives y compris les troubles cérébraux sont dues à une inflammation pouvant être générée par les glucides notamment les glucides contenant du gluten ou riches en sucre.
Un programme de 4 semaines pour préserver la santé de notre cerveau sans avoir recours aux médicaments. Des stratégies faciles à mettre en place, de délicieuses recettes, des objectifs à la portée de tous. Des études scientifiques, mais aussi l’expérience professionnelle de l’auteur et le vécu de ses patients. -
@Legestr glaz,
Je vais vous dire ce que vous êtes en train de faire avec votre fausse alimentation cétogène :
Vous essayez d’imiter l’alimentation végétale en faisant le plein de graisses animales tout en vous privant des délicieux glucides (miam miam)
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@Legestr glaz, et vous justifiez ce comportement en confondant sciemment glucides complexes tels que présents dans les aliments végétaux complets et les glucides simples, comme le sucre, présents dans les aliments industriels raffinés.
Les aliments végétaux complets vous protègent, ce qui inclue les céréales et autres végétaux riches en glucides complexes.
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@Legestr glaz
Le gluten déclenche en tant qu’antigène une réaction immunitaire qui, suite à un apport alimentaire quotidien, aboutit à une réaction inflammatoire chronique avec finalement une atteinte des tissus. Les lésions tissulaires progressent au cours du temps jusqu’à la destruction complète des villosités intestinales.
Gliadine et ses copines :
https://www.allergique.org/article2645.html
https://www.intolerancegluten.com/intoleranceaugluten
L’acide phytique :
http://biochim-agro.univ-lille1.fr/proteines/co/ch2_I_b.html
Les lectines :
http://science.blog.lemonde.fr/2018/07/27/le-lien-entre-lectine-obesite-et-mauvaise-sante/
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@Legestr glaz :
Alimentation à base d’aliments végétaux non transformés
https://fr.wikipedia.org/wiki/Alimentation_%C3%A0_base_d%27aliments_v%C3%A9g%C3%A9taux_non_transform%C3%A9s -
@Claire, Avant d’être des lézards mammaliens, nous devions sûrement être des poissons ou peut-être des sortes de vers marins, voire une éponge de mer... c’est-à-dire des organismes hétérotrophes, qui, intrinsèquement, dépendent des organismes autotrophes, qui quant à eux convertissent l’énergie solaire en énergie chimique, voire la chaleur en énergie chimique. Même le lion dépend finalement des plantes, car sa proie se nourrit de plantes... Mais des études, comme celle-ci, suggèrent également que les mammifères qui se nourrissent de plantes vertes, riches en chlorophylle, peuvent synthétiser de l’énergie à partir du rayonnement solaire, ce qui est corrélé également avec une augmentation de la durée de vie (ce qui est expérimentalement démontré au moins chez les vers)... D’où peut-être la plus grande longévité des herbivores comparé aux carnivores...
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@Abolab
Prenez connaissance du tableau des index glycémiques et des charges glycémiques et on reparle après des glucides complexes. D’accord ? Vous avez beaucoup de mal à accepter que les glucides complexes sollicitent l’insuline. Vous avez beaucoup de mal à accepter que les céréales sont composées de glucides complexes qui, pourtant, passe dans le sang et font intervenir l’insuline.
Vous avez tort lorsque vous écrivez que les glucides complexes ne sont pas transformés en glucose par l’organisme. En fait, vous avez tort sur toute la ligne ! Je ne m’en réjouis pas. C’est bien dommage, parce que, sinon, j’aurais consommé du pain et des pâtes. Quoi que ! Compte tenu de la teneur en gliadine et en lectines des céréales, mieux vous s’en écarter par notre santé !
Une étude universitaire sur les glucides, dont les glucides complexes, pour vous mettre sur le chemin de la rédemption. Ca ne mange pas de pain, n’est-ce pas ?
L’amidon, un polysaccharide essentiel
Dégradation digestive par des enzymes spécialisées :
‐ les amylases (1‐4 glucosidase), surtout pancréatiques très actives plutôt que salivaires, inactivées par le pH de l’estomac
‐ l’enzyme débranchant (1‐6 glucosidase), présent dans la bordure en brosse de l’intestin
‐ La maltase intestinale (disaccharidase) dégrade le maltose
Représente la moitié des glucides apportés par l’alimentation chez l’homme.
Structure compacte en hélice constituée d’un enchainement d’unité maltose (disaccharide = glucose+glucose)
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@Legestr glaz
Qu’elle est l’incidence physiopathologique de ces différentes structures osidiques ?
La notion de sucres lents et sucres rapidesDéfinition ancestrale de sucre
Sucres simples (monosaccharides)rapides ?
ex : glucose, fructose
Sucres complexes (polysaccharides)Lents ?
ex : comme l’amidon
La structure des sucres est essentielle mais pas suffisante pour les classifier comme lents ou rapides
Les sucres complexes dit lents mais pas toujours lents...
Sucres complexes (poylsaccharides)
IG
Pain blanc
90
Pain complet
65
Pommes de terre purée/Four
85/90
Pommes de terre/eau
65
Riz blanc standard
70
Riz Basmati long
50
Pâtes complètes (blé entier)
50
Spaghettis bien cuits
55
Spaghettis al dente
40
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@Abolab
Pourquoi me proposez vous ce lien (que je viens de consulter ) ? -
@Abolab
A votre question : « quelles sont les bonnes graisses », je réponds celles qui transforment sans dommage pour l’organisme en énergie les lipides en ATP. Les bonnes graisses, les acides gras essentiels, sont transformés dans le corps en « eicosanoïdes », les « bons » et les « mauvais ». Il faut un juste équilibre des deux sortes.
Pour amener à la synthèse les acides gras essentiels, le corps a besoin de l’action de 3 enzymes : la Delta 5 désaturase, la Delta 6 désaturase et l’élongase. Il se trouve que notre chère insuline inhibe l’action de la D6D, mais quel dommage. Il y a donc, en présence d’insuline, en présence de glucides, simples et complexes, une moindre production d’eicosanoïdes. Par ailleurs, notre toujours très chère insuline active l’action de la D5D ce qui transforme les DHGLA en acide arachidonique ce qui conduit à la production de « mauvais » eicosanoïdes. C’est pour cette raison qu’en régime « glucidique », c’est à dire en présence de consommation de pain, de riz, de pâtes et de céréales de toute sorte, les recommandations nationales demandent de bien porter attention au ratio oméga 6/oméga 3. En l’absence d’insuline, la D5D est inhibée par l’EPA et le DHA : vivent les poissons bleus et l’huile de foie de morue !Je vous signale que chez les Inuits, les AVC et les maladies cardiovasculaires étaient tout à fait inconnus ! Et pourtant, ces peuplades se nourrissaient, quelle horreur, de graisse de phoque ! Par ailleurs, les légumes et les céréales n’étaient pas souvent présents sous l’igloo !
Selon vos préceptes, ils auraient du passer l’arme à gauche depuis belle lurette !
https://www.chudequebec.ca/actualites/a-l-exception-de-la-viande-de-beluga,-l-alimentati.aspx
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@Legestr glaz, Je ne connais pas tout loin de là, et à titre personnel, je préfère privilégier le raisonnement plutôt que les connaissances théoriques, car les connaissances étant limitées et toujours incomplètes, mieux vaut ne pas se sentir trop « grisé » par des conclusions établies sur des bases précaires.
Selon des études statistiques, il y a moins d’un américain sur 100 qui est intolérant au gluten. Cette proportion doit être à peu près égale en Europe. Si vous n’êtes pas intolérant au gluten, alors le blé entier semble un très bon aliment.
Est-ce que les bouddhistes asiatiques qui sont plutôt végétariens et mangent traditionnellement du seitan, formé à partir de gluten pur, ont plus de problèmes digestifs que les occidentaux ? Je n’en ai pas eu vent...
Si vous voulez savoir si vous êtes intolérant au gluten, peut-être le meilleur moyen est de manger un morceau de seitan, et s’il ne se passe rien, c’est que le blé complet doit être une très bonne céréale pour vous
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@ Legestr glaz, je n’ai jamais écrit que « les glucides complexes ne sont pas transformés en glucose par l’organisme ». Est-ce que les corps cétoniques de votre régime vous donnent des hallucinations ?
Ce que j’ai écrit est que lorsque vous mangez des aliments végétaux entiers, riches en fibres et en glucides complexes, alors seulement une partie de ces glucides complexes va être assimilée et transformée en glucose, comparativement au même aliment végétal qui aurait été raffiné et transformé (par exemple un grain de blé entier cuit comparativement à des pâtes de blé blanches). Ce qui a pour conséquence, qu’il n’y aura pas de pic de glucose dans le sang ou beaucoup moins, en comparaison. Les céréales raffinées ont tendance à perturber le métabolisme associé au glucose, parce que les aliments raffinés sont assez récents dans l’histoire de l’humanité et notre organisme n’est pas adapté à cela. D’où les problèmes que vous avez évoqués et qu’évoquent le neurologue que vous avez cité en rapport au sucre, à la farine blanche, etc.
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@Legestr glaz, Je vous ai proposé ce lien portant sur l’alimentation végétale à base d’aliments entiers, parce que je pense que cette approche de l’alimentation tient la route et est sensée. Il est impossible de connaître les milliers de réactions chimiques qui interviennent dans la nutrition, mais nous pouvons clairement distinguer, il me semble, quatre groupes d’aliments : 1) les aliments végétaux entiers, dont le paquet nutritionnel est plutôt favorable à la santé et conforme à notre évolution génétique, 2) les aliments végétaux raffinés, qui posent problème à notre métabolisme, 3) les aliments animaux, dont le paquet nutritionnel est plutôt défavorable à la santé, et 4) les aliments animaux transformés, qui semblent très défavorables à la santé (cancérigènes de type 1).
Je pense que vous faites erreur à propos des Inuits : leur population semble 1) bénéficier d’une modification génétique que le reste de la population mondiale n’a pas, et 2) ils ne sont pas du tout immunisés contre les maladies cardio-vasculaires ou les AVC. Au contraire, les seules populations avec la plus faible prévalence de ces maladies sont les populations mangeant essentiellement végétal, ce qui est confirmé cliniquement par des essais interventionnels montrant que l’alimentation végétale non raffinée peut prévenir, traiter et inverser les maladies cardio-vasculaires et d’autre maladies du métabolisme associées.
Enfin, je pense que les « bonnes graisses » ne sont pas les graisses alimentaires en soi, tels que présentes dans les aliments, mais plutôt les graisses directement utilisables et issues de la digestion des fibres végétales par notre microbiome, ce à quoi notre évolution, en tant que descendants de primates quasi-végétaliens, prédispose.
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@Abolab
"comparativement au même aliment végétal qui aurait été raffiné et transformé (par exemple un grain de blé entier cuit comparativement à des pâtes de blé blanches). Ce qui a pour conséquence, qu’il n’y aura pas de pic de glucose dans le sang ou beaucoup moins, en comparaison. "
quel ramassis de conneries. -
@foufouille, vous semblez avoir un esprit assez réactionnaire
Ce que j’ai écrit est mesuré, graphé et documenté dans la littérature scientifique, que cela vous plaise ou non. Regardez les documents portant sur l’index glycémique apportés dans la conversation par Legstr glaz.
Les céréales complètes ont un index glycémique moins élevé que les pâtes blanches, ou la farine blanche...
D’où la notion de glucides lents et glucides rapides : si vous mangez une cuillère de sucre, vous aurez un pic de glucose dans le sang, et si vous mangez la même quantité de sucre, mais sous forme d’aliments végétaux entiers, alors l’absorption du glucose ne sera clairement pas la même, et une partie de ces sucres ne sera pas assimilée, contrairement à la cuillère de sucre qui sera totalement assimilée.
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@Abolab
une personne en bone santé n’a jamais de pic de glycémie supérieur à 1.3g.
si tu manges des fibres tes selles descendent plus vite dans tes intestins.
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@foufouille Peut-être, mais un problème semble arriver lorsque l’on mange de manière récurrente et habituelle 1) des aliments favorisant les pics de glycémie (aliments contenant des sucres raffinés, aliments contenant des céréales raffinées, blanches, etc.) et 2) des aliments gras (aliments contenant des huiles végétales, produits animaux, généralement riches en graisse), car cet apport récurrent de graisse dans le sang s’accumule dans les cellules, ce qui semble interférer avec le mécanisme de transport du glucose dans les cellules. D’où le phénomène de résistance à l’insuline du diabète de type 2, maladie qui, selon des études cliniques, est réversible par une alimentation végétale non raffinée, et parfois de manière très rapide. D’après ce que j’ai lu, il arrive que certaines personnes à qui l’on a administré de l’insuline comme traitement médicamenteux pendant des années, arrivent se passer totalement de médicaments en l’espace de deux semaines, où alors arrivent à réduire considérablement leur apport d’insuline, lorsqu’elles changent leur alimentation pour une alimentation végétale non raffinée. Le régime cétogène semble agir sur le diabète en supprimant les glucides de l’alimentation, mais il ne semble pas traiter pas la cause du problème, qui est avant tout liée apparemment à la graisse présente dans les cellules interférant avec le mécanisme de transport du glucose dans les cellules.
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@Abolab
encore un ramassis de conneries. tu n’auras aucun problème en mangeant des glucides dans 96% des cas. aucune personne sous insuline ne peut s’en passer sinon elle est morte rapidement car l production d’insuline n’est plus suffisante. -
@foufouille, Vous ne savez pas de quoi vous parlez... Arrêtez d’avoir des réactions aussi péremptoires !
Vous confondez diabète de type 1, dans lequel le pancréas ne produit plus assez d’insuline, ce qui fait que le transport du glucose dans les cellules ne peut plus se faire correctement, et diabète de type 2, dans lequel la production d’insuline est toujours active, mais où le sucre n’entre plus dans la cellule, ce qui est appelé « résistance à l’insuline », l’insuline étant comme la clé permettant d’ouvrir la porte de la cellule pour le sucre. Dans les deux cas, le médecins donnent de l’insuline aux patients... alors que les causes de la maladie sont totalement différentes. Dans le type 1, c’est le mécanisme de production de l’insuline qui est affecté, et dans le type 2, c’est le mécanisme en aval de l’action de l’insuline qui est affecté. Il y a dans la littérature scientifique des raisons de penser que c’est le lait de vache qui est associé à la genèse du diabète de type 1 chez certains enfants génétiquement prédisposés. Le diabète de type 2 quant à lui est démontré être traitable et même complètement réversible par une alimentation végétale non raffinée.
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@Claire Je ne suis pas trop d’accord : les lions sont parfaitement adaptés à la viande, et d’ailleurs ils peuvent produire leur propre vitamine C, selon leurs besoins, comme antioxydant permettant de limiter l’oxydation causée par la digestion de leur proie. Au contraire, les êtres humains ne peuvent produire leur propre vitamine C, qu’ils doivent trouver dans les aliments végétaux, donc cela montre bien que l’homme n’est pas adapté du tout à la viande, car l’organisme ne peut pas décider par lui-même des quantités d’antioxydants nécessaires à une consommation de viande. C’est une preuve irréfutable que l’homme n’est pas naturellement adapté à la viande. Autrement, il produirait ses propres antioxydants qui seraient réglés avec une précision d’horloge, selon ses besoins, comme pour le lion.
Ensuite, je ne pense pas que l’homme soit omnivore ou intelligent. L’omnivorité semble plus être un avantage opportuniste de survie qu’une réelle aptitude biologique de l’être humain. En témoigne le fait que l’omnivorité est en train de détruire l’écosystème terrestre dans lequel se trouve l’être humain, donc ce n’est pas un avantage évolutif... Et enfin, si l’homme était réellement intelligent, il ne se serait pas séparé en nations, qui sont en conflits ou en guerres perpétuelles sur la planète...
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@Abolab
je ne confonds rien vu que tu n’as spécifié dequoi tu perlais en bon PN.
une insuffisance pancréatique ne se soigneras pas non plus avec ton régime nazi. -
@foufouille, que veut dire PN ? Qu’est-ce qu’un régime nazi ? Vous semblez avoir de drôles d’images mentales que vous surimposez à vos perceptions...
L’alimentation végétale normale risque de ne pas être suffisante pour rétablir une insuffisance pancréatique, très certainement, mais le jeûne, pourrait avoir des effets positifs, ou alors même une alimentation végétale imitant le jeûne comme celle développée par Valter Longo, qui est en fait une sorte de régime cétogène végétal imitant le jeûne qui dure 5 jours. Cette alimentation de cure permet de renouveler en partie les cellules endommagées des organes, donc cela est prometteur pour le diabète de type 1 également.
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@Claire, les divers processus qui rendent les protéines animales cancérigènes ont été bien décrits par TC Campbell et al. dans leurs études sur des rats intoxiqués à l’aflatoxine (puissant carcinogène) et nourris avec de la caséine (protéine du lait de vache). C’est l’excès de protéines animales (protéines complètes) dans l’alimentation qui semble faire développer les cancers, chose qui ne se passe pas avec les protéines végétales... Et d’autres études, si mes souvenirs sont corrects, ont montré que les antioxydants diminuent l’intensité de ces processus.
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@Claire Les êtres ayant la plus grande durée de vie sont des arbres comme le sequoïa, qui produisent en grande quantité une enzyme, la télomérase, permettant de protéger leur matériel génétique, via les télomères se situant au bout des chromosomes. La longueur des télomères est un indice de longévité de l’organisme. Notre alimentation moderne précipite le raccourcissement de ces télomères, contrairement à une alimentation végétale non raffinée qui est cliniquement prouvée permettre de les allonger (Ornish et al.), l’alimentation étant le facteur ayant le plus d’importance, parmi d’autres facteurs testés, comme l’exercice physique et la réduction du stress.
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@Abolab
Privilégier le raisonnement plutôt que les connaissances théoriques. Certes, mais l’un ne va pas sans l’autre et réciproquement !
Si vous ne savez pas à quoi servent les omegas 3 et les omegas 6 vous ne pouvez pas comprendre comment vous alimenter. Si vous ne comprenez pas le rôle de l’insuline, ou du glucagon, dans l’organisme, vous ne pouvez pas comprendre le rôle néfaste des glucides.
Pour toutes ces raisons, suite au cancer de ma femme, je me suis mis en quête d’informations et de sources scientifiques. Vous êtes végétarien, c’est votre choix, je ne le critique pas, je ne vous juge pas. J’ai pas mal d’amis ou de connaissances qui pratiquent le végétarisme.
Ce que je tente de vous faire connaitre c’est que l’alimentation végétarienne est déséquilibrée puisqu’elle manque des bonnes graisses animales. L’homme, par sa nature est omnivore, son organisme, dont le cerveau, a un immense besoin de cholestérol et de graisses saturées contrairement à ce que les médias de masse indiquent.
Notre alimentation est pauvre en bons oméga 3. Les viandes animales possèdent de bons oméga 3 mais, pour cela, il faut des conditions d’élevage adéquates. Les bêtes doivent être nourries selon leur nature. Les lapins doivent manger de l’herbe et les vaches aussi. Pas du maïs qui est du sucre.Concernant autant le soja que les céréales, il faut savoir que la « fermentation » enlève la plupart des antinutriments de ces plantes. Les végétariens, ou végétariens, auraient plutôt intérêt à consommer des aliments provenant du soja fermenté ou des céréales fermentées. Le tempeh est un bon exemple.
Dans tout ce que je vous ai présenté, il faudrait retenir que l’organisme humain a un besoin naturel d’acides gras essentiels, omegas 3 et 6. Dans la famille des omégas 3, il existe l’ALA, L’EPA et le DHA. Ces deux derniers, l’EPA et le DHA, sont utilisables par l’organisme en l’état. Ils produisent directement de bons « eicosanoîdes ». En revanche, l’ALA, d’origine végétale (huile de lin par exemple) présente un problème de taux de conversion en EPA et DHA. Lisez cet article que je mets en lien et comprenez les taux de conversion. Raisonnez, puisque c’est cela qui vous plait ! Vous noterez que le taux de conversion est amoindri et minoré par la présence de la D5D. Et c’est là que la connaissance intervient. La D5D est drôlement activée en présence de glucides dans l’alimentation ! Les végétariens, qui ne mangent pas de poissons « bleus » s’ils veulent s’assurer le meilleur taux de conversion possible d’ALA vers l’EPA et le DHA auraient tout intérêt à se passer de glucides (des céréales, donc, mais aussi du riz, des pommes de terre, enfin, tous les aliments contenant plus de 5-10 grammes de glucides, simples ou complexes, au cent grammes).
Il y a des notions de chimie et de biologie humaine qui échappent aux végétariens. Il vaut donc mieux connaitre le fonctionnement de l’organisme humain, qui est une usine chimique, pour savoir quels sont les aliments qui sont bénéfiques à la santé et ceux qui ne le sont pas ! Voilà, ce que je tente de vous dire depuis notre discussion en ligne. Je ne stigmatise pas le végétarisme. J’ai lu de nombreuses publications de Peter Singer, et, particulièrement, son livre « la libération animale » pour avoir une idée bien précise du spécisme et de l’anti-spécisme. Ma position, pour que vous me compreniez, c’est de respecter l’animal, toujours et tout le temps, même s’il est élevé pour servir de nourriture à l’homme. La souffrance animale ne m’est, justement, pas indifférente.
https://flaxcouncil.ca/wp-content/uploads/2015/04/FlxFSht_Mtblsm_French.pdf
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@Legestr glaz, Plus que le raisonnement et les connaissances qui sont limitées, c’est plutôt la capacité de perception qui est importante. Car vous pouvez avoir beaucoup de connaissances, mais si vous êtes aveuglés par des théories ou des croyances, vous avez beau avoir la capacité de raisonner, vous ne ferez que raisonner sur de mauvaises bases et conforterez vos croyances avec de nouvelles connaissances, mais sans percevoir que votre raisonnement ne repose en fait que sur des abstractions théoriques ou des illusions, qui déforment votre perception de la réalité.
A titre personnel, je ne suis pas végétarien, car les végétariens consomment des produits laitiers et des oeufs, et je ne suis pas végétalien non plus, car les végétaliens consomment des aliments transformés, des huiles végétales et des céréales raffinées.
Nous, les Homo Sapiens, sommes arrivés jusqu’à notre époque sans la moindre connaissance de biochimie nutritionnelle. Pourtant, nous avons traversé des conditions beaucoup plus difficiles que le français moyen d’aujourd’hui. Si les glucides étaient dangereux pour notre cerveau, comment expliquez-vous que les populations centenaires d’Okinawa du siècle dernier qui mangeaient essentiellement des produits végétaux non raffinés (98% de leurs calories) avaient des taux de démences et d’Alzheimer bien inférieures au reste de l’Occident, alors que la base de leur alimentation reposait sur la consommation de patates douces, très riches en glucides ?
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@Abolab
Vous écrivez : "Si les glucides étaient dangereux pour notre cerveau, comment expliquez-vous que les populations centenaires d’Okinawa du siècle dernier qui mangeaient essentiellement des produits végétaux non raffinés (98% de leurs calories) avaient des taux de démences et d’Alzheimer bien inférieures au reste de l’Occident, alors que la base de leur alimentation reposait sur la consommation de patates douces, très riches en glucides ?La réponse est simple, sinon simpliste. Nos ancêtres n’avaient pas accès au sucre ou alors très occasionnellement et très rarement. Il faut savoir que les fruits que vous consommez aujourd’hui ont été sélectionnés au fil des années pour leur teneur en sucre ! Dans la nature, de l’époque de nos ancêtres, il y avait des baies, très peu sucrées, et, éventuellement, du miel, en saison, qui était difficile d’accès. Quant aux patates douces, excusez moi, mais cela ne constituait pas leur nourriture, ou alors vous parlez d’une époque récente.
Et bien non, l’alimentation des nos ancêtres n’était pas glucidique. Il faut accepter cette réalité ! Nos vénérables ancêtres, qui ont fait l’homme ce qu’il est, étaient des chasseurs cueilleurs, ils consommaient beaucoup de graisses animales, bonne pour leur organisme et leur cerveau qui a fini par se développer plus que celui des autres créatures. Les glucides n’ont rien à voir dans le développement intellectuel de l’homme.
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@Legestr glaz, Vous parlez comme si nos ancêtres étaient des personnes biologiquement différentes de ce que nous sommes aujourd’hui.
Les centenaires d’Okinawa sont comme nous et comme nos ancêtres. Nous avons le même cerveau, les mêmes gènes, le même métabolisme. Si les glucides étaient mauvais pour leur cerveau, leur consommation très importante de patates douces auraient dû les tuer bien avant l’heure ou les rendre complètement déments, ce qui n’est pas du tout le cas, bien au contraire. Ils étaient non seulement en pleine forme physique, certains mêmes continuant à travailler dans leur champ ou jardin, mais également disposait de toutes leurs capacités mentale et cognitive.
De nombreuses études contredisent ce que vous dites. Nos ancêtres mangeaient principalement des végétaux, très divers, et de la viande en très petite quantité. Et il est fort probable qu’ils n’en mangeaient pas pendant de longues périodes étant donné la rareté et la difficulté d’attraper du gibier sauvage.
Il existe des preuves archéologiques de l’existence de la consommation de pommes de terres datant du début Néolithique il y a plus de 10 000 ans. Tandis que des preuves de consommation d’avoine, d’orge, et de blé sont bien plus anciennes en Europe. Et en Chine, des restes de légumineuses et de yams (tubercules) datent de 20 000 ans. Nourritures toutes très riches en glucides complexes. Etant donné la difficulté de préservation des restes de légumes, contrairement aux os d’animaux, il y a fort à penser que tous ces végétaux existaient il y a beaucoup plus longtemps que l’on ne le croit.
Nos ancêtres avaient donc une alimentation principalement glucidique, avec très peu de graisses et de protéines animales.
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@Abolab Le premier lien cité ci-dessus parle d’alimentation principalement végétale il y a 750 000 ans... en plein Paléolithique.
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@Abolab
Ecoutez, je vous ai donné assez d’explications comme ça. A chaque fois vous revenez avec de nouvelles interrogations. Maintenant vous parlez des centenaires japonais. Renseignez vous que diable au lieu d’aligner les poncifs. Cette histoire des centenaires d’Okinawa est très bien documentée si on veut bien se donner la peine de dépasser la légende.
Pour le reste, même si l’homme a mangé des pommes de terre et du riz, compte tenu qu’il ne mangeait pas de sucre, ceci n’influençait pas trop le stockage des graisses parce que l’énergie était utilisée avant que d’être entreposée. Et, pour le riz par exemple, s’il est mélangé à du vinaigrette, ce qui est le cas au Japon, cela fait baisser l’index glycémique. Renseignez-vous !
Je suis fatigué de répondre à vos incessantes questions. Quoi qu’il en soit, portez vous bien, je vous le souhaite du fond du coeur. Je n’ai pas assez de temps à vous consacrer. Tirez les enseignements de ce que je vous ai posté, ou pas, faites comme vous voulez. Je ne suis pas là pour vous influencer mais pour éveiller les esprits qui le veulent bien. J’espère que vous l’aurez compris. -
@Abolab
nan plusieurs millions pour ton végé -
@Legestr glaz, tout cholestérol alimentaire est du cholestérol superflu, parce que nous produisons nous-même tout le cholestérol dont nous avons besoin : nous sommes des animaux, comme les herbivores, mais avec un gros cerveau parce que nous avons maîtrisé la cuisson des aliments végétaux. Tout produit animal, seule source de cholestérol, est superflu. Le cerveau a besoin des bonnes graisses issues de la digestion des fibres végétales par notre microbiome. Le problème n’est pas le glucide mais la carence en fibres, fibres qui sont apportées par les éléments végétaux entiers, non raffinés et non industriellement transformés. En fait, il n’y a pas 3 macro-nutriments, comme le disent les autorités de santé : protéines, lipides et glucides... Il n’y en a qu’un seul : les fibres végétales Toute la nutrition est contrôlée par notre microbiome, nous n’avons rien à calculer, rien à peser, rien à penser en terme de biochimie nutritionnelle. Il suffit de manger des aliments végétaux non transformés divers et variés pour nourrir les diverses variétés de bactéries mangeuses de fibres présentes dans nos intestins. L’être humain n’est qu’une coquille vide servant à la survie de ces bactéries. Leur survie est en jeu, pas la nôtre.
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@Abolab
Quel désespoir cette réponse. Sniff, vous ne comprenez rien à rien. Lorsque je vous vois évoquer le cholestérol, vraiment, je me dis que vous n’avez vraiment rien compris à ce que je vous ai écrit. Basta cosi ! -
@Claire, Merci de m’avoir corrigé. J’apprécie lorsque l’on corrige mes erreurs ou approximations. La nature a d’innombrables animaux assez incroyables...
A vrai dire, je ne sais pas du tout s’il y a des cas de cancers chez les carnivores dans la nature. Une rapide recherche généraliste avec les termes « lion cancer » donne plutôt des tonnes de résultats astrologiques que scientifiques... Mais il me semble qu’il y a des cas de cancer chez beaucoup d’animaux dans les zoos. Est-ce qu’une nourriture mal adaptée à la physiologie additionnée à un stress peut causer le cancer ? C’est une possibilité... -
@Legestr glaz, Ne soyez pas triste Reposez-vous bien, et soyez content que le cancer de votre femme soit en rémission. Mais si vous voulez allez plus loin, n’hésitez pas à me dire pourquoi vous pensez que le cerveau aurait besoin de cholestérol alimentaire. Etant donné que toutes les cellules animales produisent du cholestérol, le cholestérol alimentaire ne fait pas de sens, et en fait, il est montré que l’oxydation du cholestérol dans l’organisme (qui est sûrement plus facilité s’il y en a en excès, donc si l’on en mange) est associé aux maladies cardio-vasculaires, ainsi qu’à la maladie d’Alzheimer.
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@Claire, Apparemment, les protéines animales sont une bonne source de protéines pour les carnivores, ce que nous ne sommes plus, car nous avons perdu, avec d’autres vertébrés, notre capacité à synthétiser la vitamine C, et cette perte est actuellement irréversible ! Donc nous ne sommes plus adaptés à manger de la viande et ce de manière irréversible... C’est notre évolution biologique...
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@Abolab Avant d’être des anthropomorphes, lorsque nous étions des reptiles, nous devions sûrement produire notre propre vitamine C et manger des protéines animales, c’est-à-dire d’autres animaux ou insectes. La vitamine C produite par notre organisme nous protégeait, de manière « millimétrée », des effets négatifs de la consommation d’autres animaux, comme l’oxydation du cholestérol alimentaire. En perdant cette habilité naturelle à synthétiser la vitamine C et en continuant à manger des produits animaux, nous avons commencé à avoir de sérieux problèmes de santé.
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@Legestr glaz, ce n’est pas un hasard si l’Académie de Médecine Américaine recommande de consommer le moins de cholestérol possible !
De nombreux cancers (sein, prostate, colorectal) sont également liés au cholestérol alimentaire oxydé...
Tous ces chercheurs ne comprennent rien à rien eux aussi ?
https://www.youtube.com/watch?v=jG5tM2WwVjI -
@Legestr glaz, les graisses animales ne sont pas bonnes pour l’organisme !
D’ailleurs, il a été montré que la consommation de graisses fait que la vitamine C perd son pouvoir protecteur et se transforme même en agent promoteur des cancers...
https://www.sciencedaily.com/releases/2007/09/070903204800.htm
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@Legestr glaz, vous n’avez manifestement pas compris la biologie du corps humain...
C’est le cerveau qui monitore le glucose dans le sang. C’est lui qui contrôle l’activité pancréatique en déclenchant la production d’insuline ou de glucagon : de l’insuline pour réguler à la baisse le glucose, ou du glucagon pour produire du glucose s’il n’y en a pas assez.
Lorsque vous avez un régime cétogénique comme le vôtre, votre cerveau va commander la production de glucagon qui va ensuite faire travailler votre foie afin de produire du glucose... Quand vous sortez le glucose par la porte, il rerentre par la fenêtre... Le glucose est nécessaire au bon fonctionnement cérébral. Ce n’est pas le glucose qui rend les personnes obèses... Ce sont les graisses alimentaires, que ce soit les graisses animales ou les huiles végétales.
Vous croyez que le glucose est mauvais et vous l’éliminez de votre alimentation, mais en fait votre cerveau, qui n’est pas d’accord avec votre croyance, va, sans que vous le sachiez et à votre insu, produire du glucose en faisant travailler votre foie...
Les graisses que vous mangez vont servir comme énergie, principalement musculaire, mais pas à votre cerveau... Votre régime n’est pas équilibré, car votre cerveau a besoin des bonnes graisses issus de la digestion des fibres des aliments végétaux, et ce en quantité, afin de contrer l’inflammation générée par le cholestérol oxydé consécutif à votre consommation de produits animaux.
Donc, vous faites trop travailler votre foie et vous créez un état d’inflammation dans votre cerveau... Ce n’est pas une bonne recette de longévité.
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@Legestr glaz, C’est faux, l’organisme sait produire des lipides. Comment l’animal herbivore que vous mangez pour sa graisse produit-il sa graisse ?
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@Legestr glaz, Comment croyez-vous que le lion produit sa vitamine C ? Il produit sa vitamine C à partir du glucose. Seulement, l’homme a perdu cette capacité de production de vitamine C, car il lui manque l’enzyme hépatique nécessaire à cette transformation. La seule manière pour une alimentation humaine carnivore d’obtenir de la vitamine C est de manger le foie d’animaux synthétisant de la vitamine C.
Mais là encore, vous ne pouvez pas contrôler toutes les données chimiques de votre alimentation, contrairement à l’organisme du carnivore qui produit lui-même sa propre vitamine C. -
@Claire, il me semble que les animaux dans les zoos sont très « déstressés » ! Dans le sens d’une absence de bon stress lié à la vie dans la nature. Regardez comme ils sont souvent apathiques et tristes, et sans aucune intimité... Ils ne peuvent que faire les cents pas et tourner en rond dans leur coin. Ce n’est pas une vie ! Les soins et l’alimentation quotidienne les maintiennent en vie, mais l’absence de liberté doit influer négativement sur leur santé psychologique et physique... Les animaux domestiques également ont apparemment beaucoup de cas de cancers...
Je n’ai aucune certitude concernant le lien entre vitamine C et cancer. D’ailleurs les études chez l’homme portant sur la supplémentation en vitamine C montrent qu’elle est inefficace contre le cancer, et même potentiellement néfaste dans certains cas, si elle s’accompagne d’une alimentation grasse. Lorsque les rats consomment trop de protéines complètes, Campbell et al. ont montré qu’il y avait une suractivité enzymatique du foie qui créait beaucoup plus de certains sous-produits chimiques favorisant le développement de cellules cancéreuses préexistantes. Donc les protéines complètes, en quantité trop importantes par rapport à nos besoins en protéines, semblent avoir un fort potentiel carcinogène. D’où son extrapolation pour l’homme, qu’une alimentation entièrement végétale, qui comporte naturellement suffisamment de protéines, est bénéfique pour la prévention et même potentiellement pour le traitement de certains cancers, ce qui a été montré en ce qui concerne le cancer de la prostate, et des essais sont en cours pour le cancer du sein.
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@Legestr glaz, A titre personnel, je préfère manger des fruits que du foie cru... D’autant plus que la vitamine C consommée avec des produits animaux est moins efficace, vu que l’organisme va en utiliser une bonne part pour protéger des effets délétères de la consommation des produits animaux (en tant qu’antioxydant), et peu de vitamine C restera pour les autres réactions chimiques pour lesquelles elle sert de catalyseur... Ce que vous utilisez en tant qu’antioxydant, ne sera pas utilisé pour la protection du squelette et autres...
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@Claire, nous avons tous en nous, que l’on mange sainement ou pas, des cellules cancéreuses... Ce qui va influencer le développement de la maladie (sur des années) est bien, en ce qui concerne l’humain, l’alimentation, car celle-ci n’est plus, aujourd’hui, naturelle mais culturelle, et souvent très éloignée des besoins du corps...
Nous avons presque le même âge, j’ai seulement quelques années de plus que vous. Seriez-vous prête à mourir, dès aujourd’hui ? Sans regret, sans peur ? Les animaux dans la nature n’ont pas peur de mourir, ils vivent, tout simplement. Pourquoi les êtres humains ont-ils peur de mourir ?
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@Legestr glaz, Si vous êtes encore là, ne dites pas que vous n’auriez pas été prévenu :
« Les moyens par lesquels l’on active les états cétogènes sont les mêmes qui créent la dérégulation du métabolisme des graisses et du glucose, créant de l’inflammation, une dérégulation immunitaire et ultimement la maladie d’Alzheimer. »
https://nutritionstudies.org/can-ketogenic-diet-lead-alzheimers-disease/« Même les ours qui hibernent ne sont pas en état cétogènique ».
Aucun animal, aucun être humain (les inuits ont une modification génétique qui les empêche d’entrer en état cétogènique) a jamais vécu dans un état cétogénique permanent.
https://nutritionstudies.org/is-the-ketogenic-diet-natural-for-humans/ -
@Claire, Je n’en suis pas sûr. Je pense que dans la Nature, les animaux sont en état d’attention constant. S’ils manquent d’attention, ils peuvent vite être mangés par un prédateur. Chez les humains, l’on apprend aux enfants à se concentrer, la concentration, qui requiert un effort, mais pas l’attention, qui n’a pas d’objet. Parce que nous ne sommes pas attentifs, nous développons des peurs et des problèmes, parce que nous ne vivons pas dans le moment présent, et nous séparons la vie de la mort, mais vivre c’est mourir, et mourir c’est vivre.
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@Claire
Pourquoi si la mort n’a pas d’importance pour eux ?
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Le mouvement et l’énergie de la vie semble requérir cet état d’attention qui est intelligence. Pour un animal, préserver son intégrité physique est une nécessité. Ce n’est pas de la peur, c’est une forme d’intelligence. La peur intervient, chez l’être humain, quand il se met à penser, c’est-à-dire quand il n’est pas réellement attentif. Lorsque le cerveau est attentif et observe sans pensée, alors il n’y a pas de peur, ni de temps, ni de mort ? L’on ne peut échapper à la mort, mais sûrement, la peur de la mort n’est pas nécessaire.
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@Claire Si la vie n’est qu’une fuite sans fin pour échapper à la mort, alors il me semble que cette vie est illusoire, parce que l’on ne peut échapper à la mort. L’esprit doit faire face à ce fait sans s’échapper, sans créer un imaginaire, ou un après la mort. C’est-à-dire qu’il doit réintégrer la mort dans la vie et ne plus dissocier les deux mentalement. C’est-à-dire qu’il doit mettre fin au conflit lié au temps psychologique, ce qui libère de l’énergie, pour vivre.
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@ Claire
Mais c’est documenté, Claire.
La révolution néolithique est une catastrophe parce que l’homme ne suit plus l’intuition, l’instinct mais se fie à la raison.
Les problèmes écologiques actuels commencent à ce moment. En agriculture, par exemple. Lorsque vous cultivez, au bout de quelques temps, le sol s’épuise et les générations suivantes tombent malades ; vous cultivez ailleurs et pour ce faire brûlez des forêts entières qui ont mis des millénaires à devenir ; vous comprenez quelques principes et pratiquez la rotation des cultures ; vous allez même jusqu’à inventer des engrais chimiques que vous déversez sur le sol et qui empoisonnent tout, vous détournez des fleuves, etc.
Prenez la population mondiale. Avec le néolithique, la vie prend une valeur qu’elle n’a pas. La population croît, l’homme se répand sur le globe et le colonise, avec à chaque fois un impact écologique. Au paléolithique, il y a quelques dizaines ou centaines de milliers d’individus à tout casser sur le globe ; sous Louis XIII, 17 millions en France ; 67 millions aujurd’hui (les progrès de l’hygiène, de la médecine, qui d’ailleurs en découle, aggravant le principe ’toute vie est sacrée’).
Prenez la technologie : pendant 50 000, 100 000 ans, le sapiens se contente du pagne et de trois silex, à l’occasion graffitant des cavernes, et boum en 12 000 ans il passe de ça à la maîtrise de l’atome.
Bref, bref, bref.
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@ Claire
Darwin a clairement senti qu’il y avait un problème avec l’animal-homme, en particulier avec les — sic — instincts sociaux, ce pourquoi il a isolé l’homme de sa théorie générale en se fendant d’un livre à part. Un certain Patrick Tort a même théorisé là-dessus le concept d’effet réversif de l’évolution pour justifier les prétendus instincts sociaux.
Dans ’l’origine des espèces’ — puisque l’évolution est un équilibre où évolution et extinction vont de pair — , Darwin écrit quelque chose comme ’Il n’y a aucun exemple où la descendance d’un seul couple ait peuplé la terre entière’*. Etes-vous sûre qu’il n’y a aucun exemple ? Regardez-vous dans la glace.
*c’est la théorie dite de l’isolat. Puisqu’il y a aussi compétition entre les membres d’une même espèce, au sein d’une m^ême espèce, une frange subit une mutation profitable qu’elle transmet via la sélection sexuelle ; la population ayant muté finit par s’imposer par rapport à la population originelle dont elle est issue, étant plus apte.
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@Claire, Ne méprenez pas ce que j’ai écrit. Je n’ai pas dit que la vie est illusoire, j’ai dit qu’une vie consistant en une fuite en avant, en un échappatoire, afin de subjuguer la peur de la mort, est illusoire. La peur, toute peur, doit être comprise. Lorsque face à un serpent ou à un précipice, l’on recule, ce n’est pas de la peur, c’est une réaction réflexe de protection, de survie, qui est saine, et qui ne comporte pas de peur. Les animaux, tout comme nous, sont dotés de ces mécanismes instinctuels de survie. La peur, quant à elle, a un aspect plus psychologique et humain. Elle fait intervenir la pensée, les mots, les images mentales, les souvenirs, etc.
La peur n’est pas le plan de la vie, mais plutôt le plan des élites qui ont gouverné les groupes humains. La peur était par exemple à la base du plan chrétien de domination des esprits élaboré par l’Eglise : inculquer la peur de la mort dans les esprits, puis promettre, par le biais de croyances, une vie après la mort ne passant que par les dogmes de cette Eglise. Et tous ceux qui déviaient de ces dogmes étaient sévèrement châtiés et punis, vous savez, l’Inquisition, etc. Cette peur est toujours inculquée aux enfants dans l’éducation d’aujourd’hui. La peur est le fruit de croyances, et de la pensée, qui a créé un temps « psychologique » qu’elle a manifestement surimposé au temps physique et chronologique. -
@Claire, @kalachnikov
, Le monde est toujours là, mais nous sommes clairement en train de détruire l’écosystème terrestre, et ce n’est pas en fuyant sur Mars (idée très fantasque) que nous allons régler les problèmes, car ces mêmes problèmes se reproduiraient sur Mars également s’ils ne sont pas réglés ici mêmes.
L’un des principaux problèmes écologiques, sinon le principal, aujourd’hui, est que nos modes de productions alimentaires sont incompatibles avec l’accroissement spectaculaire de notre démographie. Il est aujourd’hui clairement documenté par la science, que l’agriculture animale et l’agriculture raffinée ne sont pas des modes de production alimentaire compatibles avec notre démographie et notre écosystème. Même l’agriculture animale biologique n’est pas écologique, car si les humains continuent à manger autant de viande, il n’y a clairement pas assez de ressources, sans même parler des problèmes de santé liés à la consommation des produits animaux. Le problème n’est pas tant démographique, que celui de l’utilisation de nos ressources et de nos comportements alimentaires actuels, mais également et principalement celui de la fragmentation nationalistique et égocentrique de la planète, chaque nation luttant contre toutes les autres pour préserver ses intérêts propres. -
@Claire, les animaux ont un cerveau tout comme nous, ils ont une conscience. Les animaux souffrent physiquement, car ils ont un système nerveux tout comme nous. Ils ont également des émotions, tout comme nous, même s’ils n’ont pas une pensée symbolique comme les êtres humains. Dans les abattoirs, ou sur le chemin des abattoires, les animaux ne ressentent pas de peur, ils ressentent de la détresse ! Ils ont parfaitement conscience que cet environnement n’est pas le leur.
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@Claire
Avec l’apparition de la vie intelligente, la vie tout court a franchi un nouveau pallier.
_____________Parce que vous croyez que les êtres humains sont intelligents ?
C’est bien l’orgueil des humains qui leur fait croire qu’ils sont plus intelligents que toute autre forme de vie. La réalité est que la vie elle-même est la plus haute forme d’intelligence. Ne serait-ce qu’une seule bactérie... le fonctionnement d’un organisme unicellulaire est infiniment complexe et bien plus perfectionné que ce que toute science humaine pourra jamais imaginer ou inventer !
D’ailleurs, toutes les inventions humaines ne sont que de pâles imitations de ce que la nature fait déjà mais de manière beaucoup plus efficace et perfectionnée. La seule chose que les êtres humains font mieux que la nature, c’est dans le domaine de la destruction et de la pollution...
Alors ça, pour inventer des bombes capables de raser des villes entières, les humains sont particulièrement doués.
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@kalachnikov, Plus que l’instinct, qui peut être trompeur, c’est plutôt l’alliance de la raison et du coeur, c’est-à-dire la sagesse, qui est nécessaire à l’humanité.
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@Claire
Et vous croyez qu’ils ressentent la souffrance ou bien c’est aussi une illusion des élites ?
________________Tout comme la peur, la souffrance, psychologique, n’est pas nécessaire... Elle est le fruit de conflits intérieurs, d’une fragmentation de la psyché, comme, par exemple, dire une chose et faire son contraire... Ce ne sont pas les élites, comme François Hollande, un habitué de la chose, qui vont le contredire ha ha ha ha. Oui, les élites souffrent et ont peur aussi, mais ils cachent cela derrière l’ambition, le succès et la recherche du pouvoir !
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