Des conséquences de la folie collective
La 8ème vague de Covid se déroule en France sans confinement, sans PassVaccinal, et surtout sans vaccin et sans masque. Pourtant, elle ne semble ni pire ni plus longue que la précédente.
C’est qu’aujourd’hui l’heure est plutôt au bilan, et il s’avère qu’il n’est pas bon : troubles psychologiques, Covid long, effets secondaires nombeux et parfois graves, mensonges, scandales financiers financés par la Sécu, gâchis de matériel… pour une efficacité contestable des vaccins, des tests et autres remèdes qui n’empêchent ni la contamination ni la transmission, et qui sont au mieux efficaces quelques semaines. En réalité la 9ème vague risque d’être celle des procès. Et Moi qui n’étais au départ que « Antipass », je suis avec le temps devenu un « Antivax ».
Alors voilà, maintenant le temps a passé et on entend de plus en plus parler d’espérance de vie qui baisse, de mortalité excessive d’origine inconnue, de Myocardites très nombreuses, de problèmes menstruels plus ou moins graves, de maladies rares et inexpliquées… tandis que les labos refusent de répondre aux questions, augmentent leurs prix et font jeter des millions de doses périmées pour les remplacer par un nouveau vaccin. Qui marche mieux que celui qui marchait pourtant super.
Du coup, même ceux qui nous ont traité de tous les noms ne sont pas très chauds pour recevoir une nouvelle dose ; mais la charge de la preuve semble avoir été inversée : c’est désormais non plus aux antivax d’expliquer pourquoi ils ne veulent pas se faire vacciner mais bien aux autres d’expliquer pourquoi ils veulent se faire vacciner !
Car si on fait le point sur les conséquences de cette pandémie, il faut ajouter à la liste précdente les familles détruites, les gens qui n’ont pas pu dire « au revoir » à leurs proches, les pertes de chance pour de nombreux malades, les violences intra-familiales, le dépressions et suicides, les amendes abusives, les soignants et pompiers suspendus, les millions de gens humiliés et ostracisés, les retards d’éducation, les addictions créées…c’est là qu’on voit que le rapport « bénéfices/risques » n’est pas forcément celui qu’on attendait ! Tout ça sans compter les libertés réduites et la démocratie abîmée, la confiance envers les médias rompue, et envers la médecine et la science aussi d’ailleurs…
C’est que quand on voit comment nos gouvernants n’ont pas hésité à forcer des millions de gens, femmes enceintes et enfants compris, à se faire vacciner POUR DES RAISONS POLITIQUES ; quand on sait qu’ils payent des millions des cabinets de Conseil EN PLUS de tous les agents de l’Etat pour ne pas avoir anticipé les conséquences d’un confinement par exemple ; quand on voit ce qu’implique en matière d’approvisionnements en produits sanitaires la fermeture des frontières, ou que l’école ne peut plus recevoir les enfants… Comment est-il possible que nos gouvernants n’aient jamais envisagé de répondre concrètement à une pandémie mondiale ? Ces gens qui se prétendent l’élite n’avaient jamais envisagé ni de telles situations, ni les conséquences des décisions qu’ils prendraient sur les court, moyen et long terme ? C’est en soi déjà un véritable scandale. Et quand on constate à quel point 90% de la population se sont couchés en 2 minutes sans même réfléchir aux conséquences de leur soumission volontaire, on pardonne même à eux qui par orgueil ont été jusqu’à préférer ne pas signaler leurs effets secondaires plutôt que d’avouer qu’ils se sont plantés, après avoir tant vomi sur les « complotistes-terroristes-souscitoyens-antivax-antiscience ». On peut aussi être extrêmement déçu par ce qu’on croyait être nos alliés, nos frères, qui pour la plupart n’auraient pas hésité à dénoncer le premier « non-vacciné » croisé dans la rue.
C’est après ce genre de chocs qu’on comprend mieux aussi comment de précédents drames historiques ont été rendus possibles : avec une bonne censure et une bonne propagande, doublées de l’intimidation et de la répression physiques. Et quand certains Bien-pensants ont tendance à enfermer les « antivax » dans le même sac que les « propoutine » en expliquant ce lien par le complot (souvent les dénonciateurs du complot croient eux-mêmes en un complot), en réalité on explique bien mieux le sceptcisme de certains par le fait qu’une fois constaté le peu de confiance qu’on pouvait avoir envers un gouvernement corrompu soutenu par des médias dépendants, les gens sont devenus méfiants. Ils doutent certes et avec raison de la propgande russe, mais également et avec raison aussi de la propagande française.
Aujourd’hui les journalistes « fact-checkers », les politiques, les médecins et analystes de plateaux, tous ceux qui ont répété et diffusé largement la parole officielle sans jamais semble-t-il ni la vérifier ni jamais la remettre en cause en sont réduits à user d’une sorte de falsification
orwellienne de l’Histoire : en censurant, menaçant, niant, évitant, bégayant, ils tentent de faire croire que l’incapacité du vaccin à protéger de la transmission du Covid a toujours été connue et n’a donc pas de nouvel intérêt, tandis qu’on peut encore aisément prouver le contraire, et même que c’est sur ce seul argument que le Conseil Constitutionnel a pu justifier son avis autorisant le PassVaccinal.
Comment après ça justifier les soignants suspendus, le PassVaccinal et les tests payants, l’humiliation, la perte de droits civiques d’accéder à des lieux de loisirs, l’interdiction de voyager… ?
Toute cette période sera sans doute étudiée longtemps dans les écoles de journalisme et les facs de Droit ou d’Histoire. On y verra comment l’orgueil des Hommes peut les conduire au mensonge et à la violence, et même à la dictature plutôt que de parvenir à reconnaître leurs erreurs. Cela dit et comme à chaque fois les personnes qui ont permis ce fiasco ne seront sans doute jamais jugées. J’ose espérer tout de même que leur sommeil n’est pas de tout repos.
Caleb Irri
http://calebirri.unblog.fr
272 réactions à cet article
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Entièrement d’accord avec vous, et étonnamment (!), on ls entend plus trop la ramener, les Pemile, Nono, et autres trouducs qui se sont permis de nous toiser avec CONdescendance en nous traitant de COMplotistes.
Perronne est réhabilité, Buzyn dézingue à tout va
Pfizer reconnait lui meme qu’aucune etude serieuse n’avait été réalisée
Toute l’argumentation (!) juridique (!) développée à l’époque et fortement contestée n’a en réalité aucune base légale, ce qui était absolument évident, sauf pour le conseil d’Etat qui devrait avoir à rendre quelques comptes
Tous les toubibs abrutis de plateaux télé devraient être sanctionnés, et radiés de l’ordre des médecins
Tous les journalistes (!) qui ont relayé sans une once de reflexion la propagande officielle, qui ont contribué à l’ostracisation des opposants, devraient répondre de leurs pratiques professionnelles
Merci infiniment à tous les débiles du pays d’avoir cautionné l’instauration d’un appartheid juridique dans le pays des de l’homme (!), d’avoir laissé vider les finances publiques, d’avoir démontré votre degré de soumission comme des chiens terrorisés qui se pissent le long de la jambe quand on leur fait les gros yeux
Ca aura eu moins eu le mérite de permettre d’identifier les gens sur qui on est sûrs de ne pas pouvoir compter
Fier d’avoir été un sous-citoyen qu’on veut emmerder et bravo à tous ceux qui ont résisté à cette pression monumentale
/popcorn maintenant, faut que ca saigne
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@tashrin
Fier d’avoir été un sous-citoyen qu’on veut emmerder et bravo à tous ceux qui ont résisté à cette pression monumentale
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@l’auteur, ok, solidaire pour dénoncer de mauvais choix
@tashrin sur ce point, ok avec vous.confirmation que cela ne tourne pas rond sur ce sujet covid,
mais on le savez depuis longtempsdès mars 20, encore plus dangereux que covid ... la bétise humaine
http://lecoindubonsens.unblog.fr/2020/03/31/pire-que-covid-le-virus-de-la-betise/mars riche en virus bêtises
http://lecoindubonsens.unblog.fr/2020/03/21/covid19-3-questions-de-bon-sens-les-reponses-beaucoup-moins/dès avril 20, on savait qu’un large pourcentage d’immunisés n’arrêtait pas la propagation
http://lecoindubonsens.unblog.fr/2020/04/11/covid19-85000-125000-deces-certains-en-france/avril 20, le scandale du bourrage de crane et de l’intox, exemple « 9 morts sur 10 ont plus de 64 ans », oui et alors ? normal !
http://lecoindubonsens.unblog.fr/2020/04/16/covid-confinement-prolonge-pour-les-seniors-quoi-que/aout 21, le scandale du quoi qu’il en coute : un exemple http://lecoindubonsens.unblog.fr/2021/08/22/aides-covid-logique-et-scandale-la-raison-du-petit-est-toujours-la-moins-bonne/
et l’on pourrait ajouter le monde de la restauration qui ne trouve plus de personnel : logique, ils ne sont pas masos puisque pouvant avoir le même pouvoir d’achat sans bosser
http://lecoindubonsens.unblog.fr/2021/08/16/les-fables-de-bonsens-le-retraite-et-le-garcon-de-cafe-quoi-quil-en-coute-personne-sur-le-bord-du-chemin/
et des propositions respectant mieux les libertes/responsabilités individuelles
http://lecoindubonsens.unblog.fr/2021/08/15/grogne-sur-la-vaccination-covid-et-le-pass-sanitaire-et-si-la-solution-etait/Fier aussi d’avoir été un sous-citoyen
contestant depuis le début le « bon sens » des décideurs. Même si vacciné 3 fois pour un minimum de liberté pour voyage promis aux petits enfants, visites familiales aux anciens en ehpad, etc, bref soumis/cédé à la force juste pour vivre dignement/normalement.
Et ces décideurs ne peuvent pas dire « on savait pas, vous auriez du le dire », on l’a écrit ! -
@lecoindubonsens
LolFier aussi d’avoir été un sous-citoyen
contestant depuis le début le « bon sens » des décideurs. Même si vacciné 3 fois pour un minimum de liberté pour voyage promis aux petits enfants, visites familiales aux anciens en ehpad, etc, bref soumis/cédé à la force juste pour vivre dignement/normalement.
Donc vous faites partie des gens qui ont laissé faire ce grand n’importe quoi juste pour vos loisirs... Sacré résistant :)
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« J’ose espérer tout de même que leur sommeil n’est pas de tout repos. »
Pour cela, il faut d’abord avoir un cerveau puis une conscience.
Edifiant, la mauvaise foi de Beglé
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@Adèle Coupechoux
Edifiant, la mauvaise foi de Beglé
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Ce qui prouve au moins une chose, c’est que ces guignols ont visiblement pleinement conscience de ce qu’ils ont fait avec leurs tombereaux de mensonges.......ce qui répond clairement à une de mes questions depuis 3 ans....
Mensonges avec préméditation pour ces « influenceurs de plateau » , combien ont-ils touché ?Ils croient peut-être pouvoir caresser l’espoir de s’en tirer comme ça ?
Certainement pas ! On ira les chercher jusque dans les chiottes, comme disait Vlad.... -
@Emohtaryp
Le problème c’est que nous nous attaquons à une forteresse. Si la chambre disciplinaire de première instance de l’Ordre des médecins d’IDF a rejeté la plainte du Cnom, ce dernier a quand même fait appel
Cet ordre devrait être dissous. Trop de médecins sont corrompus. -
@Adèle Coupechoux
L’ignoble Beglé a encore frappé (beuglé ?) :
https://www.facebook.com/helene.brauer/videos/1188005705398053/ -
C’est que quand on voit comment nos gouvernants n’ont pas hésité à forcer des millions de gens, femmes enceintes et enfants compris, à se faire vacciner POUR DES RAISONS POLITIQUES : ce sont les professions comme personnel soignant et militaires qui ont été forcés, les autres c’est par cohersion pour pouvoir mener une vie « normale ».
Sans la participation des journalistes complices, tout ceci ne serait pas arrivé. Malheureusement, à part dire qu’ils sont pourris, on ne peut rien faire contre eux.
Le plus dur à mon avis pour leur famille ce sont les morts subites, des gens dans la force de l’âge, qui n’ont rien, et qui meurent subitement dans leur sommeil (exemple là à 18 ans).
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@leypanou
« ce sont les professions comme personnel soignant et militaires qui ont été forcés »
Et les employés de restaurants alors que leurs employeurs n’y étaient pas soumis.. -
@leypanou
"...nos gouvernants n’ont pas hésité à forcer des millions de gens, femmes enceintes et enfants compris, à se faire vacciner POUR DES RAISONS POLITIQUES ..."Et un peu financières aussi, non ?...
https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/10/26/alerte-pfizer-quadruple-le-prix-de-son-vaccin/ -
@leypanou
Oh combien vous avez raison, n’ayant jamais voulu me faire injecter cette saloperie pour la simple raison que l’attitude affligeante des « pouvoirs » publics me recommandais d’être très circonspect. En effet un dépôt de brevet américain concernant l ;ARN-messager ayant été abandonné par ses inventeurs me confortait dans ma décision. Depuis, je regarde avec dégoût l’attitude des responsables qui s’accrochent à leurs erreurs mortifères. Je hais tous les pourris qui se sont acharnés sur de grands scientifiques qui ont sacrifié leur carrière pour avoir osé faire front à ces décisions prisent scandaleusement « en secret ».
Dans cette tragédie scandaleuse, la médecine française ne s’en remettra jamais, et tous ces pontes aux conflits d’intérêts, ne sont plus regardés qu’avec dédain par la foule des anonymes qui d’instinct sent bien qu’elle a été abusée.
Maintenant il faut poursuivre cette racaille et lui faire payer cash tout le mal qu’elle a fait en commençant par la commissaire européenne et en redescendant jusqu’aux rédactions des médias. -
« Alors voilà, maintenant le temps a passé et on entend de plus en plus parler d’espérance de vie qui baisse, de mortalité excessive d’origine inconnue, de Myocardites très nombreuses, de problèmes menstruels plus ou moins graves, de maladies rares et inexpliquées…
[…] Car si on fait le point sur les conséquences de cette pandémie, il faut ajouter à la liste précédente les familles détruites, les gens qui n’ont pas pu dire « au revoir » à leurs proches, les pertes de chance pour de nombreux malades, les violences intra-familiales, le dépressions et suicides, les amendes abusives, les soignants et pompiers suspendus, les millions de gens humiliés et ostracisés, les retards d’éducation, les addictions créées…c’est là qu’on voit que le rapport « bénéfices/risques » n’est pas forcément celui qu’on attendait ! Tout ça sans compter les libertés réduites et la démocratie abîmée, la confiance envers les médias rompue, et envers la médecine et la science aussi d’ailleurs… »D’où cette espèce de fuite en avant de la part des médias et des gouvernements : quoi de mieux, pour faire oublier le désastre-Covid, qu’une bonne guerre – quitte à mentir, à tricher, à dépenser et à tuer sans compter encore une fois ?
Pour le coup, on peut se demander jusqu’où ils iront, puisque la meilleure façon de faire oublier le désastre-Ukraine en train de se produire, ça sera de provoquer, d’amplifier et de propager une nouvelle crise… Ils se sont tous engagés dans un cercle vicieux extrêmement toxique, et ça commence à se voir comme le nez au milieu de la figure.
« Toute cette période sera sans doute étudiée longtemps dans les écoles de journalisme et les facs de Droit ou d’Histoire. On y verra comment l’orgueil des Hommes peut les conduire au mensonge et à la violence, et même à la dictature plutôt que de parvenir à reconnaître leurs erreurs. »
Là, je vous trouve trop confiant : des passages entiers du Wikipédia ont été réécrits durant cette période, et continueront certainement à l’être dans les années à venir. Voyez déjà comme le nazisme d’état ukrainien est en train d’être minoré, voire de s’évaporer...
Trop de vieux cons et trop d’idiots congénitaux à des postes clefs, beaucoup, beaucoup trop : démesure et prépotence, fin de civilisation.
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@I.A.
À propos des myocardites :Incidence non négligeable des myocardites après 3ème dose de vaccin à ARN messager anti-COVID 19
Publié le mardi 30 août 2022 - (ESC = European Society of Cardiology)- L’incidence réelle des lésions myocardiques post-vaccinales sont de 2.8 % vs 0.0035 % de myocardites sur les études rétrospectives
- Conclusion
L’incidence des lésions myocardiques est de 2,8 % soit 800 fois supérieure à l’incidence habituelle des myocardites. Elle survient majoritairement chez les femmes contrairement aux myocardites virales habituelles.
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@GerFran
Merci pour cette étude (effectué sur des soignants du CHU de Bâle moyenne âge 37 ans).
La méthode de détection de myocardite (inflammation du muscle cardiaque) se base sur le dosage de la protéine troponine et non sur des symptômes, il est indiqué ’’ aucun MACE [décès, hospitalisation] n’a été rapporté dans la population étudiée à 30 jours ... élévation peu importante de la troponinémie ... devant la faible atteinte myocardique celle-ci ne parait pas possible à détecter en IRM cardiaque’’Absence de cas grave dans cette étude, mais l’alerte qu’ils formulent est la suivante : ’’du fait de la réalisation de doses répétées, il est intéressant de se demander si cela ne pourrait pas entrainer des séquelles à long terme (insuffisance cardiaque, arythmie).
Donc à utiliser avec discernement ; la vaccination généralisée (notamment aux jeunes et aux enfants) et répétitive (rappels périodiques) est néfaste
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Le contrat Pfizer-Commission européenne dévoilé
Il en faudra des Guantanamo’s pour toutes les pourritures qui sont dans les gouvernements
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@troletbuse
Je crois qu’on ne verra pas beaucoup de bidochons sur l’article, pas de Fergus, Grounichion, Rosemerde, P1000, etc..... -
@troletbuse
Ils ont tous un stage piscine...
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@Lynwec
Z’ont trouvé des burkini à leur taille !?
Pas chaudes les piscines l’hiver sous Macron.
M’enfin, faut bien sauver la planète...
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Message à tous,
Je cite l’auteur : « Toute cette période sera sans doute étudiée longtemps dans les écoles de journalisme et les facs de Droit ou d’Histoire. »
Aujourd’hui comme demain, rien de ce que nous avons vécu ne sera étudié dans les écoles de journalisme et les facs de Droit ou d’Histoire.
Cela fait longtemps que le journalisme en France consiste à faire avaler le maximum de mensonges à la population, le Droit est au service des puissants, quant à l’Histoire elle est particulièrement sous surveillance politique depuis la loi de Gayssot de 1990.
Il y a pas de folie collective mais une insouciance irresponsable coupable. Ceux qui cherchent la vérité étudieront la réalité du présent sous leurs yeux et l’accepterons pour peu qu’ils aient la bonne volonté pour cela.
Le « vaccin » est très efficace pour exercer une dictature sanitaire sur une population qui de toute façon vote en confortant le pouvoir de ses bourreaux. Par conséquent, le pire n’est pas derrière nous mais devant.
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« La 8ème vague de Covid se déroule en France sans confinement, sans PassVaccinal, et surtout sans vaccin et sans masque. »
Attendez ! C’est pas fini :
Et d’abord, qui, à part les merdias et ses chiffres complètement bidons, vous dit que la 8ème vague existe vraiment ?...
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@sirocco
Taux de reproduction du virus 1 . Aucune épidémie .
https://www.lelibrepenseur.org/covid-1984-les-donnees-sentinelles-montrent-un-taux-dincidence-en-baisse-a-41-100-000-en-semaine-42/ -
Arrêtons d’utiliser un terme « antivax » qui n’a été forgé que pour décrédibiliser et désamorcer toute tentative d’examen des faits, toute logique, tout débat. Je ne suis pas vacciné contre la Covid-19 car il n’y avait a disposition que des candidats expérimentaux imposés dans la contrainte et la violence et sans aucune possibilité de consentement éclairé (éclairé par quoi, puisque les labos eux-mêmes ne savaient pas grand chose et tous les garde fous ont été piétinés pour éviter une hypothétique catastrophe ).
Magnifique crise au demeurant pour ceux qui étudient et étudierons ce cas puisque tout y est. L’arbitraire des décisions ne reposant sur aucune base scientifique solide, parfois aucune (masques dans la rue, l’OMS ayant instamment demandé aux Etats d’en produire , la volonté de cacher la grande misère opérationnelle des hôpitaux publics au détriment d’une politique de santé publique prenant en compte les impacts sociaux et économiques pour l’ensemble de la société), les conflits d’intérêts, les commandes de « vaccins » par milliards de doses (10 par européen pour le variant dit « Wuhan ») dans l’opacité, le refus acharné de vérifier si des molécules anciennes étaient efficace (personne n’a pu vérifier aux USAet en Europe, dans une étude indiscutable l’efficacité de l’HCQ ou de l’Ivermectine (Malone a dû la retirer sous la menace de définancement d’un bras d’une étude en double aveugle qu’il voulait faire)), refus d’examiner l’origine de ce virus (probablement issu d’un laboratoire de manipulation des virus), etc...
Des ouvrages entiers pourraient et seront écrits sur la multitude d’anomalies gravissimes rencontrées dans cette crise entièrement fabriquée du coup, seul le virus ayant une réalité.
Sur l’idée que cela servira de leçon en particulier pour les journalistes, on peut en douter.
La plupart sont des propagandistes qui disent ce qu’on les paie pour dire et se moquent des faits et ne les recherchent pas.
Le passage d’Orwell que vous citez est déjà la réalité avérée. Elle est d’ailleurs extrêmement facilité par sa forme électronique et nous allons vers des vidéos en CGI qui étalerons sous nos yeux de pures inventions faisant office de réalité.
Je pense que la sortie de cette crise est très proche, dans le temps et l’espace, à savoir en Ukraine.
Pas un hasard si les russes continuent à mobiliser bien au delà de ce dont ils auraient besoin pour ramener le sud de l’Ukraine (jusqu’à la Transnistrie, incluant Odessa bien sûr), car ils vont devoir affronter des troupes non ukrainiennes qui ultimement seront des troupes US.
Ils ne peuvent pas renoncer à leurs buts de guerre et donc ne peuvent pas perdre.
La direction US s’est mise le dos au mur et ne renoncera pas à lâcher l’Ukraine sous une forme perçue comme dangereuse par la Russie.
Quand Russie et USA s’affronteront directement, tous les paris seront ouverts.-
Bonsoir, jjwaDal
« Arrêtons d’utiliser un terme « antivax » qui n’a été forgé que pour décrédibiliser et désamorcer toute tentative d’examen des faits »
En êtes-vous certain ? Sur ce site, ce sont bel et bien des intervenants comme troletbuse, Francis, agnotologue et consorts qui ont été les premiers à fièrement brandir ce terme !!!
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@Fergus
Les mots ont un sens : je ne me définis pas comme antivax ; je suis agnostique vis-à-vis de la religion du vaccin miracle. Nuance
Je suis farouchement opposé à tout ce qui est obligation, réelle ou déguisée de vaccination, surtout avec des potion dont les autorités ignorent la composition ou nous la cachent. Dans ce cas je considère que c’est un permis de tuer délivré aux fabricants et aux injecteurs.
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@Fergus
J’ai eu mes vaccins jusqu’à l’rmée et depuis plus rien, ni la grippe.
Avec les campagnes pour le vaccin contre la grippe, j’ai compris que ce n’était qu’une histoire de fric.
Comme les 9 vaccins supplémentaires ordonnés par la Buzyn.
Et aujourd’hui,il paraît que le vaccin anti-grippal a comme adjuvant l’aluminium. Pourtant, il y a quelques années une campagne qui associait alu et Alzheimer ??
Donc aujourd’hui je suis carrément anti-vax quelque soit le vaccin. -
@Fergus
ah mais moi, je revendique le terme « antivax » et j’en démordrai pas !
Par contre, je ne suis pas antivaccins...
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Pour l’instant la vérité n’est encore qu’un paillasson ou tous ces gens la s’essuient les pieds .....
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tout spécialiste dans le domaine des vaccins et de l’infectiologie savaient sans avoir à faire une quelconque expérience ou essai clinique que le vaxxin anti covid ne pouvait pas être efficace contre la transmission du virus, tout simplement parce qu’il n’existe pas de vaccin par injection capable d’arrêter la transmission par voies respiratoires d’un virus quelconque.
Toute la manipulation reposait alors sur le fait qu’il s’agissait d’une nouvelle technique, mais qui pour cette même raison nécessitait de faire des essais pour pouvoir prouver que cette technique agissait aussi sur les voies respiratoires contrairement à tous les autres.
Autrement dit, dans tous les cas de figures, la réponse logique des spécialistes des organismes officiels auraient dû être de dire que sans preuve contraire reposant sur des essaies, aucun vaxxin anti covid ne pouvait empêcher la transmission. Et qu’en raison de leur nouveauté et qu’ils soient toujours en phase de test, seule la population ayant un risque réel devaient être vaxxiné et les autres non.
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@Hervé Hum
Exact. Mais il y a pire : les tests covid étaient bidon ! Leur seul intérêt était criminel puisqu’ils étaient la base de la plus grande imposture de l’histoire en nombre de personnes bernées..
« Si tu compares le sort de deux hommes, dont l’un est doué d’un vrai mérite et l’autre jouit d’une fausse gloire, tu verras ce dernier plus heureux que son rival et presque toujours plus riche. L’imposture excelle et triomphe dans le mensonge. » Giacomo Leopardi -
@Francis, agnotologue
Les tests ont surtout prouvé que le vaxxin n’arrêtait pas la transmission et il faut voir là la formidable capacité du gouvernement avec l’appui des grands médias à faire croire le contraire de l’évidence.
Effrayant de voir que même une majorité du corps médical s’est laissé ainsi manipuler et qu’une bonne partie ne changera pas d’avis car ce serait pire pour leur égo, pour l’estime qu’ils peuvent se porter à eux même.
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@Hervé Hum
copié-collé : « Les tests ont surtout prouvé que le vaxxin n’arrêtait pas la transmission »
Mais, au delà de ça, où sont les preuves que la « transmission » est inter-humaine, en général ? Les preuves n’existent pas.
En revanche, toutes les personnes, pour les plus faibles d’entre elles, « baignant » au même moment dans une atmosphère polluée par les PM10, PM2,5 et PM0,1, développeront des maladies cardio-respiratoires (nez qui coule, rhinite, détresse respiratoire, fièvre, maux de tête, AVC, arrêt cardiaque).
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@Legestr glaz
Quelques liens sur les maladies cardio-respiratoires en lien avec la pollution atmosphérique.
Publication de mai 2022 :
... « The Lancet Commission on pollution and health reported that pollution was responsible for 9 million premature deaths in 2015, making it the world’s largest environmental risk factor for disease and premature death. »...
https://www.thelancet.com/journals/lanplh/article/PIIS2542-5196(22)00090-0/fulltext« Les virus respiratoires » sont de tous petits joueurs face aux agents pathogènes de la pollution atmosphérique. Leur rôle dans les maladies respiratoires a été dégradé d’étude scientifique en étude scientifique. Les biologistes parlent d’eux comme de simples « co-facteurs », accordant le rôle principal de « tueur » aux particules polluantes atmosphériques. Et comme personne n’a encore jamais vu de « virus », qu’il est possible de les confondre avec les « vésicules extra cellulaires » et les « exosomoses » (je parle du microscope électronique à transmission), on pourrait facilement faire certaines conclusions.
https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/full_html/2018/12/msc180 134/msc180134.html
(« La Commission Lancet sur la pollution et la santé a rapporté que la pollution était responsable de 9 millions de décès prématurés en 2015, ce qui en fait le plus grand facteur de risque environnemental de maladie et de décès prématuré au monde. »)
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@Legestr glaz
Mais, au delà de ça, où sont les preuves que la « transmission » est inter-humaine, en général ? Les preuves n’existent pas.
Certes, mais je remarque que cela va dans le même sens !
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@Legestr glaz
Quelques liens sur le sujet.
https://www.fedecardio.org/presse/pollution-un-risque-de-maladies-cardiovasculaires-accru/
Martelons bien, haut et fort, que ce sont les « virus », ces bêtes féroces, qui rendent les gens malades et non la pollution atmosphérique lorsque les circonstances climatiques sont « favorables ». Inversions thermiques hivernales et canicules estivales.
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@Hervé Hum
C’est vrai. Mais, il y a une nuance. Dire que la vaxxination n’empêche pas la contamination c’est « accréditer » l’idée que les « virus » peuvent contaminer l’être humain.
En revanche, dire que les agents toxiques, les agents pathogènes, de la pollution, provoquent les maladies cardio-respiratoires, c’est ôter aux virus leur dangerosité, c’est, d’ailleurs, tout leur enlever, jusqu’à leur existence.La « pollution atmosphérique » est « hémisphérique » et traverse les continents, venant d’Asie, en passant pour l’Europe, pour aller jusqu’à l’Amérique du Nord.
Les particules polluantes venant d’Asie vont donc « agresser » autant les personnes en Chine, qu’en France, qu’au Canada. Les conditions atmosphériques « particulières » feront que la pollution sera plus ou moins dense, et par conséquent, plus ou moins mortelle chez les personnes à l’immunité affaiblie et, tout particulièrement, chez les personnes présentant une dégradation de l’endothélium vasculaire (à savoir les hyper-tendus, les diabétiques, les malades du coeur et des coronaires, les insuffisants rénaux).En revanche, cette pollution hivernale venant d’Asie ne pourra pas atteindre l’hémisphère Sud, ce qui explique le « décalage » d’environ 6 mois, entre l’émergence des maladies respiratoires en Australie et en France, entre l’hémisphère Sud et l’hémisphère Nord. Preuve que ce ne sont pas les êtres humains qui se contaminent les uns les autres mais que ce sont les conditions atmosphériques « identiques » qui amènent les humains à respirer les mêmes agents toxiques.
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@Legestr glaz
je n’ai pas d’avis tranché sur la question, pas assez de connaissance en la matière.
En l’état actuel, on peut déjà « savourer » le fait que les données factuelles révèlent l’étendue de la corruption et de la soumission non pas à la loi, mais à ceux qui en font un usage personnel via les pouvoirs que les citoyens leurs concèdes volontairement. Pouvoir caractérisé par l’autorité qu’ils disposent sur les fonctionnaires de l’ordre, obéissant à ceux qui ont le contrôle de l’autorité et non pas aux citoyens qui en l’occurrence imposait la transparence totale de la gestion sanitaire et des contrats passés avec les laboratoires, tant sur le plan financier que sur le plan médical comme la composition exacte des vaxxins, d’un comité de contrôle des essais cliniques sans conflit d’intérêts, etc.
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@Hervé Hum
La question de la ’’transmission’’ avait été mise en avant pour l’obtention d’une mythique immunité collective (qui n’a absolument jamais existé pour la grippe ou le rhume par exemple). La contagiosité peut être réduite par la vaccination si la prolifération virale est rapidement enrayée dans les voies respiratoire supérieures, mais pas être supprimée (l’immunité n’agit que lorsque le virus est déjà présent dans l’organisme, donc contagieux). Et au fil des évolutions des variants, il est apparu que l’efficacité immunitaire contre la transmission a chuté voire s’est inversée.’’ En raison de leur nouveauté et qu’ils soient toujours en phase de test, seule la population ayant un risque réel devaient être vaxxiné et les autres non’’
Totalement d’accord sur ce point, avec incitation mais non obligation.
Mais en plus, il y aurait du être proposé l’alternative d’un vaccin classique homologué par l’OMS (nos labos auraient pu passer un accord sur les vaccins chinois). -
@Eric F
copié-collé : « l’immunité n’agit que lorsque le virus est déjà présent dans l’organisme, donc contagieux ».
Une vue de l’esprit parce que les virus n’ont jamais été examinés, jamais isolés, jamais purifiés selon des conditions scientifiques « standard ».
Une vue de l’esprit de dire qu’ils se multiplient dans l’organisme alors que tout porte à croire que se sont des vésicules extra cellulaires qui s’échappent des cellules, vésicules extra cellulaires, ou exosomes, qui sont confondus avec ce que l’on veut appeler « virus ».
... « Les vésicules extracellulaires (VE) définissent des particules naturellement produites par les cellules, qui sont délimitées par une bicouche lipidique et ne peuvent se répliquer, car ne contenant pas de noyau fonctionnel. Ces VE circulent et sont retrouvées dans les fluides biologiques : le sang, le liquide céphalo-rachidien, la salive, l’urine, etc.
https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/full_html/2021/12/msc200 698/msc200698.html
... » Les polluants environnementaux courants, notamment les particules, la fumée de tabac et les polluants chimiques, déclenchent la libération de vésicules extra cellulaires à partir de plusieurs systèmes du corps. Les recherches existantes se concentrent principalement sur les polluants atmosphériques, qui modifient la production et la libération des vésicules extra cellulaire dans les poumons et la circulation systémique.
Les polluants atmosphériques ont également un impact sur le chargement sélectif de la cargaison des vésicules extra cellulaires, y compris les microARN et les protéines, qui modifient la fonction cellulaire dans les cellules réceptrices.En conséquence, les vésicules extra cellulaires induits par les polluants contribuent souvent à un milieu pro-inflammatoire et pro-thrombotique, ce qui augmente le risque de maladies liées aux polluants, notamment les maladies pulmonaires obstructives, les maladies cardiovasculaires, les maladies neurodégénératives et le cancer du poumon.
Les expositions environnementales courantes sont associées à des changements multiformes dans les vésicules extra cellulaires qui entraînent des altérations fonctionnelles dans les cellules réceptrices et contribuent à la pathogenèse des maladies systémiques chroniques. Les vésicules extra cellulaires peuvent désigner des cibles émergentes pour la prévention et le traitement des maladies résultant d’expositions environnementales.Cependant, de nouvelles recherches sont nécessaires pour approfondir nos connaissances sur l’action biologique de la cargaison des vésicules extra cellulaire, élucider les déterminants de la libération des vésicules extra cellulaires et comprendre l’impact des polluants environnementaux sur la santé humaine.« ...
C’est, assez commode de »masquer« l’existence des vésicules extra cellulaires et de faire croire que se sont des »virus« . Ceci permet de produire des »vaccins" qui ne servent absolument à rien parce qu’ils ne résolvent aucun des problèmes rencontrés par l’organisme face aux agents pathogènes respiratoires.Septembre 2022
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35449498/ -
@Eric F
La pollution de l’air a toujours été un problème pour la santé de l’être humain. Fumées d’incendies, fumerolles volcaniques, poussières, spores et champignons microscopiques. A tel point que l’organisme humain a développé des « recepteurs » pour identifier ces « xénobiotiques » de manière à les prendre en compte pour les éliminer. Ce sont les récepteurs « Aryl hydrocarbone » -Arh-.
... « La pollution environnementale représente une menace croissante pour les pays industrialisés ou en voie de développement. Elle est associée à de nombreuses pathologies (asthme, diabètes, cancer...). Les organismes vivants ont développé des systèmes de détection des polluants environnementaux (dioxines, hydrocarbures,...) ; ce sont des récepteurs de xénobiotiques pour la plupart des facteurs de transcription. Ils détectent par liaison les polluants et activent la transcription d’enzymes qui conduisent à l’élimination de ces molécules. Le AhR (Aryl hydrocarbon Receptor) est un récepteur de xénobiotique qui détecte plusieurs familles d’hydrocarbures fortement représentés dans l’environnement (dioxines, PCBs, hydrocarbures aromatiques...). Ce rôle est bien caractérisé chez les mammifères. »...
Et ces récepteurs « Aryl hydrocarbone » -Arh-, fixent les hydrocarbures aromatiques polycycliques — HAP—, ces saloperies polluantes présentes dans l’atmosphère, pour les éliminer.https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/Hydrocarbures_aromatiques_polycycliques_HAPs_.pd f
Surtout Eric F, faites bien silence sur la pollution, sur les matières particulaires polluantes qui détruisent notre santé. Parlez nous des « virus » pour détourner l’attention, comme le font les industriels du vaccin.
... « Les Polluants organiques persistants (POP) recouvrent un ensemble de substances chimiques qui possèdent quatre propriétés que la convention de Stockholm a explicité en 2001. Ils sont persistants, bioaccumulables, toxiques et mobiles.
Ils résultent surtout des rejets dans l’environnement par les activités humaines, depuis plusieurs dizaines d’années. Persistants, ils se dégradent lentement : de quelques années à des siècles, pour certains. S’accumulant au fil du temps dans les êtres vivants, notamment dans leurs graisses et dans la chaine alimentaire, ces substances sont susceptibles de provoquer des effets nocifs. Les POP sont mobiles sur de grandes distances. On en mesure, ainsi, des concentrations élevées loin des points de rejet, dans les lits des rivières où ils ont été rejetés mais aussi, là où on n’en a jamais utilisé, dans les mers ou en Arctique, par exemple.
Cette pollution des écosystèmes, des organismes vivants et de nombreuses denrées alimentaires entraîne une exposition à long terme d’une multitude d’espèces et des êtres humains.La gestion des risques liés à ces substances a appelé des réponses au plan international et national, des conventions qui ont élargi progressivement les douze substances visées au départ. Les plans et mesures visent notamment les dioxines, les polychlorobiphényles (PCB), les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) et des pesticides. »...
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@Legestr glaz
Vous repartez dans votre plaidoirie anti-existence des virus, on en a déja débattu plusieurs fois. Ça a offert l’intérêt de ’’creuser’’ la question, car il y a des éléments intéressant sur les facteurs conduisant aux pathologies : saison, pollution, état physiologique, alimentation, etc.
Mais certains arguments sont contraire aux réalités, comme la prétendue non contamination entre individus (on peut tracer la propagation, existence de clusters...) ou l’exclusion saisonnière entre hémisphères (quelques semaines de décalage seulement entre régions du monde pour le covid). Par ailleurs la détection d’un ensemble de protéines bien déterminé absentes du patrimoine humain montre l’implication d’un agent étranger (les ’’vésicules extra cellulaires’’ ne comportent pas de protéines du type de celles des virus, spike ou autres).Je m’en tiens donc à la conclusion qu’il y a synergie entre facteurs tant pour la contamination individuelle que pour le seuil épidémique, le virus est un déclencheur.
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@Legestr glaz
En tous les cas, un virus ne saurai être un être vivant car il ne répond pas à la définition, aussi, de là a ce qu’il n’existe pas..
Ce que je trouve totalement effarant, c’est de voir des scientifiques affirmer avoir photographié un atome ou même un photon et il n’y aurait pas de photo de virus.
Chez moi, qui peut le plus s’économise à faire le moins, mais qui peut le moins s’épuise à essayer de faire le plus. Bref, je ne vois pas comment il serait possible de dire avoir photographié une puce et incapable de photographier un éléphant.
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@Hervé Hum
Salut Hervé, juste au cas où tu n’aurais pas vu cela et que bien sur ça puisse t’intéresser....
https://greatreject.org/dr-stefan-lanka-claims-about-viruses-are-false/ -
@Eric F
Pas de contamination « inter-humaine », c’est simplement une évidence depuis l’expérience de Milton Rosenau de 1918-1919. Et, très près de nous, le cas du paquebot « Diamond Princess » a démontré que la contamination n« était pas »inter-humaine« .
... »En utilisant les données du Diamond Princess, une équipe dirigée par Gerardo Chowell, de l’université d’État de Géorgie, à Atlanta, aux États-Unis, rapporte qu’au 20 février, 18 % de toutes les personnes infectées à bord du navire n’avaient aucun symptôme. « C’est beaucoup », déclare Gerardo Chowell. Pourtant, les passagers comprenaient un nombre important de personnes âgées, les plus susceptibles de développer une forme sévère quand elles sont infectées, de sorte que la proportion d’individus asymptomatiques dans la population générale est probablement plus élevée, ajoute-t-il.« ...La »nouvelle« science vient d’inventer les »malades sans symptômes« . Le ridicule ne tue même plus. Tout ceci pour faire tenir l’existence des »virus« . On se moque vraiment des gens.
Les »clusters« parlons en. Il s’agit de personnes qui ont été soumises aux mêmes conditions atmosphériques. Rien de plus. Les personnes les plus fragiles, au plan de l’immunité, développent une maladies respiratoire suite à l’inhalation d’agents pathogènes issus de la pollution.
Le »protocole« utilisé pour isoler et purifier les virus produit des artefacts. Il ne répond pas aux critères scientifiques. Mais ceci, Eric F, vous le passez par pertes et profits. Vous voulez ignorer ce protocole dément.
Rien ne peut distinguer ce que l’on »veut« appeler virus des »vésicules extra cellulaires« et des exosomes. Il est fait totalement »silence« sur ceux ci. Vous le premier. Le MET est dans l’impossibilité de distinguer vésicules extra cellulaires, que l’on découvre en nombre chez les personnes »saines« , des »virus« , considérés comme tel, puisque retrouvés chez des personnes malades.
Les agents pathogènes de la pollutions font 9 millions de morts dans le monde chaque année. Et les »virus« en font combien ? Comment faites vous pour distinguer des personnes malades de la pollution atmosphérique (de toutes ces maladies cardio-respiratoires) des fameuses maladies »virales« . Dites moi Eric F, ce qui les sépare ? Un »test« ? Après avoir produit un »artefact« qui est supposé présenter le »génome viral" ? La mystification est grossière.
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@Hervé Hum
C’est exact, jamais un virus n’a été photographié. Il est « simplement déduit » d’après une programme informatique en lien avec un microscope électronique à transmission.
Ce que l’on montre au public c’est une image de synthèse.Il en va de même des vésicules extra cellulaires et des exosomes. Ils ne peuvent pas être photographiés. Ils sont de taille manométrique.
Il en va de même des « bactériophages », les « virus » des bactéries.
Hervé Hum, une image n’est pas une photographie, comme une puce n’est pas un éléphant. Utiliser un terme pour l’autre c’est tromper le lecteur.
MET : La microscopie électronique en transmission (MET, ou TEM pour Transmission Electron Microscopya) est une technique de microscopie où un faisceau d’électrons est « transmis » à travers un échantillon très mince. Les effets d’interaction entre les électrons et l’échantillon donnent naissance à une image, dont la résolution peut atteindre 0,08 nanomètre (voire 0,04 1,2). Les images obtenues ne sont généralement pas explicites, et doivent être interprétées à l’aide d’un support théorique
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@Géronimo howakhan
Extraits traduits de ton (excellent) lien :
... " Ma thèse n’est pas complexe : toutes les affirmations sur les virus en tant qu’agents pathogènes sont fausses et reposent sur des interprétations facilement reconnues, compréhensibles et vérifiables.
Les véritables causes des maladies et phénomènes attribués aux virus ont désormais une explication différente, et notons-en une bien plus claire que les pseudo-explications actuelles.
En effet, alors que les scientifiques des laboratoires pensent qu’ils travaillent avec des virus, ils ne travaillent en fait qu’avec certains composants de tissus ou de cellules mourants acquis dans des circonstances très particulières. Leur croyance fondamentale est que ces tissus et cellules meurent parce qu’ils sont infectés par un virus.
En réalité, ces tissus et cellules de laboratoire meurent parce qu’ils sont affamés et empoisonnés en raison de la méthodologie de test en soi. Les virologues croient principalement à l’existence des virus car ils administrent aux tissus et cellules supposés « infectés » du sang, de la salive, ou d’autres fluides corporels supposés « infectés », et cela, il faut le souligner, puis en plus de l’arrêt de la solution nutritive. et après le début de l’empoisonnement par des antibiotiques toxiques. La grande idée, cependant, est que le tissu et ces cellules mourraient également, et le feraient complètement d’eux-mêmes - même sans l’ajout des matériaux soi-disant « infectés ».« ...
... » C’est donc très simple : la mort des tissus et des cellules est considérée à tort comme l’isolement du virus. Ainsi, quoi que l’on puisse prétendre d’autre : il n’en reste pas moins qu’un virus n’a jamais été isolé au vrai sens du terme – c’est-à-dire : montré dans son ensemble ou caractérisé biochimiquement.Les photographies au microscope électronique des prétendus virus, par exemple, ne montrent en réalité que des particules régulières de tissus et de cellules mourants, généralement tout au plus sous forme de modèle. Cependant, puisque les personnes impliquées CROYENT que ces tissus et cellules mourants sont des virus, cette mort des cellules et des tissus sous la forme de toutes sortes de parties cellulaires est également appelée la « multiplication » des virus.
Les parties concernées le croient encore aujourd’hui, et, pour le répéter, notamment parce que l’inventeur de cette méthode, en remportant le prix Nobel, est toujours considéré comme une autorité. La remise en cause de cette autorité n’est même pas envisagée.Il est important de noter, soit dit en passant, que ce même mélange, qui est donc constitué de tissus et cellules mourants de singes, de fœtus de bovins et d’antibiotiques toxiques, n’est en rien différent de ce qu’on appelle un « vaccin vivant ». Il est utilisé sans l’épurer de tout ce qui n’est pas viral (c’est-à-dire puisque les virus n’existent pas) comme injection soi-disant curative, dans l’hypothèse où il s’agirait de virus « atténués ». Cependant, il est constitué principalement de protéines étrangères, d’acides nucléiques (ADN/ARN), d’antibiotiques cytotoxiques, de microbes et de spores de toutes sortes.
Ainsi, un vaccin n’est rien d’autre qu’un mélange de déchets cellulaires et de bactéries. En d’autres termes, des composants qu’un corps normal excréterait immédiatement. Ce mélange est donc toxique. C’est ce que le corps sécrète comme déchet. Mais il est principalement injecté dans les muscles des enfants pendant le processus de vaccination, en une quantité qui, si elle était injectée dans la veine, entraînerait immédiatement une mort certaine.
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@Hervé Hum
Je plussoie....j’ai vu une longue vidéo, interview de Stefan Lanka, ce qu’il dégage est une forme de sérénité...
il a décidé de parlé devant l’ampleur gigantesque du drame qui se joue ... -
@Géronimo howakhan
c’était pour Legestr glaz
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@Legestr glaz
Vous plaisantez ? vous donnez comme preuve de non-contamination une expérimentation faite il y a plus d’un siècle, qui n’utilisait pas l’agent pathogène adéquat.
Après ça, pour le covid il n’y a pas eu que tel ou tel bateau, mais des familles ou groupes depuis lesquels la propagation a été suivie à la loupe, et les cas symptomatiques suivaient à quelques jours les ’’positifs’’, donc dire qu’il n’y a aucun lien est juste stupéfiant.La pollution crée elle même des pathologies, ce qui n’exclut pas pour autant l’existence et le rôle des virus, de même qu’un feu peut prendre autrement qu’avec une allumette, cela n’exclut pas l’existence et le rôle des allumettes.
On n’isole pas plus un virus qu’on isole une vésicule extra-cellulaire ou une cellule toute seule sur la plaque d’un microscope, les procédés de microscopie ont évolué, ainsi que l’identification des gènes.
Nier aujourd’hui les virus est la croisade d’une poignée de descendants des pro-Bechan/anti-Pasteurs, mais la propagation de cette thèse est virale dans l’antitout-sphère.
PS : j’ai regardé avec intérêt les aléas du procès sur le virus de la rougeole, Stefan Lanka est un fin renard et la "communauté scientifique’’ aurait du mouiller la chemise sur le fond et consulter un juriste sur la forme au lieu de laisser un étudiant se décarcasser (attiré peut-être par la prime).
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@Géronimo howakhan
C’est, effectivement, difficile de sortir d’une certaine dissonance cognitive concernant les « virus ». Tout est, en effet, réalisé pour nous soumettre l’idée qu’ils sont réels et bien maitrisés. Mais ceci, si l’on gratte le vernis, n’est qu’une supercherie.
Admettre que ce à quoi on a toujours « cru » est faux, admettre que l’on s’est trompé, et que l’on a été trompé, est une démarche difficile. Moi le premier, découvrant les propos de Stephan Lanka, avant de prendre posément en considération l’ensemble de ses arguments, j’ai pensé qu’il était fou. L’affaire est, effectivement « énorme ». Tout repose sur une mystification : le fameux « protocole » qui permet d’isoler et de purifier les virus. Et ce protocole, qui ne repose absolument pas sur la méthode scientifique, n’est jamais remis en question, ou si peu.
Cela fonctionne très exactement comme avec le développement d’un sophisme. Seule la première proposition est fausse, le reste du raisonnement est juste. Mais c’est tout le raisonnement qui est faux puisque la première prémisse est fausse.
L’artefact produit par la non scientificité du « protocole » d’isolement et de purification d’un virus conduit à des conclusions désastreuses. Mais cette supercherie rapporte de gros profits. -
@Eric F
L’expérience en question, celle de Milton Rosenau, concerne la contamination et la propagation.
Je pense que vous n’avez pas pris connaissance de celle ci. Des personnes saines, mises en présence de malades de la grippe espagnole (la célèbre et terrible grippe espagnole) ne sont jamais tombées malades. Et il n’y avait pas « d’agent pathogène » utilisé : les personnes saines étaient mises en présence de « vrais malades », respiraient leur haleine, et ont même reçu des « injections » d’humeurs prélevées chez ces malades.
Rien n’y a fait : pas de contamination, zéro malade.Je vous remets ci-après le protocole d’isolement et de purification d’un virus. C’est un total « non sens » scientifique sur lequel repose toute la supercherie, celle à laquelle vous croyez sans même prendre le temps « d’analyser » ce protocole.
Selon le biologiste italien Stephano Scoglio.
… « La réalité est que le virus du SARS-Cov-2 n’a jamais été isolé et testé. J’ai examiné toutes les études qui prétendent avoir isolé et même testé le virus, mais toutes ont fait quelque chose de très différent : ils ont pris le liquide pharyngé ou broncho-alvéolaire des patients, puis ils l’ont centrifugé pour séparer les molécules plus grosses et plus lourdes des molécules plus petites et plus légères, comme les prétendus virus ; ils ont ensuite pris le surnageant (la partie supérieure du matériel centrifugé) et ont appelé cette matrice extrêmement complexe ” virus isolé ” à laquelle ils ont ensuite appliqué la RT-PCR [Zhu N et al, A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019, N Engl J Med. 1, 2020 Feb 20 ; 382(8) : 727-733].
C’est assez technique, mais je vais essayer de simplifier : le surnageant contient de nombreux types de molécules, des milliards de micro et nanoparticules différentes, y compris ce qu’on appelle les vésicules extracellulaires (VE) et les exosomes, des particules utiles produites par notre corps et absolument indiscernables des virus :
“Aujourd’hui, c’est une mission presque impossible de séparer les vésicules extracellulaires et les virus par les méthodes canoniques d’isolement des vésicules, comme l’ultra-centrifugation différentielle, car ils sont souvent copelletés (rassemblés ensemble) en raison de leur taille similaire.” [Giannessi F. et al., The Role of Extracellular Vesicles as Allies of HIV, HCV and SARS Viruses, 2 Viruses 2020, 12, 571 ; doi:10.3390/v12050571, p.4].
Alors, comment isoler un virus spécifique de cet énorme mélange de milliards de particules indiscernables, qui inclut les exosomes bénéfiques ?
Eh bien, on ne le fait pas, c’est impossible. »...
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@Legestr glaz
Vous pensez avoir le dernier mot en parlant de ’’dissonance cognitive’’ de la communauté scientifique dans sa quasi totalité concernant les virus, mais ce qualificatif peut absolument être renvoyé en boomerang à la minorité dont le parti-pris est la négation par principe de l’état des connaissances en tordant quelques évidences.
Il est nécessaire pour toute théorie scientifique qu’il y ait ’’tentative de réfutation’’, mais il apparait considérablement plus d’invraisemblances et d’arguties dans les thèses réfutant les virus, que dans l’amoncellement des études relatives aux virus et propagation épidémique.Il me semble qu’il y a un problème assez général de la démarche qui conduit à ce qu’un doute devienne la certitude du contraire.
La démarche rationnelle pour se fonder un point de vue à partir d’éléments de doute examine à charge et à décharge, conduisant soit au maintien de la question en suspens, soit à opter pour une des options. -
@Legestr glaz
re...je mets une vidéo, ici https://odysee.com/@WeAreTheDisclosure:1/le_covid19_n’est_pas_un_virus_c’est_un_parasite_IA:1 encore au cas où tu ne l’aurais pas vue, je ne l’ai pas encore regardée, mais comme elle était conseillée par Tal Schaller..
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@Eric F
« La communauté scientifique », parlons-en, totalement corrompue, jusqu’à l’os. Le pognon achète les « consciences ». Vous me faites rire. Tout le monde le sait sauf vous ? De puissants intérêts financiers sont en jeu, la communauté scientifique doit avoir des fonds pour faire des recherches et pour nourrir sa famille. Une parole dissonante, concernant la « vaccination » ou les « virus », et votre compte est bon : vous êtes mis au ban de cette communauté et vous vous retrouvé sans le sou.Concernant le protocole je vous vois muet. De dépit ? Examinez le et revenez ici en discuter. Ce « protocole » ne respecte en rien les critères scientifiques. Quoi écrire de plus ?
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@Legestr glaz
’’Selon le biologiste italien Stephano Scoglio’’En regardant de plus près, il est bien docteur, mais ’’Doctor of Philosophy’’ et se présente sur son site comme ’’Chercheur scientifique, philosophe, juriste, politologue, homéopathe, microbiologiste...’’ il est surtout naturopathe à base d’algues.
un peu plus : https://www.dossierduepuntouno.it/stefano-scoglio-il-dott-delle-alghe/
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@legestr glaz
tu dis : Admettre que ce à quoi on a toujours « cru » est faux, admettre que l’on s’est trompé, et que l’on a été trompé, est une démarche difficile.
Pour moi, non. Mais peu importe, ôtons ce moi.
Dès que des faits sont observés etc et que ceci passe avant l’ auto glorification de ce moi, ça ne pose plus de problemes au niveau que tu décris.
Pourquoi donc ? entre autre le programme de la pensée est ...programmé pour essayer de déterminer sans arrêt le fait...Nous avons cassé cette « machine » organique il y a quelques milliers d’années, par choix....moi, je etc est devenu plus important et grand que le fait donc que l’univers...
Dans le temps avant les psycho qui blablatent pour le pognon, cela s’appelait schizophrénie, dans le sens de : séparé du réel...c’est notre état global mental passé lointain et présent..
ce fut un choix d’ignorant basé sur ...............
à chacun d’aller voir..Merci pour les textes que je poste ailleurs.
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@Legestr glaz
Vous vous placez sur le terrain polémique, comment voulez-vous que j’ai réponse à tout.
Il y a assurément des pressions dans le milieu médical, et je dénonce aussi l’orientation maximaliste des autorités médicales et hospitalières sur ces questions de pandémie et de vaccination généralisée. Mais de là à jeter tout aux orties sous couvert d’un dissident et de deux charlatans, très peu pour moi. -
@Géronimo howakhan
Je viens de regarder les 10 premières minutes de cette vidéo. Je ne partage pas son contenu. Pour une chose essentielle d’ailleurs. Lorsque le journaliste qui interroge l’invitée lui demande ce qui « tue » les gens, elle répond qu’il s’agit d’entités issues de la technologie des nanoparticules.
En réalité, chaque année, dans le monde, 9 millions de personnes décèdent de la pollution, et cela fait beaucoup de monde. Il se trouve que lors de l’épisode « covid19 », les gros foyers de maladies respiratoires correspondaient très exactement avec les lieux où la pollution humaine était la plus importante.
Par ailleurs, les personnes touchées par la maladie respiratoire étaient celles qui présentaient un endothélium dégradé et une immunité diminuée par un système anti-oxydant amoindri. Et ces deux circonstances se retrouvent, majoritairement, chez les personnes âgées, pour des raisons parfaitement connues trop longues à expliquer ici. A savoir, que ces 2 dysfonctionnements majeurs, sont présents « systématiquement » chez les hypertendus, les diabétiques, les malades des coronaires, les insuffisants rénaux, les obèses. Nous avons ici « l’ensemble » des personnes susceptibles de décéder lorsque des périodes de pollution augmentée apparaissent, à savoir lors des inversions thermiques. La « communauté scientifique » d’Eric F, appelle ça « grippe » ou « covid », mais, en réalité, c’est bien la pollution atmosphérique, et ses toxines, qui décime les personnes sensibles et non un quelconque virus inventé pour la circonstance et pour d’immenses profits ultérieurs.
C’est bien notre système « anti-oxydant » qu’il faut choyer, qu’il faut renforcer. Et ça, c’est tout à fait possible. D’ailleurs, toutes les médications, dont Il a été question pendant cette folle période, sont en rapport « direct » avec un renforcement du système anti-oxydant humain (ivermectine, azithromycine, zinc, hydroxychloroquine).
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@Eric F
Il ne faut pas se disperser dans la réflexion. Il suffit, il suffit je le répète, d’examiner consciencieusement, au regard de la méthode scientifique, le « protocole » utilisé pour l’isolement et la purification d’un virus. Ce protocole est d’ailleurs totalement différent de celui utilisé pour isoler et purifier les bactériophages.
Cette affaire d’isolement et de purification fonctionne comme un sophisme. La première prémisse est fausse mais on y prête pas attention en validant le reste de la démonstration. De nombreux biologistes ont dénoncé cette « méthode » mais comme la mystification tient là dessus, personne ne veut vraiment examiner ce protocole à la lumière de la méthode scientifique.Je n’ai pas « raison » EricF : j’expose des faits que je mets en perspective.
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@Géronimo howakhan
Il est plus facile, c’est vrai, pour certains, d’accepter de s’être trompé. L’égo doit avoir une part importante dans cette affaire.
Ce que je vois avec l’Allemand Stéfan Lanka, ou l’Italien Stéphano Scoglio, ou l’Américain Andrew Kaufman, des scientifiques qui contestent, arguments à l’appui, le « protocole » qui permet d’« isoler ou de purifier les virus, c’est que, d’aucuns, rapidement, vont les traiter de charlatans, malgré leurs immenses compétences. Et on s’aperçoit aisément que c’est là que le bât blesse.
En effet, si les Lanka et consorts disaient »faux", il serait tôt fait de les désavouer en apportant des arguments qui contrediraient ce qu’ils avancent. Mais cela ne se passe pas comme ça. Aucun argument n’est jamais avancé : ils sont des charlatans, un point c’est tout, il suffit de le clamer, sans jamais apporter la moindre rectification à ce qu’ils mettent en avant. Et, pour moi, c’est la preuve qu’ils sont dans le vrai puisque les arguments contraires n’existent pas.
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@Legestr glaz
Re...oui je suis en accord avec cela..merci.
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@Legestr glaz
OK, merci de la critique de la vidéo.., j’irais voir quand même plus tard, par esprit naturel de curiosité..je voudrais savoir pourquoi Tal schaller l’a recommandé..
je chouchoute mon système anti oxydant depuis plusieurs années..
là avec ces pics de pollution de l’air et autres pollutions , bouffe , eau etc
j’ai pas mal de moyens...
depuis un moment j’utilise le jus de cuisson de peaux de pamplemousses et de citrons , NAC + vitamine, zinc, l’argent colloïdal, des jus de légumes rouges ( betterave rouges etc) et verts +bcp d’ orties et fruits, la semaine je ne mange que une fois le soir...majorité de légumes mais pas seulement enfin etc..il y a un tas de façons de faire selon aussi intuition de chacun..et il y a surtout ce que je ne sais pas , je fais donc des expériences avec moi même..
etc..
bien sur ayant inclus que naître = mourir, le plus gros problème est résolu, je n’avais rien demandé, ce fut un ordre venu d’ailleurs, je n’ai rien eu à faire pour cela ça c’est intégré tout seul à la pensée et étonnamment a eu une incidence sur toute la famille..enfin etc
merci de l’échange..
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@Legestr glaz
Lanka a les compétences pour étayer ses positions, mais ayant peu à peu adopté un chemin de traverse, il s’y est enferré comme c’est souvent la tendance du fait d’une notoriété ’’anti-système’’, et a été amené à inclure des arguments spécieux comme la non-contagion entre personnes, ou des arguties que la composition génétique virale serait produit par nos cellules. (on peut relever que Luc Montagnier avait également aussi dérivé, mais sans aller jusqu’au déni du virus)Scoglio a peut être des talents de naturopathe à base d’algue, mais il suffit de regarder ses productions pour constater que c’est un c̶h̶a̶r̶l̶a̶t̶a̶n̶, dilettante, il s’affiche docteur mais c’est un doctorat de philo, il a suivi des cours d’homéopathie et écrit notamment un livre de droit.
Non, décidément, même en étant intéressé par des modèles alternatifs, le ’’déni extrême’’ ne tient pas la route. Au passage, sur certains aspects concernant les co-facteurs, je reconnais être enclin à une forme de ’’déni modéré’’.
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A propos de l’« isolement », les critères ont été définis par Koch avant la découverte des virus, la technique définie pour les bactéries ne s’applique ici pas puisqu’il ne peut y avoir de culture ’’pure’’, du fait de la nécessité d’un support pour leur réplication. A ce stade la filtration n’opère pas et ce qui est ’’isolé’’ c’est l’acide nucléique spécifique.
En complément, des images au microscope électronique d’extraits de la culture infectéecentrifugés, fixés et mis en section ultrafine montre la présence et morphologie des virus.
https://wwwnc.cdc.gov/eid/article/26/6/20-0516_article
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7045880/
https://www.mediterranee-infection.com/le-coronavirus-en-photos/ (ce n’est pas une image composée)
https://images.cnrs.fr/photo/20200029_0001 -
@Eric F
Vous êtes extraordinaire dans vos réponses. Au lieu d’examiner les arguments vous évoquez les personnes ! Vous vous disqualifiez vous même. On ne doit pas parler des gens. On parle de leurs idées ( de leurs arguments).
— Stefan Lanka a adopté un chemin de traverse.
— Stéphano Scoglio est un naturopathe ( c’est avant tout un biologiste d’exception qui travaille sur la composition des algues et sur leurs immenses vertus). Mais, pour vous, c’est un charlatan.
Question. Savez vous, par exemple, que les algues contiennent des molécules pratiquement introuvables ailleurs : les polysaccarides sulfatés ?Mais, croyez bien que je vous comprends. Il est très difficile d’aborder différemment un sujet sur lequel la « doxa dominante » veille avec « intérêt » pour des raisons financières.
Mais je vois que vous êtes quand même quelqu’un de courageux puisque vous êtes enclin à une forme de « déni modéré ». Ceci montre simplement que vous êtes en train d’assembler toutes les pièces du puzzle.
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@Legestr glaz
Il est très difficile d’aborder différemment un sujet sur lequel la « doxa dominante » veille avec « intérêt » pour des raisons financières.
De mon point de vue, il faut distinguer deux centres d’intérêts, le politique et le financier. Le premier a pour rôle de veiller à maintenir le système en place et qui repose sur la soumission des citoyens où l’état d’urgence est la condition d’une soumission volontaire et aveugle. Pour laquelle le virus et sa réponse le vaccin est un moyen comme un autre. Cela veut dire que si pour les actionnaires des labos la raison financière se suffit à elle même, il n’en est pas de même pour le politique, pour ce dernier, l’intérêt supérieur est la défense du système et selon les circonstances, peut être amené à favoriser les actionnaires des labos ou bien au contraire à les mener à la ruine, car en réalité, c’est la somme des intérêts financiers de toute la classe dominante des actionnaires de toutes les industries qui est en jeu et non pas seulement un secteur particulier.Mais il se trouve qu’aujourd’hui, la peur du virus est une arme de soumission volontaire massive.
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@Eric F
J’ouvre votre premier lien et je lis la « méthodologie » appliquée par « isoler » et « purifier » le virus. Et je ne peux « que » constater que c’est ce que dénonce Stefan Lanka.
— Des cellules de reins de singe vert sont utilisées. Du sérum bovin est utilisé. Des antibiotiques et des antimycotiques sont utilisés.N’importe quelle cellule humaine « saine » soumise à ce traitement, serait amenée à disparaître, soit par apoptose soit par nécrose. Et dans ces situations, les chercheurs savent pertinemment que la cellule va « émettre » et « libérer » des vésicules extra cellulaires et des exosomes. Le « déni scientifique » consiste à appliquer ce « protocole » sans jamais se poser la question du contrôle d’une solution témoin, le célèbre test randomisé en double aveugle, c’est à dire qu’un prélèvement de cellules saines seraient soumises à ce même protocole, et les résultats pourraient être « comparés ». C’est la « méthode » utilisée qui produit le résultat. Mais ceci il faut absolument le taire.
copié-collé :
... "Culture cellulaire, limitation de la dilution et isolement du virus.
Nous avons utilisé des cellules Vero CCL-81 pour l’isolement et le passage initial. Nous avons cultivé des cellules Vero E6, Vero CCL-81, HUH 7.0, 293T, A549 et EFKB3 dans du milieu essentiel minimal Dulbecco (DMEM) additionné de sérum bovin fœtal inactivé par la chaleur (5 % ou 10 %) et d’antibiotiques/antimycotiques (GIBCO, https://www.thermofisher.comLien externe). Nous avons utilisé des échantillons d’écouvillons NP et OP pour l’isolement du virus. Pour l’isolement, la dilution limite et le passage 1 du virus, nous avons pipeté 50 μL de DMEM sans sérum dans les colonnes 2 à 12 d’une plaque de culture tissulaire à 96 puits, puis pipeté 100 μL d’échantillons cliniques dans la colonne 1 et dilué en série 2 -replier sur l’assiette. Nous avons ensuite trypsinisé et remis en suspension des cellules Vero dans du DMEM contenant 10 % de sérum bovin fœtal, 2 × pénicilline/streptomycine, 2 × antibiotiques/antimycotiques et 2 × amphotéricine B à une concentration de 2,5 × 105 cellules/mL. Nous avons ajouté 100 μL de suspension cellulaire directement aux dilutions d’échantillons cliniques et mélangé doucement par pipetage. Nous avons ensuite cultivé les cultures inoculées dans un incubateur humidifié à 37 ° C dans une atmosphère de 5% de CO2 et observé quotidiennement les effets cytopathiques (CPE). Nous avons utilisé des tests de plaque standard pour le SRAS-CoV-2, qui étaient basés sur les protocoles du SRAS-CoV et du coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS-CoV) (9,10). -
@Hervé Hum
Merci pour cette synthèse qui va très exactement dans le sens de ma pensée.
J’ajoute, toutefois, que les « politiques » n’arrivent pas au pouvoir « par hasard ».
Les personnalités « sélectionnées » doivent auparavant avoir donné des gages bien visibles de leur « état d’esprit ». Et ces personnalités politiques sont poussées sur le devant de la scène par ceux qui ont les moyens financiers de le faire.
Ces personnalités politiques sont donc mises en place par mettre en oeuvre des politiques économiques qui « conviennent » aux donneurs d’ordre.
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@Legestr glaz
A propos de cette vidéo, c’est un gros « bof » pour moi..je ne l’ ai pas fini, ...salutations..
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@Eric F
Je viens de consulter tous les liens. Ceux ci viennent prouver que la « méthode scientifique » n’est jamais respectée lors de l’isolement et de la purification des virus. C’est une mystification.
Et c’est bien ce « protocole » dément qui permet de « séquencer » le génome et ensuite de conserver la « souche virale », de tous les « virus » qui auront été « isolés » et « purifiés » de cette manière incorrecte. Et les « tests » PCR seront mis en oeuvre d’après les résultats obtenus à l’aide de ce protocole frelaté.
Tout ceci fonctionne comme un sophisme : la première prémisse est fausse (le résultat de la culture est faux et produit un « artefact ») mais le reste du raisonnement est juste.
N’importe quelle culture de cellules « saines », soumise à ce même protocole, amènera ces cellules à la mort et à libérer des vésicules extra cellulaires et des exosomes, lesquels pourront être « identifiés » comme étant des « virus » qui se sont répliqués. A la belle supercherie !
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@Géronimo howakhan
Idem pour moi. Au plaisir.
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@Legestr glaz
Je comprends votre point de vue, mais il y a une impossibilité intrinsèque pour appliquer aux virus les principes applicable aux bactéries en terme d’isolation et purification. Donc, oui, c’est une méthode indirecte qui est appliquée dans un substat composite.
Mais la détection de segments génétiques et protéines ’’non humaines’’ ne peut pas être du à des ’’vésicules extra cellulaires’’ produites par nos cellules vives ou en décomposition, on n’a pas dans notre patrimoine génétique la séquence de la protéine spike etc. et même une altération ne pourrait pas exprimer une combinaison aussi spécifique et complexe de manière reproductible chez des millions de malades simultanément. Il faudrait des mécanismes et lois de génération incompatibles avec la biochimie et génétique.
On se ramène donc forcément à une entité biologique extérieure contaminante. -
@Hervé Hum
Salut Hervé si je puis me permettre, tu parles de peur du « virus » ( aucun virus n’a jamais été isolé), c’est un effet d’autre chose, derrière c’est la peur de mourir, est ce tout ?
Pas du tout de ce que j’en vois, derrière il y a en fait l’infini et je suis sérieux..
la peur de mourir se manifeste dès que « je » veux que ceci ou cela dure...or que dit le réel : tu vas mourir, c’est un absolu !
Le désir de continuité a enclenché cette peur, peur bien sur = fuite impossible d’un fait.
est ce tout ? Non derrière il y a le désir..est ce tout ? non derrière il y a le programme de la pensée et la place du désir dans le programme...
vais je analyser cela ? si oui rendez vous dans des milliards d’années, bien sur je serais mort demain ou un autre jours..analyser est dans le temps.
Ah ? oui analyser est le programme, c’est la pensée qui est apte à imaginer des choses dans le futur....ah !!que reste t’il car le présent est le seul réel ??
je passe plein d’étapes et cet infini absolu va montrer un tas de choses si, quand et comme « il » le veut..l’analyse est hors jeu...si je comprends l’analyse c’est normal, si je ne comprends pas ce que c’est et son rôle ..ça donne notre monde décrépit etc car alors l’analyse va envahir un monde où elle n’a rien à faire..celui qui n’est pas des domaines pratiques...
à cet instant la vie humaines a basculé du « coté obscur »..il est alors perçu instantanément si « il » le veut que le programme de la pensée est conçu pour voir des faits, quand il utilise son programme imaginaire c’est uniquement pour des choses physiques et pratiques, je fais donc un abris, organise la nourriture enfin etc,
ce n’est pas un programme pour autre chose que ce qui est pratique.
Sans ce programme aucun être dit vivant selon nous, n’existerait...
C’est aussi lui qui est en train de nous détruire d’un tas de manière, même encore vivant physiquement cette non vie est un calvaire..sur une échelle de x à x de souffrance.
Je défini pour moi la souffrance comme l’absence de ce contentement étrange, insaisissable par la pensée, l’analyse, le désir etc
il est la nourriture de « l’esprit »..qui ne peut la chercher..
Souffrance qui est un dialogue entre humains et.....je dirais x.
Je ne cherche pas à définir avec des mots.
Ah !! supposons, et alors ?
Si il n’y a pas d’erreur il n’y a pas de souffrance, la souffrance passe souvent inaperçue quand elle est à son stade minimaliste car on s’est habitué à souffrir, sans la comprendre et donc sans la résoudre..
Ah !
Les expériences montrent que c’est un catalyseur...qui n’est plus là à la fin de « l’expérience »..
Seule la souffrance résout la souffrance..ce qui en exclut toute analyse, tout désir, toute peur etc ad libitumsur ce chemin ça ne s’arrête pas..certes il y a des pauses, je retombe dans l’erreur mais ayant appris...il en reste ce qui doit rester , que « je » ne choisis surtout pas, et je n’ai pas à tout refaire le même chemin à chaque fois..
etc
mes salutations..
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@Géronimo howakhan
Quelque chose x sait le chemin et nous le communique. La souffrance symptôme et catalyseur en est un parmi d’autres..
Je et la « science » je hais ce mot, d’une manière intuitive mais très vague et diffuse savent cela d’une certaine façon, et voudraient se l’approprier...
pognon, pouvoir et contentement spirituel ULTIME supreme est la quête.
ce x qui sait, sachant tout sur tout, a bien sur limité la pensée donc la science pour, entre autre motifs nombreux, simplement éviter que nous donc je donc la science détruisions l’univers entier..
La science est partie intégrante du problème est la mauvaise nouvelle..
Il n’y aura pas, pour moi de rencontre science et spiritualité...le Bien n’est pas l’opposé du mal...etc
un long chemin d’une vie + 3 jours pour la résurrection attend chaque âme sur cette terre..
Mais cela n’intéresse pas, normal quand le chemin choisit est la fuite..
que nos transformons en quête de succès y x, v ou p..pauvres de nous...cela dit c’est un choix...et même dans le pire l’arrogance de la pensée qui ne sait pas pourquoi elle est arrogante va transformer cette déroute par choix en un truc magique appelé libre arbitre, or pour le chemin de la vie il n’y a pas de choix..
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@Eric F
Je vous rappelle que le génome du virus « étudié » est une « extrapolation » à partir de données informatiques. Ce sont des « fragments » d’ARN ou d’ADN, selon le cas, qui sont « assemblés », selon un programme défini, qui conduisent à la « construction » du génome viral. C’est une supercherie. Ne tombez pas dans ce piège.
Je suis désolé Eric F, ceci n’est pas de la science :
... « L’identification de l’agent causal d’une infection inconnue passe généralement par le séquençage de son matériel génétique, c’est-à-dire la détermination de la séquence des nucléotides (les A, T, C et G) qui composent son génome. Depuis le milieu des années 2010, le séquençage à haut débit couplé à la bio-informatique permet de caractériser le génome d’un virus émergent en quelques jours pour quelques centaines d’euros. Ainsi, de décembre 2019 à janvier 2020, plusieurs hôpitaux de Wuhan en Chine confrontés à la maladie se sont lancés indépendamment dans le séquençage du nouvel agent pathogène, en suivant approximativement le même protocole. Le point de départ consiste à collecter le fluide pulmonaire de patients, puis à en extraire le matériel génétique. L’ADN ainsi obtenu est prêt à être séquencé. Lors du séquençage, les molécules d’ADN ou d’ARN ne peuvent pas être obtenues de bout en bout car la technologie utilisée ne produit que de courts fragments de séquences d’environ 200 nucléotides chacun. À l’issue du séquençage, les données brutes sont ainsi une soupe de centaines de millions de courtes séquences nucléiques, appelées lectures, qui couvrent de manière aléatoire les génomes initiaux.
Reconstituer le génome d’intérêt nécessite ensuite toute une série de traitements informatiques. »...https://interstices.info/comment-la-bioinformatique-a-resolu-le-puzzle-du-genome-du-sars-cov-2/
On nous prend pour des jambons, et je n’ai rien contre les jambons.
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@Legestr glaz
Vous appelez ’’supercherie’’ l’application de modèles établis par la recherche et l’expérience, mais vous occultez le fait que les fragments de matériel génétique récoltés ne correspondent à aucun segment de génome humain, et ils codent pour des protéines non-humaines également détectées.Le fait que les mêmes séquences et protéines se retrouvent chez les patients infectés, cela montre bien qu’il y a un agent biologique contaminateur composé de ces protéines et véhiculant ces séquences génétiques absentes des cellules humaines.
Alors qui sont les jambons... ? -
@Eric F
Je ne connais pas le sujet, toutefois, pourquoi peut on affirmer que l’interaction avec des agents pathogènes contenus dans la pollution atmosphérique ne peut pas produire le même effet et donc, être « reproductible chez des millions de malades simultanément. »
Car après tout, le fait est que toute la population ne réagit pas de la même manière face au covid.
La complexité ici relève de la réaction du système immunitaire du corps humain face à une agression extérieure, qui veut que cela n’implique pas nécessairement que l’agresseur soit lui même une structure complexe... Bien au contraire !
Entendu que je pose une question de « bon sens » posé par un néophyte en la matière
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@Géronimo howakhan
Salut, La peur du virus est bien entendu associée à la mort, sans cela, il n’y aurait pas de peur qui tienne. Et d’ailleurs, le taux de létalité du virus du covid est tel qu’il ne fait peur qu’à ceux qui ont peur sans avoir besoin de virus !
Au fait, lorsqu’on regarde la Terre depuis les sondes voyager 1 ou 2 envoyées au delà du système solaire, force est de constater combien pour l’Univers la Terre est moins visible qu’un grain de poussière à la surface de la Terre. Bref, on ne risque pas de « détruire l’univers », pas plus que la planète Terre, qu’un gros frisson ou gros pet peut suffire à nous rayer de sa surface. On peut donc détruire notre univers ou plutôt notre environnement à la surface de la Terre, mais c’est tout.
Là où un grain de poussière peut suffire à détruire une machine aussi grosse que l’Univers, c’est en provoquant son déraillement, c’est à dire, faire perdre le sens à l’existence de ce même Univers.
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@Hervé Hum
Sans cette limitation par ? de la pensée analytique nous pourrions très bien potentiellement parlant tout détruire j’insiste, car nous sommes en mode fuite donc suicide..prenant cela pour de la quête et l’accomplissement de taches vitales et géniales, à MES yeux !! si cette pensée se croit être la seule capacité de notre psyché.
c’est notre cas..
Ce programme organique , ne sait pas qu’il est un programme donc ne sait quasiment rien de lui même et se prends pour un être humain, ce qu’il n’est pas du tout.
il est une partie d’un tout qui se prends pour le tout, pourquoi ? ma référence et bien c’est MOI !! ..alors forcément ça déraille..
etc... -
@Hervé Hum
L’action de poussières, particules ou molécules de la pollution peut provoquer des inflammations et symptômes respiratoires allergiques ou d’irritation de muqueuses, mais en aucun cas cela ne peut conduire à programmer la génération de protéines et séquences génétiques qui ne font pas partie de la ’’partition’’ de notre ADN. il s’agit d’une combinaison très précise et reproductible qui ne constitue pas une simple altération aléatoire. Il n’y a pas de confusion possible avec les ’’anticorps’’ générés par notre système immunitaire pour neutraliser les éléments étrangers, leur structure et composition est spécifique. -
@Eric F
Je suppose que la connaissance des processus à l’oeuvre permettent de l’affirmer sans l’ombre d’un doute.
Me reste toujours la question de savoir si le terme « aléatoire » vaut et à quel niveau.
Mais je n’irai pas chercher...
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@Géronimo howakhan
la réalité obéit à la causalité et celle-ci stipule qu’un principe est fondamentalement (dans ses conditions d’existence) invariant quelle que soit l’échelle ou le domaine.
Autrement dit, le moi est la référence de tout être, qu’il soit humain, extra terrestre ou divin. Ce qui change, c’est l’échelle à laquelle ce « moi » se situe, donc, son référentiel.
A partir de là, il y a une forme spécifique à chaque échelle, mais en inter relation avec toutes les autres... etc
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@Hervé Hum
A partir de là, il y a une forme spécifique à chaque échelle, mais en inter relation avec toutes les autres... etc
le moi c’est aussi son histoire, avec les autres aussi/surtout, pas celle des formes et de la compétition -
@Hervé Hum
le moi humain, la pensée analytique donc tel qu’elle est devenue par choix ne communique pas du tout avec les autres, elle se sert, utilise ou élimine les autres selon mon bon vouloir..avec des buts uniquement personnels..
nos autres capacités innées elles aussi ne font pas cela.. -
@Géronimo howakhan
bonjour,
’’le moi humain, la pensée analytique donc tel qu’elle est devenue par choix ne communique pas du tout avec les autres, elle se sert, utilise ou élimine les autres selon mon bon vouloir..avec des buts uniquement personnels..’’
— >
Il me semble que le mot ’’analytique’’ est de trop dans cette phrase.
Vous précisez : ’’telle qu’elle est devenue’’. Je ne crois pas que la pensée de l’homme soit par nature, analytique. Elle est parfois analytique, et parfois irrationnelle, volage, paresseuse ...
La pensée qui ’’ne communique pas du tout avec les autres, (qui) se sert, utilise ou élimine les autres selon (s)on bon vouloir..avec des buts uniquement personnels..’’
C’est le contraire de la pensée analytique.
« . C’est quoi la pensée perverse ? Prenons la pensée analytique ; retournons là ; et nous voyons la pensée perverse ». Pour Racamier -
@francis..
salut , bien lu, désolé ça ne me parle pas,merci.
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@Hervé Hum
Je n’aurai certainement pas la prétention d’affirmer ’’sans aucun doute’’, mais plutôt ’’conformément à l’état des connaissance expérimentales et théoriques’’. En d’autres termes, on n’a jamais constaté ni modélisé la génération par un organisme de séquences génériques autres que celle figurant dans son génotype (sauf altération localisée accidentelle, c’est cela que qualifiais d’’aléatoire’’). Il faut un agent extérieur contenant ces séquences (segments d’ADN ou ARN) pour que les protéines non-humaines correspondantes soient générées. -
@Eric F
Comment pouvez vous conclure ceci : « Le fait que les mêmes séquences et protéines se retrouvent chez les patients infectés, cela montre bien qu’il y a un agent biologique contaminateur composé de ces protéine » ?
C’est un « programme informatique » élaboré par l’Homme qui reconstitue, en prenant appui sur des résultats obtenus auparavant (et de la même façon frelatée), le « génome » du virus. Le fait que la même séquence, toute petite séquence, revienne chez les humains est d’une totale banalité, lorsque l’on sait que les tests PCR, utilisés pour cet usage, peuvent trouver tout et son contraire, parce que, comme le disait Kary Mullis : « tout est dans tout ».
https://www.youtube.com/watch?v=FzD18nte0o0
Vraiment beaucoup trop de naïveté de votre part parce que vous ne faites pas de mises en perspective.
copié-collé : ... « et véhiculant ces séquences génétiques absentes des cellules humaines. » Je pense que vous n’avez pas bien « saisi » la manière dont le génome est reconstitué. C’est l’Homme, avec l’aide d’un ordinateur, qui « arrange » les « séquences afin d’en induire un génome. Et vous venez écrire »ces séquences génétiques absentes des cellules humaines« . Mais c’est l’ordinateur qui les »arrange« .Parce que les nucléotides ne sont qu’au nombre de 4 ! ( adénine phosphate (A), guanosine phosphate (G), cytosine phosphate (C) et uridine phosphate (U).) et ils forment des codons.
Et, par conséquent, le fait que les mêmes séquences se retrouvent chez les patients infectés, et même, cerise sur le gâteau, chez des personnes »asymptomatiques« , vous savez celles qui sont »malades" sans le savoir, comme dans le docteur Knock, ne vous pose aucun problème. Tant mieux pour vous. Dormez en paix braves gens, tout est tranquille. -
@Eric F
copié-collé :« Il faut un agent extérieur contenant ces séquences (segments d’ADN ou ARN) pour que les protéines non-humaines correspondantes soient générées. »
Et les cellules VERO du singe vert, elles sont humaines ?
Et le sérum bovin, il est humain ?
Franchement, Eric F, vous êtes décevant. Vous écrivez des contrevérités absolues.Ces séquences ne sont pas « générées » comme vous l’écrivez « faussement ». Ces séquences sont « rassemblées » à partir de séquences très très courtes, pour former, à l’aide de l’informatique, un génome d’environ 30.000 nucléotides.
Je ne sais pas pourquoi vous utilisez le verbe « générer » puisque ce n’est pas le cas. Et vous le savez : ce génome du coronavirus est construit, il est l’oeuvre de l’Homme qui « l’imagine » comme ça.
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@Géronimo howakhan
il y a la pensée analytique qui crée cette binarité, moi/pas moi..rôle ? : ce qui est pratique la survie physique etc, et nos autres capacités, rôle ? : le reste..ces autres capacités vont alors changer la direction de la pensée..
ces autres capacités innées sont naturellement aptes à la vie intégrale, la mort, l’inconnu, le lien avec L’Origine et tant de choses que l’imaginaire ne peut apercevoir etc mais coté physique survie inclue..bien sur..
c’est ça que l’on a perdu...avec nos choix ..il y a des milliers d’années..
mais bon dit comme cela, par écrit sur un site de combat enfin etc..vite dit et sans doute très mal dit, ça ne pisse pas loin certes..j’en conviens.
c’est surtout un sujet pour des échanges de vive voix..
respects à tous... -
@Eric F
Copié-collé : « mais en aucun cas cela ne peut conduire à programmer la génération de protéines et séquences génétiques qui ne font pas partie de la ’’partition’’ de notre ADN »Je reprends ce que j’ai écrit sous un autre post :
— Les cellules VERO de singe vert sont-elles « humaines » ?
— Le sérum bovin est-il humain ?
— Et les cellules HELA sont-elles humaines ?Ne transformez pas la réalité Eric F. Vous savez maintenant très bien que le « bouillon de culture » servant à faussement « isoler » et « purifier » les virus contient des cellules « non humaines ». Pourquoi voulez vous cacher cette réalité ?
(Les cellules HeLa sont une lignée cellulaire cancéreuse utilisée en biologie cellulaire et en recherche médicale)
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@Eric F
Il faut rester objectif à partir de ce que l’on sait avec précision. Et pourtant, vous faites abstraction de ce que vous savez pour écrire des mensonges.
copié collé de votre mensonge : « mais vous occultez le fait que les fragments de matériel génétique récoltés ne correspondent à aucun segment de génome humain, et ils codent pour des protéines non-humaines également détectée »
Je reprends ce que j’ai écrit sous un autre post :
— Les cellules VERO de singe vert sont-elles « humaines » ?
— Le sérum bovin est-il humain ?
— Et les cellules HELA sont-elles humaines ?Ne transformez pas la réalité Eric F. Vous savez maintenant très bien que le « bouillon de culture » servant à faussement « isoler » et « purifier » les virus contient des cellules « non humaines ». Pourquoi voulez vous cacher cette réalité ?
(Les cellules HeLa sont une lignée cellulairecancéreuse utilisée en biologie cellulaire et en recherche médicale)
C’est votre fiabilité qui est remise en question lorsque vous écrivez des mensonges.
On nous prend vraiment pour des jambons !
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@Eric F
Les anticorps produits par l’organisme le sont contre la « soupe » qui est injectée dans le corps. Et la « composition » du vaccin peut comporter beaucoup de saloperies, comme de l’aluminium en son temps. Une intoxication aux métaux lourds. Génial.
Vous écrivez... « L’action de poussières, particules ou molécules de la pollution peut provoquer des inflammations et symptômes respiratoires allergiques ou d’irritation de muqueuses »...
J’ajoute : et l’augmentation du stress oxydatif, la dégradation et l’emballement de l’endothélium vasculaire, de la détresse respiratoire, des AVC, des arrêts cardiaques, des thrombo-embolies, une hypertension augmentée.Bref, Eric F, le « virus sournois » est très peu de chose face aux enjeux pour la santé de la pollution atmosphérique. C’est « elle » qui rend « malade », c’est elle qui tue.
... « Les études montrent en effet qu’une exposition à l’air pollué, même relativement brève, est associée à une hausse de l’incidence de l’infarctus du myocarde, des accidents vasculaires cérébraux, d’arythmies comme la fibrillation auriculaire ainsi qu’à une aggravation de l’insuffisance cardiaque. IIl est également bien documenté que l’exposition chronique à la pollution de l’air accélère le développement de l’athérosclérose, augmente la pression artérielle et favorise la formation de caillots sanguins, trois importants facteurs de risque de maladies
cardiovasculaires. »...
Quant à votre formulation : « mais en aucun cas cela ne peut conduire à programmer la génération de protéines et séquences génétiques qui ne font pas partie de la ’’partition’’ de notre ADN », elle ne tient que sur le résultat d’un test PCR fondé sur une séquence génétique « programmée par l’Homme sur ordinateur ». Comme le disait Kary Mullis : ’tout est dans tout« . Une totale mystification.Parce que les »soi disants virus« ne tue personne. En revanche, l’action des PM10, des PM2,5, des PM0,1, des particules fines et des particules ultra fines, sur la santé, est parfaitement bien identifiée. On sait pertinemment que la pollution provoque une augmentation de la tension artérielle et un stress oxydatif conséquent. Et c’est bien ce »problème majeur« qui coûte la vie des gens lors des épidémies de maladies respiratoires parce les personnes »sensibles« ont »toutes« un problème sous-jacent de tension artérielle de leur balance oxydants / anti-oxydants. Aucun »virus« n’intervient dans les maladies respiratoires, les matières particulaires polluantes se suffisant à elles même pour dégrader la santé des personnes »sensibles« et entrainer certaines vers la mort.
Inutile de chercher midi à quatorze heure quand la »solution« est devant notre nez !
... » Le dépôt des particules fines sur les voies respiratoires est une agression, un stress oxydant, qui active une cascade de réactions avec libération de molécules vasoactives (endothélines…) et pro-inflammatoires (cytokines, interleukines, TNF-alpha…), sécrétées probablement par les cellules pulmonaires. Wauters et coll. ont récemment démontré dans une étude expérimentale que l’exposition à des échappements de diesel dans des conditions similaires au trafic auquel nous sommes exposés quotidiennement, induit une dysfonction endothéliale principalement par l’inhibition de la vasodilatation induite par le monoxyde d’azote (NO).22 Cette dysfonction endothéliale ainsi que l’état inflammatoire induit sont à l’origine de l’altération de la régulation de l’hémodynamique créant un déséquilibre en faveur de la vasoconstriction.-
Les PM2,5, au vu de leur très petite taille, sont capables de traverser la barrière alvéolo-capillaire, de se disséminer dans la circulation systémique et de se déposer directement dans les tissus et les organes. Certaines de ces particules ont une propriété proinflammatoire propre et contribuent directement au déséquilibre de la régulation des résistances par leur action vasoconstrictrice.Une concentration élevée de PM10 est associée à une pression nocturne et une réabsorption de sodium durant la journée plus élevées ce qui pourrait aussi contribuer à augmenter le risque cardiovasculaire en particulier chez les patients hypertendus.
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@Legestr glaz
Salut, merci de ton travail important, je récupère tout ça et vais en faire un article pour VK..
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@Legestr glaz
La pollution atmosphérique dû à l’activité humaine moderne ne saurait expliquer les épidémies de grippes ayant décimé les populations amérindiennes avec l’invasion européenne du continent.
Quelle est alors l’explication ? En dehors du virus, je vois guère que les bactéries pour en être la cause.
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@Legestr glaz
Bonjour
’’Les anticorps produits par l’organisme le sont contre la « soupe » qui est injectée dans le corps. Et la « composition » du vaccin peut comporter beaucoup de saloperies, comme de l’aluminium en son temps. Une intoxication aux métaux lourds. Génial.’’
-> ça me parait évident, et tellement énorme que ça crève littéralement les yeux de la communauté scientifique chère à Fergus.
On a dit que la maladie était le moyen du corps pour se débarrasser d’un agent pathogène. Parlons du rhume : Je me demande si les VE (et ou exosomes ?), outre leur rôle dans le processus de la maladie, ne seraient pas également quand ils sont excrétés des signaux transmis aux tiers leur permettant de déclencher une réaction, appelée en l’occurrence un rhume, mais en réalité un processus de nettoyage déclenché préventivement, avant que l’empoisonnement ne devienne critique.
Bref, c’est l’interprétation du rôle des virus qui serait à l’envers de réel : l’industrie des vaccins est victime d’un biais cognitif récurrent chez les chercheurs, et la rapacité des investisseurs en a fait la calamité des temps modernes.
ps. Vous feriez une grande œuvre utile en classant et compilant vos commentaires sur ce sujet, en évitant les redondances. Vous pourriez en faire une série d’articles, voire même envisager une publication. -
@Legestr glaz
Il ne faut pas prendre les biologistes et laborantins pour des idiots, les protéines et segments d’ADN/ARN des singes, bovins ou cellules cancéreuses sont celles de mammifères, elles n’ont rien à voir avec celles, très spécifiques, des lignées de virus. On pourrait ajouter du jambon (que vous semblez apprécier) et même du beurre et des carottes dans le bouillon que ça ne produirait pas non plus de protéine spike par génération spontanée. il faut évidemment que les ingrédients ne soient pas contaminés par d’autres virus (j’ai trouvé ce lien sur la question), il doivent recroiser les résultats dans plusieurs labos. La contamination croisée de cultures une des hypothèses de l’origine du SARS COv2 au labo de Wuhan s’il y a eu ’’fuitage’’.
Alors arrêtez avec vos allégations de mensonge, ça relève de la manipulation et de l’intimidation, pas du débat. Mais bravo pour votre implication prosélyte -
’’’’Les anticorps produits par l’organisme le sont contre la « soupe » qui est injectée dans le corps’’
Nous parlions précédemment d’anticorps liés à l’infection elle-même, basés sur la reconnaissance par le système immunitaire d’’’antigènes’’ caractérisant l’agent infectieux : bactérie, virus voire toxine.
Le vaccin est conçu pour stimuler la reconnaissance d’antigènes d’un type d’infection et la production d’anticorps correspondants. Mais il est exact que les vaccins contiennent d’autres constituants notamment activateurs, qui peuvent avoir des effets néfastes comme notamment l’aluminium (j’ai connu une personne qui en a été victime : paralysie progressive entrainant le décès).
A propos des effets secondaires des vaccins anti-covid (à vecteur viral tout comme à ARNm), les symptomes grippaux et inflammations du muscle cardiaques seraient liés aux effets de la protéine spike elle-même, la vaccination généralisée et répétitive est irresponsable. -
@Hervé Hum
Dans le cas de rhume ou grippes simples, il n’y a pas de bactérie associée à leur transmission, mais les cas graves sont souvent liés à une surinfection bactériennes dans les organes respiratoires fragilisés par le virus (il y a trois ans j’ai eu une pneumonie bactérienne consécutive à un simple rhume, que m’avait refilé ma petite-fille qui m’avait toussé à la figure -
@ Francis
Salut Francis,
oui, tout à fait..https://t.me/lesremedescontrelenom/2014
titre du livre en pdf
Sally Fallon Morell & Thomas S. Cowan,
Docteur en médecineLe mythe de la contagion
Pourquoi les virus
(y compris le coronavirus)
ne sont pas la cause des maladies
Tiré de
Skyhorse Publishing -
@Legestr glaz
je te mets un autre lien vers telegram, sur une chaîne où il y a des liens pdf sur ces sujets
https://t.me/lesremedescontrelenom
entre autre
Sally Fallon Morell
&
Thomas S. Cowan,
Docteur en médecine
Le mythe de
la contagion
Pourquoi les virus
(y compris le coronavirus)
ne sont pas la cause des maladies
Tiré de
Skyhorse Publishing -
@Géronimo howakhan
extrait :
extrait : Lors de la pandémie de grippe espagnole de
1918, l’exemple le plus meurtrier de contagion
dans l’histoire récente, les médecins se sont
efforcés d’expliquer la portée mondiale de la
maladie. On estime qu’elle a rendu malade cinq
cent millions de personnes, soit environ un tiers
de la population de la planète, et qu’elle a tué
entre vingt et cinquante millions de personnes.
Elle semble apparaître spontanément dans
différentes parties du monde, frappant les jeunes
et les personnes en bonne santé, dont de nombreux militaires
américains.
Certaines
communautés ont fermé des écoles, des
entreprises et des théâtres ; les gens ont reçu
l’ordre de porter des masques et de s’abstenir de
se serrer la main, afin d’arrêter la contagion.
Mais était-ce contagieux ? À l’époque, les
autorités sanitaires pensaient que la cause de la
grippe espagnole était un micro-organisme
1
Robert Williams, Toward the Conquest of Beriberi (Cambridge, MA :
Harvard University Press, 1961), 18.
2appelé bacille de Pfeiffer, et elles s’intéressaient à
la question de savoir comment cet organisme
pouvait se propager aussi rapidement. Pour
répondre à cette question, des médecins du
service de santé publique américain ont tenté
d’infecter cent volontaires sains âgés de dix-huit
à vingt-cinq ans en prélevant des sécrétions
muqueuses du nez, de la gorge et des voies
respiratoires
supérieures
des
personnes
1
malades. Ils ont transféré ces sécrétions dans le
nez, la bouche et les poumons des volontaires,
mais aucun d’entre eux n’a succombé ; le sang
des donneurs malades a été injecté dans le sang
des volontaires, mais ceux-ci sont restés
obstinément en bonne santé ; enfin, ils ont
demandé aux personnes atteintes de respirer et
de tousser sur les volontaires sains, mais les
résultats ont été les mêmes : la grippe espagnole
n’était pas contagieuse et les médecins ne
pouvaient attribuer aucune responsabilité à la
bactérie accusée.
Pasteur croyait que le corps humain sain était
stérile et ne tombait malade que lorsqu’il était
envahi par des bactéries – un point de vue qui a
dominé la pratique de la médecine pendant plus
d’un siècle. Ces dernières années, nous avons
assisté à un renversement complet du paradigme
médical dominant, à savoir que les bactéries nous
attaquent et nous rendent malades. Nous avons
1
MJ Rosenau, “Experiments to Determine Mode of Spread of
Influenza,” Journal of the American Medical Association 73, no.5
(August 2, 1919) : 311–313.
3appris que le tube digestif d’une personne en
bonne santé contient jusqu’à deux kilos de
bactéries, qui jouent de nombreux rôles
bénéfiques : elles nous protègent contre les
toxines, soutiennent le système immunitaire,
aident à digérer notre nourriture, de créer des
vitamines et même de produire des produits
chimiques « bons pour la santé ». Les bactéries qui
recouvrent la peau et tapissent le tractus vaginal
jouent un rôle tout aussi protecteur. Ces
découvertes
remettent
en
question
de
nombreuses pratiques médicales actuelles, des
antibiotiques au lavage des mains. En effet, les
chercheurs sont de plus en plus frustrés dans
leurs tentatives de prouver que les bactéries nous
rendent malades, sauf en tant qu’entraîneurs
dans des conditions extrêmement peu naturelles. -
@Hervé Hum
Salut Hervé, empoisonnement ?
Connaissant les sortes de personnes qui ont débarqué là-bas c’est une hypothèse aussi valable que d’autres...surtout si on regarde la suite..comme une confirmation.. -
@Eric F
disons qu’à l’inverse des virus, les bactéries sont observables directement !
-
@Géronimo howakhan
l"empoisonnement suppose l’administration du poison qui peut difficilement être étendu à toute la population.
Cela dit, la contagion à partir de quelques cas est une forme d’empoisonnement.
-
@Hervé Hum
Au contraire, les épidémies sont expliquées. Ce sont des bactéries, des parasites, des toxines, des métaux lourds, auxquels les amérindiens n’étaient pas préparés qui ont agressé ces populations.
Tout comme la « tourista » des européens lorsqu’ils se déplacent en Afrique ou en Amérique du Sud, mais ici avec un moindre mal.Les changements décisifs dans le mode d’alimentation des amérindiens, qui ne trouvaient plus de gibier, ni de saumon, qui buvaient de l’eau polluée, parce qu’ils étaient confinés dans des lieux précis, insalubres et sans hygiène, ont été à l’origine de dysenterie, de typhus, de tuberculose, de syphilis, etc. Les « virus » n’ont rien à voir dans ces pathologies.
Je sais qu’il est difficile de changer de paradigme de pensée.
Par ailleurs, la pollution n’est pas la seule en cause. A chaque moment de l’époque humaine où les conditions « électriques » ont été modifiées, des épidémies se sont déclarées. Parce que l’être humain est un être « électrique », et l’énergie qu’il lui faut pour vivre vient d’un échange d’électrons dans la matrice mitochondriale qui amène la production d’ATP.
Ainsi donc le « rayonnement électromagnétique » peut être délétère pour l’être humain. De très nombreux chercheurs ont appelé à beaucoup de prudence et à appliquer le principe de précaution lors des installations de 2G,3G,4G et 5G. A chaque fois l’effet est cumulatif.
Le « rayonnement électromagnétique » est très dangereux pour la santé humaine. Par exemple, cette étude de 2018 qui indique en substance :
... « Le rayonnement radiofréquence (RF) est de plus en plus reconnu comme une nouvelle forme de pollution environnementale. Comme d’autres expositions toxiques courantes, les effets des rayonnements électromagnétiques radiofréquences (RME RF) seront problématiques, voire impossibles à démêler épidémiologiquement car il ne reste plus de groupe témoin non exposé.
Ceci est particulièrement important étant donné que ces effets sont probablement amplifiés par des expositions toxiques synergiques et d’autres comportements à risque courants pour la santé. Les effets peuvent également être non linéaires. Parce qu’il s’agit de la première génération à être exposée du berceau à la tombe à ce niveau de radiofréquences micro-ondes artificielles (RF EMR), il faudra des années ou des décennies avant que les véritables conséquences sur la santé ne soient connues.La prudence dans le déploiement de cette nouvelle technologie est fortement indiquée.
Cet article passera en revue les fréquences électromagnétiques pertinentes, les normes d’exposition et la littérature scientifique actuelle sur les implications pour la santé de l’exposition 2G, 3G, 4G, y compris une partie de la littérature disponible sur les fréquences 5G.
La question de savoir ce qui constitue un problème de santé publique sera soulevée, ainsi que la nécessité d’une approche de précaution pour faire progresser les nouvelles technologies sans fil. La prudence dans le déploiement de cette nouvelle technologie est fortement indiquée. »...https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29655646/
-
@Hervé Hum
Effectivement.
Et les scientifiques, depuis une petite dizaine d’années, sont confrontés à un véritable dilemme. En effet, depuis la découverte des « vésicules extra cellulaires » et des « exosomes », ces entités nanométriques (donc de la dimension des « virus »), dont les chercheurs identifient tous les jours le rôle (transporteur d’ARN,d’ADN, d’enzymes, d’informations de toutes sortes à l’attention des cellules voisines), grâce à l’utilisation du MET, il devient impossible de distinguer un virus d’une vésicule extra cellulaire. Et on en arrive à un paradoxe. « On » appelle « virus » ce que le microscope électronique décèle lors de l’examen d’une substance prélevée chez un « malade » et « vésicule extra cellulaire, ce que le microscope électronique décèle lors de l’examen d’une substance prélevée chez une personne saine. Parce que les cellules de l’organisme humain libèrent en permanence des »vésicules extra cellulaires« dans le milieu extra cellulaire, lesquelles ont un rôle biologique fondamental.
... »la recherche sur les vésicules extra cellulaires est un domaine nouveau et en plein essor. Avec de nombreuses enquêtes répondant jusqu’à présent, seul un nombre limité d’études ont exploré le rôle potentiel que jouent les vésicules extra cellulaires dans la réponse et l’adaptation aux stimuli environnementaux. Les enquêtes disponibles à ce jour ont identifié plusieurs expositions ou facteurs liés au mode de vie susceptibles de modifier le trafic de vésicules extra cellulaires, notamment les polluants atmosphériques, la fumée de cigarette, l’alcool, l’obésité, la nutrition, l’exercice physique et le stress oxydatif.Les vésicules extra cellulaires sont un outil très prometteur, car les fluides biologiques sont des milieux biologiques facilement accessibles qui, s’ils réussissent à identifier les altérations précoces induites par l’environnement et à prédire la maladie, pourraient être utilisés pour de futures applications préventives et diagnostics potentiels.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/28116555/... « Les polluants environnementaux courants, notamment les particules, la fumée de tabac et les polluants chimiques, déclenchent la libération de vésicules extra cellulaires à partir de plusieurs systèmes du corps. Les recherches existantes se concentrent principalement sur les polluants atmosphériques, qui modifient la production et la libération des vésicules extra cellulaires dans les poumons et la circulation systémique.
Les polluants atmosphériques ont également un impact sur le chargement sélectif de la cargaison EV, y compris les microARN et les protéines, qui modifient la fonction cellulaire dans les cellules réceptrices.
En conséquence, les vésicules extra cellulaires induites par les polluants contribuent souvent à un milieu pro-inflammatoire et pro-thrombotique, ce qui augmente le risque de maladies liées aux polluants, notamment les maladies pulmonaires obstructives, les maladies cardiovasculaires, les maladies neurodégénératives et le cancer du poumon. »...
Et il existe des dizaines d’études, récentes, sur le rôle de ces vésicules extra cellulaires. Mais le « grand public » les ignore. -
@Legestr glaz
merci pour votre réponse qui n’est certainement pas suffisante à mon niveau, mais qui montre que le sujet est loin d’être clos et devrait normalement susciter l’intérêt de tout véritable scientifique.
La confusion est mère de toute manipulation ou fourvoiement et c’est ce qu’indique votre commentaire.
Bref, la question posé par la présence et l’action de ces vésicules extra cellulaire ou exosome devrait devenir centrale à court ou moyen terme dans la communauté scientifique, même pour les plus récalcitrants.
-
@Legestr glaz
Je sais qu’il est difficile de changer de paradigme de pensée.
c’est d’autant plus difficile que ce changement consiste à revoir son mode de penser au niveau élémentaire.
Comme disait Einstein, « on ne peut pas résoudre un problème avec le même mode de pensé qui l’a engendré ». C’est ce que j’appelle la folie extraordinaire des gens très intelligents, y compris ceux que l’on considère comme des génies.
Sauf que fondamentalement, il s’agit de la même folie ordinaire telle que la définissait ce même Einstein, soit « la folie consiste à refaire la même chose tout en espérant un résultat différent ».
Mais vous pouvez le vérifier, il s’agit fondamentalement de la même chose, seule le niveau de complexité change, mais pas le principe en lui même.
Quid de l’histoire des virus.... L’avenir le dira peut être, si on vit assez longtemps !
-
@Hervé Hum
Je suis intervenu pour contredire l’avatar Eric F concernant le protocole utilisé pour « ’isoler » et « ’purifier » les virus, lequel protocole ne répond absolument pas à la « méthode scientifique ».
Comme vous le savez, les vésicules extra cellulaires et les exosomes, libérés par les cellules, sont de taille « manométrique, comme les »virus« . Le procédé utilisé pour leur isolement et leur purification a fait l’objet d’une parution scientifique, que je place ci-dessous. Ce n’est pas bien facile à comprendre pour les non initiés (dont je fais partie). Et cette méthode d’isolement et de purification »tente« de ne pas laisser de place au hasard. Malheureusement ce n’est pas du tout le cas avec le protocole d’isolement et de purification des virus qui date de 1952 !
... » Une méthode d’isolement de haute qualité pour les exosomes, suivie d’une caractérisation et d’une identification des exosomes et de leur contenu, est donc cruciale pour distinguer les exosomes des autres vésicules et particules. Ici, nous présentons une méthode pour l’isolement des exosomes à la fois du milieu de culture cellulaire et des fluides corporels. Cette méthode d’isolement est basée sur des étapes répétées de centrifugation et de filtration, suivies d’une étape finale d’ultracentrifugation dans laquelle les exosomes sont granulés. Des méthodes importantes pour identifier les exosomes et caractériser la morphologie exosomale et la teneur en protéines sont mises en évidence, notamment la microscopie électronique, la cytométrie en flux et le Western blot.
... « Lors de l’étude du contenu moléculaire et/ou de la fonction des exosomes, il est crucial d’utiliser une méthode d’isolement de haute qualité qui fournit un rendement approprié et le degré de contamination le plus faible possible. La méthodologie décrite dans cet article est une approche bien établie pour isoler les exosomes et étudier leur contenu en ARN et leur fonction biologique. En outre, l’importance de la caractérisation des exosomes isolés, par une combinaison de différentes méthodes, y compris la microscopie électronique, la cytométrie en flux et le Western blot, est mise en évidence. »
On s’aperçoit, par conséquent, que toute la rigueur scientifique mise en oeuvre pour « isoler » et « purifier » une solution contenant des exosomes, est d’une supériorité incomparable avec la « soupe » et le protocole qui sont utilisés pour, prétendument, isoler et purifier des « virus ».
-
@Hervé Hum
Si l’on a toujours du plaisir à vivre, en ce qui me concerne en me délectant des paysages atlantiques encore « assez vierges » et de randonnées en montagne, d’autres espaces vierges époustouflants, et bien nous pouvons adapter notre mode de vie et notre mode alimentaire pour « espérer » vivre « longtemps et en très bonne santé ».
L’alimentation peut nous y aider d’une manière fabuleuse. En gros, il s’agit, je dirai simplement, de développer notre système anti-oxydant tout en faisant en sorte de minorer notre « stress oxydatif ». Ce faisant, nous serons en très bonne santé. Mais il s’agit de tout un programme précis qui ne cède en rien au plaisir de la bouche. Parce que tout commence par un « stress oxydatif » augmenté, c’est lui qui est à l’origine de pratiquement tous nos pépins de santé. Quelque chose dont on ne parle presque jamais.
-
@Géronimo howakhan
Merci beaucoup.Le document, « mythe de la contagion », j’en ai déjà pris connaissance et archivé. Je regarde le reste.
-
@Eric F
copié-collé : « dans les organes respiratoires fragilisés par le virus ».
.... Que m’avait refilé ma petite fille ??? Goujat ! Un rhume ne se communique pas. Ce sont les personnes soumises au même air, plus ou moins pollué, qui le respire, et qui développent, selon l’état de leur balance « oxydants / anti-oxydants », une maladie respiratoire ou pas !
Dans les organes respiratoires fragilisés par les agents pathogènes en suspension dans l’air : PM10, PM2,5, PM0,1. Parce que les chercheurs savent parfaitement bien que certaines de ces toxines atmosphériques, dont les hydrocarbures aromatiques polycycliques -HAP— provoquent un endommagement de l’endothélium vasculaire et augmente la tension artérielle.
Et les personnes qui sont victimes, c’est à dire qui sont gravement malades et/ou qui décèdent de ces matières particulaires -MP— issues de la pollution sont très exactement celles qui présentent un endothélilum amoindri et un problème pré-existant de tension artérielle. Laissez les « virus » là où ils se trouvent le mieux : dans le néant de nos pensées.
... «
Brook a passé en revue les études faites sur le sujet et résume comme suit les principaux mécanismes qui ont été identifiés21 (figure 2) :
-
Déséquilibre du système nerveux autonome (SNA) : lorsque les PM2,5 sont respirées et qu’elles atteignent le système respiratoire distal, elles interagissent avec des récepteurs et des terminaisons nerveuses probablement situées sur les cellules pulmonaires, activant ainsi le SNS, avec peut-être une désactivation du système nerveux parasympathique, ce qui induit une vasoconstriction artérielle et l’augmentation des résistances périphériques. Cette théorie a été renforcée par le fait que la variabilité de la FC diminue notablement après une exposition aux PM, indiquant l’hyperactivité du SNS. C’est ce mécanisme qui explique la réponse tensionnelle rapide après une exposition aiguë comme vu dans les études expérimentales.
-
Le dépôt des particules fines sur les voies respiratoires est une agression, un stress oxydant, qui active une cascade de réactions avec libération de molécules vasoactives (endothélines…) et pro-inflammatoires (cytokines, interleukines, TNF-alpha…), sécrétées probablement par les cellules pulmonaires. Wauters et coll. ont récemment démontré dans une étude expérimentale que l’exposition à des échappements de diesel dans des conditions similaires au trafic auquel nous sommes exposés quotidiennement, induit une dysfonction endothéliale principalement par l’inhibition de la vasodilatation induite par le monoxyde d’azote (NO).22 Cette dysfonction endothéliale ainsi que l’état inflammatoire induit sont à l’origine de l’altération de la régulation de l’hémodynamique créant un déséquilibre en faveur de la vasoconstriction.
-
Les PM2,5, au vu de leur très petite taille, sont capables de traverser la barrière alvéolo-capillaire, de se disséminer dans la circulation systémique et de se déposer directement dans les tissus et les organes. Certaines de ces particules ont une propriété proinflammatoire propre et contribuent directement au déséquilibre de la régulation des résistances par leur action vasoconstrictrice.
-
Enfin, dans une étude lausannoise, on a mis en évidence qu’une concentration élevée de PM10 est associée à une pression nocturne et une réabsorption de sodium durant la journée plus élevées ce qui pourrait aussi contribuer à augmenter le risque cardiovasculaire en particulier chez les patients hypertendus.
C’est même dans le »nouvel obs« !
... »Depuis le pic de pollution, Marc Jaber, médecin pneumologue à Paris, a vu une hausse de 35% des plaintes pour gêne respiratoire sévère. Il répond aux questions de « l’Obs ».
Qu’est-ce qui différencient les effets de la pollution d’un rhume banal ?
Cliniquement, un rhume peut s’infecter : quand le nez coule, la couleur devient grisâtre, brunâtre. Avec la pollution, l’écoulement est transparent, avec une obstruction nasale liée à l’excitation des glandes qui s’enflamment et bouchent le nez. De plus, le rhume est associé à un petit état fébrile.
La fatigue ou la perte d’appétit peuvent-elles aussi être des symptômes ?
En période de pollution, le cerveau et les autres organes sont moins oxygénés. Comme les cellules ne respirent pas correctement, cela engendre une asthénie, c’est-à-dire une fatigue. Manque d’appétit, manque d’initiative, la pollution attaque tout.
-
-
@Legestr glaz
encore merci pour vos commentaires. Le premier à m’avoir dit que les virus n’existaient pas est un ami il y a environ 13 ans et ma foi, en l’absence d’éléments, j’en était resté là. Mais la donne change quelque peu avec la présence des vésicules extra cellulaires et des exosomes.
A suivre donc !
-
@Hervé Hum
La conclusion de l’étude en lien est relativement claire. Il s’agit de dire les choses, sans trop les dire.
... « L’hétérogénéité de taille, de composition et d’origine cellulaire des vésicules extracellulaires (VE), combinée à la difficulté de les distinguer d’autres éléments pouvant interférer avec leur détection, tels que les lipoprotéines ou les virus, rendent difficiles, encore aujourd’hui, la normalisation des approches biochimiques et physiques pour leur caractérisation. Les biofluides complexes accumulent également des VE de diverses origines cellulaires ou tissulaires. Malgré la grande variété de méthodes développées et mises en œuvre, chacune de ces techniques a son potentiel propre et des performances différentes en termes de gamme dynamique, de précision, de débit et d’application pour l’analyse de paramètres spécifiques des VE.
https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-03498238/document
Et la question qui »taraude« est bien celle de savoir, si comme l’expliquent les scientifiques spécialistes de ce domaine, que les vésicules extra cellulaires sont présentes dans tous les fluides de l’organisme (ces VE circulent et sont retrouvées dans les fluides biologiques : le sang, le liquide céphalo-rachidien, la salive, l’urine, etc),
alors, lors d’un »prélèvement« chez un malade, serait-il possible que ce prélèvement ne comporte pas de vésicules extra cellulaires mais seulement des »virus« ? Qui aura l’audace d’écrire : ceci est un virus, ceci est une vésicule extracellulaire ?
Il faudrait donc croire que le prélèvement »naso-pharyngé« qui est utilisé pour »isoler« et »purifier« le virus, de manière à la séquencer, ne comporte pas de vésicules extra cellulaires ? Où disparaissent donc ces vésicules que les chercheurs disent ne pas pouvoir distinguer des »virus" ? -
@Legestr glaz
’’Un rhume ne se communique pas. Ce sont les personnes soumises au même air, plus ou moins pollué, qui le respire, et qui développent, selon l’état de leur balance « oxydants / anti-oxydants », une maladie respiratoire ou pas !’’
Je confirme pour avoir constaté des centaines de fois et dans plusieurs familles, une ou deux personnes régulièrement très enrhumées et les autres membres de la même famille indemnes à chaque fois. -
@Géronimo howakhan
L’expérience de Roseneau de 1919 concernant la contamination de grippe espagnole est citée en boucle, mais elle est bien vétuste au regard des évolutions des connaissances en matière d’épidémiologie et virologie. J’ignore les raisons de la ’’non contamination’’ dans le cadre de cette expérimentation à l’époque (il est question de bacille de pfeiffer dans l’article ?), mais on sait désormais ’’pister’’ la propagation à partir de porteurs identifiés, et de nombreuses données de personnes dans une même réunion contaminées par un participant, puis propageant à leur tour à un autre bout du pays, sans rapport avec la pollution de ces lieux différents ou la présence ou non de 5G ou que sais-je encore. Par contre le type d’activité et d’interactions entre individus est prépondérant, ainsi en Corée il y a eu des cas de propagation relevés dans 12 centre de fitness (promiscuité, forte expiration, faible aération).
Dans une étude de synthèse de 2018 sur les canaux de transmission des virus respiratoires entre humains (il y a une bibliographie très fournie), il est indiqué que la part respective de ces différents canaux (gouttelettes, contact, aérosols) est mal établie, et pointent les avantages et manques des différentes méthodes d’expérimentation employées . Il leur reste du taff effectivement.Attention à ne pas confondre virus et bactéries, ces dernières ne sont niées par personne car leur taille et leur autonomie en culture les rendent plus facilement identifiables. Le fait qu’il existe des bactéries ’’’utiles’’ est bien connu, cela prouve du reste qu’il existe bien un effet de celle-ci dans notre organisme, d’autres sont nuisibles. Il en va de même pour les virus, certains se trouvent dans notre microbiote notamment.
-
@Legestr glaz
(rep. message 1er novembre 13:49)
Avatar Eric f salue bien avatar Legestr glaz, mais à propos de la question d’’isoler’’ un virus, j’ai déjà répondu que la procédure valable pour les bactéries (autonomes) ne peut pas s’appliquer pour les virus (nécessitant support) et qu’il a bien fallu établir un moyen adapté, effectivement ’’indirect’’.(rep. message 1er novembre 16:58)
Pour ce qui de mon rhume, ce n’est pas de la goujaterie mais une mésaventure , il se trouve que ma chère petite fille est fréquemment enrhumée et tousse affectueusement sur son papy, ce n’est pas la première fois que j’ai chopé un de ses rhumes alors que je n’en n’ai sinon quasiment jamais, et ce n’est pas une question d’environnement car c’est lors de visites. On est les uns et les autres plus ou moins fragiles dans une famille, mon épouse est plus robuste sur ce point. Si cette fragilité est liée à une mauvaise balance oxydant/antioxydant malgré mes efforts d’équilibre alimentaire (je suis en cela vos prescriptions), alors il se peut que je sois plus rouillé(rep. message 1er novembre 12:47)
’’il devient impossible de distinguer un virus d’une vésicule extra cellulaire’’
On ne peut les distinguer au microscope, mais à l’analyse, les vésicules contiennent des protéines et segments ADN/ARN du génome humain, alors que les virus ont des protéines et segments d’ADN/ARN différents de ceux des humains (et du jambon ). -
@Legestr glaz
j’avais loupé ça :
’’On s’aperçoit, par conséquent, que toute la rigueur scientifique mise en oeuvre pour « isoler » et « purifier » une solution contenant des exosomes, est d’une supériorité incomparable avec la « soupe » et le protocole qui sont utilisés pour, prétendument, isoler et purifier des « virus »’’
Ce sont pourtant les mêmes labos de recherche avec les mêmes outils et même méthodes. Vous pensez donc qu’ils sabotent délibérément s’agissant de virus et qu’ils fignolent consciencieusement quand il s’agit de vésicules ? -
@Eric F
Malheureusement pour vous Eric F, je veux dire pour vos croyances, il n’y a pas « que » l’expérience de Milton Rosenau. Pourtant cette expérience a permis, simplement de constater, tout simplement de constater, que des personnes « saines » mises en présence de la terrible grippe espagnole ne tombaient pas malades.
Si vous avez une explication à fournir Eric F, vous pouvez la donner.Par ailleurs, les masses d’air circulent, dans l’hémisphère Nord, d’Est en Ouest. La pollution générée en Asie traverse les continents, parvient en Europe et poursuit son chemin vers l’Amérique du Nord.
En revanche, ces masses d’air ne traversent pas les hémisphères. Ceci explique parfaitement bien « pourquoi » les malades de maladies respiratoires dans l’hémisphère Nord, durant l’hiver dans ces contrées, ne peuvent pas contaminer les habitants de l’hémisphère sud et Lycée de Versailles. Parce qu’il s’agit d’une maladie provoquée par des polluants atmosphériques, « non transmissibles », et que le« virus », inventé pour la circonstance, n’y est pour rien. Le « virus » pour les adultes mal informés, c’est comme le Père Noël pour les enfants. Le premier apporte la maladie respiratoire, le second les cadeaux. Dans les 2 cas, c’est une fiction.Même sur le « Diamond Princess », une partie des passagers n’a connu aucun symptôme du maintenant fameux « covid ». La « contamination » et la « propagation » ne sont pas inter-humaine et n’existent pas. On ne se refile pas de maladies respiratoires, on se la « provoque » en respirant des toxines sous forme de matières particulaires polluantes en suspension dans l’air. Les périodes « d’inversions thermiques » sont cruciales à observer en période épidémique.
D’ailleurs, Eric F, je vous engage à vérifier par vous même. Lorsque la prochaine épidémie de maladie respiratoire, automnale ou hivernale, sera sur nous, vous pourrez faire le lien avec les taux de pollution. Soyez un observateur rigoureux. D’ailleurs, j’engage tous les lecteurs à le faire.
... " L’ondelette de COVID-19 à Tenerife et les tempêtes épidémiologiques signalées à Londres, Paris et le canton suisse du Tessin coïncident ou suivent des pics de concentrations de particules fines (PM2,5). Nous émettons l’hypothèse que la concentration de PM2,5 anthropiques ou désertiques dans les couches limites atmosphériques a exacerbé la morbidité et la mortalité liées au COVID-19 dans les cas présentés. Bien que nous ne puissions pas exclure la possibilité que de graves éclosions de COVID-19 se produisent en l’absence de concentrations élevées de PM2,5, nous observons des interrelations entre les inversions thermiques, les concentrations de PM2,5 et les hospitalisations et la surmortalité liées au COVID-19.
-
@Eric F
Ne dites pas de bêtises. Le « protocole » employé pour « isoler » et « purifier » les virus fait entrer en jeu des cellules VERO (de singe vert) des cellules HELA (des cellules cancéreuses), des antibiotiques, des antifongiques.
En revanche, la méthode « principale » utilisée pour « isoler » et « purifier » les vésicules extra cellulaires et les exosomes est la « centrifugation ».
https://planet-vie.ens.fr/thematiques/manipulations-en-laboratoire/la-centrifugationJe vous ai mis des liens, je vois que j’ai perdu mon temps. Vous êtes juste borné, vous ne voulez même pas prendre connaissance des méthodes utilisés dans un cas et dans l’autre.Tout ceci, je l’ai posté.
Ne revenez pas discuter ici avec des propos aussi navrants, totalement éloignés de la réalité. Cela ne sert à rien de nier les évidences. Les 2 protocoles sont différents. C’est d’ailleurs bien « ça » le problème !
-
@Eric F
Et bien, pour votre chère petite fille, à laquelle vous tenez, c’est très bien, faites en sorte qu’elle améliore son système anti-oxydant. Faites en sorte qu’elle ne provoque pas trop de « stress oxydatif » dans son organisme. Et il y a de très « méchants coupables » pour ça. Mais ceci s’applique également à vous : il n’y a pas d’âge pour renforcer sa santé.
D’abord une molécule qui s’appelle le « glucose » qui, une fois dans le sang, à des niveaux trop élevés, entraine un phénomène appelé « glycation non enzymatique des protéines ». Et ce phénomène, non content de produire des AGEs, des produits terminaux de la glycation, dangereusement délétères pour l’organisme, produit aussi du « stress oxydatif.
Ensuite, le deuxième sur le banc des accusés, se sont les »céréales« . Céréales Killer leur va bien au teint. Parce que les céréales d’aujourd’hui, polyploïdes par croisements successifs, contiennent des masses d’anti-nutriments. D’ailleurs, il y a beaucoup de travail pour faire prendre conscience aux gens de cette triste réalité. Seul l’engrain, autrement dit le »petit épeautre« a conservé sa diploïdie. C’est lui qu’il faut consommer, si l’on consomme du pain.
Et puis beaucoup de vitamines : A, C,D et E. Toutes favorables au système anti-oxydant. Sans oublier les co-facteurs : zinc, cuivre, fer, sélénium, manganèse. Tout ceci se trouve dans les aliments dont certains peuvent parfaitement porter le nom de »super-aliments" comme, par exemple, le bigorneau. Son prix s’envole actuellement. Est-ce un signe ? Moi je les ramasse, été comme hiver. A l’apéro, c’est très sympa.
Votre petite fille sera prête à affronter les périodes de pollution plus intense.
Le protocole utilisé pour isoler et purifier les virus est incorrect au vue de la méthode scientifique. Les résultats que ce protocole produit sont des artefacts, pas du jambon. Comme je vous l’ai déjà écrit : ce protocole fonctionne comme un sophisme. Mais c’est à vous de voir.
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@Legestr glaz
Vous rebouclez sur une impossibilité, celle de pouvoir ’’cultiver’’ des virus tous seuls dans leur tube à essai, donc il faut effectivement un substrat de support.
Néanmoins les techniques comme l’utracentrifugation et filtrage sont bien évidemment utilisées dans le processus pour isoler, comme pour les constituants cellulaires et les exomes. D’autres étapes sont liées à la nature spécifique virale.
C’est donc vous qui faites preuve d’incompréhension du problème en prétendant qu’il y aurait une bonne pratique qui ne serait sciemment pas utilisée ; or la méthode de culture est intrinsèquement adaptée à la nature de l’entité ; cellules, bactéries, virus...Plus que ces questions ’’techniques’’, il est important de regarder la plausibilité de la thèse de ’’déni de l’existence des virus’’. Deux points clés ne me paraissent pas soutenables :
- la non-contagion d’humain à humain, et là je ne parle pas de telle expérience, mais de la réalité de terrain. La pollution ne se produit pas subitement de la même manière au 4 coins du monde pour faire apparaitre une nouvelle pathologie, arrivant d’abord dans tel quartier et se propageant au gré du déplacement des gens, et ne se propageant pas si une zone est complètement bouclée (comme en Chine).
- la génération spontanée de protéines et séquences génétiques (segments ADN/ARN) caractéristiques qui n’existe dans aucun autre organisme vivant.
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Je précise que je ne rejette évidemment pas en bloc l’ensemble des points que vous évoquez, notamment je suis tout à fait convaincu concernant l’influence des facteurs comme la pollution (incluant des éléments naturels comme pollens, poussières volcaniques...), et l’état physiologique des ’’patients’’ -sur ce dernier point le covid l’a illustré par le ciblage des cas graves sur les plus âgés (plus ’’usés’’)-. Donc d’accord sur l’amélioration préventive de l’état de robustesse par une alimentation équilibrée.
PS : concernant ma petite fille, la raison principale de sa sensibilité aux infections respiratoires a été identifiée et corrigée : les amydales (l’amélioration est nette).
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@Eric F
copié-collé : « Vous rebouclez sur une impossibilité, celle de pouvoir ’’cultiver’’ des virus tous seuls dans leur tube à essai, donc il faut effectivement un substrat de support. »
Posons, en préambule, que ni les virus ni les vésicules extra cellulaires ni les exosmoses ne peuvent se multiplier seuls. Question : comment est-ce possible de parvenir, lors d’un prélèvement, à l’isolement des vésicules extracellulaieres alors que ceci, selon votre expertise, serait impossible pour des virus ?
Mais comment ce « prodige » serait-il possible ? La « centrifugation » ne fonctionnerait donc pas pour les virus, contrairement aux vésicules extra cellulaires ? Il n’y aurait pas suffisamment de virus dans le prélèvement chez des malades pour les isoler et les purifier ? La bonne blague !
Il faudrait donc amener ces « soi disants » virus à se multiplier dans leur « soupe » sans prendre en considération que des vésicules extra cellulaires et des exosomes vont être « expulsés » des cellules en culture lors de leur apoptose ou de leur nécrose ? Ceci n’est plus de la science mais du bricolage ! Parce que l’on sait que les cellules en culture vont « émettre » des vésicules extra cellulaires et des exosomes. Alors, la question qui se pose : qu’advient-il de ces vésicules que les chercheurs n’arrivent pas à distinguer des virus ?
Concernant la pollution, et bien « si », elle se produit à des moments très proches sur divers continents puisque les matières polluantes sont acheminées à travers les continents par les masses d’air allant d’Est en Ouest.
Et je rebondis sur ce point : expliquez nous alors comment il se peut que les Portugais vivent les mêmes maladies respiratoires, « au même moment » que les Suédois ? C’est le fait d’un miracle ? Portugal — Suède = 2000 km. Ils se contaminent les uns les autres ? Franchement, vous allez vite en besogne.Concernant l’ARN (ou l’ADN) je vous répète pour la dixième fois au moins qu’il est déduit par l’informatique, grâce à un programme « concocté » par un être humain. On trouve ce que l’on veut bien trouver, comme l’aurait dit Karry Mullis.
Une nouvelle fois je vous demanderai d’être « attentif » aux phénomènes d’inversion thermique et aux moments de forte pollution. Vous verrez que les maladies respiratoires hivernales sont en lien avec le taux de pollution atmosphérique. Vous pouvez télécharger l’application IQair pour avoir connaissance de cette pollution en temps réel à un endroit donné.
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@Legestr glaz
Dans le cas des virus comme des exosomes, il y a ultracentrifugation. Mais il peut rester des contaminants dans ce qui est obtenu nécessitant une opération supplémentaire (précipitation, marqueurs, chromatographie, etc.).
(lien) extrait : ’’ La méthode d’isolement et de purification des exosomes la plus utilisée est l’ultracentrifugation différentielle [...] élimination progressive des contaminants, comme les cellules mortes, les débris de cellules [...] En revanche, les contaminants non exosomaux, comme les particules de lipoprotéine, les virus et les bactéries, les microsomes, l’ADN et les produits de nécrose (comme les corps apoptotiques) et les agrégats protéiques peuvent subsister. ... D’autres techniques d’isolement des exosomes souvent utilisées en combinaison avec une centrifugation...’’Par ailleurs, après vérification (lien), je dois apporter une rectification par rapport à ce que j’avais écrit : suite à infection ou vaccination, des exosomes de nos cellules peuvent véhiculer des éléments de protéine spike, non pas générés par notre matériel génétique, mais par le virus ou le vaccin (il n’y en n’a pas en absence d’infection ni vaccin, et leur nombre décroit dans le temps).
Concernant l’effet des conditions climatiques et pollutions, c’est un élément indubitable, mais cela ne ’’gomme’’ pas qu’il y ait transmission virale, ça la facilite (muqueuses irritées, organisme affaibli, etc.).
A propos de la contagion, outre le cas des foyers épidémiques très localisés qui diffusent la maladie avec la dispersion des personnes (ce qui a pu être tracé), on a eu le phénomène plus macroscopique qu’avec l’interdiction des déplacements longs lors du confinement, certains départements ont été préservés alors qu’ils n’étaient pas moins pollués que les autres. Par la suite, ces départements ont été touchés, parfois davantage du fait d’absence d’immunisation. Ceci dit, ce confinement généralisé était disproportionné et néfaste pour la vie du pays, mais c’est une autre question.
J’ai aussi trouvé un article convainquant sur la propagation par des ’’virus respiratoires aérosols’’. -
@Eric F
Muqueuse irritée, certes, mais par les matières particulaires. La transmission virale est une légende, d’ailleurs, il n’existe aucune preuve que la transmission est humaine. Vous parlez donc sans preuve.
Concernant votre « vérification et la protéine spike », je le répète : on trouve ce que l’on veut bien trouver comme le soulignait Karry Mullis (au fait, vous l’avez écouté ?)
Concernant l’isolement et la purification de la soupe virale : oui il y a dedans des cellules VERO, des cellules HELA, du sérum de bovin, des antibiotiques et des antifongiques. Aucune cellules humaines ne peut « résister » à ce bain « spécial ».
Ce n’est pas du tout le protocole utilisé pour isoler et purifier les vésicules extra cellulaires. Quoi que vous écrivez, les 2 protocoles sont différents.copié-collé : « A propos de la contagion, outre le cas des foyers épidémiques très localisés qui diffusent la maladie avec la dispersion des personnes (ce qui a pu être tracé), ». C’est tout à fait « faux ». Ces personnes ont respiré le même air dans un environnement qui leur était proche. Vous voulez le « dénier » parce que cela n’arrange pas votre vision des choses. On parle de « cluster », mais les personnes formant ces « clusters » étaient toutes au même endroit au même moment et ont respiré les mêmes cochonneries polluantes.
Je vous fais remarquer, et vous pouvez le vérifier, comme d’autres lecteurs, que tous les départements de la façade atlantique de la France ont connu une moindre mortalité « covid » que le reste du pays. Et pourquoi ? Parce que des phénomènes atmosphériques, comme le vent et la pluie, et une température plus clémente, évite, souvent, plus souvent que dans l’Est de la France, les inversions thermiques. Vous pouvez le nier, mais c’est la réalité relevant de la simple observation.
Eric F, ici, sur Agoravox, vous voulez propager l’idée que ce sont les virus qui contaminent et rendent malades les êtres humains. Je « propose » une autre vision, fondée sur des faits. Et ceux-ci me donnent raison. Pas une seule fois vous n’avez pu prendre en défaut les faits que j’expose. En revanche, les vôtres, sont souvent attaquables. Comme le fait que les Portugais tombent malades de maladies respiratoires hivernales en même temps que les Suédois. A votre avis, Eric F, c’est qui qui contamine qui ?
Mais devant tant d’évidences vous êtes obligé d’admettre que les conditions climatiques ne sont pas étrangères aux épidémies respiratoires hivernales.
Maintenant, faites fonctionner votre machinerie à mise en perspective. Quel rôle jouent les matières particulaires polluantes dans la santé humaine ? Comment décèdent, et quels symptômes présentent les 9 millions de personnes qui décèdent des effets de la pollution « chaque année » dans le monde ? Je vous donne un coup de pouce : il s’agit de maladies cardio-respiratoires, d’arrêts cardiaques, d’AVC, de détresse respiratoire, d’embolies pulmonaires, de thrombo-embolies. Voilà le tableau que nous avons sous les yeux du fait de la pollution et de ses méfaits. C’est à dire le tableau copie-conforme à ce qui se passe lors des épidémies de maladies respiratoires que l’on veut « attribuer » à un virus. Mais on ne « vaccine » pas contre les matières particulaires polluantes. C’est quand même ballot non ?
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@Legestr glaz
juste une remarque lorsque vous écrivez « Concernant l’ARN (ou l’ADN) je vous répète pour la dixième fois au moins qu’il est déduit par l’informatique, grâce à un programme « concocté » par un être humain. On trouve ce que l’on veut bien trouver, comme l’aurait dit Karry Mullis. »
Pour rester dans le cadre de la réalité, un tel programme se doit d’obéir aux lois de la causalité, c’est à dire, être récurrent, itératif et selon le degré de complexité faisant entrer différentes échelles, la fractalisation.
Sans cela, il serait impossible de définir quoi que ce soit.
Autrement dit, cela peut être déduit par l’informatique via un programme, mais ce dernier ne peut pas faire ce que l’on veut sans basculer dans l’imaginaire et sortir de la réalité. Il faut donc suivre un protocole strict. Maintenant, cela ne veut pas dire que les virus existent, tant qu’il n’y a pas une preuve directe irréfutable. Il peut donc y avoir un biais dans le programme, mais cela ne peut pas provenir d’un cocktail dont on peut modifier les composants à sa convenance, sauf pour tromper les autres, c’est à dire, ceux qui ne comprennent pas le programme et de cacher les modifications du programme à ceux qui le comprennent.
Car dans la réalité, c’est la causalité qui commande, pas l’imaginaire des êtres !
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@Hervé Hum
’’cela ne peut pas provenir d’un cocktail dont on peut modifier les composants à sa convenance’’
En effet, le programme travaille sur des segments qui sont identifiés et analysés. Or une chose est certaine, les segments constitutifs du codage pour la protéine spike ne peuvent pas être produits par nos cellules, soit ils proviennent d’un organisme qui les contamine, soit ils ont été injecté par le vaccin.La protéine spike est elle-même présente dans le substrat de la culture, ce qui a faitl’objet d’extraction et analyse (article).
Si on trouve des éléments spécifiques et caractéristiques d’un organisme, hormis transsubstantiation miraculeuse c’est que cet organisme existe et est présent dans la culture.
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@Legestr glaz
là on reboucle. Oui, l’irritation par les matières particulières, le froid, l’humidité, etc. prépare un terrain favorable au développement d’une infection. Du reste il y a également le fait que les effets de l’infection virale peut constituer à leur tour un terrain favorable à une surinfection bactérienne.
En absence d’irritation et pour un individu robuste, le virus a souvent un effet réduit, indétectable. On a quand même identifié des inflammations cardiaques légères sur des sujets apparemment asymptomatiques.Cette histoire de ’’on ne trouve que ce qu’on veut bien trouver’’ est une pirouette, on trouve des protéines qui n’existent pas dans la physiologie humaine, ce n’est pas une illusion d’optique ou du collage artificiel. L’amplification abusive des PCR est un autre sujet.
Et concernant la contagion, cette histoire de microparticules n’explique pas que les contaminés dans la salle de réunion des évangélistes de Mulhouse
ont été à leur tour propager la maladie dans leur quartier ou village respectif. ’’La modélisation a démontré que les premiers cas avérés dans six départements éloignés de l’Alsace, soit le Morbihan [eh oui, c’est pourtant dans l’Ouest], le Lot-et-Garonne, le Var, la Charente, un département du Centre-Val-de-loire et un département d’Outre-mer, concernaient des personnes qui avaient participé au rassemblement religieux’’ et ’’L’origine de la propagation dans le cluster de Haute-Savoie a été identifiée (à partir de personnes de retour d’Italie)’’
A l’époque de la police scientifique, les mêmes moyens permettent de tracer la propagation d’un virus. Du reste les bactéries -que personne je pense ne conteste-, propagent des maladies selon le même schéma.
C’est l’interdiction de circuler entre les départements qui a réduit les contaminations inter-départementales lors du pic d’Avril 2020. Mais ces régions ont été contaminés lors des vagues suivantes, le sud Est notamment.
Il y a de très nombreux déplacements à notre époque qui propagent les maladies plus rapidement qu’au moyen âge (on suivait le cheminement de la peste année par année, désormais une maladie se propage en quelques jours, eh bien par exemple entre Portugal et Suède -dont le climat est assez différent ainsi que les pollutions, soit dit en passant-).
Nier la contamination inter-humaine dont l’évidence est omniprésente et connue depuis des millénaires ne tient donc pas une seconde la route, contrairement à vos assertions autopersuasives vous êtes contradictoires avec les faits.Pour ce qui est de ’’propager’’ des idées, c’est vous qui vous êtes subitement entiché de cette théorie de négation des virus, dont la diffusion est virale dans l’anti-tout sphère et dont vous faites une véritable croisade. Contrairement à ce que vous semblez croire, j’aime regarder les pistes alternatives, pour voir leurs apports et la cohérence d’ensemble (je l’ai fait naguère sur des théories physiques). C’est une sorte de crash test en quelque sorte. Pass or fail ? fail à cause de l’invraisemblable déni de contamination interhumaine, et de l’existence des protéines spécifiques que seuls les virus comportent.
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erratum : ’’matières particulaires’’ ...et non particulières
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@Eric F
copié-collé : « Oui, l’irritation par les matières particulières, le froid, l’humidité, etc. prépare un terrain favorable au développement d’une infection ».Je réponds simplement sur ce point, je suis très occupé par ailleurs.
L’organisme humain possède dans ses voies respiratoires des récepteurs pour identifier les agents pathogènes que nous respirons. Ces récepteurs se lient avec les toxines inhalées afin de les « signaler » à l’organisme et de mettre en place des mécanismes pour les éliminer.
Ces récepteurs sont bien connus : les Arh — récepteurs aryl hydrocarbone-.Ces récepteurs sont très sensibles aux HAP -hydrocarbures aromatiques polycycliques— et à d’autres PM (10, 2,5, 0,1).
Ces récepteurs Arh activés sont à l’origine d’un dysfonctionnement endothélial parce qu’ils provoquent de l’hypertension et font mettre en circulation des facteurs de coagulation.
Ainsi, nous avons devant les yeux le « profil » des personnes le plus victime des maladies respiratoires hivernales, et « toutes » ont en commun de présenter un endothélium préalablement dysfonctionnel. L’activation des récepteurs Ahr peut être fatale, et elle l’est chez les hypertendus, les malades du coeur, les insuffisants rénaux, les diabétiques, les obèses. Tout ces « profils » ont un dénominateur commun : un endothélium amoindri et déjà plus ou moins dysfonctionnel.
Alors c’est une belle histoire que l’on raconte avec les « virus », mais il ne s’agit que d’une supercherie parce que les réactions de l’organisme concernent l’élimination des matières particulaires polluantes respirées lors des épisodes augmentés de pollution.
Ceci explique pourquoi, dans une famille, seules certaines personnes porteront la maladie et que d’autres personnes dans la maisonnée n’auront strictement aucun symptôme. Parce que leur endothélium est « fonctionnel », parce que leur système antioxydant n’est pas déjà sur le point de suffoquer. L’histoire de la contamination inter-humaine est une vaste blague. Cela n’existe pas : il existe de très nombreuses personnes qui ne sont jamais atteintes de maladies respiratoires, même mises en présence de malades. Ce ne sont pas les malades qui communiquent leur maladie mais, d’une part les conditions de pollution atmosphérique, et, d’autre part l’état de santé préalable (système anti-oxydant en ordre de marche).
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@Eric F
copié-collé : « Cette histoire de ’’on ne trouve que ce qu’on veut bien trouver’’ est une pirouette, on trouve des protéines qui n’existent pas dans la physiologie humaine, ce n’est pas une illusion d’optique ou du collage artificiel. L’amplification abusive des PCR est un autre sujet. ».Cellules de singe vert, cellules HELA : ce ne sont pas des cellules humaines. Je vous ai répondu mais vous faites « semblant » de ne pas avoir lu. C’est pas très sport.
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@Eric F
Ne vous méprenez pas, j’ai juste fait remarquer à Legestr glaz qu’on ne pouvait pas faire n’importe quoi avec le programme, rien de plus.
Vous écrivez que les segments constitutifs du codage pour la protéine spike ne peuvent pas être produits par nos cellules, mais qu’en est il en cas d’interaction de corps étrangers comme ceux véhiculés par la pollution ? Et surtout, comment peut on affirmer que c’est la faute d’un virus et non d’autre chose comme des bactéries ?
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@Hervé Hum
C’est juste ce que vous écrivez : « Autrement dit, cela peut être déduit par l’informatique via un programme, mais ce dernier ne peut pas faire ce que l’on veut sans basculer dans l’imaginaire et sortir de la réalité. ».Seulement, depuis que l’on applique le « protocole de 1952 », le programme décidé par l’Homme, reprend toujours à peu près les mêmes bases pour définir le génome viral ou la protéine de pointe. C’est comme ça que le système fonctionne : on prend appui sur ce que existe pour programmer l’ordinateur dans une certaine direction.
Par exemple cette thèse de l’année 2018 : «
Lisez ce baratin sur la vaccination contre le »virus« de la rougeole. Tout ceci a l’apparence de la scientificité mais tout est faux. En effet, il n’existe aucune preuve de l’existence du virus de la rougeole. Ceci a été démontré par Stefan Lanka qui a gagné, en Allemagne, en seconde instance, un procès qui lui avait été intenté alors qu’il affirmait que le virus de la rougeole n’existait pas. Aujourd’hui il est impossible d’affirmer que ce virus existe puisqu’il n’existe pas de preuve de son existence. Mais on »vaccine" quand même !La modélisation de la protéine S du HCoV-229E a été réalisée en collaboration avec l’équipe du Dr Petrescu (Figure 13). Cette modélisation a été construite en utilisant la structure résolue par cryo-microscopie électronique de la protéine S du HCoV-NL63 (Walls et al., 2016a). Les protéines S des HCoV-229E et HCoV-NL63 sont proches, avec une homologie de 56%. »
Nous avons étudié si le clivage S1/S2 de la protéine S du virus HCoV-229E était nécessaire à l’activation de la fusion. Nous avons aussi déterminé quelle arginine de la région S2’ était reconnue par les protéases à sérine pour activer la fusion. Pour étudier l’entrée du virus HCoV-229E, nous avons utilisé un modèle de particules rétrovirales pseudotypées avec la protéine S du virus HCoV-229E. Ces particules sont constituées d’une nucléocapside rétrovirale (Murine Leukemia Virus) ayant incorporé un minigénome contenant un gène rapporteur, la luciférase, enveloppées d’une bicouche lipidique sur laquelle est enchâssée la protéine S de HCoV-229E.«
Page 81.
https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-02275786/document
... »« Lorsque les cellules de notre organisme synthétisent des protéines, elles y apportent généralement des modifications dites post-traductionnelles, pour les rendre plus stables ou plus solubles dans le sang. La protéine Spike est ainsi glycosylée, c’est-à-dire que la machinerie cellulaire va y ajouter des sucres. Or, il n’est pas certains que la glycosylation opérée in vitro dans les cellules en culture soit identique à celle qu’opèrent les cellules humaines infectées in vivo. Il faut donc décrire avec précision la protéine synthétisée in vivo et la comparer avec la protéine recombinante obtenue in vitro, pour s’assurer que les tests diagnostiques et les vaccins qui l’utilisent comme cible sont les plus performants et les plus spécifiques possibles. »« .
Supercherie, au nom de la Science. La méthode scientifique est passée par pertes et profits mais, puisque le but de la manoeuvre est de produire des »vaccins« , tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.
https://www.cdc.gov/vaccines/pubs/pinkbook/meas.html -
@Legestr glaz
je n’y comprend pas grand chose, sinon que la causalité dit qu’une même cause produit un même effet si et seulement si, les conditions sont strictement identiques.
Ce qui n’est manifestement pas du tout le cas entre in vivo et in vitro pour toutes les raisons que vous avez énoncées.
Car si un principe est fondamentalement invariant, il varie à la moindre iota du point de vue de la forme.
Bref, ce qui est vrai in vivo ne l’est pas forcément in vitro, seules les conditions d’existence d’une protéine restent inchangées.
Et vu la connaissance largement incomplète, il faut s’abstenir de dogmatiser le sujet, sauf si on se veut dogmatique !
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@Hervé Hum
Absolument d’accord avec vous. In vivo et in vitro c’est quelque chose de totalement différent. Il est possible de faire certaines corrélations mais jamais de tirer de conclusions définitives.
Quant au dogmatisme, il nuit à la réflexion. Il devient même dangereux de poser certaines questions, même de bon sens. De ci de là, j’entends parler d’un loi « anti complotiste » qui viserait ceux qui contestent la « version officielle ». Décidément le monde bascule.
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@Legestr glaz
C’est vous qui ne lisez pas, j’ai rappelé plusieurs fois que les cellules de mammifères ou cellules cancéreuses du support de ’’culture’’ ne produisent pas les protéines caractéristiques des virus, que l’on ne trouve dans aucun autre bio-organismeConcernant les polluants, les conditions climatiques, l’état physiologique du patient, ce sont en effet des conditions favorisant l’infection, un peu comme dans la parabole du semeur, le virus se développe plus ou moins et a plus ou moins d’effet selon le terrain.
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@Legestr glaz
’’ Ceci a été démontré par Stefan Lanka qui a gagné, en Allemagne, en seconde instance, un procès qui lui avait été intenté alors qu’il affirmait que le virus de la rougeole n’existait pas’’
Il avait fait le pari qu’il n’existait pas un document établissant la preuve de l’existence de ce virus, le dossier produit par l’étudiant qui a relevé le défit comportait plusieurs pièces qui séparément n’étaient pas déterminante, c’est sur ce point que portait le terrain judiciaire. L’étudiant (désormais médecin) avait gagné le premier procès et Lanka a gagné en appel, la cour fédérale n’a pas statué ’’pour ou contre’’ l’existence du virus mais sur la nature probante ou non du dossier.Les experts en biologie, virologie, épidémiologie etc. devrait sérieusement se retrousser les manches sur les lacunes soulevées, la science ne progresse qu’au travers de la résolution des insuffisances théoriques et expérimentales. Ça fait longtemps qu’il aurait du y avoir un congrès contradictoire sur la question des ’’preuves’’ et un plan de travail pour les consolider. leur laxisme fait le lit de leurs contradicteurs plus dynamiques qu’eux dans la communication, ils n’ont pas à se plaindre de la propagation des doutes et réticences.
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@Eric F
’’leur laxisme (ie, celui des experts en biologie, virologie, épidémiologie) fait le lit de leurs contradicteurs plus dynamiques qu’eux dans la communication, ils n’ont pas à se plaindre de la propagation des doutes et réticences.’’
— >
Ce n’est pas du laxisme : c’est de l’impuissance, de l’incapacité, et pour cause, puisque ladite cause est perdue. -
@Hervé Hum
’’les segments constitutifs du codage pour la protéine spike ne peuvent pas être produits par nos cellules, mais qu’en est il en cas d’interaction de corps étrangers comme ceux véhiculés par la pollution ?’’
Non, la pollution ne peut pas apporter une reprogrammation des séquences génétiques de manière aussi complexe que la production reproductive par des millions d’individus d’un ’’set’’ de protéines spécifiques (spike étant l’une d’entre elles).
Il y a eu il y a une vingtaine d’année une épidémie de SRAS, dont les ’’éléments viraux’’ étaient très proches de ceux du covid. Par contre ils sont très différents de ceux de la grippe. Si c’était juste une altération liée à des polluants, il n’y aurait pas génération d’éléments aussi spécifiques, complexes, et différenciés.’’Et surtout, comment peut on affirmer que c’est la faute d’un virus et non d’autre chose comme des bactéries ?’’
Les bactéries étant nettement plus grosses que les virus, leur isolation est facile, c’est évidemment la première chose qui est recherchée en cas de nouvelle épidémie. Or il n’y en a pas eu de trouvée (hormis surinfection) pour le covid, et leur composition en terme de protéines et donc séquences d’encodage génétique est différente de celle des virus.
La piste que ce virus infecterait une bactérie digestive (prevotella) pour la rendre plus virulente a été à un moment évoquée, mais cette bactérie a finalement été mise hors de cause (comme le pangolin ) -
@Francis, agnotologue
Quelle ’’cause’’ est perdue, celle de l’existence des virus ? C’est aller vite en besogne que de considérer qu’elle est absolument réfutée, mais je dois reconnaitre, pour avoir farfouillé sur cette question avec un excellent sparring partner, qu’il y a des insuffisances dans le dossier. Je pense que la principale raison est que la ’’communauté scientifique’’ considère la certitude comme acquise, et perçoivent comme obscurantiste de la remettre en cause, ils ne vont pas plus loin. Conformisme et une certaine paresse intellectuelle.Ceci étant, il y a de pires béances dans le dossier de la théorie ’’no germ’’ pour ces maladies, même si ses promoteurs font un effort d’argumentation et communication plus fouillé.
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@Eric F
’’ Je pense que la principale raison est que la ’’communauté scientifique’’ considère la certitude comme acquise, et perçoivent comme obscurantiste de la remettre en cause, ils ne vont pas plus loin. ’’
— >
Vous êtes bien bon. En fait, ils ne perçoivent pas la remise en question comme obscurantiste : elle est déclarée obscurantiste. Nuance
cf. l’injonction impérieuse : « La vaccination ça ne se discute pas »
’’ Conformisme et une certaine paresse intellectuelle.’’
— >
Trop facile ! On ne se défait pas d’un biais cognitif quand il est si lucratif.
Pour mémoire : la compréhension est une adéquation à nos intentions. Pour connaitre le vrai je ne demande pas son avis à un psychopathe, et encore moins à un lobbyiste. -
@Eric F
Je connais par coeur le dossier du procès gagné par Stefan Lanka. Nous sommes d’accord que la cour n’a pas statué sur l’existence ou non du virus de la rougeole mais la cour a « constaté » qu’il n’y avait aucune preuve de son existence. C’est quand même fort de café !
Et pourtant « on vaccine »’ contre ce virus. Cela nous vous intrigue pas plus que ça. Et c’est tant mieux pour vous. Il y a des mises en perspective qui ne se font pas.
Quant à la protéine spike, comme indiqué dans un de mes précédents posts, c’est une « modélisation », que vous le vouliez ou non. C’est écrit en toutes lettres.
...« La modélisation de la protéine S du HCoV-229E a été réalisée en collaboration avec l’équipe du Dr Petrescu (Figure 13). Cette modélisation a été construite en utilisant la structure résolue par cryo-microscopie électronique de la protéine S du HCoV-NL63 (Walls et al., 2016a). Les protéines S des HCoV-229E et HCoV-NL63 sont proches, avec une homologie de 56%. »
Mais rien ne vous touche, noyé dans la doxa hypocrite.... »Pour étudier l’entrée du virus HCoV-229E, nous avons utilisé un modèle de particules rétrovirales pseudotypées avec la protéine S du virus HCoV-229E. Ces particules sont constituées d’une nucléocapside rétrovirale (Murine Leukemia Virus) ayant incorporé un minigénome contenant un gène rapporteur, la luciférase, enveloppées d’une bicouche lipidique sur laquelle est enchâssée la protéine S de HCoV-229E.«
... « Dans cette étude, nous effectuons des analyses de modélisation structurelle phylogénétique, bioinformatique et d’homologie du SRAS-CoV-2 S, en comparaison avec des virus étroitement apparentés. »...
Tout ceci fonctionne comme avec les « photographies » des virus. Les gens pensent, véritablement, qu’ils ont été photographiés. Ils ne se rendent même pas compte de la supercherie : il ne s’agit que d’une reconstruction d’image par un ordinateur programmé pour cette mission. La modélisation de la protéine spike répond aux mêmes critères « pseudo-scientiques ». Devant la « complexité », on gobe et on gobe encore. -
@Eric F
J’avais oublié de poster la photographie d’une belle licorne. Preuve de leur existence.
https://www.neozone.org/insolite/mais-au-fait-dou-vient-le-mythe-de-la-licorne/
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@Eric F
Détrompez vous, je lis et je vous réponds « modélisation » de la protéine spike.. Je ne sais pas comment vous traduire ce terme en Français. Je vais y réfléchir.
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@Francis, agnotologue
Je ne pense pas que la majorités des chercheurs et des praticiens soient pourris par l’arrivisme et l’esprit de lucre. Certains le sont, en connivence avec les grands labos et certains politicards, mais la plupart font les choses avec conscience et conviction.
Ceci étant, pour en avoir discuté avec des médecins, ils ne sont pas enclins à remettre en cause les fondements ni même à chercher à les étayer de manière approfondie, par formatage et non pas sous la terreur d’être épurés. Ceci dit, un pourcentage non négligeable quitte la profession en cours de route.Concernant les masques ou encore les vaccins, ils ne sont pas dupes sur les lacunes ou inconvénients, ni même sur les abus affairistes, mais considèrent qu’il doivent soutenir sans restriction étant convaincus qu’il s’agit de la bonne cause (réduire l’épidémie, à défaut de la juguler). On trouve aussi cet état d’esprit dans les média, idem pour l’écologie, au point que ça en devient soulant d’obsession et puérilité.
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@Legestr glaz
Encore merci, je suis avec attention..
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@Legestr glaz
’’ « modélisation » de la protéine spike’’
Voilà effectivement encore un intéressant chapitre à investiguer (l’internet nous donne accès à l’arbre de la connaissance universelle )
Aucune protéine n’est visualisable finement en microscopie (grossièrement en Microscopie électronique en transmissions (*)). Elles sont caractérisées par leur composition en ’’acides aminés’’. La représentation de la structure spatiale est ensuite modélisée en fonction de la composition en acides aminés, basé sur un profil issu de l’imagerie, en fonction de règles (biochimie), de similitudes avec d’autres protéines, et de simulations. La forme est un des facteurs qui détermine leur action, et permet de déceler d’éventuels points d’attaque par des médicaments.
séquençage protéine en acides aminés (sur la protéine elle-même et/ou sur son encodage ADN/ARN).
principe de modélisation structure protéineapplication protéines du covid
Alors vous avez raison, ça se base sur les données cumulées au fil du temps depuis les années 50, en chimie (structure des molécules), en bio (effets de la protéine selon la structure), avec le renforcement des outils d’observation et calcul. Concernant la protéine spike du SARS Cov2, il y a déjà une base de connaissances issues de coronavirus antérieurs, ce qui a accéléré l’opération.
Bon, on jette tout à la benne ? aucune protéine n’existe et toutes ne sont qu’une vue de l’esprit. Ou alors, pour les autres ok, mais pas celle-là.
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(*) A propos des ’’images’’ du coronavirus, on trouve effectivement surtout des reproductions artistiques en quelque sorte. Celles issus des microscopes électroniques sont floues, mais les procédés de traitement de l’image sont les mêmes qu’en photographie : résolution des flous, interpolations, reconnaissance de zones, colorisation etc. Et il peut y avoir compilation à partir de nombreux clichés sous divers angles de vue, permettant des détails par exemple sur les ’’fameux’’ spicules https://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.1908898117 (sur cette image c’est un autre coronavirus que celui du covid, voir l’animation sur la prise en compte du profil dans la modélisation de la structure).
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@Eric F
’’Je ne pense pas que la majorités des chercheurs et des praticiens soient pourris par l’arrivisme et l’esprit de lucre.’’
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Pas besoin d’arrivisme et d’esprit de lucre : la première démarche d’un directeur de labo est de trouver des budgets de recherche. On n’est plus au temps de l’alchimie. Quoique ...
Les chercheurs sont tenus par les bailleurs de fond comme les journalistes payés à soutenir la doxa et la propagande.
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